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RAYLEIGH (LORD). - On the amplitudes of sound-waves (Sur l'amplitude des vibrations sonores); Proceedings of the Royal Society, t. XXVI, p. 248; 1877

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237345

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237345

Submitted on 1 Jan 1877

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RAYLEIGH (LORD). - On the amplitudes of

sound-waves (Sur l’amplitude des vibrations sonores);

Proceedings of the Royal Society, t. XXVI, p. 248; 1877

Ch. d’Almeida

To cite this version:

Ch. d’Almeida. RAYLEIGH (LORD). - On the amplitudes of sound-waves (Sur l’amplitude des

vibrations sonores); Proceedings of the Royal Society, t. XXVI, p. 248; 1877. J. Phys. Theor. Appl.,

1877, 6 (1), pp.377-379. �10.1051/jphystap:018770060037701�. �jpa-00237345�

(2)

377 à admettre que le

développement,

aussi bien que le

renforcement,

d’une

épreuve négative

est un

phénomène galvanique

, on

pourrait

même dire

galvanoplastique.

En

effets,

un

couple voltaïque

molé-

culaire

pourrait

se former d’une molécule

d’argent

ou de

quelque

autre corps

conducteur,

d’une molécule d’azotate

d’argent

et d’une

molécule de sulfate de

fer,

au rnilieu du révélateur

mélangé

de sel

d’argent

et versé sur la

glace.

Si la force électromotrice de cet élé-

ment est

suffisante,

l’azotate peut se

décomposer

et une nouvelle

molécule

d’argent

se

déposer

sur la

première.

Le mouvement du

liquide

met continuellement d’autres molécules d’azotate et de sulfate en contact avec

l’argent déjà déposé,

et l’action se continue

jusqu’à épuisement

du

mélange.

S’il en est

ainsi,

on peut former un élément

voltaïque

de dimen-

sions ordinaires avec une lame

d’argent

courbée en

V,

un révélateur

et une solution d’azotate

d’argent, séparés

par une cloison poreuse

en

parchemin végétal.

J’ai réalisé cet élément en

employant

un

révélateur à sulfate double de fer et

d’ammoniadue,

et une solution

d’azotate

d’argent préparée

pour le renforcement des clichés. La lame

d’argent

avait à peu

près

30mm de

longueur

et Imm de section.

Quelques

instants

après

la

composition

du

couple,

l’électrode

plongée

dans l’azotate

d’argent

commença à se recouvrir de cristaux

d’argent métallique

d’une couleur d’acier. Une heure

après,

ces

cristaux formaient

déjà

une grosse

aigrette

de brillantes

paillettes d’argent,

dont la couleur

changea

en un blanc éclatant. Un fil de

platine

peut

remplacer

la lame

d’argent

du

couple;

la

quantité d’argent déposée

en ce cas est

beaucoup

moindre. Le révélateur à l’acide

pyrogalliclue,

substitué à celui au sulfate de

fer, produit

d’abord

quelques

cristaux à l’un des bouts de la lame

d’argent

et un

petit

nuage brun autour de

l’autre ;

mais bientôt les deux

liquides

se

mélangent

à travers le

parchemin

et se

décomposent

en formant

un

précipité.

RAYLEIGH (LORD). - On the amplitudes of sound-waves (Sur l’amplitude des vi-

brations sonores); Proceedings of the Royal Society, t. XXVI, p. 248; I877.

L’auteur s’est

proposé

de

déterminer,

dans un cas

particulier,

une limite

supérieure

de

l’amplitude

des vibrations

qui

donnent

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018770060037701

(3)

378

un son

perceptible. _1B.

cet

effet,

il détermine d’abord par

expé-

rience le travail

nécessaire, pendant chaque seconde,

à la

produc-

tion du son étudié. Il admet alors que le travail se retrouve, sans

aucune perte, dans la demi-force vive des molécules

qui

sont mises

en

vibration;

de là il déduit la vitesse maximum de

chaque

molé-

cule dans son mouvement

oscillatoire,

et la valeur de cette vitesse

le conduit à celle de

l’amplitude.

Voici,

en

quelques

mots,

l’expérience

et le calcul. De l’air main-

tenu à une

pression

constante, mesurée par une colonne d’eau de

9c, 5,

mettait un sifflet en vibration. Le volume d’air débité s’éle- vait à

Ig6CC

par seconde. Le travail effectué pour faire

parler

le

sifflet

pendant

une seconde était

donc T = 9,5 I96cc,

si l’on

prend

pour unité de travail celui

qui,

au lieu l’on

opére,

élève

Icc d’eau à la hauteur de om, o i.

Le son

produit

s’étendait

jusqu’à

la distance de 820m . Or la

demi-somme des forces vives dues au travail

effectué

, et

qui

ani-

mentpendant

une seconde les molécules vibrantes situées à cette dis-

2

tance de

8:WID,

est

égale à 1 2 Sa03C1 v2 2,

en

appelant

S la surface

sphérique ébranlée,

a la vitesse du son, p la densité de l’air et v la vitesse maximum des molécules

vibrantes ;

on a donc

oui en

remplaçant Sap

par leurs valeurs

exprimées

au

centimètre,

gramme, etc. ,

- ---9

d’où

Or on sait que, si T

désigne

la durée de la

vibration,

on a pour

F amplitude

maximum

Dans

l’expérience actuelle,

le son du sifflet

correspondait à

270 ,ri- brations par

seconde ;

on a donc pour la valeur de x

(4)

379

L’amplitude

des vibrations des molécules d’air

qui agissaient

sur

l’oreille de l’observateur était donc moindre que 1 dix-millionième de centimètre. Tel est du moins le résultat du calcul. Mais il est

clair

qu’une partie

notable du travail moteur est

perdue,

soit pen- dant l’acte de la

production

du son, soit par les diverses circon-

stances

qui

ont pu troubler la

propagation.

On a donc obtenu pour

l’amplitude

un nombre

plus grand

que le nombre réel.

Le résultat trouvé, bien

qu’il

soit certainement

iiiexacu,

n’est

pas

cependant,

comme on le

voit,

sans

utilité;

il

indique

l’ordre

de

grandeur

étonnamment

petit

de la

quantité à

observer.

CH. D’ALMEIDA.

H. HERWIG. 2014 Ueber Bewegungserscheinungen an elektrisirtem Quecksilber in Glas- gefässen (Mouvements du mercure électrisé au contact du verre); Annales de Pogg.,

nouvelle série, t. I, p. 73, I877.

Si l’on

charge positivelnent

du mercure enfermé dans un tube

capillaire,

la

dépression dim.inue,

et l’on observe de

plus,

au contac t

du

ménisque

et du verre, un

dépôt noirâtre,

aux environs

duquel

on observe une véritable adhérence du verre et du mercure : le

verre lui-même est

attaqué

au

voisinage

de cet anneau.

Quand

la

charge

est

négative,

la diminution de la

dépression

cesse avec la

charge

elle-même. La diminution de la cohésion du mercure, son

altération

(vraisemblablement oxydation)

en

présence

de l’air hu- mide

quand

il est

chargé positivement,

et enfin pour de fortes

charges

l’altération simultanée

du verre,

suffisent pour

expliquer

les

faits constatés par

l’auteur,

et d’autres anciennement connus; il convient

cependant d’y ajouter

une volatilisation

partielle

du mer-

cure par suite de

charges positives,

assez fortes pour

produire

une

pression appréciable.

A. POTIER.

G. FROEHLICH. 2014 Die Polarisation des gebeugten Lichtes (Polarisation de la lumiére diffractée); Ann. de Pogg., nouvelle série, t. I, p. 32I ; I877.

Dans une

analyse

d’un Mémoire de M.

Quincke (1), nous

avons

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