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FRIBOURG - ILLUSTRÉ La vie musicale

Magazine bimensuel paraissant le premier et le troisième mercredi de chaque mois.

Organe officiel des Fribourgeois

«hors les murs» depuis 1957 Depuis le 1er octobre 1975, organe de liaison de:

— Société cantonale des Musiques fribourgeoises

— Société cantonale des chanteurs fribourgeois

— Céciliennes

— Fédération fribourgeoise du cos¬

tume et des coutumes

— Fédération fribourgeoise des ac¬

cordéonistes

— Association des organistes

— Conservatoire de musique.

Depuis le 1er novembre 1976 Organe d'information des Majorettes Edition, impression, administration:

Imprimerie Fragnière SA 35, route de la Glâne 1700 Fribourg Tél. 037 24 75 75 Rédaction:

Case postale 331 1701 Fribourg Tél. 037 24 75 75 Télex: 36 157

Rédacteur en chef responsable et photographe:

Gérard Bourquenoud Bureau: 037 24 75 75 Privé: 037 46 45 27

Rédacteur «La vie musicale»

Pierre Kaelin Bureau 037 22 16 03 Privé: 037 26 23 69

Rédacteur-adjoint «Vie musicale»

Albert Jaquet, Marly Privé: 037/46 26 19 Bureau: 037/23 41 36

Délai de réception des annonces:

Quinze jours avant la parution Abonnements:

Suisse

Annuel Fr. 38.70 Six mois 22.50 Trois mois 17.- Etranger

Envoi normal: Fr. 51.- Envoi par avion: 75.- Compte de chèques postaux 17-2851

«Fribourg-lllustré» et le supplément

«La Vie musicale» ne peuvent être vendus séparément.

La reproduction de textes ou d'illus¬

trations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédaction.

La rédaction n'assume aucune res¬

ponsabilité pour les manuscrits et photos non commandés.

Service des annonces:

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ments d'annonces.

Sommaire

Etudes et nouvelles économiques Comptoir de Payerne

La Suisse, un pays, une patrie Barrage de Rössens

Elle chez elle Hockey-Club Marly Souvenirs du temps passé Commerces de Fribourg L'art de bien manger La vie musicale Costumes et coutumes Nos compatriotes du dehors Entre l'église et la pinte Ordre St-Michel à Gruyères Télésarine, un important réseau Salle de gym d'Ependes Flashes du canton Fête populaire à Châtel Syndicat pie-noire de Sales Im Fang attend la neige Programme TV

Art-science-culture-littérature Feuilleton FI

Les défunts

Notre couverture:

Chaque touriste de passage chez nous est en admiration devant le panorama que ce coin de paradis offre à chacune des saisons.

Notre photo a été prise à proximité du chalet du Saucisson en-dessus d'AI- beuve, alors que des Fribourgeois de Bienne prennaient un bol d'air de la Gruyère.

Photo G. Bourquenoud-FI

Parution de notre prochaine édition:

22 novembre

Nouveau curé à Surpierre

La paroisse de Surpierre a réservé un chaleureux accueil à l'abbé Jean-Marie Demierre, successeur du curé-doyen Paul Crausaz, nommé en Gruyère. La cérémonie d'installation fut présidée par l'abbé Henri Schornoz alors que les vœux de la communauté furent adressés au nouveau chef spirituel de la paroisse par M. André Thierrin, président.

La paroisse de Surpierre comprend les villages de Cheiry, Villeneuve, Surpierre, Chapelle et Coumin. Notre photo: l'abbé Demierre, deuxième à partir de la droite.

(Photo FI)

ETES-VOUS NOTRE GAGNANT ?

La personne dont le visage est entouré d'un cercle, est invitée à se présenter à notre bureau jusqu'au 15 novembre ou de nous faire parvenir une photo récente.

Le gagnant touchera un abonnement de trois mois à «Fribourg-lllustré - La vie musicale».

Vendanges: petite quantité!

Les vendanges 78 ne resteront pas marquées d'une pierre blanche dans les annales vigneronnes romandes, du moins en ce qui concerne leur quantité. Quand à la qualité, elle est considérée un peu partout comme excellente, ce qui atténuera quelque peu la déception des producteurs. La période des vendanges aura par contre permis d'agréables instants d'amitié à l'abri des tonnelles où il fait bon fraterniser autour du vin de l'endroit, en l'occurrence le «Cheyres».

(Photo FI)

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ETUDES ET NOUVELLES ECONOMIQUES

L'encadrement des étudiants à l'Université de Fribourg

Parmi les préjugés trop répandus au sujet de l'Université de Fribourg, figure celui d'après lequel elle disposerait de trop de professeurs et de collaborateurs scientifiques. Une étude systématique récente vient de démontrer que cette opinion est infondée et elle est un témoignage de plus quant à l'effort de restructuration que le Rectorat conduit maintenant depuis plusieurs années, de manière à utiliser de la façon la plus rationnelle possible les moyens relativement rares dont dispose notre Haute Ecole. La comparaison a porté sur plusieurs universités suisses et la recherche a été conduite sous la forme d'un calcul de taux d'encadrement, c'est-à-dire de la détermination du nombre de personnes d'une certaine catégorie à disposition pour 100 étudiants.

A propos de l'encadrement global des étudiants - c'est-à-dire de l'encadrement par l'ensemble des enseignants et des assistants - les chiffres réunis pour 1977 démontrent que, dans les grandes lignes, l'Université de Fribourg se situe à 60%

des valeurs obtenues pour les autres Hautes Ecoles examinées. A Fribourg, il y a 6,07 professeurs ou assistants pour 100 étudiants, contre 10,51 à Genève et 11,27 à Lausanne. Pour l'Université de Zurich, le taux est de 10,26, mais cette valeur est

constituée par les seuls professeurs et elle serait nettement accrue si l'on y ajoutait les assistants.

L'étude du problème par faculté conduit à des constatations de la même nature.

On peut simplement y ajouter cette précision que, dans toutes les universités, le taux d'encadrement diffère entre facultés en moyenne, les sciences naturelles disposent d'un encadrement plus de deux fois supérieur à celui des sciences humaines. Cela se justifie bien par la spécificité des enseignements et des recherches. Au sein des sciences humaines, la théologie est partout la mieux encadrée, suivie en général par les sciences économiques et sociales, les lettres et le droit. Fribourg ne se singularise pas pour ses différences inter-facultaires;

pour toutes les facultés, les taux d'encadrement y sont simplement en principe inférieurs à ceux des autres universités examinées. Ainsi, pour la Faculté des sciences naturelles, l'encadrement est de 10,46 à Fribourg, contre 17,39 à Genève, 19,01 à Lausanne et 18,04 à Zurich. Pour les sciences humaines, il est de 5,25 à Fribourg, contre 6,46 à Genève, 6,74 à Lausanne et 7,13 à Zurich. La modification des méthodes d'enseignement dans les diverses facultés est actuellement en train de conduire à certains réajustements des proportions: par exemple, un premier effort est conduit un peu partout pour améliorer l'encadrement des études juridiques.

En conclusion, il n'y a aucun doute que les étudiants ne sont pas «surencadrés» à l'Université de Fribourg, cela d'autant que l'enseignement et la recherche y sont bilingues. En raison de la grandeur encore à l'échelle humaine de l'Université et du dévouement de tous ses collaborateurs, l'encadrement des étudiants demeure en général malgré tout convenable. L'amélioration qui doit intervenir dans certains secteurs ne peut en tous les cas plus s'effectuer systématiquement par compensation avec d'autres parties de l'Université: la rationalisation comporte aussi ses limites.

A MOLÉSON

C'est la montagne par excellence de la Gruyère, le belvédère le plus connu et, à juste titre, le plus apprécié des Alpes fribourgeoises, parmi les sommets qui sont d'un accès facile. Le Moléson a été chanté par Eugène Rambert dans celle de ses «Gruyériennes» qui commence ainsi: «Je voudrais être bouvillon... A Moléson.» Elle a aussi inspiré la chanson: A Molé¬

son, composée en dialecte grué- rien.

Devant un tel spectacle, il n'y a vraiment rien à dire. Le rocher, la neige, ce coin de ciel bleu: on appelle cela une nature merveil¬

leuse qu'il faut découvrir et savoir apprécier en silence.

G. Bd

Le revenu national par canton en 1977 UBS. Selon les chiffres de la comptabilité nationale que vient de publier le Bureau fédéral de la statistique, le revenu national suisse s'est élevé à Fr. 127,6 milliards - Fr. 20 163.- par habitant - en 1977. A partir de ce résultat officiel global sur le revenu national suisse, l'Union de Banques Suisses calcule chaque année le revenu national par canton, et cela depuis douze ans. En 1977, Fr. 71,3 milliards ou 56% du total ont été réalisés par les cantons et demi-cantons de Zurich, Berne, Bâie-Ville, Genève et Vaud, alors que le reste de la Suisse, qui réunit 50%

de la population globale, n'en constituait que les 44%.

Revenu national par habitant

La statistique du revenu national par habitant voyait en tête Bâle-Ville (Fr. 32 825.-), suivi de Genève (Fr. 28 959.-) et Zoug (Fr. 28 075.-). Se situant à un tiers environ au-dessous de la moyenne nationale, Obwald (Fr. 13 190.-) et Appenzell Rhodes-Intérieures (Fr. 12 983.-) fermaient la marche. Abstraction faite de ces valeurs extrêmes, le revenu national par habitant d'une majorité de cantons abritant 80% de la population s'écarte de + 20% au maximum de la moyenne suisse.

La courbe simplifiée du bien-être

Le revenu national par habitant, qui est la somme des revenus engendrés par l'activité productive en une année, sert en quelque sorte d'étalon de mesure du bien-être d'un pays ou d'une région. Il permet notamment de déterminer la puissance fiscale, le pouvoir d'achat, ainsi que la capacité d'épargne de la

population. Le revenu national, comme aussi le produit national brut, n'autorise que des comparaisons sommaires tant sur le plan international que par cantons et, critère d'évaluation du bien-être d'une région, exige une interprétation prudente.

Comprenant non seulement les salaires, mais aussi les revenus des personnes de condition indépendante, les revenus de capitaux, les bénéfices non distribués et les impôts directs payés par les entreprises, le revenu national par habitant n'est pas comparable au revenu moyen d'un salarié. La part des bénéfices non distribués des entreprises est d'autant plus élevée que les frontières cantonales se recouvrent mieux avec une région industrielle ou un centre commercial, comme c'est le cas pour Bâle-Ville, Genève et Zoug. En tant qu'employeurs et créateurs de biens et services, les entreprises domiciliées dans ces centres contribuent au bien-être de la population des cantons limitrophes. En outre, ces contribuables financent une infrastructure (universités, hôpitaux, théâtres, etc.) dont profitent aussi les habitants d'autres cantons.

Le fait que les frontières cantonales ne correspondent pas aux régions économiques telles qu'elles sont définies par l'Institut NRL-EPF rend difficile toute comparaison intercantonale. Cela vaut d'ailleurs pour d'autres grandeurs économiques (dépenses des cantons, ventes du commerce de détail, activité de l'industrie de la construction, dépôts d'épargne, places de travail). Néanmoins, il est indispensable de calculer ces données globales, car les cantons sont responsables de l'aménagement régional du territoire et de la politique économique. Dans l'interprétation de données économiques cantonales pour justifier des postulats politiques concernant la péréquation financière, par exemple, il faudrait largement tenir compte des rapports réciproques entre régions économiques.

Union de Banques Suisses Etudes économiques

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Le 30e Com

s'annonce sous les meilleurs auspices 16 au 26 novembre 1978

A la découverte de Payerne

Cité agreste et laborieuse, Payerne est fière de ses origines, qui remontent fort loin. Le bois de Boulex contient un tumulus de l'âge du fer, où l'on a retrouvé notamment des bracelets et un vase noir.

Plus connu est Publius Graccius Pa¬

ternus, d'une puissante famille gallo- romaine d'Aventicum, qui construisit, au 3me siècle de notre ère, une villa, autour de laquelle s'est rapidement créé un village, embryon de la future bourgade. Paternus est le véritable parrain de la ville, à laquelle il donna son nom.

Au 6me siècle, Marius, évêque de Lausanne, édifia une chapelle dédiée à la Vierge Marie, et cela sur un terrain ayant appartenu à Paternus. Il y eut des invasions, des guerres, des mal¬

heurs. Burgondes et Sarrasins se succédèrent, mais la bourgade se maintient, s'enrichissant même d'un couvent clunisien, au 10me siècle. Ce monastère - dont il subsiste l'église Abbatiale, magnifique sanctuaire ro¬

man, portant des traces d'autres styles, entre autres un clocher go¬

thique - fut un centre de piété et de culture, comblé de dons par les rois de Bourgogne et les empereurs de Germanie. La reine Berthe de Bourgo¬

gne, sa fille l'impératrice Adélaïde et le roi Conrad sont à compter parmi les principaux bienfaiteurs. Payerne et son Abbatiale connurent des heures fastes: sacre, pèlerinages, guérisons miraculeuse.

Le bourg de développa et les bour¬

geois obtinrent des lettres de fran¬

chise, garantissant leur indépendance

et leurs droits. En 1343, ils signèrent un traité de combourgeoisie avec Berne, puis avec Fribourg (1349), le comte de Neuchâtel (1356) et Morat (1364). Lors de la conquête bernoise, Payerne resta une ville alliée et libre, où Leurs Excellences étaient repré¬

sentées par un avoyer, bourgeois de Payerne. C'est à cette époque - en 1545 exactement - que les autorités de la ville, ayant à leur tête un banneret ( = syndic) achetèrent en La- vaux les premières vignes dont les Payernois sont encore si fiers à l'heure actuelle.

Vinrent ensuite les révolutions française, puis vaudoises. Période d'agitation pour Payerne qui, en 1798, fut capitale de l'éphémère canton de Sarine et Broyé, avant d'être incorpo¬

rée - pour 4 ans et contre le gré des habitants - au canton de Fribourg. En 1802, elle fut attribué définitivement au canton de Vaud. Le premier syndic fut le notaire Benjamin Jomini, père du célèbre stratège et écrivain militaire, le général Antoine-Henri Jomini, sur¬

nommé le devin de Napoléon.

Autrefois ville à caractère essentielle¬

ment agricole et commercial - ses foires étaient connues loin à la ronde - Payerne prit un essor industriel dès la construction des lignes de chemin de fer. Palézieux-Lyss (en 1876) et Yver- don-Fribourg (en 1890). L'industrie se développa rapidement, principale¬

ment celle du tabac, de la charcuterie, des produits laitiers, des briques, de la mécanique. La fermeture de la condenserie marqua un temps d'arrêt, mais l'expansion reprit dès la fin de la dernière guerre mondiale, avec l'arri¬

vée de nouvelles exploitations:

amiante-ciment, machines agricoles, remorques de camions, accessoires

de véhicules, texturation de fibre synthétique.

La création d'un important aérodrome militaire, d'une station fédérale de météorologie, la présence de deux casernes, d'un important arsenal, le développement de la gare, lieu de croisement de 4 lignes ferroviaires, contribuèrent à la prospérité de la ville.

wv*

Ces 10 dernières années les autorités ont résolu de nombreux problèmes:

construction d'un hôtel-de-ville, des ouvrages d'épuration des eaux et d'élimination des ordures, d'une pis¬

cine, d'un hôpital de zone, d'un centre scolaire, d'un four régional d'élimina¬

tion des déchets carnés, etc.

La culture et l'esprit ne sont pas négligés: le collège a fêté ses 500 ans en 1949; il existe une commission culturelle, une école-club, une section de l'université populaire, une école des parents, une galerie d'art, une école de musique, de nombreuses sociétés locales. Les paroisses réfor¬

mées (de langues française et alle¬

mande) et catholique font bon mé¬

nage.

Payerne, ville de plus de 7000 habi¬

tants, chef-lieu de district. Une loca¬

lité fière de son passé, attaché à ses traditions, mais tournée résolument vers l'avenir, où il fait «bon vivre».

Restée à la taille de l'homme, elle veut être, pour ses enfants émigrés, pour ses amis, pour les passants et pour les nouveaux habitants, la cité du bon accueil.

L'église Abbatiale, magnifique sanc¬

tuaire roman

Photo G. Bourquenoud-FI Bon nombre de Vaudois et même des Fribourgeois affirment qu'il fait bon vivre dans cette ville à la campagne

Photo Juriens, Payerne

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Comptoir du 16 au 26 novembre 1978 (suite de la page 4)

«Qui ne sait sourire ne doit ouvrir boutique»

Combien ce proverbe chinois est vrai!

Chacun attend du commerçant - et de son personnel - un accueil souriant.

Sourire malgré les soucis, les marges de bénéfice qui s'amenuisent, la con¬

currence qui devient plus vive; sourire malgré une mauvaise nuit ou une explication orageuse; sourire malgré une rage de dent ou d'autres ennuis de santé; sourire même et surtout si le client est pénible. Fort heureusement, les occasions de sourire restent nom¬

breuses, ne serait-ce déjà que la joie de recevoir un client, un ami, et de se mettre à son service.

Chaque année, le Comptoir de Payerne est une occasion de satisfac¬

tion, de retrouvailles, de mise en valeur de l'esprit d'initiative et du bon goût des exposants.

Mais le comptoir de Payerne 1978 aura quelque chose de vraiment diffé¬

rent des autres: pour la première fois il se tiendra à la Halle des Fêtes, près du cœur de la ville.

Que de sourire et de satisfaction pour:

- les autorités, heureuses d'avoir mené cette réalisation è chef, grâce à la collaboration de beaucoup;

- les responsables et les exposants du Comptoir de Payerne, qui dispo¬

sent maintenant d'une importante surface et d'installations sur les¬

quelles ils savent pouvoir compter définitivement, sans être à la merci d'une autorisation de l'administra¬

tion militaire - à laquelle nous rendons un hommage reconnais¬

sant - è renouveler d'année en année;

- Les visiteurs, qui apprécieront sans aucun doute les locaux et le confort de la Halle des Fêtes, lesquels donneront un cachet et un attrait supplémentaires aux stands que chacun se réjouit de visiter;

- pour les automobilistes payernois qui auront la prudence de laisser leur voiture au garage, afin de profiter sans arrière pensée de l'ambiance chaleureuse du Comp¬

toir et de ses pintes.

Le sourire et l'accueil attirant les clients, les clients amenant les affai¬

res, que la joie et la bonne humeur régnent dans notre Halle des Fêtes du 16 au 26 novembre et fassent du Comptoir de Payerne 1978 un comp¬

toir encore plus réussi que tous ceux qui l'ont précédé. Ce sont là les vœux de la municipalité.

A. Meyer, Syndic

La nouvelle halle des fêtes où sera organisé le Comptoir

Message de M. Emmanuel Musy, président du Comptoir

Heureux anniversaire

Il y a dans le rythme de nos vies, des heures d'intense émotion et de récon¬

fortante grandeur, des heures qui comptent dans la vie d'un homme ou d'une société, des heures dont on garde durable nostalgie. L'anniver¬

saire que nous allons fêter est de ceux qui nous réjouissent. Il marque une longue étape parcourue. Le Comptoir de Payerne, de sa première à sa trentième année d'existence, atteste éloquemment le pouvoir de l'homme lorsqu'il est libre de produire et d'échanger. Durant cette période qui correspond à la relève d'une généra¬

tion par l'autre, que d'efforts consen¬

tis pour améliorer la présentation de notre comptoir. En pareille circons¬

tance, mes sentiments ne peuvent être que de respect à l'égard de ceux qui m'ont précédé.

Le hasard a voulu que cet heureux événement coïncide avec l'ouverture de la magnifique salle des Fêtes qui profile au nord de notre cité, la belle perspective de son corps robuste.

Enumérer tous les obstacles que les promoteurs d'hier et d'aujourd'hui durent surmonter serait fastidieux.

Bref, les difficultés sont vaincues, le projet est devenu réalité. Aussi, ma vibrante reconnaissance va aux pro¬

moteurs.

C'est donc dans un cadre nouveau que nous avons l'insigne honneur d'accueillir le Canton de Neuchâtel représenté par la région de Cressier. A travers sa cuisine, son artisanat, son tourisme, sa vigne, ses productions, venez apprendre à mieux le connaître.

E. Musy Le collège: une réalisation particulièrement réussie

Camping

Ouvert du début avril à la fin septembre. Surface de 20 000 m2. Tous les accès sont bitumés; éclairage partiel: arborisé; prises électriques pour caravanes; bloc sanitaire moderne comprennant douches froides ou chaudes, machine à laver le linge, etc. Le restaurant de la piscine est accessible librement / magasin / kiosque. Une seule entrée est perçue par jour pour l'accès à la piscine (bassins).

Sport et détente: natation et plongeons, tennis, boules, ping-pong; piste VITA (footing en forêt) è 2 kilomètres.

Piscine

Ouverte du début mai è la mi-septembre. Surface 25 000 m2 comprenant: un bassin olympique de 50 x 18 m. (2 m. de profondeur) avec bassin de plongeons attenant; un bassin non-nageurs de 35 x 20 m.; une pataugeoire pour enfants en bas âge; l'eau des bassins est chauffée et l'ensemble dispose d'un éclairage général, de jeux d'enfants, d'un restaurant self-service et d'un kiosque.

La piscine et le camping

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PAYERNE:

une ville fière de son passé, attaché à ses traditions, mais tournée résolument vers l'avenir

Comptoir du 16 au 26 novembre 1978 (suite de la page 7 et fin)

Le Comptoir de Payerne 1978

Cette année, le Comptoir de Payerne vit sous le signe du renouveau. En effet, malgré sa trentième édition, il reste jeune et commence une nouvelle époque dans la somptueuse Halle des Fêtes mise à disposition pour la première fois par la commune de Payerne.

A la veille d'une telle manifestation, il est bon pour une fois de faire le chemin parcouru par cette importante manifestation broyarde. La première organisation était intitulée «rExposition de fin d'année» et eut lieu au café de la Croix-Blanche. Une dizaine de com¬

merçants y prirent part. Devant le succès rencontré l'année suivante l'exposition se renouvela en utilisant

plusieurs salles du Café de la Croix- Blanche. La troisième année on parlait déjà du Comptoir de Payerne et il se déroula au café de la Croix-Blanche et à l'Hôtel de la Gare. Mais cette solution se révéla pas très heureuse et les organisateurs prirent contact avec les responsables de la CAB où le comptoir fût organisé dès l'année suivante et jusqu'en 1970. La popula¬

rité du Comptoir de Payerne ne cessa d'augmenter et les locaux de la CAB ne convenaient plus à l'envergure de cette manifestation. Grâce à la com¬

préhension et à la bonne volonté des autorités militaires, le Comptoir de Payerne acquit ses lettres de noblesse à la halle d'aviation 5. C'est là qu'une affluence record eut lieu un certain dimanche sans voiture. C'est aussi depuis 1976 que le Comptoir de Payerne reçoit un invité d'honneur.

L'architecture de l'Abbatiale qui date de plusieurs siècles

Un endroit très pittoresque de cette ville également hôte de la commune de Payerne et de nos autorités cantonales qui font le déplacement dans notre cité une fois l'an. Nous les en remercions.

Cette année le canton de Neuchâtel, notre voisin du Nord, sera au Comptoir de Payerne, représenté par sa char¬

mante bourgade de Cressier.

Comme chaque année, le Comptoir de Payerne se déroulera au mois de novembre. A l'approche des fêtes de fin d'année, il est bon de prendre

connaissance des dernières nouveau¬

tés, en vue des cadeaux de Noël. Cette importante manifestation a donc toute sa raison d'être et ses quelque 25 000 visiteurs annuels en sont bien la preuve.

Rendez-vous donc au Comptoir de Payerne, dans son ambiance chaleu¬

reuse et au milieu de ses visiteurs curieux.

Photos G. Bourquenoud-FI Programme des manifestations qui se dérouleront durant le Comptoir Jeudi 16 novembre:

14 h.: Ouverture du 30me Comptoir de Payerne

De 20 h. 30 à 22 h. en alternance: Orchestre Mi-gras et la Bandelle de Cressier Ambiance de la St Martin

Vendredi 17 novembre:

20 h. 30: Concert de l'ensemble musical de l'entreprise Bobst de Lausanne Samedi 18 novembre:

Journée Officielle Neuchâtel- Vaud

15 h.: Cortège en ville avec fanfares et groupe folklorique

Dès 16 h.Productions sur la scène de l'Union Instrumentale, les majorettes holidays, le groupe folklorique la Chanson neuchateloise, la fanfare de Cressier

20 h. 30: Concert du corps de musique l'Avenir Dimanche 19 novembre:

15 h.: Concert par les accordéonistes les Gais Pinsons 20 h. 30: Concert par la fanfare La Lyre de Grandcour Lundi 20 novembre:

20 h. 30: Concert par la fanfare La Lyre paroissiale de Surpierre Mardi 21 novembre:

20 h. 30: Concert par la Lyre de Corcelles Mercredi 22 novembre:

20 h. 30: Concert de l'Union Instrumentale de Payerne Jeudi 23 novembre:

20 h. 30: Concert de la Chanson Landeronaise Vendredi 24 novembre:

Soirée Neuchateloise avec les accordéonnistes jurassiens Gilbert Schwab, Serge Broillet et Bernard Seiler

Samedi 25 novembre:

15 h.: Grande démonstration de Rock'n Roll

20 h. 30: Concert de la fanfare La Concorde de Montagny-Cousset Dimanche 26 novembre:

15 h.: Concert des accordéonistes «La Coccinelle»

16 h.: Concert par le Chœur des Ecoles primaires de Payerne 20 h.: Concert par l'Echo des Roches de Châtonnaye 21 h.: Fermeture du 30me Comptoir de Payerne

HALLE DES FETES DE PA Y ERNE

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Salle pour banquets de 150 à 2000 personnes Tél. 037/61 27 14 ou 021/93 11 26 Les cantiniers

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MON PA YS

MA PATRIE

L 'Oberland Bernois un Un pays de contrastes, de couleurs, de vacances Spiez: une des plus belles

villes de notre pays

En quittant la jolie ville de Thoune où il faisait si bon se promener dans ses rues, nous avons pris la route en direction de Spiez, village touristique situé sur la rive gauche du lac de Thoune, dans une situation abritée et ensoleillée,, laquelle est considérée comme étant l'une des plus belles de Suisse. Du lac, on est frappé surtout par la majestueuse pyramide du Nie-

entre lac et montagnes, est une petite ville attrayante. Le château bien con¬

servé, domaine familial des Buchen¬

berg, ajoute un fier accent. La popula¬

tion a augmenté de 50% en vingt ans.

Par sa splendide situation, Spiez est devenu un centre, non seulement pour les touristes, mais pour la vie écono¬

mique de l'Oberland bernois.

Partons pour le Simmental. C'est l'une des plus longues et des plus fertiles des vallées alpestres bernoises. Rien d'étonnant à ce que l'on y élève une

Le vignoble de Spiez, sur la colline du château, remarquable par sa situation et par son vin, qu'il faut boire sur place

sen, la chaîne du Stockhorn qui se présente en perspective fuyante, et par les montagnes du Kanderthal. Ce village est entouré d'une forêt d'ar¬

bres fruitiers et dans les environs se trouvent de jolis sentiers de promena¬

des.

Beaucoup de choses commencent à Spiez: le Simmental, le Kandertal, la ligne du Lötschberg qui, par le Sim- plon, conduit en Italie. Spiez. situé

race de bétail connue dans le monde entier. L'œil du visiteur se pose sans doute moins sur les troupeaux que sur les maisons. Les fermes du Simmental ont la réputation, parmi les connais¬

seurs, d'être ce qu'il y a de mieux en fait d'architecture paysanne. En parti¬

culier, les fermes du 18e siècle avec leurs belles proportions, leurs décora¬

tions sculptées ou peintes, sont même pour le profane un régal pour

Adrien de Bubenberg, vainqueur de Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, à la bataille de Morat, devant son château ancestral de Spiez

les yeux. Elles témoignent du goût et de la culture de leurs propriétaires, mais aussi d'une aisance qui fut de tous temps dans le Simmental.

La vallée se divise en deux au Rinder¬

berg. La voie principale conduit en Valais en passant la Lenk, tandis que l'autre plus étroite, nous emmène vers le Gessenay et la Romandie en suivant les bords de la Sarine.

Avec la ligne de chemin de fer du Lötschberg, le voyageur attentif constatera qu'il passe des rives sou¬

riantes du lac de Thoune au cœur des hautes montagnes. Le cours inférieur de la Kander se déroule dans une vallée spacieuse, au sein de grasses prairies et de villages cossus. Mais bientôt le train disparaît dans les forêts sombres et sévères, à travers lesquelles nous apercevons un décor incomparable. A un certain moment, nous avons l'impression d'être au bout du monde, perdu quelque part dans la montagne.

Spiez et son jet d'eau

N'oublions pas surtout que juste en- dessous du Reichenbach, le chemin de fer du Niesen s'élance audacieuse- ment à l'assaut du sommet. De là- haut, à 2365 mètres d'altitude, on jouit d'un panorama grandiose qu'il est recommandé de découvrir une fois dans sa vie.

De retour à Spiez, nous avons pu admirer le puissant jet d'eau qui sort du lac, l'église datant du Xlle siècle, le château appelé «Zum goldenen Hof»

qui était la résidence d'Adrien de Bubenberg, le défenseur de Morat, mort en 1749 et dont la famille s'éteignit en 1506, à la mort de son fils.

Photos H. Heiniger G. Bd Dans notre prochaine édition, nous ferons halte

à Interlaken

(Photo G. Bd)

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QJS.%. lives,

de. (la. ^ôLliiie.

Ouvrage d'art remarquable, il y a déjà trente ans que le barrage de

Rössens produit de l'énergie au pays de Fribourg

Il est un barrage dans le district de la Sarine qui porte le même nom que le village de Rossens et qui, chaque année, est visité par des milliers de personnes. Des cartes postales de cet ouvrage d'art sont parties aux quatre coins du monde. Aujourd'hui encore, il n'est pas rare de voir de nombreux cars de touristes en excursion au pays de Fribourg, faire escale au barrage de Rössens.

Une image de cette manifestation Un anniversaire fêté dans la joie et le souvenir

Pour marquer dignement le trentième anniversaire de sa construction, la commune de Rössens a, en étroite collaboration avec les Entreprises Electriques Fribourgeoises (EEF), or¬

ganisé une manifestation dont la joie a été partagée par toute la population.

Elle s'est déroulée le samedi 14 octobre par une magnifique journée ensoleillée. Elle nous a permis de revivre par des commentaires et un film les principales étapes de la construction qui s'est faite de 1946 à 1948. A l'époque, cette réalisation était contestée par un bon nombre d'habitants de chez nous tout comme les centrales nucléaires aujourd'hui.

Quelques personnalités en conversation

Au quatrième rang par son impor¬

tance

C'est dans une salle de l'alarme-eau situé è proximité du barrage qu'une séance d'information et du souvenir a été organisée, à l'intention de la presse et des invités. Dans ses sou¬

haits de bienvenue, M. Jean-Luc Baeriswyl, sous-directeur technique des EEF, a salué MM. Joseph Acker¬

mann, ancien directeur des EEF et qui était alors conseiller d'Etat; Louis Piller, ancien sous-directeur des EEF et initiateur de cet ouvrage d'art; ainsi que le chanoine Pierre Noël qui fut l'aumônier des quatre cents ouvriers qui ont travaillé durant deux ans à la construction de ce barrage. Parmi eux, douze ont perdu la vie.

De gauche à droite, MM. André Marro, directeur des EEF, Ferdinand Masset, conseiller d'Etat, Jean-Luc Baeriswyl, sous-directeur technique des EEF, et Pierre Dreyer, conseiller d'Etat

Dans son exposé, M. André Marro, directeur actuel des EEF, nous a précisé qu'en 1948, date de la mise en service, le barrage de Rössens produi¬

sait plus de 200 millions de kwh par année, alors qu'aujourd'hui ce sont plus de 800 millions de kwh qui sont fournis par le lac de la Gruyère. Avec une production aussi élevée, le bar¬

rage de Rössens se situe au quatrième rang des barrages en Suisse, tandis que le lac de la Gruyère se trouve au deuxième rang des bassins d'accumu¬

lation artificiels de notre pays.

Allocutions et liesse populaire Les autorités communales de Rössens avait bien fait les choses pour cet anniversaire qu'elles voulaient digne.

Dans une cantine aménagée à deux

M. Robert Ayer, syndic de Rössens, saluant les invités

Lorsque les vannes sont ouvertes...

pas du barrage, un apéritif fut servi à toute la population. M. Robert Ayer, compétent et dynamique syndic de cette localité, eut le plaisir de saluer MM. Ferdinand Masset, conseiller d'Etat; Robert Menoud, préfet de la Gruyère; Favarger, It de préfecture de la Sarine; les représentants des auto¬

rités de Pont-la-Ville et Treyvaux;

ainsi que d'autres personnalités dont la liste serait trop longue à énumérer.

Dans son allocution, M. Pierre Dreyer, conseiller d'Etat, président du Conseil d'administration des EEF, a relevé que malgré les oppositions à cette réalisation, la population fri- bourgeoise a finalement supporté l'épreuve qui était celle de consacrer des terres à l'énergie nécessaire au pays de Fribourg. C'est parce que le

barrage a été construit suffisamment tôt que le prix de l'énergie dans notre canton n'est pas aussi élevé que chez nos voisins. Il a également signalé que rien dans la nature n'est aussi abon¬

dant que l'énergie. Il faut savoir l'exploiter et surtout l'utiliser à bon escient. Le public a tendance è oublier que parfois des mesures draconiennes doivent être prises pour économiser l'énergie.

Cette manifestation animée par les productions de la fanfare «L'Echo du Lac» de Rössens, le chœur mixte de Pont-la-Ville et la fanfare de Trey¬

vaux, a pris fin par un repas à la cantine.

(Texte et photos G. Bourquenoud - FI)

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Carnet de bord d'une randonnée équestre

Mmes Faessler et Henriette Biland ont eu la gentillesse de nous remettre leur carnet de bord rédigé lors de leur randonnée équestre en Alsace.

Après avoir traversé le Gantrisch deux fois, les Franches-Montagnes, le Gi- bloux etc..., Max et Sherlock ont décidé d'aller goûter l'herbe sous d'autres cieux.

Départ de Fribourg le 10 juillet sous la pluie qui durera 3 jours et qui occasio¬

ned aux cavalières quelques difficul- tées avec ces grandes pèlerines, pour ouvrir et fermer de nombreux clédars.

Comme but l'Alsace, mais aucun gîte prévu d'avance, la vraie liberté, de véritables vacances sans aucune con¬

trainte! 30 à 50 km par jour suivant l'humeur des chevaux et des cava¬

lières.

Une expérience extraordinaire, aucune difficulté pour loger, partout la même hospitalité, la même gentillesse!

Quelques petites anectodes:

- Au camping de Salavaux (est-ce- unique en Suisse?) une place réservée pour les chevaux toute l'année et Monsieur Schlosser veille à ce qu'elle ne soit jamais occupée par un véhi¬

cule ne serait-ce qu'une 2 CVII!

- A Witzwil, les 2 cavalières implo¬

rent un gardien afin qu'il ouvre le cadenas qui ferme la grande porte surmontée de barbelés, car si l'entrée est libre, la sortie...

- A l'auberge du Pont-de-Thielle, les chevaux trouvent deux boxes et les cavalières s'installent confortable¬

ment dans leur sac de couchage dans la crèche. C'est ce qui s'appelle crè- cherl!!

- Arrêt pour la deuxième fois à Cornol chez les gens les plus gentils, les plus accueillants qu'on puisse imaginer.

Tout est mis gracieusement à disposi¬

tion: depuis la cire à sabot, la pom¬

made à base de péniciline (pour Sherlock qui s'est légèrement blessé à une jambe) jusqu'au petit déjeuner et salle de bain.

- Depuis-là changement d'itinéraire, La Joux un jour de flemme pour tous

Quel plaisir de découvrir le pays à cheval!

- La nuit suivante, à Sonvilier, elles seront réveillées par les cris de 60 cochons qui se battent dans l'écurie attenante.

- Sympathiques douaniers à la fron¬

tière de Beurnevésin-Pfefferhouse.

- A l'écurie Grandjalna, près de Hirtz- bach, chez Monsieur Gunkel, tout le monde est si bien soigné et y reste 1 semaine.

dans la belle écurie de Monsieur Brahier. Max et Sherlock se retrouvent un peu «chez eux». Ils ont passé là leurs vacances en 1977. Le grand boxe du fond est occupé par les cavalières qui préfèrent comme tou¬

jours dormir près de leurs chevaux.

- Dernière nuit à Nods, où après avoir

«pintolé» avec un couple âgé, grands amateurs d'antiquités, les cavalières

se retrouvent comme chaque soir, atablées devant un copieux et succu- lant repas. L'équitation, ça creuse...

- En passant par Lignières, Montilier, Courtepin, etc... traversée du Pont de Pérolles le 24 juillet à la tombée de la nuit, non sans peur, frôlés par voitures et camions...

Pour ne citer que deux, trois faits amusants, c'est surtout à la douane qu'ils se sont passés:

Après un grand bonjour «Monsieur- Dame» qui fait déjà pouffer de rire les deux cavalières, le douanier, soi- disant grand connaisseur de chevaux, leur dit: «qu'est-ce qui me prouve que vous n'avez pas échangé vos 2 che¬

vaux contre 2 pur-sang français?».

Imaginez donc que Max, un franches- montagnes, qui pèse près de 750 kg et Sherlock avec sa marque en forme de flamme sur la cuisse gauche, emblème très visible et très connu des chevaux polonais.

Puis une dame qui devait certaine¬

ment être contemporaine avec une des cavalières, qui a 45 ans, leur fait un signe, un grand sourire et leur lance à travers la fenêtre de sa voiture, un joyeux «Bonjour les en¬

fants».

Après la blessure de Sherlock qui s'est infectée malgré les soins, la seule ombre pendant ce voyage fut le refus catégorique d'une aide vétéri¬

naire, à La Croix, de vendre un peu d'avoine pour les chevaux qui en avaient bien besoin, sous prétexte qu'elle ne voulait pas «faire du com¬

merce d'avoine»!

Une façon un peu spéciale d'aimer les chevaux, surtout quand on en a soi- même un élevage!

Maintenant ces cavalières ont re¬

trouvé leur lit, rêvent de leurs merveil¬

leuses vacances et préparent déjà leur prochaine randonnée.

Toujours plus de FRIBOURGEOIS lisent et s'abonnent à

FRIBOURG-ILLUSTRÉ La vie musicale, un magazine que chaque foyer attend avec impatience chaque quinzaine.

Des milliers de lec¬

teurs ne peuvent plus s'en passer, c'est pourquoi ils n'ont pas hésité un instant à souscrire un abonne¬

ment à l'année.

La mode féminine automne-hiver 1978-79

Linge de dessous automne/hiver 78/79

Linge de nuit

automne/hiver 78/79 Au premier plan de la nouvelle collec¬

tion de linge de nuit, on a la ligne sportive à l'accent juvénile qui con¬

crétise bien le goût contemporain et l'assurance de la femme moderne.

Parallèlement on retrouve les lignes romantiques et enjouées dont le charme sentimental continue de jouir d'une grande vogue.

Comme autre style, qui va s'imposant, il faut relever la ligne toute d'élégance féminine qui, par son chic décent et ses aspects capricieux, séduit d'em¬

blée.

Les matériaux sont en fibre naturelles, vaporeuses et légères, qui ont nom de laine et coton. La coupe en est souple et délicate. Le riche choix de dessins, plein de fantaisie, comporte aussi bien des motifs imagés, tirés de la flore et de la faune, que des motifs aux lignes purement géométriques.

TRIUMPH INTERNATIONAL

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Dans le district de la Broyé

Les caisses Raiffeisen à Domdidier La Fédération des caisses Raiffeisen de Fribourg-Romand que préside M. Willi Blanc, de Barberêche, a tenu ses assises annuelles à Domdidier en présence de nombreux délégués et invités. Cette fédération qui compte 61 caisses et 7172 membres a réalisé l'an dernier un chiffre d'affaires de plus de 646 millions, la somme des bilans s'élevant à 272 millions, en augmentation de 17,1 millions sur A la table présidentielle

Quelques membres du comité local de Domdidier

l'exercice précédent. Les délégués entendirent deux exposés, l'un de M. Joseph Roos, directeur de la banque centrale, l'autre de M. Paul Puippe, secrétaire de l'Union suisse, qui traitèrent de problèmes d'actualité. Les membres actuels du comité furent en outre reconduits dans leurs fonctions pour une nouvelle période statutaire.

Au cours du repas servi à la halle du centre sportif, MM. Georges Guisolan, préfet et Georges Godel, syndic de Domdidier, apportèrent leurs messages de félicitations et d'encouragement aux délégués raiffeisenistes et à leurs dynamiques dirigeants.

(Photos F!)

Fribourg

Quatre pistes couvertes

et une buvette pour les boulistes Une réalisation qui vient à son heure

Après des débuts modestes sur les pistes du Café Beauregard, le Boccia- Club Beauregard prenait son envol pour les hauteurs du Guintzet. C'était en 1949. Jouant sur deux pistes, sans éclairage, parfois à la lueur des phares d'une voiture pour terminer les finales, l'essor de la société allait croissant.

Malgré les améliorations apportées au fil des années, les installations ne répondaient plus au développement du Boccia-Club qui dut prendre une décision: construire ou végéter? Le pas franchi, les plans établis, il a fallu vaincre d'autres difficultés. Mais avec une volonté de fer et surtout une entente parfaite entre les membres, le projet d'un complexe sportif au Guin¬

tzet a pu être mené à bien. A l'heure actuelle, il existe quatre pistes cou¬

vertes et une buvette. Si le coût de cette réalisation se monte seulement à 160 000 francs, c'est parce que la commune de Fribourg a mis généreu¬

sement un terrain à disposition du Boccia-Club Beauregard et que tous les membres (ou presque) ont donné un sérieux coup de main à la cons¬

truction de ce bocciodrome fort bien conçu et magnifiquement réussi.

Fribourg: point de rencontre des boulistes suisses

La promotion du sport des boules qui se fait depuis trente-trois ans à Fribourg s'est concrétisé par l'inaugu¬

ration d'un complexe sportif qui a eu lieu le samedi 14 octobre en présence de plusieurs personnalités, parmi les¬

quelles MM. Lucien Nussbaumer,

M. Lucien Nussbaumer, syndic de Fribourg, coupe le ruban syndic de la Ville de Fribourg qui eut

l'honneur de couper le ruban; Claude Schorderet, conseiller communal; et les représentants d'autres clubs de boules du canton et de notre pays.

Image partielle de ce complexe sportif qui abrite quatre pistes et une buvette

Des allocutions ont été prononcées par MM. Kiki Volery, président du Boccia-Club Beauregard; Lucien Nussbaumer, syndic; et Gianni Lan- doni, secrétaire de l'Union suisse des boulistes. Une partie officielle qui fut agrémentée par les productions d'un groupe de musiciens de la fanfare de Belfaux.

Fort actuellement de quarante mem¬

bres actifs et de 400 membres sup¬

porters et passifs, le Boccia-Club Beauregard ne tardera pas à faire connaître Fribourg au delà de nos frontières puisqu'il a l'intention d'or¬

ganiser très bientôt un tournoi inter¬

national de boules. Cette initiative, la société la doit au comité formé de MM. Kiki Volery, président; Charles Cudré, vice-président; Mme Liliane Philipona, secrétaire; Gilbert Nico- let, caissier; et Raphael Carrel, membre adjoint.

Avec la vitalité que nous lui connais¬

sons et la solidarité qui existe entre les membres, le Boccia-Club Beaure¬

gard peut envisager l'avenir avec sénérité. C'est ce que nous lui souhai¬

tons de tout coeur.

(Texte et Photos - G. Bourquenoud-FI)

(14)

LES SPORTS 3-

Hockey sur glace

L'ambition du Hockey-Club Marly:

Gravir un échelon de plus avec une promotion en première ligue

Le hockey sur glace est un sport d'équipe se jouant sur une surface de glace. Sport rude et souvent dangereux, il exige de ceux qui le pratiquent une solide musculature, une extrême promptitude de ré¬

flexes et une grande résistance.

Il est très difficile de remonter aux sources de ce sport, né vraisembla¬

blement en Europe. Toutefois, un récit de voyage du Père Sagard en 1632, rapporte l'existence d'un jeu pratiqué sur neige par les Indiens

capable d'atteindre la place qui lui tient à cœur. Pour en savoir plus sur cette équipe qui mérite notre attention, je me suis entretenu avec trois membres du comité, MM. JEAN-PAUL PROGIN, nou¬

veau président; DANIEL LEIBZIG, président d'honneur; et JEAN- CLAUDE BAPST, président de la commission sportive, lesquels m'ont agréablement accordé une interview que je m'empresse de vous livrer à votre propre réflexion.

Comité du HC Marly

De gauche à droite: Robert Clerc, président commission extra sportive; Jean-Paul Progin, président; Jean-Claude Bapst, président commission sportive; Mlle Marisa Nasi, secrétaire; Mme Cécile Pürro, caissière

Même sur le banc, H faut maîtriser ses nerfs...

Interview

FI - Quand a été fondé le Hockey- Club Marly?

- C'est le 30 avril 1974 que le Hockey-Club Marly a commencé à voler de ses propres ailes. La même année, une demande était faite par le comité à la Ligue suisse de hockey pour changer le nom de l'équipe qui est devenue Hockey-Club Marly.

FI - Qui sont les fondateurs du Hockey-Club Marly?

- Ce sont MM. Daniel Leibzig et Jean-Claude Bapst qui ont été les deux initiateurs et qui ont repris en main l'avenir du club en recrutant des joueurs, en formant un comité et en sollicitant M. Jean-Claude Pauchard comme président. Ce dernier a as¬

sumé cette charge jusqu'à la fin de la saison 1976-77, date à laquelle, elle fut reprise par M. Daniel Leibzig pour la saison 1977-78. Depuis le 6 octobre 1978, la présidence du Hockey-Club Marly, a été confiée à M. Jean-Paul Progin, un «mordu» de ce sport.

FI - Par qui l'équipe marlynoise est-elle entraînée?

- A ses débuts, elle l'était par M.

René Kaeser, ancien joueur de H.C.

Fribourg. Durant les saisons 1975-76 et 76-77, l'équipe était placée sous la responsabilité de M. Mario Demi- cheli, entraîneur-joueur. Au cours de la saison 1977-78, ce fut M. Daniel Jonin, ancien joueur du H.C. Fribourg, qui assuma cette charge. Pour la saison 1978-79, l'entraîneur du Hoc¬

key-Club Marly est M. Norbert Remy.

FI - Un club de hockey a-t-il sa raison d'être à Marly?

- Oui. Car dans une cité de 5000 habitants, nous pensons et nous som¬

mes même convaincus qu'une équipe de hockey à sa place au sein de la population et de la jeunesse. Bien que le Hockey-Club Marly ne soit pas encore parfaitement intégré comme une autre société, nous comptons sur l'appui de tous ceux qui aiment ce sport et sur la participation de tous les jeunes qui s'intéressent au hockey sur glace.

FI - Quelle a été jusqu'à ce jour l'activité de votre club?

- Notre équipe a évolué en 3e ligue durant la saison 1974-75 avec promo¬

de la région de l'Ontario et qui paraît être l'ancêtre américain du hockey moderne. Il a probablement pris racine au Canada où vers 1875, les premières règles furent élabo¬

rées par des étudiants de l'univer¬

sité. Il devint le sport favori des Canadiens qui, dès leur plus jeune âge, le pratiquent à l'école, au collège, à l'université.

Le hockey sur glace est un sport très populaire en Suisse et dans le canton de Fribourg parce qu'il est collectif et le plus rapide du monde. La ligue suisse de hockey sur glace compte actuellement 45 000 membres, répartis dans plu¬

sieurs catégories de jeu, la princi¬

pale étant la ligue nationale qui jouit d'une indépendance relative.

N'étant pas un spécialiste du ho¬

ckey sur glace bien que ce sport me passionne, je me fais un plaisir de présenter aux lecteurs de Fri- bourg-lllustré une jeune équipe de notre canton qui, avec beaucoup de volonté, cherche à gravir un éche¬

lon de plus. Avec l'enthousiasme et l'ambition que nous lui connais¬

sons, le Hockey-Club Marly est

Hockey-Club Marly

Debout de gauche à droite: Jean-Paul Progin, président: Jean-Claude Bapst, président commission sportive; Georges Schaller, 1952; Roland Vonlanthen, 1952; Michel Cotting, 1959; Pierre Fleury, 1958; Roland Blanc, 1947; Bruno Henguely, 1957; Daniel Jonin, 1949; Michel Zurkinden, 1953; Marcel Portmann, 1954; Eric Schulzendorf, 1955; Etienne Julmy, coach; Norbert Remy, entraîneur; René Cotting, 1947

Accroupis de gauche à droite: Jean-Claude Piller, 1954; Michel Grand, 1950; Roger Spicher, 1953; Claude Marro, 1949: Paul Riedo, 1961: Jean-Claude Spicher, 1956; Roland Agostini. 1958; Hugo Henguely, 1954

Absents sur la photo: Bernard Aubonney, 1947; Jean-Pierre Grandjean, 1957; Roland Moehr, 1953; Laurent Thévoz, 1948

(15)

LES SPORTS

&

Hockey sur glace

Hockey-Club Marly:

une équipe enthousiaste et pleine de volonté (suite de la page 14 et fin) tion en 2e ligue. A la fin de la saison

1976-77, elle a été championne de groupe, ce qui lui a permis de disputer des finales pour la promotion en 1re ligue. Elle a d'autre part obtenu un classement honorable durant la saison

1977-78.

FI - Votre club a-t-il aussi des problèmes de recrutement? La re¬

lève est-elle assurée?

- Etant donné que le Hockey-Club Marly n'a pas de patinoire à disposi¬

tion et que sa situation financière lui permet juste de «tourner», nous n'avons, hélas, pas la possibilité de former une équipe de minimes ou de juniors. La relève s'avère donc diffi¬

cile, ce qui provoque des soucis aux dirigeants du club qui ne bénéficie d'aucune aide financière de la com¬

mune. Notre club recrute ses joueurs

matches au cartes, les entrées des matches, les cotisations des joueurs, un subside du Sport-Toto et les dons.

Et malgré tout le dévouement et le travail bénévole de tous les membres du comité, ces ressources ne suffisent pas pour boucler les fins de saison sans chiffres rouges. Les dirigeants du club ont donc une lourde tâche, celle de sans cesse lutter pour amélio¬

rer les finances.

FI - N'est-il pas vrai qu'un projet de construction d'une patinoire est ài l'étude à Marly?

- Au début de cette année, une délégation du comité du H.C. Marly a été reçue par un représentant des autorités communales qui a laissé entendre qu'aucun projet de patinoire n'était à l'étude pour l'instant par la commune de Marly.

Cette fois, le gardien est battu...

auprès d'autres équipes qui ont la chance de pouvoir bénéficier d'instal¬

lations sportives qui facilitent la for¬

mation des jeunes qui sont passion¬

nés par ce sport que nous aimerions développer à Marly. Cependant, nous avons l'intention de former une équipe qui participera au tournoi scolaire de la Ville de Fribourg et qui défendra les couleurs de Marly.

FI - Qu'en est-il au point de vue des finances?

Pour renflouer la caisse, le comité organise un loto, une tombola, vend des briquets, des fanions. Il y a encore les cartes de membres supporters, les

FI - Le comité du Hockey-Club Marly a-t-il de l'ambition?

- Oui. Certainement. Notre seule am¬

bition est de disputer un championnat qui se terminerait par une promotion en 1re ligue, chose qui sera très difficile cette prochaine saison du fait de la valeur des autres équipes qui sont d'un niveau équivalent.

FI - Qu'en est-il des relations avec les autres sociétés?

- Le Hockey-Club Marly fait partie de la Société de développement de Marly depuis 1976. Il entretient d'excellen¬

tes relations avec toutes les sociétés locales.

Des joueurs en excellente forme physique FI - Quels sont les souhaits des dirigeants pour l'avenir du club?

- Ce qui nous ferait très plaisir, c'est de pouvoir bénéficier d'une patinoire à Marly et de former les jeunes à un sport qui demande de la discipline, de la concentration et de l'énergie. Vu que la patinoire de Fribourg est déjà submergé par un certain nombre d'équipes qui doivent s'entraîner sur la seule patinoire artificielle du can¬

ton, il serait souhaitable que des installations sportives soient mises à disposition des sportifs marlinois. Les initiateurs n'auraient aucun souci quant à son occupation, car elle pourrait être utilisée par le hockey, le patinage artistique, le curling, le pati¬

nage libre, par les enfants, la popula¬

tion, les entraînements et les matches des équipes de la région. Pour donner un nouvel élan à notre équipe, formu¬

lons le vœu d'être soutenu et encou¬

ragé.

Propos recueillis par Gérard Bourquenoud Photos Arcaphot - L. Singy

Les principaux collabora¬

teurs du Hockey-Club Marly

Président: Jean-Paul Progin Vice-président: Robert Clerc Caissière: Cécile Pürro Secrétaire: Marisa Nasi

Président commission sportive: Jean- Claude Bapst, Etienne Julmy (adjoint) Président commission extra-sportive:

Robert Clerc

Arbitre: Michel Progin

Chronométreurs: Bernard Pürro, Jean- Bernard Bapst, Daniel Dénervaud Chef matériel: Michel Savary, Francis Devaud (adjoint)

Suppléant: Robert Equey Entraineur: Norbert Remy

Programme des matches 1er tour et 2° tour

5 novembre 1978, Fribourg Marly - Vallorbe

11 novembre 1978, Pontaise/Lausanne Star-Lausanne - Marly

18 novembre 1978, Fribourg Marly - Vallée-de-Joux

26 novembre 1978, Vernets/Genève Jonction-Genève - Marly

28 novembre 1978, Fribourg Marly - Düdingen

3 décembre 1978, Fribourg Marly - Genève-Servette II 10 décembre 1978, Fribourg Marly - Jonction-Genève 20 décembre 1978, Villars Villars II - Marly

23 décembre 1978, Fribourg Marly - Star-Lausanne 6 janvier 1979, Le Sentier Vallorbe - Marly

13 janvier 1979, Fribourg Düdingen - Marly

25 janvier 1979, Vernets/Genève Genève Servette II - Marly 28 janvier 1979, Fribourg Marly - Villars II 3 février 1979, Le Sentier Vallée-de-Joux - Marly M. Jean-Paul Progin, nouveau président

Tennis

Une sympathique réunion

Sur l'initiative de MM. Cadurisch et Bochud, les courts du Guintzet ont servi de cadre merveilleux à une sympathique manifestation réservée exclusivement aux séries -D- ainsi qu'aux débutants du club de l'AIGLON.

Afin de permettre une fois par année aux joueurs pratiquant le tennis à ses débuts,

les promoteurs ont cherché à faire croire, l'espace d'un tournoi, que chacun peut connaître les grandes intensités dramatiques que procure la compétition officielle.

Les champions du Wimbledon du Guintzet, au nombre de 64 se sont imposés un marathon comme les meilleurs tennismen mondiaux!

La perfection de l'organisation poussée jusque dans les moindres détails, un arbitre pour chaque rencontre et un prix pour chaque participant, furent saluer par les joueuses et joueurs. Ce premier contact avec la compétition a permi à chacun de pouvoir prendre enfin la température de l'ambiance qui règne sur les hauteurs du Guintzet. Une formule qui doit trouver maintenant une place importante dans le calendrier du Club.

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^ouyem^^^temps£asse^) Images de la Fête romande de gymnastique de 1948 à Bulle qui nous ont été remises par M. Marcel Zaugg, Léchèrre 8, Bulle, que nous remercions chaleureusement.

M. Jules Blanc, ancien conseiller com¬

munal et député, le créateur et le distillateur de la «Grande Gruyère», reçoit les gymnastes

M. Albert Genoud, professeur de gymnastique, à Bulle, en conversation avec M.

Raphaël Radraux, professeur de musique, préparant tous deux l'exécution des exercices généraux

Le conseiller fédéral Marcel Pilet-Golaz, ancien président de la Confédération, parle

au nom du Gouvernement suisse Les exercices généraux devant la forêt de Bouleyres et face à la Dent de Broc

Un suisse à la tête de l'organisation mondiale des coiffeurs

Le Dr rer. pol. Ferdinand Leibundgut, de l'Association Suisse des Maîtres Coiffeurs (ASMC), est élu président de la Conférence Internationale de la Coiffure

Lors des 16™ championnats du monde des coiffeurs 1978, la Confédération Internationale de la Coiffure (CIC), qui est l'organisation mondiale des coiffeurs, a élu son nouveau président en la personne du président central et secrétaire général de l'Association Suisse des Maîtres Coiffeurs (ASMC) à Berne, le Dr rer.

pol. Ferdinand Leibundgut.

Le Dr Leibundgut remplace ainsi le Hollandais d'origine suisse Albert Bühler à la tête d'une organisation qui réunit 52 associations professionnelles nationales, représentant les cinq continents. Dans le monde, plus d'un demi-million d'entreprises de la branche des coiffeurs sont affiliées à la CIC, dont le siège est à

Paris. Parmi les fonctions de cette organisation, on ne compte pas seulement l'échange constant d'idées entre les différents pays, mais aussi la discussion des questions professionnelles, techniques et économiques, ainsi que le contact avec les autorités internationales, notamment en vue d'une harmonisation de la formation de la relève professionnelle. Chaque année, la CIC organise alternativement un championnat d'Europe ou du monde des coiffeurs, en même temps que des expositions professionnelles et des congrès. Font également partie de la CIC, qui, entre autres, entretient au plus haut niveau des contacts avec les fournisseurs, l'Organisation Artistique Internationale et l'Association Interna¬

tionale de la Presse Professionnelle (AIPP), c'est-à-dire l'association de la presse professionnelle des coiffeurs.

Le nouveau président de la CIC est économiste; il fit sa thèse sur un sujet de politique agricole. Pendant douze ans, le Dr Leibundgut fut secrétaire de direction d'une organisation publique è Berne. Depuis 1960, il est secrétaire général de l'Association Suisse des Maîtres Coiffeurs, l'organisation patronale nationale du métier de coiffeur; il en est devenu le président central en 1965. Il est encore membre de la Chambre Suisse des Arts et Métiers, et préside la commission économique de l'Union Démocratique du Centre (UDC). Dans le domaine militaire, il est colonel dans l'état-major de l'armée.

DANS LA BROYE

Nouveau fleuron au Musée d'Estavayer

C'est grâce à la bienveillance de M. René Sansonnens, employé CFF à Bienne, que le musée d'Estavayer abrite désormais une magnifique collection de lanternes utilisées depuis le siècle dernier par les Chemins de fer fédéraux. L'inauguration du nouveau local du musée a réuni autour des autorités locales quelques personnalités des CFF ainsi que les membres de la commission du musée qui vient ainsi de s'enrichir d'un nouveau fleuron. Notre photo: deuxième depuis la gauche, M. Sansonnens. son épouse et M. René Steiner, chef de gare à Estavayer.

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Du nouveau à Fribourg

La Place de la Gare s'enrichit de trois commerces

Un commerce de fleurs

Il y a un quart de siècle, que M. et Mme Aeberhard exploite le magasin de fleurs sis à la rue de Lausanne 48. En 1970, ils ouvraient un deuxième magasin au Boulevard de Pérolles 20, Au cours de cette même année, une nouvelle raison sociale: «Roseflor». En 1972, un troisième commerce fait éclosion à Beauregard 32. Et le dernier-né a été aménagé il y a quelques semaines à la Place de la Gare 8.

Une maison de confiance qui fait son chemin.

Une boulangerie-pâtisserie-confiserie

En 1960, M. Manfred Mayritsch quittait l'Autriche pour se perfectionner dans la confiserie en Suisse. Après un séjour de deux ans à Yverdon, il est venu travaillé dans les confiseries Fasel et Lehner à Fribourg. De là, il a fait un stage de huit ans dans une confiserie à Buchs (SG). Désireux d'avoir leur propre commerce, M. et Mme Manfred Mayritsch-Angéloz revienne à Fribourg pour reprendre l'exploita¬

tion d'une boulangerie-pâtisserie-confiserie sise à la route de Villars 13. Leur commerce connaissant un heureux développement, ils ont ouvert récemment une succursale à la place de la Gare 8 qui connaîtra certainement le même succès.

Un atelier spécialisé à Givisiez

Au mois d'octobre dernier, M. Pascal Python a ouvert à la route de la Colombière, un atelier spécialisé en tondeuse à gazon et tronçonneuses.

Cet atelier est appelé à rendre de grands services à tous ceux qui ont une certaine surface de gazon à entretenir autour de leurs villas ou d'entreprises tout comme les bûche¬

rons qui désirent s'équiper de machi¬

nes modernes facilitant leur travail.

Givisiez:

Succès d'une exposition En même temps qu'avait lieu dans notre pays une promotion de la céramique suisse, Glasson Matériaux a organisé une semaine fribourgeoise du carrelage dans les locaux de son entreprise. Cette exposition a connu un beau succès par le nombre de visiteurs qui se sont déplacés pour mieux connaître les nouveautés.

Une agence de voyages

L'agence de voyages Hotelplan qui avait ses bureaux au Boulevard de Pérolles 31 a aussi décidé de s'installer à la Place de la Gare 8 où des locaux accueillants ont été mis à disposition de la clientèle touristique et fribourgeoise. Mme Angela Cuennet, qui possède douze ans d'expérience dans ce domaine, assume la gérance de cette agence. Ses collaboratrices sont Mlles Patricia Berset et Mary Falk. Toutes trois sont à même de vous conseiller judicieusement et avec le sourire sur les possibilités de voyager avec Hotelplan. Si le cœur vous en dit...

De gauche à droite, Mlle Patricia Berset, Mme Angela Cuennet et Mlle Mary Falk.

Fribourg:

Jubilé bien fêté L'Association fribourgeoise des offi¬

ciers de l'état civil a tenu à Fribourg sa 50e assemblée sous la souriante pré¬

sidence de M. Charles Henning, de Gruyères. Honorée de la présence de quelques personnalités dont MM.

Rémi Brodard, conseiller d'Etat; Hu¬

bert Lauper, préfet et Lucien Nuss- baumer, syndic de Fribourg, cette journée fut l'occasion de rendre un hommage bien senti aux pionniers de l'association, en particulier è M. Eu¬

gène Chavaillaz, membre fondateur, d'Ecuvillens, qui devait hélas rendre le dernier soupir le lendemain de ces assises. Notre photo: le comité actuel de l'association. (Photo FI)

Références

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