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J. HOPKINSON. — Electrostatic capacity of glass (Capacité électrostatique du verre); Proceedings of the royal Society, t. XXVI, p. 298, 1877

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237383

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237383

Submitted on 1 Jan 1878

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J. HOPKINSON. - Electrostatic capacity of glass (Capacité électrostatique du verre); Proceedings of the

royal Society, t. XXVI, p. 298, 1877

H. Hurion

To cite this version:

H. Hurion. J. HOPKINSON. - Electrostatic capacity of glass (Capacité électrostatique du verre);

Proceedings of the royal Society, t. XXVI, p. 298, 1877. J. Phys. Theor. Appl., 1878, 7 (1),

pp.134-135. �10.1051/jphystap:018780070013401�. �jpa-00237383�

(2)

I34

le bromure de

potassium,

l’action réductrice est considérablement

ralentie,

et elle l’est

beaucoup plus

pour le bromure conservé à l’obscurité que pour celui

qui

a subi l’action de la lumière.

L’image développée

est formée

d’argent métallique.

M.

Abney

décrit encore diverses

expériences

faites avec des

pla-

ques

composées

de deux couches sensibles

superposées

et formées

l’une de

brolnure,

l’autre d’iodure

d’argent :

nous citerons les sui-

vantes. Une

plaque

sèche formée d’iodure

d’argent

et d’albumine

est

exposée puis développée

à la manière

ordinaire, puis

séchée de

nouveau et recouverte d’une couche de collodion au bromure d’ar- gent : on

développe

au bain alcalin. On constate alors

qu’il

se

produit

dans la couche de bromure

d’argent

une

image qui

se

superpose à celle de la

plaque sèche,

et

qui

la renforce par consé- quent. Cette sorte de communication de

l’image

de la couche

qui

a été

exposée

à la lumière à la couche

qui

n’a pas été

exposée

ne

se

produit

que si les deux couches sont en contact

pendant

leur

immersion dans le bain alcalin. Si on les

sépare

avant leur immer-

sion,

le bain alcalin ne

produit

d’effet ni sur l’une ni sur l’autre.

G. LIPPMANN.

J. HOPKINSON. 2014 Electrostatic capacity of glass (Capacité électrostatique du verre);

Proceedings of the royal Society, t. XXVI, p. 298, I877.

L’appareil employé

se compose d’un condensateur à

plateaux

avec cercle de

garde,

par

lequel

la distance des

plateaux

peut être

mesurée à l’aide d’une vis

micrométrique,

d’un condensateur de

capacité

variable et d’un électromètre sensible. Chacun des con-

densateurs peut être mis en rapport avec l’un des

pôles

d’une

pile

de 72 éléments Daniell. Le milieu de la

pile communique

avec le

plateau

inférieur du

premier

condensateur. On fait d’abord varier la

capacité

du second condensateur

jusqu’à

ce

qu’elle

soit

égale

à

celle du

premier ;

ce résultat est atteint

lorsque

en

ajoutant

les

charges

des deux

appareils

et mettant le tout en communication

avec

l’électromètre,

on n’obtient aucune déviation.

On

place

alors une lame de verre sur le

plateau

inférieur du pre- mier condensateur et l’on fait varier sa

capacité jusqu’à

ce

qu’elle

soit

égale

à celle du second. Le

déplacement

de la vis micromé-

trique permet

de déterminer le

pouvoir

inducteur

spécifique.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018780070013401

(3)

I35 L’auteur donne en même temps la densité de

chaque

verre

employé

et l’indice

correspondant

à la raie D.

H. HURION.

A. WEINHOLD. 2014 Ueber die Farbenwahrnehmung (Sur la perception des couleurs);

Ann. der Physik, nouvelle série, t. II, p. 63I.

Deux théories ont cours

parmi

les

physiciens

et les

physiolo- gistes

pour

expliquer

les faits et les anomalies de la vision des couleurs.

L’une, proposée

par

Young

et

développée

notamment

par MM. Helmholtz et von Bezold

(1),

consiste à admettre que

toute sensation colorée peut être obtenue par la

superposition

en

proportion

convenable de trois couleurs

fondamentales,

le rouge, le

vert et le bleu

violet,

ou de deux d’entre elles.

L’autre, proposée

par M.

Hering (2),

est connue sous le nom

d’hypothèse

de l’assimila- tion et de la

dissiinilation; d’après

eette

théorie,

les sensations de blanc et de

noir,

celles de bleu et de

jaune

et enfin de rouge et de

vert doivent être associées deux à

deux,

comme

dépendant

de l’ex-

citation,

en sens

inverse,

de trois sortes d’éléments

physiologiques.

L’excitation lumineuse consisterait en une véritable action chi-

indique

que le

bleu,

par

exemple,

déterminerait dans un sens

(soit

la

décomposition)

tandis que

le jaune

la déterminerait en sens

inverse

(combinaison).

Cette théorie offre

l’avantage d’explique

aisément : 1 ° 1 a diminution de l’excitation

produite

par une intensité lumineuse déterminée dont l’action se

prolonge, puisque

toute dé-

composition chimique

tend vers une

limite;

20 l’effet de contraste entre les

couleurs, puisque,

si la dissimilation domine dans une

région

déterminée de la

rétine,

l’assimilation doit nécessairement

se trouver favorisée dans les

régions

voisines.

(1) Von BEZOLD, Ann. de Pogg., t. CL ; voir Journal de Physique, t. III, p. 155.

(2) HEIUNG, Berichte der Wiener Akademie, t. LXVI, LXVIII, LXIX, LXX.

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