• Aucun résultat trouvé

Correction de la feuille de révision (18 avril 2015)

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Correction de la feuille de révision (18 avril 2015)"

Copied!
10
0
0

Texte intégral

(1)

Correction de la feuille de révision (18 avril 2015)

I Nouvelle-Calédonie mars 2012

1. (a)

1 A 6

B 1

4

3 B 4

A 5

6

B 2

5

3 B 5 (b) D’après la loi des probabilités totales :p(B)=p(A)×pA(B)+p

³ A

´

×pA(B)=1 6×1

4+5 6×2

5= 1 24+1

3

= 1 24+ 8

24= 9 24= 3

8=0,375. (c) pB(A)=p(AB)

p(B) =

1 6×14

38

= 1 24×8

3= 1 9 .

2. (a) On a répétition de parties identiques, indépendantes, à deux issues, donc la variable X suit uneloi binomialede paramètresn=10 etp=3

8.

La probabilité de gagner exactement trois parties est égale à : p(X=3)=

Ã10 3

!µ3 8

3

× µ

1−3 8

103

= Ã10

3

!µ3 8

3

× µ5

8

7

≈0,235 7≈0,236 au millième près.

Remarque : on peut calculer directementp(X =k) à la calculatrice, en tapant sur une TI : Distrib , BinomFdp (n, p, k) Entrée .

(b) On ap(XÊ1)=1−p(X=0)=1− × µ3

8

0

× µ5

8

10

= 1− µ5

8

10

≈0,990 9≈0,991 au millième près.

(c) On veut quep(X ÊN)É0,1, donc 1−p(X <N)<0,1.

On en déduitp(X <N)>0,9.

À partir du tableau donné on trouve N=7.

(2)

II Nouvelle Calédonie mars 2015

1. (a) 2% des puces livrées ont une durée de vie courte, c’est-à-dire PL(C)=0,02. (il suffit de lire l’énoncé !)

(b) On en déduit que PL

³ C

´

=1−0,02=0,98 et P³

LC´

=P(L)×PL³ C´

= 0,95×0,98=0,931.

(c) Comme seules les puces livrées peuvent avoir une durée de vie courte on a : Ph

L∪(L∩C)i

=P³ L´

+P(L∩C)=0,05+0,019= 0,069 . 2. (a) On sait queP(X É1 000)=0,02.

X suit une loi exponentielle de paramètreλ, donc :

P(X É1 000)=1−e1000λ=0,02⇐⇒ e1000λ=1−0,02 ⇐⇒

e1000λ=0,98⇒ −1 000λ=ln0,98 ⇐⇒ λ=−ln0,98 1 000 . (b) P(X Ê10 000)=e10000λ= e10ln 0,98≈0,817.

Donc environ 81,7 % des puces ont une durée de vie supérieure ou égale à 10 000 heures.

(c) P(20 000ÉX É30 000)= e20000λ−e30000λ≈0,122.

Soit : environ 12,2 % des puces ont une durée de vie comprise entre 20 000 et 30 000 heures.

3. (a) On effectue 15 000 tirages indépendants les uns des autres. La probabilité qu’une puce livrée ait une vie courte estp=0,003.

Y suit donc uneloi binomialede paramètresn=15 000 etp=0,003..

(b) E(Y)=n×p=15 000×0,003= 45.

Il y a environ 45 puces à durée de vie courte sur les 15 000 extraites de la production.

(c) On aP(40ÉY É50)=P(Y É50)−P(Y <40)=P(Y É50)−P(Y É39).

La calculatrice donneP(Y É50)≈0,796 6 etP(Y É39)≈0,208 0, donc : P(40ÉY É50)≈0,796 6−0,208 0≈0,589.

Remarque : on calculep(X Ék) avec une TI en tapant : Distrib BinomFRep (n, p,k) Entrée

(3)

III Polynésie juin 2011

1. On a l’arbre pondéré suivant :

G1 0,1

G2

0,8

G2

0,2

G1 0,9

G2

0,6

G2

0,4 2. On ap2=p(G1∩G2)+p³

G1∩G2´

=p(G1pG1(G2)+p³ G1´

×p(G1)(G2)= 0,1×0,8+0,9×0,6=0,08+0,54=0,62.

3. Il faut trouverpG2³ G1

´

= p³

G1∩G2

´

p(G2) =0,54 0,62= 27

31 .

4. La probabilité que le joueur ne gagne aucune des trois parties est égale à 0,9×0,4×0,4= 0,144. La probabilité qu’il gagne au moins une partie est donc égale à

1−0,144= 0,856.

5. À la partien, on a l’arbre suivant :

Gn

pn

Gn+1 0,8

Gn+1

0,2

Gn

1−pn

Gn+1

0,6

Gn+1

0,4 On a doncpn+1=p(Gn∩Gn+1)+p³

Gn∩Gn+1´

=p(GnpGn(Gn+1)+p³ Gn´

×pG

n(Gn+1)=pn×0,8+

¡1−pn¢

×0,6

=0,8pn+0,6−0,6pn=0,2pn+0,6= 1 5pn+3

5 . 6. InitialisationOn a bien 3

4−13 4

µ1 5

1

=3 4−13

20=15−13 20 = 2

20= 1

10=0,1=p1. Hérédité

Supposons qu’il existea∈N,a>1 tel quepa=3 4−13

4 µ1

5

a

. D’aprËs la formule démontrée à la question 4 :

pa+1=1 5pa+3

5=1 5

·3 4−13

4 µ1

5

a¸ +3

5=3 5×1

4+3 5−13

4 µ1

5

a+1

= 3 20+12

20−13 4

µ1 5

a+1

=3 4−13

4 µ1

5

a+1

. La propriété est vraie au ranga+1.

On a donc démontré par récurrence que pourn∈N, un=3 4−13

4 µ1

5

n . 7. Comme−1<1

5<1, on a lim

n7→+∞

µ1 5

n

= 0, donc lim

n7→+∞un=3

4= 0,75.

(4)

8. On a : 3

4−pn<107 ⇐⇒ 3 4−

µ3 4−13

4 µ1

5

n

<107 ⇐⇒ 13 4

µ1 5

n

<107 ⇐⇒

µ1 5

n

< 4

13×107 ⇐⇒

(par croissance de la fonction logarithme népérien) nln µ1

5

<ln

µ4×107 13

⇐⇒ n>

ln³

4×10−7 13

´

ln µ1

5

¶ .

Or ln³

4×107 13

´

ln µ1

5

¶ ≈10,7.

Doncu11approche la limite3

4à moins de 107.

IV Pondichéry avril 2012

1. (a) Les fonctions représentées sont positives ;Inreprésente donc l’aire limité par le représentation de fn, l’axe des abscisses et les droites d’équationsx=0 etx=1. Le dessin suggËre que la suite (In) estdécroissante.

(b) On a fn+1(x)−fn(x)=e(n+1)x

1+x −enx

1+x=enx×ex

1+x −enx

1+x= enx 1+x

¡ex−1¢ . Or 0ÉxÉ1⇒1É1+xÉ2 : donc 1+x>0 ;

D’autre part on sait que ex >0. Enfin 0ÉxÉ1 ⇐⇒ −1É −xÉ0⇒(par croissance de la fonction exponentielle) e1Éex Ée0.

Donc exÉ1 ⇐⇒ ex−1É0 et finalement par produit fn+1(x)−fn(x)É0 ⇐⇒ fn+1(x)É fn(x) : la suite¡

fn¢

est décroissante. Par intégration sur l’inter- valle [0 ; 1] des fonctions positivesfn+1et fn:

fn+1(x)Éfn(x)⇒In1ÉIn: la suite (In) estdécroissante.

2. (a) 0ÉxÉ1⇒1É1+xÉ2 ⇐⇒ 1 2É 1

1+xÉ1

1et par produit par le nombre positif enx, on obtient : enx

1+x Éenx.

D’autre part on sait que pour 1+xÊ1, on a (1+x)2Ê1+x ⇐⇒

1

(1+x)2 É 1

1+x et par produit par le nombre positif enx, on obtient : enx

(1+x)2 Éenx 1+x.

Enfin il est évident que enx

(1+x)2>0, donc finalement : 0É enx

(1+x)2É enx

1+xÉenx .

(b) Par intégration sur l’intervalle [0 ; 1] des inégalités précédentes on obtient = Z1

0 0 dx Z1

0 É Z1

0

enx (1+x)2dxÉ

Z1

0

enx 1+xdxÉ

Z1

0 enxdxsoit encore 0ÉJnÉInÉ

·

−1 nenx

¸1 0

c’est à dire : 0ÉJnÉInÉ −1

n

¡enx−1¢ . Or lim

n7→+∞enx=0, donc lim

n7→+∞−1 n

¡enx−1¢

=0.

Conclusion d’aprËs le théorème des « gendarmes », les suites (In) et (Jn)convergent vers 0.

(5)

3. (a) i. (uv)=uv+uvdoncuv=(uv)uv. ii. On poseu(x)= 1

1+x etv(x)=enx. On en déduitu(x)= − 1

(1+x)2 etv(x)= −enx n . On utilise le résultat du a)

In= Z1

0

enx 1+x dx=

Z1

0 u(x)v(x) dx= Z1

0

£(uv)uv¤

(x) dx= Z1

0 (uv)(x) dx− Z1

0 u(x)v(x) dx= [u(x)v(x)]10

Z1

0

µ1 n

¶ enx

(1+x)2 dx=u(1)v(1)−u(0)v(0)+1

nJn= −en 2n +1

n−1 nJn= 1

n µ

1−en 2 −Jn

(b) Le résultat précédent peut s’écrire en multipliant parn6=0 : nIn=1−en

2 −Jn. Comme lim

n7→+∞en= lim

n7→+∞Jn=0, on a donc :

nlim7→+∞nIn=1 Remarque: on a donc pournassez grandIn≈ 1

n.

Exemple : pourn=10, la calculatrice donneI10≈0,091≈ 1 10.

V Liban mai 2012

Partie A

On considère la fonctiong définie sur l’intervalle ]0 ;+∞[ par : g(x)=2x3−1+2 lnx 1. Variations de la fonctiong sur l’intervalle ]0 ;+∞[ :

g(x)=6x2+2

x>0, car somme de nombres positifs sur ]0 ;+∞[ La fonctiong est donc croissante sur ]0 ;+∞[.

Tableau de variations :

x 0 α +∞

g(x) +

g(x)

−∞

0

+∞

2. La fonctiongest continue (comme somme de fonctions continues) et strictement croissante sur ]0;+∞[.

Elle réalise donc une bijection de ]0 ;+∞[ sur ]− ∞;+∞[.

Or 0∈]− ∞;+∞[, 0 possède donc un unique antécédent, que l’on noteraα. Nous avons doncg(α)=0.

De plus,

½ g(0,86)≃ −0,0295<0

g(0,87)≃ +0,0385>0 =⇒g(0,86)<g(α)=0<g(0,87)⇐⇒ 0,86<α<0,87 3. Signe de la fonctiong sur l’intervalle ]0 ;+∞[ :

½ 0<x<α=⇒g(x)<g(α)=0 x>α=⇒g(x)>g(α)=0

(6)

Partie B

On considère la fonction f définie sur l’intervalle ]0 ;+∞[ par : f(x)=2x−lnx

x2

On noteC la courbe représentative de la fonctionf dans le plan, muni d’un repère orthogonal (O;~ı;~).

1. — Limite de la fonction f en 0 :

xlim7→0+f(x)= +∞,car lim

x7→0+2x=0 et lim

x7→0+−lnx= +∞et lim

x7→0+

1

x2 = +∞

— Limite de la fonction f en+∞

x7→+∞lim f(x)= +∞car lim

x7→+∞2x= +∞et lim

x7→+∞

lnx

x2 =0 (puissances comparées) 2. La courbeC admet pour asymptote oblique la droite∆d’équationy=2x.

En effet :

x7→+∞lim

¡f(x)−2x¢

= lim

x7→+∞

lnx x2 =0

— Le signe de f(x)−2x= −lnx

x2 est celui de−lnx, carx2>0 :

— Position relative de la courbeC et de la droite∆:

— Sur ]0 ; 1[,−lnx>0,C est au dessus de∆,

— sur ]1 ;+∞[,−lnx<0,C est en dessous de∆,

— C et∆ont un point communA(1,2).

3. Dérivée f(x) de f :

f(x)=2− 1

xx2−2xlnx

x4 =2x4x+2xlnx

x4 =2x3−1+2 lnx

x3 =g(x) x3 f(x) a même signe queg(x) carx3est strictement positif sur ]0 ;+∞[.

4. Tableau de variations de la fonction f :

x 0 α 1 +∞

f(x) − 0 +

Óm f(x)

f(α)

2

+∞

5. Figure :

(7)

1 2 3

1

1 2 3 4

1

Partie C

Soitn un entier naturel non nul. On considère l’aire du domaineD du plan compris entre la courbeC, la droite∆et les droites d’équations respectivesx=1 etx=n.

1. Cette aire, exprimée en cm2, est donnée par (u.a ; (unité d’aire)=2cm2) : In=2

Zn 1

lnx x2 dx.

car l’aire du domaineDdu plan compris entre la courbeC, la droite∆et les droites d’équations respec- tivesx=1 etx=nest :

Zn

1

µ 2x−

µ

2x−lnx x2

¶¶

dx×u.a.= Zn

1

lnx

x2 dx×u.a.=2× Zn

1

lnx

x2 dx=In

2. (a) Calcul de l’intégrale Zn

1

lnx x2 dx On poseu(x)=lnxetv(x)= 1

x2. Alorsu(x)=1

x etv(x)= −1 x.

On remarque queuv=(uv)uv donc : Zn

1

lnx x2 =

Zn

1

£(uv)uv¤

(x) dx= Zn

1 (uv)(x) dx− Zn

1 u(x)v(x) dx

=[u(x)v(x)]n1− Zn

1

1 x×

µ

−1 x

dx=u(n)v(n)−u(1)v(1)+ Zn

1

1 x2 dx

= −ln(n) n +

·

−1 x

¸n

1= −ln(n)

n +1−1

n = n−1−lnn n (b) Ainsi :

In=2n−1−lnn

n =2−2

n−2 lnn n 3. lim

n7→+∞In=2 car lim

n7→+∞

2

n =0 et lim

n7→+∞

2 lnn

n =0 (croissances comparées)

(8)

VI Centres étrangers juin 2014

1. On considère la fonction f1définie sur l’intervalle [0 ; 1] par : f1(x)=4x3−6x2+3x.

(a) • f1(0)=0 : évident ;

f1(1)=4−6+3=1 ;

f1fonction polynôme est dérivable sur [0 ; 1] donc continue sur cet intervalle ;

f1(x)=12x2−12x+3=3¡

4x2−4x+1¢

=3(2x−1)2Ê0 surRdonc sur [0 ; 1].

f1est donc bien une fonction de retouche.

(b) Il semble que la courbe coupe la droite d’équationy=xpourx=0,5.

On peut vérifier que f1(0,5)=0,5.

On a doncf1(x)Éx ⇐⇒ xÊ0,5.

Ce résultat signifie quef1éclaircie les nuances codées par un nombre inférieur à 0,5 et inversement pour celles codées par un réel entre 0,5 et 1.

2. (a) f2est une fonction dérivable car composée de fonctions dérivables, doncg l’est aussi et : g(x)=f2(x)−1= e−1

1+(e−1)x−1=e−1−1−(e−1)x

1+(e−1)x =(e−2)−(e−1)x 1+(e−1)x .

(b) Comme e>1, le dénominateur est positif comme somme de termes positifs ; le signe deg(x) est donc celui de son numérateur ; or

e−2−(e−1)xÊ0 ⇐⇒ e−2Ê(e−1)x ⇐⇒ e−2 e−1Êx On a e−2

e−1≈0,418.

On a donc avece−2 e−1=a, g(x)Ê0 ⇐⇒ xÉaet de même g(x)É0 ⇐⇒ xÊa.

La fonctiong est donc croissante sur [0 ;a], puis décroissante sur [a; 1].

g a donc un maximumg(a)≈0,12.

(c) D’après la question précédente sur l’intervalle [0 ; a] la fonction g est continue et croissante de g(0)=0 àg(a)≈0,12.

Comme 0,05∈[0 ; a], il existe une valeur uniqueαde [0 ; a] telle quef(α)=0,05.

On démontre de même (avecg décroissante) que sur [a; 1] il existe un réel uniqueβtel que g(β)=0,05.

On admettra que : 0,08<α<0,09 et que : 0,85<β<0,86.

(9)

Partie B

1. Cet algorithme calcule le nombre de nuances par palier de 0,01 pour lesquelles la modification est per- ceptible visuellement.

2. On applique l’algorithme à la fonctiong =f2x. Il calcule toutes valeurs telles queg(x)Ê0,05.

Ce sont d’après la question précédente toutes les nuances comprises entre 0,09 et 0,85 : l’algorithme doit donc retourner :c=85−9+1=77.

Partie C

Dans cette partie, on s’intéresse à des fonctions de retouche f dont l’effet est d’éclaircir l’image dans sa globalité, c’est-a- dire telles que, pour tout réelxde l’intervalle [0 ; 1],f(x)Éx.

On décide de mesurer l’éclaircissement global de l’image en calculant l’aireAf de la portion de plan comprise entre l’axe des abscisses, la courbe représentative de la fonctionf, et les droites d’équations respectivesx=0 etx=1.

Entre deux fonctions, celle qui aura pour effet d’éclaircir le plus l’image sera celle correspondant à la plus petite aire. On désire comparer l’effet des deux fonctions suivantes, dont on admet qu’elles sont des fonctions de retouche :

0,5 1,0

0,5 1,0

0 f1(x)=xe(x21) f2(x)=4x−15+ 60

x+4.

1. (a) f1produit de fonctions positives sur [0 ; 1] est positive sur cet intervalle. On a donc : Af

1= Z1

0 xe(x21) dx=1 2

he(x21)i1 0=1

2

¡1−e1¢ .

(b) On af2(0)= −15+15=0 et comme il est admis qu’elle est une fonction de retouche elle est crois- sante sur [0 ; 1], donc positive sur cet intervalle. On a donc :

Af

2= Z1

0

µ

4x−15+ 60 x+4

¶ dx=£

2x2−15x+60 ln(x+4)¤1 0= 2−15+60 ln5−60 ln4= −13+60 ln5

4. 2. On aAf

1=1 2

¡1−e1¢

≈0,316 etAf

2= −13+60 ln5

4≈0,389.

C’est la fonction f1qui éclaircit le plus l’image.

(10)

VII Liban mai 2014

On considère la suite de nombres complexes (zn) définie parz0=p

3−i et pour tout entier natureln: zn+1=(1+i)zn

Partie A

Pour tout entier natureln, on poseun= |zn|. 1. u0= |z0| =

¯

¯

¯ p3−i¯

¯

¯=2.

2. un+1= |zn+1| = |(1+i)zn| = |1+i| × |zn| =p

2|zn| =p 2un 3. D’après le cours, pour tout entier natureln, on aun=2³p

n

; (un) est la suite géométrique de raison p2 et de premier termeu0=2.

4. (un) est une suite géométrique de raisonp

2>1 et de premier terme strictement positif, elle diverge donc vers+∞.

5.

Variables : uest un réel pest un réel nest un entier

Initialisation : Affecter ànla valeur 0 Affecter àula valeur 2 Entrée : Demander la valeur dep Traitement : Tant queuÉpFaire

Affecter ànla valeurn+1 Affecter àula valeurp

u Fin du Tant Que

Sortie : Afficher n Partie B

1. z1=(1+i)×(p

3−i)=1+p 3+i(p

3−1).

2. z0=2 Ãp

3 2 −1

2

!

=2eiπ/6 1+i=p

2eiπ/4. z1=2eiπ/6×p

2eiπ/4=2p

2eiπ/12.

3. Des deux questions précédentes, on obtient que 1+p

3+i(p

3−1)=2p

2eiπ/12=2p 2³

cos³π 12

´

+isin³π 12

´ ´

D’où

cos³π 12

´

=1+p 3 2p

2 =

p2+p 6 4

Références

Documents relatifs

[r]

Ce premier paragraphe a pour objectif de revoir des relations, parfois simples et connues depuis longtemps mais indispensables pour réussir cette première année et pas seulement

Si on trouve 3 questions pour lesquelles les 27 réponses sont toutes différentes, on aura une bijection entre ces réponses et les 27 choix de Zig qui résoudra notre

[r]

[r]

Attention, ce corrigé utilise des dénitions et des conditions de stabilité présentées dans le complément de cours 1 sur les suites dénies par récurrence.. Elle s'annule donc en

Montrer qu'une fonction somme d'une fonction croissante et d'une fonction dé- croissante est à variations bornées.. On suppose que V f ([a, b]) contient un

Il n'est évidemment pas surjectif car toute image est dérivable dans l'ouvert et il existe des fonctions continues sans être dérivables.. Le spectre est inclus dans le