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WILLIAM HUGGINS. — On the spectrum of the flame of hydrogen (Sur le spectre de la flamme de l'hydrogène); Proceedings of the royal Society, t. XXX, p. 576: 1880

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00237886

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237886

Submitted on 1 Jan 1881

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WILLIAM HUGGINS. - On the spectrum of the flame of hydrogen (Sur le spectre de la flamme de

l’hydrogène); Proceedings of the royal Society, t. XXX, p. 576: 1880

D. Gernez

To cite this version:

D. Gernez. WILLIAM HUGGINS. - On the spectrum of the flame of hydrogen (Sur le spectre de la flamme de l’hydrogène); Proceedings of the royal Society, t. XXX, p. 576: 1880. J. Phys. Theor.

Appl., 1881, 10 (1), pp.84-85. �10.1051/jphystap:018810010008401�. �jpa-00237886�

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très faible

(1 5000)

est due aux variations

périodiques

de vitesse

pendant chaque

tour du moteur et aux

trépidations

du calorimètre

suspendu.

Plusieurs thermomètres a m ercure,

préalah lement compares

au

thermomètre à air, ont été

employés

à la mesure des

températures.

Ces

températures

se sont élevées

jusqu à 41° C. ;

elles sont, dans les résultats des

expériences, remplacées

par les

températures absolues ;

la réduction est faite à l’aide des

expériences

de Joule et

Thomson.

1B1. Rolland trouve pour

l’équivalent mécanique

de la chaleur des nombres variables avec la

température. Exemple :

L’auteur considère comme certain que cette diminution ne tient pas à des erreurs

d’e-xpériencc,

mais

quelle provient

d’ une dimi- nution de la

capacité calorifique

de

l’eau ;

cette

capacité diminue-

rait

quand

la

température augmente.

Il considère ses résultats

comme exacts à moins

de %

entre 15° et 20°.

G. LIPPMANN.

WILLIAM HUGGINS. 2014 On the spectrum of the flame of hydrogen (Sur le spectre de la flamme de l’hydrogène); Proceedings of the royal Society, t. XXX, p. 576:

1880.

La flamme de

l’hydrogène

brûlant dans l’air est très peu lumi- neuse, mais elle est riche en radiations

ultra-violettes, qu’on

peut

mettre en évidence par leurs actions

chimiques.

En prenant la

photographie

du

spectre

de cette

flamme,

l’auteur a

obtenu, après

une minute et demie

d’exposition,

une

image

très nette,

composée

d un ensemble de

lignes

limite du côté le

plus réfrangibles

par une

paire

de

lignes

intenses dont les

longucurs

d’onde sont )... - 3o62 et

A=3068,

et

comprenant

du côté le moins

réfrangible

une

ligne

peu brillante

(), = 3u8u)

et une autre

beaucoup plus

lumineuse

(A

=

3ooo).

Au

delà,

le

spectre

se continue par des

lignes

très

déliées,

distribuées par

paires

à peu

près équidistantes, parmi

les-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018810010008401

(3)

85

quelles

on

distingue plus

nettement les deux

lignes qui

ont pour

fugueurs

d’onde A

= 3167

et À

= 3171 ;

les groupes se continuent

jusqu’à

À

=3290.

L’auteur

regarde

cet ensemble comme du à la vapeur d’eau.

C’est la seule apparence

qu’on

observe

lorsque

le

jet d’hydrogène

brûle eii

s’échappant

par un

aj utabe

de

platine,

soit dans

l’air,

soit

dans

l’oxygène employé

en

quantités quelconques.

Lorsque l’ajutage

est en

bronze,

on

observe,

en même

temps

que le

spectre précédemment décrit,

un certain nombre de

lignes

addi-

tionnelles

qui

sont vraisemblablement dues à la matière de

l’aju-

tage.

Enfin,

en substituant à

l’hydrogène

le gaz

d’éclairage

que l’on brûle dans un

grand

excès

d’oxvgène,

on observe

toujours

le même

spectre, auquel

viennent

s’ajouter

les raies

3872

et

38go,

voisines

de la raie

K,

et la raie

4310, qui

se confond avec la raie G . D. GERNEZ.

G.-D. LIVEING et J. DEWAR. 2014 On the spectrum of water (Sur le spectre de l’eau);

Proceed. of the royal Society, t. XXX, p. 580; 1880.

Les auteurs

signalent

l’existence d’un

spectre

limité dans la

partie

la

plus réfrangible

par les deux

lignes

très brillantes dont les lon- gueurs d’onde sont 306a et

3o68,

et s’étendant dans la

région

la

moins

réfrangible juisqu’aux

radiations de

longueur

d’onde 3 210.

f coïncide donc avec le

spectre

attribué par M.

Huggins à

la sa-

peur d’eau.

On l’ohserve non seulement en brûlant de

l’hydrogène

ou des

hydrocarbures dans

l’oxygène,

mais

aussi, quoique

moins nette-

ment, en brûlant des gaz non

hydrogénés,

tels que

l’oxyde

de car-

bonne ou le

cyanogène,

à la condition que ces gaz soient humides.

Les auteurs concluent de leurs

expériences

que c’est le

spectre

(te la vapeur d’eau. En faisant usage d’un

appareil

trés

simple

per-

mettant d’observer la lumière de l’étincelle

électrique

que l’on fait

jaillir

dans des

mélanges

gazeux

divers,

on constate en effet que le

spectre

dont il

s’agit disparaît lorsqu’on

dessèche

soigneusement

les gaz; il

reparaît, immédiatement,

au

contraire,

dès

qu’on

laisse

pcncLrer

de la vapeur d’eau dans

l’aphareil.

D.

GERNEZ.

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