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Submitted on 1 Jan 1885
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J. DEWAR. - On the liquefaction of oxygen and the critical point of fluids (Sur la liquéfaction de l’oxygène et le point critique des fluides); Philosophical Magazine,
5e série, t. XVIII, p. 210; 1884
E. Bouty
To cite this version:
E. Bouty. J. DEWAR. - On the liquefaction of oxygen and the critical point of fluids (Sur la liquéfaction de l’oxygène et le point critique des fluides); Philosophical Magazine, 5e série, t. XVIII, p. 210; 1884.
J. Phys. Theor. Appl., 1885, 4 (1), pp.321-322. �10.1051/jphystap:018850040032100�. �jpa-00238380�
321
J. DEWAR. 2014 On the liquefaction of oxygen and the critical point of fluids (Sur la liquéfaction de l’oxygène et le point critique des fluides); Philosophical Magazine, 5e série, t. XVIII, p. 210; 1884.
Pour montrer dans ses Cours la
liquéfaction
del’oxygène,
M. De-war
comprime
ce gaz à une centained’atmosphères
dans unréservoir en communication avec un tube refroidi vers - 115° ou
-
ia5’B
et obtient laliquéfaction
dans le tube par le moyen d’unedécompression brusque.
Le tube est refroidi soit dans laneige
d’acide
carbonique imprégnée
d’éther ou dans leprotoxyde
d’azotesolidifié et mêlé d’éther.
Pour des gaz de même volume
moléculaire,
latempérature
et lapression critiques
sont sensiblementpr oportionnelles,
de tellesorte
qu’aux températures critiques
élevéescorrespondent
les fortespressions
et inversement. Al’appui
de cette remarque, Fauteurpublie
le Tableau suivant contenantquelques
déterminations nou-velles,
enparticulier
cellesqui
serapportent
àl’ammoniaque,
àl’acide
sulfhydrique,
aucyanogène
et au gaz des marais.Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018850040032100
322
L’auteur fait remarquer que les nombres de la dernière colonne
sont presque
identiques
pour l’acid echlorhydrique, l’eau,
l’ammo-niaque
et le gaz des marais : leur valeur moyenne est3,5.
Or cescorps sont
précisément
lestypes
d’où laplupart
des autres se dé-rivent par des substitutions. Le
rapport caractéristique
estplus
fort pour les dérivés
complexes,
maisprésente
engénéral
unrapport simple
avec la valeur moyenne3, 5
trouvée ci-dessus.D’après
les calculs de M.Sarrau,
lerapport T p273 serait 3,4
pour
l’oxygène
et3,5 pour l’azote.
Ces nombres coïnciden t presqueavec ceux de M. Dewar. E. BOUTY.
A. KÖNIG. 2014 Zur Kenntniss dichromatischer Farbensysteme ( Sur les systèmes
de couleurs dichromatiques); Wied. Annalen, t. XXII, p. 567 ; 1884.
On sait que les daltoniens
(Farbenblinder)
neperçoiven t
danstoute l’étendue du
spectre
que deuxcouleurs, séparées
par unerégion qui
leurparaît
incolore ou blanche. L’auteur s’estproposé:
IOde déterminer le
degré
deprécision
quecomporte
la détermi-nation de la
longueur
d’ondecaractéristique
pour un daltoniendonné,
de larégion
neutre; 2° de voir comment varie cette lon-gueur d’onde d’un daltonien à un autre; 31 d’examiner comment elle varie pour chacun d’eux avec l’intensité de
l’éclairage ( 1 ).
L’appareil employé
consiste en unspectroscope
àprisme équi- latéral,
dont l’une des arêtes bissectel’objectif
de la lunette. Dansces
conditions, si, après
avoir enlevél’oculaire,
onregarde
à traversune fente
oculaire,
on vuit l’une des faces seulement duprisme
illuminée par une lumière
homogène,
delongueur
d’onde connue,grâce
à unegraduation préliminaire
del’appareil,
et variableavec l’orientation du tube collimateur. La seconde face du
prisme,
tournée vers
l’objectif,
est recouverte d’une couche diffusante demagnésie,
éclairée par la lumière des nuages. Pourchaque
dal-tonien,
on fait mouvoir le tubecollimateur,
de manière que les deux faces duprisme paraissen t
de m ême co uleur :1° Pour
chaque daltonien,
onparvient
sanspeine
àdéterminer, à 1 1000 près environ,
lalongueur
d’onde de larégion
neutre.(1) PREYER, PflÜger’s Ai-chiv., t. SXY, p. 31 1881.