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LORD RAYLEIGH. — Appareil pour mesurer l'intensité des vibrations aériennes, p. 187

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238152

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238152

Submitted on 1 Jan 1883

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LORD RAYLEIGH. - Appareil pour mesurer l’intensité des vibrations aériennes, p. 187

B. Élie

To cite this version:

B. Élie. LORD RAYLEIGH. - Appareil pour mesurer l’intensité des vibrations aériennes, p. 187. J.

Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.481-484. �10.1051/jphystap:018830020048100�. �jpa-00238152�

(2)

LORD RAYLEIGH. 2014 Appareil pour mesurer l’intensité des vibrations aériennes,

p. 187.

L’instrument est fondé sur ce fait

qu’un disque

mobile tend à

se

placer perpendiculairement

au sens de

propagation

des ondes

sonores. Un miroir

léger

muni d’un

petit

aimant directeur sera donc

suspendu

par un fil sans

torsion,

à l’endroit d’un ventre, dans un

tuyau

sonore fermé à un bout. et pourvu à l’autre d’une membrane : celle-ci

reçoit

les vibrations dont on veut niesurer

l’intensité. On observe à travers une

fenêtre, ménagée

sur la

paroi

du

tuyau,

la déviation constante du

miroir,

par la méuhode connue de

Pog-endorff.

On en déduit l’intensité de l’onde incidente.

J. SMITH. 2013 Modification de la balance de torsion et du magnétomètre, p. 2 2

Dans la balance de Coulomb destinée aux mesures

magné- tiques,

on

peut

éliminer l’action d’un des

pôles

du barreau hori-

zontal,

en les

remplaçant

par un

appareil

en forme de T

suspendu

verticalement et bifilairement.

Fig. 1.

- Les branches CB et CA constituent

l’aimant,

A et B sont ses

pôles ;

la barre DC est en cuivre. Si l’on veut utiliser

l’aphareil

comme

magnétomètre,

on rend le T

horizontal,

en le tendant entre

deux fils

métalliques

attachés en A et

C ;

la branche CD peut être

chargée

d’un

poids mobile,

et l’inclinaison de DB tournant autour de l’axe CA sous l’influence d’un aimant voisin s’obtient à l’aide d’un miroir réflecteur.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020048100

(3)

I34S_~1~TOLET. - Résultats expérimentaux obtenus avec une machine Gramme, p. 241-158.

Entre autres détails

pratiques intéressan ts,

se trouve

signalé

un

procédé permettant

de

charger

des accumulateurs à l’aide d’une machine Gramme

auto-excitatrice,

y tout en évitant le renverse- ment des

potes

de la machine

auquel

on se trouve

exposé.

Il con-

siste à distribuer m éléments de l’accumulateur dans le circuit

principal,

et n dans

l’excitaieur,

de

façon

que les intensités des

courants soient

égales.

La stabilité des

pôles

est alors

assurée,

parce que le

rapport

de la variation du courant

principal

à la variation

de celui de l’excitateur est

plus grand

que l’unité. Toutefois cette

inégalité

n’est satisfaite

qu’à

la condition de satisfaire à cette autre

R set la résistance du circuit

excitateur; 210’

l’accroissement de force électromotrice

(en volts)

d’un

élément, correspondant

à

un accroissement d’intensité d’un

ampère.

Ce nombre est

spécial

aux éléments construits par M.

Bosanquet.

(~. DARAVJN. 2013 Variations de la verticale due à l’élasticité des couches terrestres,

L’auteur arrive à ce résultat

remarquable,

que l’accroissement de

pente

d’un terrain

chargé

d’un

poids

et

auquel

on attribue la

rigidité

du verre est de

cinq

à dix-huit fois

plus grand

que la dé- viation que ce même

poids

fait subir à la verticale. Sous l’influence de la

pression barométrique,

le sol oscillerait de

0111 ,09’ Enfin,

si

l’on considère un continent situé entre deux mers dont l’une serait haute sur un

littoral,

tandis que l’autre serait basse sur le littoral

parallèle,

le continent subirait des oscillations autour de sa mé- diane s’élevant à

om,

I i sur ses

rives;

encore la déviation du fil

à

plornb,

due à la

marée,

ne serait

qu’une

faible

fraction ({)

de

l’accioissenient de

pente

du terrain. On

conçoi t

que de telles per- turbations doivent être

prises

en considération dans des

opéra-

tions

géodésiques

ou

astronomiques.

Peut-être

pourraient-elles

servir à déterminer le coefficient de

rigidité

des couches terrestres.

La méthode de calcul consiste à évaluer les

déplacements

ver-

(4)

ticaux et horizon taux a et y,

parallèles

à l’axe des x ou

des z,

que

produiraient,

sur un sol

pris

pour

plan

des yz, des

pressions

nor-

inales

représentées

par

Ces

pressions correspondraient

à une

configuration représentée

par

En

adoptant

on satisfait aux conditions

d’équilibre

intérieur du solide et à celles de la surface. Afin d’obtenir la déviation de la

verticale,

il

faut,

de

plus,

connaître le

potentiel

d’attraction des couches du sol dont le relief est aussi

représenté

par la fonction

harmonique

C’est à

quo~

l’auteur arrive par des calculs intéressants.

S. H~UGHTON. - Évolution du système luni-terrestre, ses rapports avec la durée des temps géologiques, p. 4~’7’4~o.

Dans les

Comptes

rendus de la Société

royale

de Londres pour

i S~g,

1~I. G. Darwin a montré comment le système

luni-terrestre, primitivement

considéré comme une

planète

à courte durée de

révolmtion,

a été amené à l’état actuel par suite des marées pro- duites dans la masse terrestre

supposée visqueuse.

Dans cet ordre

d’idées,

il arrive à

l’équation

de condition

r étant la distance des deux

astres, 1

une fonction

simple

des vi-

tesses

angulaires

et de la viscosité.

1VI.

Haughton

est

plutôt partisan

de la formation des

planètes

par

l’agglomération

de

météorites;

il

peut

retrouver la relation de M. Darwin en considérant sur une terre

rigide

une masse fluide

soumise au

phénomène

des marées

qui,

comme on le

sait,

ralentit

le mouvement diurne du

globe.

(5)

J. TROWTBRIDGE et CH. PENROSE. - L’effet Thomson, p. 44 T-4~9.

L’effet Thomson a été étudié sur le nickel pur obtenu par élec-

trolyse.

Le coefficient c relatif à ce métal a été trou~ré

égal

à

- 2,25,

celui du cuivre étant + 2

d’après

M. Le

Roux;

le coefficient du

graphite

a été aussi trouvé

négatif.

Les auteurs ont cherché à re- connaître si l’effet était

réversible,

c’est-à-dire si la chaleur absor- bée par an courant, en traversant une section à

température T,

était

égale

à celle

développée

par le même courant allant en sens

inverse. Les nombres

obtenus,

bien que tendant à confirmer la ré- versibili

té,

ont été

cependant trop

faibles pour en donner une dé-

monstration sérieuse. B.

ÉLIE.

BULLETIN

BIBLIOGRAPHIQUE.

Philosophical Magazine.

5e série. - Tome À YI. - Août 1883.

E. OB-BCH. - Construction

perfectionnée

du

g~alvanon2êtr~e

à boblnr

iîzobile pour déterminer l’intensité des courants et la

force

électro-

rnotrice en mesure absolue, p. 77.

A. TRIBE. -

Influence

dit courant) de la

tenz~érature

et de la con-

centration de

l’électrolyte

sur l’aire d’électrisation, p. go.

C. RONTGEN. - Chan~-ement de la double

réfraction

du quartz pro-

duite .par les forces électriques,

p. g6.

LEWIS WRIGHT. - Lames et

prislnes

de mica .pour

la polarisation,

p. 1 og.

D.-J. KORTEBYEG. - Tl~éor°è»Ze général sur la stabilité du mouvenze~2t

d’un,fluide visqueux,

p. 112.

W. RAIVTSAT. - Sur

le point critique

des gaz

liquéfiables,

p. 118.

’V.- BV.-J. NICOL. - Volurne ¡noléculaire des dissolutions salines,

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W.-E. AYRTO~ et JoH~ PERRY. - Note sur la rnesure de la résistance

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G.-D. EVERETT. - Théorie de iV. Ferrel relative aux courants at~~2~-

sphériques,

p. r ~.2.

A. GRAY. - Déterrnination en unités absolues de l’irztensLté de

cham~s

magnétiques puissants,

p. 146.

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