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GERARD-ANSDELL. — On the critical point of mixed Gases (Sur le point critique des mélanges gazeux); Proceedings of the Royal Society, XXXIV, p. 113; 1882

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238138

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238138

Submitted on 1 Jan 1883

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GERARD-ANSDELL. - On the critical point of mixed Gases (Sur le point critique des mélanges gazeux);

Proceedings of the Royal Society, XXXIV, p. 113; 1882

Foussereau

To cite this version:

Foussereau. GERARD-ANSDELL. - On the critical point of mixed Gases (Sur le point critique des

mélanges gazeux); Proceedings of the Royal Society, XXXIV, p. 113; 1882. J. Phys. Theor. Appl.,

1883, 2 (1), pp.45-46. �10.1051/jphystap:01883002004500�. �jpa-00238138�

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GERARD-ANSDELL. 2014 On the critical point of mixed Gases (Sur le point cri- tique des mélanges gazeux); Proceedings of the Royal Society, XXXIV, p. 113;

1882.

Il convenait de choisir des gaz faciles à

préparer,

sans

action.

chimique

l’un sur

l’autre,

et

présentant

isolément leurs

points critiques

à des

températures

bien connues et peu

élevées,

pour

éviter les erreurs dues à l’instabilité de la

température.

L’auteur

a

adopté

l’acide

carbonique

et l’acide

chlorhydrique.

L’acide

carbonique

était

préparé

par l’action de l’acide sulfu-

rique

sur le bicarbonate de

potasse

et desséché par l’acide sulfu-

rique.

L’acide

chlorhydrique

était

préparé

par l’action de l’acide

sulfurique

sur le

chlorhydrate d’ammoniaque

et aussi

purifié

et

desséché. Des observations faites d’abord sur

chaque

gaz isolé- .

ment, pour en contrôler la

pureté,

furent d’accord avec les résul-

tats antérieurs.

Les

expériences

furent faites dans un tube de Cailletet

gradué

d’une

capacité

de

5ücc,

et dont la

partie capillaire présentait

un

diamètre de om, 002. On y faisait passer

pendant plusieurs

heures

un courant d’acide

chlorhvdrique, puis

on y

pratiquait

un vide

partiel,

pour

permettre

l’introduction d’une

quantité

convenable

d’acide

carbonique.

Cette introduction s’effectuait sur le mercure,

au moyen d’un tube

capillaire

recourbé. On

adaptait

ensuite

l’ap- pareil

à une pompe, à la manière

ordinaire,

et l’on déterminait le

point critique,

y

puis

les tensions maxima de la vapeur aux difl‘é-

rentes

telnpératures,

et les volumes des

parties liquides

et ga-

zeuses.

Après

les

expériences,

on

transportait l’appareil

sur l’eau dis- tillée pour absorber l’acide

chlorhydrique, qu’on

dosait dans la dissolution par le nitrate

d’arbent.

Le volume total du

mélange

gazeux dans les conditions normale?

ayant

été

préalablement

déterminé,

on en retranchait le volume de l’acide

chlorhydrique

déduit de son

poids

et l’on obtenait le volume de l’acide carbo-

nique.

Le

point critique

de l’acide

carbonique

étant 31 ° et celui de

l’acide

chlorhydrique 510,25,

ceux des -divers

mélanges

se ran-

gèrent

par ordre de

composition

entre ces

températures ; mais,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01883002004500

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contrairement à la loi

signalée

par

Pawlewski,

les variations du

point critique

ne se trouvèrent pas

proportionnelles

à la

composi-

Lion centésimale des

mélanges.

La courbe des

points critiques pré-

sente avec la

ligne

droite des écarts

qui peuvent

atteindre

3~6

de

température.

Les courbes des tensions maxima pour

chaque

tem-

pérature

se

placent

assez

régulièrement

entre celles des deux gaz purs; lnais il

importe,

dans ces

expél1iences,

d’éviter avec soin les

plus légères

traces d’air ou d’autres gaz, les résultats étant tou-

jours profondément

affectés par ces

impuretés.

FOUSSEREAU.

KARL STHECKER. 2014 Die specifische Wärme der gazformigen zwei atomigen Verbindungen von Chlor, Brom und Iod unter sich und mit Wasserstoff (Cha- leurs spécifiques des combinaisons gazeuses diatomiques du chlore, du brome et de l’iode entre eux avec l’hydrogène); Ann. der Physik und Chemie, t. XVII, p. 85; 1828.

L’appareil

dont l’auteur s’est servi pour Inesurer le rapport l~

des chaleurs

spécifiques

des acides

chlorhydrique, bromhydrique, iodhydrique,

du chlorure et du bromure

d’iode,

ne diffère que par des modifications de détail de celui

employé

antérieurement dans l’étude du

chlore,

du brome et de l’iode eu--,,---mèmes

(1 ).

La dé-

composition

facile du chlorure et du bromure

d’iode,

surtout de

ce

dernier,

ne

permet

pas de faire des mesures très

précises.

Les

tubes

employés

sont assez

larges

pour éviter Finnuence du dia-

rmètre, signalée

par 81. Kundt.

On trouve, en

représentant

par y la chaleur

spécifique

à volume

constant

rapportée

à

l’air, par k l’énergie

du mouvement de trans-

lation des

molécules,

par H

l’énergie totale,

par V la vitesse du

son à oo :

(1) Journal de Physique, 2e s~rie, t. T, p.

~8;.

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