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La reproduction de textes ou d'illus¬ trations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédaction

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Academic year: 2021

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** Y*

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— Fédération fribourgeoise du cos¬

tume et des coutumes

— Fédération fribourgeoise des ac¬

cordéonistes

— Association des organistes

— Conservatoire de musique.

Gérard Bourquenoud Bureau: 037 24 75 75 Privé: 037 46 45 27

Rédacteur «La vie musicale»

Pierre Kaelin Bureau 037 22 16 03 Privé: 037 26 23 69

«La Vie musicale» ne peuvent être vendus séparément.

La reproduction de textes ou d'illus¬

trations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédaction.

La rédaction n'assume aucune res¬

ponsabilité pour les manuscrits et photos non commandés.

Supplément «La Vie musicale»

Une case 50 x 34 m/m Fr. 40.—

Reportage publicitaire:

1/1 page Fr. 750.—

Rabais de répétition et sur abonne¬

ments d'annonces.

SOMMAIRE Que la Suisse est belle!

Interview de Mme Liselotte Spreng, conseillère nationale Regards sur le Comptoir de Romont

Flashes du canton Patoisants de Fribourg Pour le plaisir de votre palais Assemblée de la FFCC Requiem de Verdi

Nos compatriotes du dehors Les sports

Elle chez elle

Art-science-culture-littérature Eglise de Semsales

Programme TV

Officiers fribourgeois à Romont Flashes de la Broyé

Entre l'église et la pinte Feuilleton FI

Les défunts

Notre prochain numéro paraîtra

mercredi 21 juin

Notre couverture Inondée par le parfum de cette merveilleuse décoration florale d'Ouchy, Martine, jeune Fribour¬

geoise habitant Cully, ressemble à une fleur parmi d'autres fleurs.

Photo Fribourg-lllustré

ETES-VOUS NOTRE GAGNANTE?

La personne dont le visage est entouré d'un cercle, est invitée à se présenter à notre bureau jusqu'au 15 juin ou de nous faire parvenir une photo récente. La gagnante touchera un abonnement de trois mois à «Fribourg-lllustré - La vie musicale».

FRIBOURG Quarante ans de mariage

Au mois d'avril dernier, M. Alex Gumy, 73 ans, et son épouse née Berthe Blanc, 65 ans, ont fêté leurs quarante ans de mariage dans la joie familiale.

Pour cette journée de reconnaissance, les jubilaires étaient entourés de leurs quatre enfants. Au cours d'un repas servi dans un restaurant de la ville, ils ont été complimentés et fleuris.

Fribourg-lllustré adresse à M. et Mme Alex Gumy-Blanc, ses fidèles abon¬

nés, ses plus sincères félicitations et ses vœux de bonheur.

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t\issc est Ule !

Promenades au pays de Glaris (XIV) En quittant la canton d'Uri, après avoir fait escale à Altdorf, la chef-lieu, et dans quelques villages environnants où nous n'avons rien découvert de particulier, nous avons entrepris la montée du col du Klausen pour poursuivre notre voyage dans ces jolis cantons de la Suisse alémanique. Au sommet du col où le décor est merveilleux, nous avons été surpris par le froid, ce qui nous a empêché de nous attarder dans le paysage extraordinaire de cette région de notre pays où les vaches paissent dans les rochers à plus de 2 000 mètres d'altitude. Dans notre précédente édition, nous vous avons présenté les photos prises là-haut sur la montagne... Et comme le temps n'était pas propice à la découverte campagnarde, nous avons effectué la descente en direction d'une région encore inconnue pour nous. Après avoir traversé de nombreux villages alpestres, nous sommes arrivés dans la jolie ville de Glaris où nous avons passé la nuit. Que de belles choses à voir dans ce chef-lieu du canton du même nom où la flânerie était pour chacun de nous une détente bienvenue.

Glaris - Chef-lieu du pays glaronnais

Par le nombre de ses habitants - un peu plus de 6 000 au recensement de 1970 -, Glaris pourrait être considérée comme un gros village. Elle ne connaîtra d'ailleurs jamais l'expansion fulgurante de bon nombre d'autres villages et petites villes de la région qui, en quelques années, virent leur effectif doubler ou tripler, car les pa¬

rois abruptes du Glârnisch, du Wiggis et du Schild tout proches lui imposent des frontières infranchissables. Alors que cette petite ville a passé 5 000 à 6 000 âmes en quatre décennies, Nae- fels, par exemple, s'est accrue de 2 800 â 3 900 habitants au cours du même laps de temps, phénomène dû principalement au fait que les villages du bas-pays, situés dans la plaine de la

Linth, disposent de vastes zones de terrains â bâtir, offrant des possibilités pour l'implantation de nouvelles in¬

dustries. La ville qui s'offre aux yeux du voyageur arrivant aujourd'hui â Glaris ne diffère guère de celle que construisirent les urbanistes Simon et Wolff après le grand incendie qui ravagea cette cité en 1861.

Ce qui frappe d'emblée le visiteur, ce sont les larges avenues qui se croisent perpendiculairement en damier. Seule la rue principale traverse la ville en diagonale, du bâtiment communal â la place de l'Hôtel-de-Ville. Si les urba¬

nistes ont construit d'aussi larges ave¬

nues, ce n'est pas par une prémotion du futur trafic urbain - qui est au¬

jourd'hui à la limite du supportable - mais plus simplement pour les inter¬

valles séparant les maisons permet¬

tent d'éviter un nouvel incendie aussi

catastrophique. Glaris, ville relative¬

ment récente, ne possède que très peu de monuments historiques, mais ses bâtiments officiels sont, phénomène rare en Suisse, des constructions très représentatives de leur fonction; c'est le cas de l'hôtel de ville, du tribunal et de l'ancienne école cantonale, qui fu¬

rent construits dans le style nouvelle Renaissance. Il est également éton¬

nant, si l'on considère l'étroitesse de la vallée, de constater les dimensions de la place de la Gare avec son parking, le Volksgarten, de la place de l'Hôtel-de- Ville située en plein centre et de la Spielhofplatz. La ville de Glaris, avec ses nombreux édifices officiels, ap¬

paraît immédiatement aux yeux de chacun comme une ville administrative et comme le centre culturel du canton.

On ne sera donc pas étonné d'appren¬

dre qu'une attention toute particulière est vouée ici à la vie culturelle. Depuis vingt ans, Glaris possède un musée d'art où sont présentées périodique¬

ment des expositions spéciales. La société de concerts et conférences de Glaris organise régulièrement des con¬

certs pendant la saison d'hiver; elle s'efforce de présenter des œuvres dramatiques du répertoire classique et moderne ainsi que des soirées littérai¬

res. N'oublions pas de mentionner l'orchestre de chambre glaronnais qui s'est acquis un renom bien au-delà des frontières du canton. Celui qui s'inté¬

resse â l'histoire ou aux sciences natu¬

relles peut assister aux conférences organisées par les diverses sociétés spécialisées. La bibliothèque canto¬

nale offre un remarquable choix de livres d'un grand intérêt historique; elle a été enrichie il y a quelques années d'une salle de lecture entièrement ré¬

novée où l'on peut consulter les ouvra¬

ges de références et les abrégés trai¬

tant de tous les domaines scienti¬

fiques.

Glaris n'est ni un centre industriel ni une ville commerciale; mais grâce â sa situation centrale et au fait qu'aucune agglomération importante ne se trouve â proximité des frontières du canton, elle est le centre d'achats de toute la population de la campagne glaronnaise. On est cependant étonné de constater que ce ne sont pas tant les centres commerciaux qui attirent les Glaronnais que les petites bou¬

tiques très nombreuses en cette ville.

Glaris est le siège d'un nombre surpre¬

nant de sociétés anonymes. Il y a déjà bien des années, une législation pré¬

voyante avait donné à Glaris un attrait tout particulier pour ces sociétés en leur permettant d'ajouter leurs impôts aux revenus du canton. Ainsi le visiteur qui s'étonnerait de remarquer tant d'études d'avocats dans la ville ne devrait pas en déduire que les Glaron¬

nais sont querelleurs. Les nombreuses sociétés ayant leur siège social â Glaris n'apportèrent pas seulement des im¬

pôts au canton, mais beaucoup d'entre elles confièrent leurs problèmes juri¬

diques aux avocats de la ville. Glaris est une petite ville, mais elle offre toutes les caractéristiques que l'on attend généralement d'une capitale régionale.

(A suivre) La ville de Glaris, comme blottie contre les parois abruptes du Glârnisch, du Wiggis et du Schild, est malgré cela conçue selon des notions d'urbanisme de dégagement.

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FI - Madame Spreng, quelle est la définition d'une conseillère natio¬

nale et comment êtes-vous entrée au Parlement fédéral?

- La conseillère nationale a la même définition que le conseiller national, c'est une membre du Législatif suisse qui représente un certain pourcentage de la population de notre pays aux Chambres fédérales. Pour la première fois, en décembre 1971, des femmes ont siégé au Conseil national. J'ai eu l'honneur d'être l'une des neuf femmes qui ont fait leur entrée au Parlement.

Ce chiffre est monté rapidement à 14 par des élections complémentaires.

Depuis les élections de 1975, nous sommes quinze femmes au Conseil national et depuis peu il y en a une au Conseil des Etats.

Avant mon élection au Conseil natio¬

nal, je ne pouvais pas faire de poli¬

tique, mais je me suis intéressée è l'introduction du suffrage féminin et à l'obtention des droits politiques pour les femmes. Vous savez que j'ai fait partie du Grand Conseil fribourgeois de 1971 à 1976. Je n'ai pas renouvelé ma candidature au Législatif de notre canton pour la raison que j'étais déjà surchargée de travail en qualité de médecin et comme conseillère natio¬

nale.

FI - Qu'est-ce qu'une conseillère nationale au sein du peuple suisse?

Et quelle est sa politique?

- Les premières femmes qui sont en¬

trées au Législatif suisse ont eu une position un peu particulière en ce sens qu'elles ont été obligées de créer quelque chose de nouveau. Les réac¬

tions différentes pour chacune d'entre elles. Les unes ont tenté de copier exactement la politique de l'homme, tandis que d'autres ont cherché un style personnel. J'ai pensé qu'il fallait instaurer une politique féminine en tenant compte que le sexe féminin a

rait d'ailleurs contraire à mon carac¬

tère. Il était nécessaire de collaborer à la création de nouvelles lois tenant compte de l'opinion masculine et fé¬

minine. Je suis consciente des difficul¬

tés qu'ont les femmes encore à l'heure actuelle mais je dois cependant re¬

connaître une nette amélioration de¬

puis que le sexe féminin siège au Parlement. Par notre travail, sans exci¬

tation, sans émotion, nous avons réussi â faire réfléchir le sexe masculin sur de nombreux problèmes qui sont les mêmes pour l'homme et la femme.

Il existe maintenant une nouvelle loi sur la famille, une autre a été acceptée sur la filiation et sur l'adoption. Les fem¬

mes sont particulièrement consultées en ce qui concerne le bien-être de la famille, de la femme, de l'enfant et tout ce qui touche aux affaires sociales. Je n'ai pas voulu m'intéresser unique¬

ment â ce domaine, car j'ai jugé qu'il était utile de donner son point de vue sur tous les points tels que le travail du paysan, les universités, la pollution de l'air, le bruit, la qualité de la vie, que nous devons traiter d'une manière aussi raisonnable que possible. Les femmes sont beaucoup plus proches des difficultés quotidiennes que l'homme, c'est pourquoi elles les ju¬

gent parfois avec plus de bon sens.

L'arrivée des femmes au Parlement n'a pour ainsi dire pas modifié l'attitude et le comportement des hommes poli¬

tiques. La présence féminine, a intro¬

duit un peu plus de politesse, de courtoisie et de souplesse dans les discussions et les séances. Nous ne sommes que seize sur 244 membres au Parlement mais c'est un magnifique début pour la promotion de la femme suisse.

Quelle est la politique adoptée par la femme qui siège à Berne? A cette question pertinente, je répondrai que la plupart des femmes travaillent pour le bien commun. Certaines d'entre elles font surtout la politique de leur propre parti, tout particulièrement les socialistes. L'optique n'est pas la même dans mon parti, je suis radicale, chacun est libre de ses opinions.

FI - Que peut-on attendre d'une conseillère nationale?

- Il me semble que les femmes au Conseil national sont beaucoup plus mises à contribution que les hommes.

On nous demande un travail précis, bien préparé et de qualité. J'essaie de remplir mon mandat au plus près de ma conscience en regardant d'une manière approfondie comment aider le travail de la femme. Il faut veiller à ne pas se laisser entraîner par le feu de

frage féminin, j'ai pensé que les fem¬

mes d'un canton â majorité catholique et en même temps bilingue, pourrait obtenir le droit de vote pour le sexe féminin aussi bien que les cantons de Vaud, Neuchâtel et Genève à majorité protestante. Lorsque les femmes du canton de Fribourg ont obtenu ce droit, cela a fait boule de neige en Suisse. Ma reconnaissance va à toutes celles qui ont œuvré dans ce sens, car il a fallu faire campagne pour atteindre ce but. J'ai été élue au Conseil national alors que je me trouvais avec mon mari au Japon à un congrès médical.

FI - Quelles sont vos responsabili¬

tés sur le plan suisse et qu'en est-il pour le canton de Fribourg?

- En ma qualité de conseillère natio¬

nale, je suis membre de nombreuses commissions permanentes. J'ai tra¬

vaillé dans celles qui s'occupent de l'alcool, des pétitions, du commerce extérieur, etc. A l'heure actuelle, je fais également partie de la commission militaire fédérale. La défense nationale est très importante pour les femmes.

Elles ont des responsabilités à son égard. J'ai l'occasion de visiter la troupe, et suis toujours gentiment reçue. La présence d'une femme joue un effet psychologique. Elle comprend mieux certains problèmes: ainsi les difficultés des paysans qui ne trouvent personne pour soigner leur bétail du¬

rant quinze jours ou trois semaines. Il y

avant tout l'intérêt de son canton. Il est évident que les sujets qui m'intéres¬

sent le plus sont d'abord ceux qui touchent le canton de Fribourg.

FI - Votre fonction de représen¬

tante du peuple à Berne vous prend- t-elle beaucoup de temps et vous sentez-vous bien dans votre peau?

- Etre conseillère nationale au¬

jourd'hui est une lourde charge. Cette fonction me prend énormément de temps, raison pour laquelle, j'ai été contrainte d'abandonner ma profes¬

sion de médecin. Imaginez-vous que nous avons quatre fois trois semaines de session par année, plus cette année déjà, â deux reprises, une semaine supplémentaire. Chaque session doit être préparée avec soin et attention.

Pour cela, nous nous devons d'assister aux séances de six à huit commissions, lire les textes, préparer les articles de lois, etc. En plus du travail du Conseil national, il me faut en qualité de vice- présidente du Parti radical fribour¬

geois, participer à des séances, as¬

semblées et conférences. Avant chaque session du Parlement, nous tenons des réunions avec les membres du Conseil d'Etat fribourgeois pour tenter d'accorder nos violons sur ce qui va être discuté aux Chambres fédérales. Et ce n'est pas tout, il faut encore donner des conférences par çi, par là, accorder des interviews aux Mme Liselotte Spreng en compagnie de son mari également médecin

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/A BATON Si YAVEC..

JUMJIUIM Interview de Mme Liselotte Spreng,

conseillère nationale (suite de la page 4)

journaux, à la radio et à la télévision.

Récemment, je suis allée deux fois à Lucerne parler de l'interruption de grossesse. Malgré tout le travail qu'implique le mandat de conseillère nationale, je suis très satisfaite de remplir cette charge, espérant agir pour le bien-être de la population suisse et du canton de Fribourg. Je viens de rentrer des Etats-Unis où

j'étais déléguée par le Parlement à un congrès médical discutant de l'eutha¬

nasie. J'ai eu l'honneur de deux entre¬

tiens à la TV américaine.

Vous me demandez si j'ai peur de parler? Je parais relaxe alors qu'inté¬

rieurement, ce n'est pas le cas. Quant j'ai pris pour la première fois la parole devant le Conseil national, j'étais très inquiète, nerveuse, mais je me suis vite

habituée. Un peu de trac est une réaction normale. Je me sens très bien dans ma peau, les hommes politiques sont très gentils avec moi, je suis passionnée de l'intérêt de la vie parle¬

mentaire. Pour être conseillère natio¬

nale il ne faut pas avoir peur du travail, savoir s'organiser. Je reçois un grand nombre de lettres et tente de répondre à tout le monde.

Vous voudrez bien me pardonner, j'ai omis de vous expliquer le terme un peu, édical d'euthanasie. Il ne s'agit plus de grossesse, car vous savez que je m'étais fortement engagée dans la commission sur la loi de l'avortement.

Cette fois-ci il s'agit des personnes âgées, incurables, handicapées, même des nouveau-nés difformes. Une pre¬

mière initiative parlementaire avait proposé, il y a 2 ans, d'établir une loi

fixant à quel moment le médecin pou¬

vait impunément interrompre un trai¬

tement: C'était le cas d'euthanasie passive ou* laisser mourir*. J'étais alors présidente de la commission qui avait jugé, suivie par le Parlement, qu'une loi était trop délicate sur ce sujet, les conditions variant énormé¬

ment d'un être à l'autre. Nous avions chargé l'Académie suisse des sciences médicales de donner aux médecins et hôpitaux des lignes directives de con¬

duite, ce qui fut fait. La nouvellle initiative du canton de Zurich de¬

mande, elle, l'euthanasie active: le droit pour le médecin sur demande du malade de lui donner une piqûre mor¬

telle. C'est sur ces deux sujets que j'ai été chargée de parler en USA.

Propos recueillis par Gérard Bourquenoud

Avez-vous de 4,

Reconnaissez-vous ce village?

Photo parue dans notre édition du 3 mai 1978

Il fallait nous indiquer qu'il s'agissait d'un cerf (mâle). Photo prise au zoo de Servion.

Index des personnes qui ont donné une réponse juste:

Henri Chassot, Fontaines: Nicolas Devaud de Louis, Porsel; Raymond Zurich, Lessoc: Paul Pesse, La Joux; Germaine Uldry, Le Châtelard; Oscar Leoni, rue du Moléson 1, Bulle; Thérèse Losio, Porsel; Edith Barras, Granges-Paccot; Jean-Marie Droux, La Joux; Jean-Pascal Bielmann, Cournillens; Hélène Chammartin, de Gilbert, Chavannes-sous-Orsonnens; Thérèse Oberson, Rueyres-Treyfayes; Denise Risse, Villarepos; Solange Curty, La Roche; Suzanne Rouiller, Zurich; Alice Magnin, Villaz- St-Pierre; Monique Giller, rue de la Borde 22 bis, Lausanne; Léon Rey, Môtiers;

Marie-Thérèse Rosset, chemin de Cressy, Petit-Lancy; Marie-Th. Baechler, Lussy;

Pierre et Jacques Sciboz, 6, Praz des Riaux, Fribourg; Jeanne Curty, Clos des Agges, La Tour-de-Trême; Canisia Clerc, Rössens; Yvonne Ducrot, Neyruz; Marcel Portmann, Pierrafortschia, Bourguillon; Agnès Galley, Fribourg; Yvonne Mettraux, Neyruz: Marie-Thérèse Crausaz, Villarsiviriaux, Aimé Berset, Eaux-Vives 1, Villars- sur-Glâne; Raymond Cosandey, Bois Gentil 146, Lausanne.

Le gagnant au tirage au sort est: Monsieur Raymond Cosandey, Bois Gentil 146, 1000 Lausanne

La réponse devra nous parvenir au plus tard le 15 juin 1978. Un abonnement de trois mois gratuit à Fribourg-lllustré (Aucun argent n'est versé).

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Quarante-cinq ans de mariage

N'est-ce pas une victoire sur les embûches de la vie de fêter quarante-cinq ans de mariage dans la même force de l'amour, dans une admiration réciproque et une harmonie parfaite? Entourés par leurs enfants et petits-enfants, M. et Mme Fernand Curty ont passé une agréable journée d'anniversaire empreinte de reconnaissance et aussi d'affection.

Aux jubilaires, fidèles abonnés à notre magazine, Fribourg-lllustré leur adresse ses félicitations et ses vœux de bonheur et de santé. G. Bd

Courtion: un drapeau pour la fanfare

«La Lyre» de Courtion vient d'étrenner un nouveau drapeau dont les parrain et marraine sont M. Raymond Schouwey et Mme Rose-Marie Progin. Un office religieux suivi d'un cortège et d'un banquet marquèrent cette journée organisée de manière parfaite par le comité de la société de musique ayant â sa tête M. Jean- Pierre Equey. (Photo FI)

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Une très belle chambre à coucher qui rapelle une époque où il faisait bon vivre dans le calme et la simplicité

Armoire fribourgeoise et secrétaire trois corps fabriqués par l'ébénisterie Richoz Fabriqué de leurs propres mains, leur mobilier est maintenant exposé en permanence dans leur atelier de Fuyens (route Fribourg - Romont par Farvagny) où vous avez la possibilité de voir naître un mobilier marqueté en cerisier massif.

Intimement lié à la vie quotidienne, leur travail du bois reflète les préoccupations de l'homme, sa façon de vivre, son sens du confort.

Les Frères Richoz possèdent le don d'enrichir leur mobilier avec le plus grand souci d'authenticité.

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Regards

sur le 7e Comptoir

de Romont

Une manifestation nécessaire

à l'économie glânoise Malgré une conjoncture en perte de

vitesse, Romont et la Glane ont réussi à maintenir la tradition. Le Comptoir, cette manifestation qui a lieu tous les deux ans, a permis de faire le point sur l'économie glâ¬

noise et de son chef-lieu. Il est vrai que bien des choses ont changé depuis le premier comptoir en 1965.

A chacune de ses éditions, il est devenu plus grand et plus beau.

L'esprit d'une telle manifestation est tout particulièrement fondé sur la rencontre entre exposants et visiteurs.

Le 7e Comptoir de Romont s'est tenu pour la deuxième fois sur le terrain de la Condémina. Les halles de toile qui s'étendaient sur 3 000 m2, soit 16% de plus qu'en 1976, abritaient les stands de soixante- huit exposants, soit une augmenta¬

tion de 19% sur l'édition précé¬

dente.

Le Comptoir de Romont a pour tradition aussi d'accueillir un hôte d'honneur. Cette année, ce fut la ville d'Estavayer-le-Lac. Les habi¬

tants de cette région du canton se sont déplacés nombreux dans le chef-lieu de la Glâne, en apportant la douceur et le charme de la Broyé.

En parcourant l'exposition, nous avons constaté que les exposants avaient amélioré quelque peu la présentation de leurs stands avec une meilleure qualité esthétique.

Dans le domaine de la décoration, il sied de relever le magnifique travail accompli par des maîtres et des élèves de l'Ecole secondaire de la Glâne. Leur initiative a fait très plaisir aux organisateurs de ce Comptoir qui ont apprécié leur col¬

laboration.

Allocution de bienvenue par M. Demont, président du Comptoir de Romont Ouverture en musique et en chan¬

sons

C'est le mercredi 3 mai, veille de l'Ascension, que le Comptoir de Ro¬

mont 1978 a été ouvert au public. M.

Albert Demont, son président, coupa le ruban symbolique en présence d'une brochette de personnalités, parmi les¬

quelles nous avons remarqué MM.

René Grandjean, préfet de la Glâne;

Georges Guisolan, préfet de la Broyé;

Michel Schmoutz, syndic de Ro¬

mont: François Torche, syndic

d'Estavayer-le-Lac; et Jean-Louis Schmutz, président de la Sicare. Cette manifestation d'ouverture était re¬

haussée par les belles productions des Cadets de Romont et du chœur de l'Ecole secondaire de la Glâne dirigés par M. Albert Sottas.

Personnalités et visiteurs ont constaté en parcourant l'exposition que celle-ci était le reflet véritable du commerce et de l'artisanat régional. Si l'industrie avait réduit sa présentation, l'agricul¬

ture, elle, s'est manifestée par un stand remarquable, cela grâce à l'ini-

M. Albert Demont, president d organisation, coupe le ruban tiative du Forum agricole de la Glâne. Il

est évident que le Comptoir est un lieu de rencontre qui favorise les contacts entre tous les habitants d'une région et même au-delà du district et du canton.

Pour beaucoup, c'est la joie de se retrouver autour d'une table, de parler de choses et d'autres, de fraterniser avec des amis, de vivre quelques heu¬

res de détente dans une atmosphère musicale ou folklorique, sans oublier la découverte des nouveautés présen¬

tées par le commerce et l'artisanat. Et puis, il y avait Ernest Devaud de l'aéro¬

drome d'Epagny qui, durant cinq jours, a fait bénéficier les visiteurs du Comp¬

toir de Romont de vols de passagers en hélicoptère sur le pays de Fribourg.

Pour bon nombre de gens de la campa¬

gne et surtout la jeunesse glânoise, la présence de ce moyen de transport inabituel était une attraction.

Le jury a-t-il été objectif?

La remise des prix aux exposants lauréats du concours du plus beau

pour l'attribution de ces prix? Ne pen¬

sez-vous pas que ceci compenserait cela?

Belle affluence pour la journée offi¬

cielle

Elle s'est déroulée le jour de l'Ascen¬

sion sous un soleil resplendissant et chaud. On avait peine à respirer sous les toiles de l'exposition. Un cortège emmené par les fanfares de Romont et d'Estavayer-le-Lac est descendu de la ville jusqu'à la Condémina. Les dra¬

peaux des communes de la Glâne étaient suivis de nombreuses person¬

nalités dont la liste serait trop longue à énumérer. Nous citerons MM. Pierre Dreyer, conseiller d'Etat; Maurice Colliard, président du Grand Conseil;

René Grandjean, préfet de la Glâne;

André Bise, président de la Société de développement d'Estavayer, ainsi que les autorités des deux cités historiques et de nombreux députés des deux districts. Tout au long du parcours, les La réception du Comptoir décorée par les élèves de l'Ecole secondaire de la Glâne

Une brochette de personnalités stand a eu lieu le jeudi après-midi à la

cantine de fête. Le jury du Comptoir qui, semble-t-il, a bien fait son travail tant sur la plan de l'originalité que celui de la présentation, a décerné le pre¬

mier prix à la Droguerie Blanc de Romont, le deuxième a été attribué à l'ébénisterie Richoz Frères à Fuyons, tandis que le troisième est allé à trois artistes d'Estavayer-le-Lac, MM. Bon, Rheinhard et Monnard. Un certain public, qui a visité plusieurs fois l'exposition et qui s'est arrêté longuement devant chaque stand, a été surpris et étonné du choix du jury.

Faut-il lui donner raison? Il est compré¬

hensible qu'un concours, quel qu'il soit, fait toujours des contents et aussi des mécontents. Est-il possible de connaître les critères qui sont retenus

applaudissements ont crépité pour le groupe folklorique espagnol d'Esta¬

vayer qui a laissé une profonde im¬

pression. Lors de la partie officielle, M.

François Torche, syndic d'Estavayer a, au nom de sa commune, offert un magnifique cadeau à M. Michel Schmoutz, syndic de Romont.

Si la journée de vendredi s'est avérée plus calme, les organisateurs ont tou¬

tefois eu le plaisir d'accueillir le 10 000e visiteur en la personne de M.

Patrick Monney de Villaz-St-Pierre, qui était accompagné de sa mère. Le dimanche après-midi 7 mai, M. et Mme Christian Sottaz, un jeune couple de la Tour-de-Trême, était fêté comme étant le 20 000e visiteur du Comptoir de Romont.

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Regards sur le 7e Comptoir de Romont (suite de la page 6) Un résultat positif et encourageant

En fermant ses portes, le 7e Comptoir de Romont a franchi une étape impor¬

tante en dépassant le cap des 20 000 visiteurs. Progression constante qui est une preuve évidente de la popula¬

rité dont il jouit. Nous avons aussi pu constater que les relations nouées tous les deux ans avec des régions différentes portent leurs fruits. Il est incontestable que l'initiative prise il y a deux ans d'implanter cette exposition à la Condémina est heureuse, puisqu'elle permet d'avoir une plus grande surface à disposition des expo¬

sants.

Il ne nous reste plus qu'à souhaiter que tous auront non seulement fait connaître leurs produits mais qu'ils auront également réaliser des affaires.

Un point qui ne peut être négligé par aucun des exposants lorsque nous connaissons le coût de la location d'un stand. Nous nous devons de féliciter tous ceux qui ont œuvré à la réussite de ce 7e Comptoir de Romont, magni¬

fique reflet de l'économie glânoise, le comité de la SICARE formé de MM.

Jean-Louis Schmutz, président; G.

Jolliet, vice-président: Mme E. Gen¬

dre. secrétaire; S. Lafranchi, caissier;

A. Bapst. B. Glannaz. M. Blanc et R.

Steinhauer.

Cette manifestation économique a suscité un vif intérêt et le nom de Romont rayonne maintenant loin à la ronde.

(Texte et photos G. Bourquenoud-FI)

Le groupe folklorique espagnol d'Estavayer-le-Lac

Les Cadets de Romont étaient de la fête Le groupe folklorique «Au fil du temps» de Romont

) 000e visiteur, M. Patrick Monney de Villaz-St-Pierre (à gauche) en compagnie i mère, d'une secrétaire du Comptoir, et de M. Michel Colliard

intéressants: éclairage de la ville à l'occasion des fêtes de fin d'année, tombola gratuite des semaines commerciales de décembre, journal de la Sicare, Animation 77, course aux œufs de Pâques, et bien d'autres encore. A l'avenir, la SICARE entend maintenir ces traditions maintenant bien établies et les améliorer. Elle fera tous les efforts nécessaires pour défendre le petit commerce et l'artisanat en général. Une réussite déjà: grâce à la SICARE, le Tour de Romandie a passé cette année en ville de Romont et non plus à l'extérieur.

L'activité de la SICARE étant déjà très diverse et très fructueuse, on peut se demander pourquoi elle a œuvré en faveur d'un Comptoir è Romont. Les raisons en sont bien simples; le Comptoir de Romont - qui revient tous les deux ans - doit souligner la présence de la SICARE dans les différents secteurs de l'économie glânoise, marquer l'apport des nouvelles industries romontoises au développement du district, renforcer les contacts avec la clientèle, présenter l'éventail toujours plus large des possibilités du commerce et de l'artisanat local et régional, rappeler enfin que les commerçants et artisans sont toujours au service de leur clientèle. Au-delà de tout cela, il y a l'aspect humain des relations qu'entretiennent les membres de la SICARE avec tous leurs clients, qu'Us soient de Romont, de la Glâne, voire des régions vaudoises voisines.

A l'origine

du Comptoir de Romont: La SICARE

Mais qu'est-ce que c'est?

La SICARE, c'est la Société des Industriels, Commerçants et Artisans de Romont et Environs. Fondée en 1964, elle compte actuellement 143 membres, soit 71 commerçants, 48 artisans, 7 industriels. Parmi ces membres, 115 de Romont même, les 28 autres provenant des environs.

Les buts de la SICARE figurent dans ses statuts. On peut en retenir notamment que la SICARE doit maintenir un contact régulier entre ses menbres ainsi que réunir leurs efforts en vue de travailler dans l'intérêt commun au progrès et à la prospérité du commerce de Romont et du district de la Glâne. Outre la création du Comptoir, la SICARE a pu. ces dernières années, contribuer à la réalisation de divers projets

Autorités des deux districts défilent en direction du Comptoir

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Regards

sur le 7e Comptoir de Romont

(suite de la page 9)

Le stand de l'agriculture et du Forum agricole de la Glâne

Course automobile à Romont

Le week-end des 10 et 11 juin 1978 se retrouveront sur le magnifique circuit de la place d'armes de Drognens près de Romont les pilotes Suisses disputant le Championnat national. Cette manche du Championnat Suisse automobile réunit les voitures de série du groupe 1 et 3, et les voitures spéciales des Claude Jeanneret de Romont, un des membre actif du Sportif, l'organisateur de la course de Romont

groupes 2, 4, 5. Cette nouvelle édition de la course de Romont rassemble en plus tous les meilleurs pilotes des groupes 1 à 9.

Les organisateurs, l'Ecurie du Sporting de Romont disposeront une nouvelle fois du magnifique circuit de la place d'armes de Drognens, un circuit réputé grâce à son tracé tenant aussi bien de la course de côte que d'un anneau de vitesse avec ses chicanes, le public dispose d'une vue exceptionnelle sur l'ensemble du haut du parcours et pourra ains voir de près l'habileté des pilotes face à leurs machines.

Le samedi est réservé aux pilotes non licenciés qui pourront ainsi débuter dans la course automobile. Pour le dimanche, la course est ouverte le matin aux pilotes débutants (Licenciés C) tandis que l'après-midi sera réservé aux participants du Championnat Suisse. JFB Vols de passagers en hélicoptère avec Ernest Devaud

A Massonnens.

Jubilé de la

Caisse Raiffeisen La petite paroisse de Massonnens fut en fête, le dimanche 7 mai, pour la célébration du Cinquantenaire de sa Caisse Raiffeisen, fondée en 1928, par le curé Jean Beaud, et par l'instituteur Joseph Abriel. Leur souvenir plana sur

cette fête qui fut aussi celle de la reconnaissance. Messe solennelle, dite par M. le curé Schmid, et relevée par les chants du chœur mixte, sous la direction de M. Jaquet, professeur à Romont; cérémonie au cimetière.

Après l'apéritif servi à l'école, un excellent repas rassembla, dans la salle du café de l'Union, tous les coopérateurs et leurs invités. Après son traditionnel salut, le président de la Caisse, M. Gaspard Brulhart, trans¬

mit ses pouvoirs au major de table, M.

Georges Schorderet. De nombreux

orateurs se succédèrent au pupitre, Trois fondateurs jubilaires. De g. à dr. M. Elie Rey, Eugène Delabays et Léon Rey Les membres du comité et du Conseil de surveillance

.© Ô.

&

soit M. Paul Puippe, représentant l'Union centrale de St-Gall, M. Willy Blanc, président du groupe Fribourg- Romand, M. Gilbert Chammartin, pré¬

sident de la Caisse d'Orsonnens, M. le syndic Alfred Deillon et M. Germain Schorderet, président de paroisse, M.

le curé Schmid. Le gérant de la Caisse, M. Bernard Delabays retraça briève¬

ment les 50 ans de cette institution, qui compta 27 coopérateurs en 1928 et qui en a aujourd'hui 50; son bilan atteint cette année-ci le million. On fêta, comme il convenait, trois membres fondateurs jubilaires: MM. Elie Rey, Eugène Delabays, président d'hon¬

neur, et Léon Rey. On pensa naturelle¬

ment à eux à l'heure de la remise des cadeaux du Cinquantenaire, et les 50 coopérateurs de Massonnens, dès maintenant, sauront tous exactement le temps qu'il fera. Une très agréable après-midi, dans la chaleureuse am¬

biance d'une bêlle fête villageoise, où musique et chansons alternèrent avec les discours et les excellents services de M. Jean-Pierre Seydoux, tenancier.

Et maintenant, en route vers le Cente¬

naire.

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(13)

Au fil de la Glâne

Quand la Société fribourgeoise des officiers se forge une

nouvelle jeunesse

La Société fribourgeoise des officiers, qui compte actuellement 1 100 mem¬

bres, a tenu son assemblée générale annuelle à l'Aula de l'Ecole secondaire de la Glâne , à Romont, sous la prési¬

dence du colonnel Joseph Zurkinden, qui a salué de nombreuses personnali¬

tés, parmi lesquelles MM. Maurice Colliard, président du Grand Conseil:

Arnold Waeber, président du Conseil d'Etat; Joseph Cottet et Rémi Bro- dard, conseillers d'Etat; René Grand- jean, préfet de la Glâne; Michel Schmoutz, syndic de Romont;

François Sallin, directeur de l'Ecole secondaire de la Glâne; ainsi que de nombreux officiers supérieurs dont la liste serait trop longue à énumérer. A cette rencontre qui a réuni plus de 150 officiers du canton de Fribourg, nous avons constaté qu'il y avait de nom¬

breux jeunes officiers venus grossir les rangs de la SFO.

Le comité de la SFO. Au centre, debout, le colonel Zurkinden, président Un ton calme dans une atmosphère

détendue

Dans son rapport annuel, le président a souligné l'activité déployée par la So¬

ciété fribourgeoise des officiers l'an passé. Il a remercié tous ceux qui ont consacré du temps à l'organisation des manifestations. Il a ensuite fait part de l'activité 1978 qui comprendra une course d'orientation, quatre con¬

férences, et des journées sportives.

L'assemblée générale 1979 aura lieu en Sarine-Campagne à un endroit encore à désigner. Durant le dernier exercice, la société a enregistré vingt-deux dé¬

missions et trente-cinq admissions. La situation financière s'avère satisfai¬

sante par le fait que la caisse accuse une fortune de 14 000 francs. Au nom des vérificateurs, le pit Galley a de¬

mandé d'applaudir le capitaine Met- traux pour l'excellente tenue de la comptabilité. Le colonel Zurkinden a félicité et remercié le major Joseph Haymoz qui, après quinze ans de dévouement au sein du comité, a présenté sa démission. Un cadeau lui a été offert en reconnaissance de sa précieuse collaboration. Il a été rem¬

placé par le major Joseph Meuwly, médecin. C'est le pit Repond qui a présenté le rapport d'activité de la section Gruyère-Veveyse, tandis que celui de la section du Lac l'a été par le président de la SFO.

Nous devons tirer un coup de cas¬

quette au colonel Zurkinden qui a présidé les débats d'un ton calme dans une atmosphère très détendue. Même les civils se sentaient parfaitement à l'aisel

Flash sur l'assemblée. Au premier plan, une brochette de personnalités civiles et militaires

Le Divisionnaire Edwin Stettier, com¬

mandant de la division mécanisée 1, durant sa conférence.

Cette assemblée a été enrichie d'une allocution de M. Arnold Waeber, président du Conseil d'Etat et d'une conférence donnée par M. le Division¬

naire Edwin Stettier, commandant de la division mécanisée 1 sur le thème

«Notre armée de milice».

Dans une amitié fraternelle Au cours de l'apéritif servi dans le hall de l'Ecole secondaire et agrémentée par les productions de la fanfare des Cadets de Romont, les participants ont entendu une allocution de M. Michel Schmoutz, syndic de la cité romon- toise. Un repas en commun servi à l'Hôtel de Ville, a mis un point final à cette rencontre qui s'est déroulée dans une amitié toute fraternelle.

(Texte et photos G. Bd)

Villariaz:

Quarante ans de mariage

Un couple très sympathique, M. et Mme Germain Mornod-Devaud, a fêté récemment ses quarante ans de ma¬

riage dans la joie de leur famille qui comprend six enfants et de nombreux petits-enfants. Au cours de cette jour¬

née de retrouvailles, les jubilaires ont été complimentés comme ils le méri¬

taient.

Fribourg-lllustré leur adresse ses com¬

pliments et ses souhaits pour de multi¬

ples années de bonheur.

Photo Donzallaz

(14)

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La distillerie

MORARD

présente ses nouvelles installations

Des bâtiments à l'allure industrielle

La distillerie Morard au Bry est une entreprise familiale qui a fait son chemin depuis 20 ans qu'elle existe.

1958. Monsieur Paul Morard pratique encore le métier d'agriculteur, soignant un troupeau de vaches qui fait sa fierté. Mais déjà il distille la pomme pour les paysans des alentours. Bien vite, il s'aperçoit qu'il répond à un besoin. La Régie des alcools elle-même confirme le manque d'installations dans la région et l'autorise à augmenter sa production. Cela n'est pas aussi simple qu'il y parait: le contingentement est sévère et pour une capacité qui augmente, il faut

La distilleuse (capacité 500 II heure)

NOTRE METHODE DE DISTILLATION

Le producteur livre ses fruits en vrac. Sans manutention, les pommes sont broyées - nous pouvons en traiter 6 000 kg à l'heure - et mises en tonneaux par nos soins. La fermentation se fait dans des conditions idéales.

Chacun reçoit l'eau-de-vie de ses propres fruits, car les tonneaux sont étiquetés. Un simple coup de téléphone permet è celui qui souhaite amener ses matières premières et attendre sa production distillée, de rentrer chez lui avec sa marchandise.

Cette méthode assure qualité et rendement maximum. Elle est pratique et économique.

Plus de pommes mal broyées, de tonneaux trainant dans les étables ou les garages, d'endroits trop froids pour une bonne fermentation, ou d'odeurs risquant d'imprégner les pommes et de donner un mauvais goût è l'eau-de-vie.

Naturellement, celui qui préfère mettre ses fruits en tonneau et les amener pour la distillation sera toujours aussi bien servi que par le passé.

Le local de vente

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en diminuer une autre. On achète donc les alambics des distillateurs du voisinage qui cessent toute activité ou déménagent. Pour arriver à la capacité actuelle, Monsieur Paul Morard en achètera plus de trente.

1970, l'entreprise devient adulte et en 1974, d'accessoire qu'elle était, la distillation devient le travail principal. Et la clientèle augmente régulièrement jusqu'en 1976. Cette année-là, les locaux ne sont vraiment plus adaptés au volume de matière première traitée. Une nouvelle halle est construite: 3 000 tonneaux de 220 litres pourront y trouver place. Dans la foulée, on ajoute un pressoir capable de transformer en une heure 1 200 kg de fruits pour le cidre ou le vin-cuit.

1977, le problème des locaux ayant été résolu, il faut penser à changer les installations.

Celles-ci sont anciennes et inappropriées à un travail rationnel. On en acquérera donc de nouvelles et on les placera dans une construction adéquate.

C'est aujourd'hui chose faite et les 20 ans de l'entreprise se sont confondus avec l'inauguration d'une distillerie complètement rénovée.

Ainsi, Paul Morard et son fils Bernard viennent de faire un pas important au bénéfice d'une clientèle qui apprécie toujours plus les produits de la Maison qu'ils dirigent.

Les tanks à eau-de-vie

Maîtres d'état et fournisseurs ayant collaboré à cette réussite:

Etudes, plans, maçonnerie, béton armé et génie civil:

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Photos: J. R. Seydoux - Bulle Réalisation: Publicitas - Bulle

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Les acteurs qui ont joué la comédie inédite de Francis Brodard Dè tyè rire na bouna mouâcha

Dans le brouhaha des conversations, le comité a organisé deux concours qui ont fait réfléchir bon nombre de patoi¬

sants. L'un consistait à traduire en français des mots en patois de chez nous, l'autre était la lecture d'un récit ou d'un texte en patois d'une durée de cinq minutes. Une participante a eu la tâche facile dans le premier concours, car elle avait dans sa sacoche un magazine fribourgeois dans lequel fi¬

guraient ces mots patois traduits en français. Tant mieux pour elle, tant pis pour les autres!

Plusieurs patoisants dans l'âme ont donné un aperçu de leurs connaissan-

M. François Bourguet donne lecture d'un récit

M. Louis Page, président cantonal, durant son allocution ces dans la langue paysanne, nous

voulons citer Mme Michel, (Courtepin);

MM. François Bourguet, (Treyvaux);

François Mauron, (Ependes); et Henri Python, (Arconciel). Tous ont été ap¬

plaudis comme ils le méritaient.

Le silence a régné quelque peu durant la comédie admirablement jouée par MM. Albert Bovigny (le dzudzo), Jo¬

seph Seydoux (la potié). Héribert Heimo (Marcelon), Mme Béatrice Rossy-Horner (Jabèta) et Francis Brodard (le grefié). Cette comédie «On potié toupenâ» de Francis Brodard a fait rire aux larmes tous les partici¬

pants qui ont ainsi passé d'agréables moments de détente dans une atmos¬

phère chaleureuse.

Kothè rin por'intrâ, rin po chalyi. La pouârta lè ourâye a to le mondo.

Ditè-le à vouthrè j'èmi.

Après cela, nous avons entendu une très belle allocution de M. Louis Page, président cantonal, qui a également fait part d'un récit sur la stabulation libre des lapins. M. François Mauron, s'est exprimé au nom de l'Amicale «Le TRIOLÈ» et a félicité Fribourg-lllustré pour la place qu'il consacre au patois

fribourgeois, rubrique qui permet de le maintenir vivant. Quelques histoires savoureuses ont mis un point final à cette soirée merveilleuse que les pa¬

toisants de Fribourg et environs ne sont pas près d'oublier.

(Texte et photos G. Bd) Mme Michel, de Courtepin

Le patois: un trésor national.

Le vihyo grétè

A dji mètre dou tzemin din on bi veladzo l'y avê on grô bi grétè dè vouètant'an. Ti lè j'an kan le tin èthè dâ chi bi grétè y hiorechè. Ti hou ke pachavan y dejan: chi grétè lè on bi botyè to bian, fajè bi our lè jao ke bourdenavan to le dzoa in alin de hyâ a hyâ po lè chuchi po fére le bon mê ke no j'amin tan. Lè hyâ l'an kemin hyi a pachâ, lè fohyè chon vinyètè è nouhron grétè chè trovâ to vê. Déjo lè fohyè lè pititè grétâe l'an keminhyi a guigni è piti a piti l'an krè è ou mé dè juhyè le bravo grétè hyrè tzerdzi dè balè grochè grètâe nèrè. On bi matin dona no di; vo fô alâ ramachâ di grétâe po le goutâ y vu fère di pilâ. No j'an apoyi l'étzila è lè premirè no lè j'an medjiè, iran tan bouné. Ti lè dzoa no j'in ramachavan è no lè vindan i vejin è a di dzin du défro. Y dejan ti: chon balè hou grétâe. Lè bon j'an ch'ti grétè bayivé a pou pri thin than kilo;

kan fajè di j'an mou lè grétâe chè vouèthâvan è no lè betavan uo bôchè è chin no bayivè kotiè bon litre dè kirsch. Vo chédè po la demindze è lè dzoa dè fitha à chuto po la binichon no fayi bin on bon varelè po betâ din le kâfé nê. Dona no fajè achebin d'Ia bouna confiture mehyâje avu di rejin. Lè j'infan di j'ékoulè kan i pachâvan è ke no vèyian chu le grétè vinyan no demanda on botzi ke no lou bayivan avu plièji. No j'an jou atrapâ di marodeu ke vinian dè nè lou j'inplya la bourdze è modâvan in rijin.

L'an pachâ on bi dzoa dou mê d'où y faji tsô, ou tin pèjan kemin on di, è kontre l'avê prâ di grchè niolè nèrè è oun'a lord'oura no fâ a konprindre k'on oradzo chabadè, di j'èhyudzo è di kou dè tenèvro chin débredâ no fâ a pouère. La dona l'a alumâ on hyerdzo è dejè di préyirè po le tin. L'oradzo vinyè adi pye pri è to don kou on èhyudzo è on éthyiatâye to pri è no j'iran chin lumière. Kan l'oradzo lè jou pachâ no chin chayiê è no j'an yiu ke le tenèvro irè tsjê chu le pouro grétè è ke l'avè d'na pâ tôtè lè brantzè frekachyiè. Apri chin le pouro grétè l'a ke min hyi à hyntsi è po fourni l'a cheytsi. Kan l'evê lè vynyè no j'an déchidâ dè trére chi vihyo grétè ke chetsivè.

On bi dzoa no prinyin di badjè è no van le trére. Apri trè j'aorè dè travô kan lè plyè grochè rashenè chon jou rounyè no j'an teri la kouarda è a fouarthe dè le brinâ le pouro grétè lè tsejè.

Chin no fajê bin de la pêna dè ver chi bi l'abro in ke bâ. No j'an keminhyi pa li réchi le tron, no l'y an rounyi lè brantsè è no j'in d'an fê di fago po étzouda le forni l'evê kevin. La bihye l'è jou vindja a on piti menyjyé ke travahyé adiu le grétè è ke voli fére ouna kemode, ouna dè hou balè kemodè k'on travè adi vè di vihyè famihyè è ke lè j'antityéro atziton a gro pri.

Chti furi chènya no di: i fô rèpyantâ on dzouno grétè. No j'in d'an fê a vinyi on dè Mariahif hyo li a ouna pépenère è no l'an rèpyanta on tro pye hyin tyè l'otro pa tru pri dou tzemin. Chènyia no dejè adi: kan on abro lè fotu y fô le rinpiathi, chin lè kemin din la hya kan on vihyo chin va i fô kon dzouno prenyiechè cha pyathe, i fô ke le mondo chèvichichè cha korcha.

Nouhrè j'infan è piti j'infan porondu ehe par lé achebin lou régala avudi balè grochè grétâe nêrè.

E ora mon bravo piti grétè profita bin dou chèlâ è dou bon tin è tè chouèto de vinyi achebin à vouètant'an è mé.

Konto ke lè jou préjinta ou konkour reman dè patè à St Ursanne è ke la rèchu on trèjimo pri

è ke l'a pacha a radio Lojena chu le chékon programme.

Brâvo j'émi patéjan a révère.

Franthè Mauron, patéjan, Epindè

(17)

I?

m i DU CANTON

Noces d'or à Villargiroud...

M. et Mme Victor Dupré-Pugin, habi¬

tant Villargiroud, ont fêté le cinquan¬

tième anniversaire de leur mariage entourés de leurs quatre enfants et sept petits-enfants. Ancien menuisier, M. Dupré siégea plusieurs années au Conseil communal de son village. Nous présentons au couple jubilaire nos chaleureuses félicitationsl (Photo FI)

... et de rubis à Morens A Morens, ce sont M. et Mme Maurice Vésy qui ont franchi le cap des qua¬

rante ans de mariage en présence de leurs quatre enfants et six petits- enfants. Figure marquante de son vil¬

lage dont il fut syndic et boursier, M.

Vésy occupe depuis 1939 le poste de gérant des cultures. Nos vœux les accompagnent sur le chemin des noces d'orl (Photo FI)

La fanfare de Surpierre habillée de neuf

«La Lyre paroissiale» de Surpierre que dirige M. Conrad Rotzetter et que préside M.

Georges Nicolet a inauguré ses nouveaux uniformes au cours d'une journée toute empreinte de cordialité et d'allégresse. Ce fut le doyen Paul Crausaz qui, durant l'office religieux, bénit les musiciens et leur costume. Un apéritif suivi d'un cortège et d'un banquet marquèrent cette manifestation à laquelle prirent part plus de 220 invités. (Photos FI)

Le concert du chœur mixte de Neyruz

C'est en l'église paroissiale que le chœur mixte de Neyruz que dirige M. Jean-Pierre Chollet a donné son concert annuel en présence d'un très nombreux public. Celui-ci eut en outre l'occasion d'applaudir le chœur mixte l'Harmonie de Broc ainsi que Mlle Christa Lutz, organiste. La présentation des œuvres était assurée â la perfection par M. Jean Brülhart alors que M. Bernard Mettraux, en cours de soirée, devait remercier chanteurs et chanteuses de leur dévouement et de leur exemplaire fidélité. (Photo FI)

Font: redonner vie à une coutume Il faut rendre hommage à la jeunesse de Font d'avoir redonné vie à la course aux œufs qui, pour la première fois depuis trentre ans, attira un nombreux public sur un pré du village. Cette tradition était autrefois bien vivante dans la localité, l'une des épreuves consistant à effectuer â la course le parcours Font-Estavayer. Les danseurs éprouvaient ensuite quelque peine à suivre leurs partenaires lors du bal qui achevait la fête...

(Photo FI)

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«Fribourg-lllustré»

Index des salles publiques à disposition dans le canton de Fribourg pour:

ASSEMBLEES - CONFERENCES CONGRES

MANIFESTATIONS DIVERSES BANQUETS DE SOCIETES

REPAS DE NOCES.

Tout cela résumé en quatre sigles ainsi que le nombre de places A = Assemblées et conférences B = Banquets de sociétés C = Congrès

N = Repas de noces Gruyère

GRUYERES

Hostelleria St. Georges 10 à 300 places - A - B - C - VUADENS

Hôtel de la Gara

20 à 500 places - A - B - C • CRESUZ

Hôtel du Vieux Chalet 30 à 250 places - A- B- C- N SALES (Gruyère)

Hôtel de la Couronne 300 è 400 places - A - B ■ GRANDVILLARD

Hôtel du Vanil-Noir 150 è 250 places A - B GRANDVILLARD Hôtel de la Gare

80 è 320 places - A- B- C- N

Hôtel de la Croix-Blanche 20 - 40 et 200 places - A - B - N BOTTERENS

Auberge du Chamois 100 places - A - B - N MORLON

Café-Restaurant Gruyérien 10 à 120 places - A - B - N BROC

Hôtel de Ville

500 à 900 places - A- B- C- N BULLE

Restaurant Gruyârien 70 è 120 places - A - B - N VUIPPENS

Hôtel de Ville

10 à 150 places - A - B - N CERNIAT

Hôtel de la Berra 10 à 110 places - A - B - N CHARMEY

Hôtel du Sapin 300 places A-B-C-N Glane

VILLAZ-ST-PIERRE Hôtel du Gibloux 450 places - A- B- C- N ROMONT

Hôtel de la Belle-Croix 70 à 140 places - B - N SIVIRIEZ

Hôtel de la Gare

280 à 360 places -A-B-C-N MEZIERES

Café-Restaurant de la Parqueterie 200 è 250 places - A - B - N

ROMONT Hôtel de Ville

250 à 400 places -A-B-C-N

CAFE RESTAURANT

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Plat du jour - menu du dimanche SPÉCIALITÉS:

Jambon de la borne Cuisses de grenouilles et spécialités de saison

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LA VIE MUSICALE SUPPLÉMENT BIMENSUEL DE FRIBOURG-ILLUSTRÉ 7 juin 1978

LA SUISA, société suisse pour la défense des droits d'auteurs (suite du No 60)

M. Alfred Schorro, fervent musicien de la «Concordia» de Fribourg, vétéran fédéral. Photo G. Bd

Qui doit payer à la Suisa?

D'après la loi, c'est l'organisateur d'une exécution musicale qui a la responsabilité de requérir à temps l'autorisation de la Suisa et de lui payer la redevance correspondante.

Mais alors, qui est l'organisateur?

Dans la plupart des cas, il n'est pas difficile de le désigner. L'hôtelier ou le restaurateur qui engage un orchestre dans son établissement ou qui fait l'acquisition d'un gramophone auto¬

matique à sous, la société qui organise une fête ou présente un film sonore, la fanfare ou le chœur qui donne un concert pour son propre compte, tous sont des organisateurs, sans hésita¬

tion possible.

La décision est parfois plus difficile lorsque plusieurs personnes ou socié¬

tés collaborent à l'organisation d'une manifestation. Qui est l'organisateur par exemple lorsqu'une société donne sa soirée dans un café et que le cafetier paie lui-même les musiciens? Tous les deux le sontl Mais dans un cas pareil, la Suisa s'adressera dans la règle à celui qui, en tant qu'organisateur principal, a le plus contribué à la mise sur pied des exécutions de musique. Ce sera par exemple celui qui se charge des frais d'orchestre, qui paie les annon¬

ces, éventuellement la permission de police, etc.

Il est loisible à des coorganisateurs de s'entendre pour décider qui d'entre eux payera l'autorisation de la Suisa.

La Suisa est toujours disposée â pren¬

dre en considération des accords de ce genre, pour autant qu'ils lui soient communiqués en temps opportun. Il faut cependant préciser que, quelle que soit leur forme, ces accords ne libèrent pas les coorganisateurs de leur responsabilité légale personnelle en ce qui concerne le payement des redevances de droit d'auteur.

A côté de l'organisateur proprement dit, celui qui fournit le local dans lequel a lieu la manifestation est aussi res¬

ponsable légalement du payement de la redevance â la Suisa, s'il sait que l'autorisation de la Suisa doit être obtenue. La Suisa tient compte de cette responsabilité quand elle ne reçoit pas la redevance en temps voulu, de la part de l'organisateur en titre.

Par contre l'organisateur ne peut en aucun cas se décharger de ses obliga¬

tions envers les auteurs sur les musi¬

ciens ou chanteurs qu'il a engagés ou qui lui prêtent leurs concours. Il est responsable pour eux et non eux pour lui- ( à suivre) Suisa

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Prénom . . Profession Rue et no . Domicile . . (No postal) Signature . Envoyer ce bulletin à Fribourg-lllustré 35. rte de la Glane 1700 Fribourg

président eut le plaisir de saluer Me Henri Steinauer, vice-président du Grand Conseil; MM. Jean-Louis Terrapon, syndic de Montagny-les-Monts;

Armand Rosset, syndic de Montagny-la-Ville; Louis Joye, président des chanteurs fribourgeois; Raymond Perroud, président de l'Association Jo¬

seph Bovet; Louis Page, ancien président de la FFCC; Henri Gremaud, conservateur du Musée gruérien de Bulle; et Henri Fragnière, de Fribourg, représentant la Loterie Romande qui a fait don d'un montant de 20 000 francs

à la FFCC pour la promotion du costume au pays de Fribourg. Mlle Marie-Thérèse Daniels, prési¬

dente de la commission du costume.

L'activité de la Fédération s'intensi¬

fie

Nous ne parlerons pas des préoccupa¬

tions du comité cantonal qui sont mentionnées dans le rapport du prési¬

dent que nous publions en entier à titre M. Jean-Louis Bugnon, nouveau moni¬

teur cantonal de danse

d'information pour nos lecteurs. De l'exposé de M. Jaquet, il semble bien que l'activité de la Fédération s'inten¬

sifie et qu'un tel regain de dynamisme sera certainement favorable à l'avenir de la FFCC.

La situation financière présentée par M. Maquelin laisse apparaître pour la première fois dans les annales de la Fédération un bénéfice de 4 200 francs. Le trésorier a été félicité par les vérificateurs pour l'excellente tenue des comptes.

Mlle Marie-Thérèse Daniels, prési¬

dente de la commission du costume, a commenté le concours d'œuvres po¬

pulaires organisé par la FFCC, tout particulièrement en ce qui concerne les poèmes dont le premier prix a été attribué à M. François Remy de Bulle pour «Je sais une maison». Le deuxième prix «La complainte du pri¬

sonnier» a été gagné par un M. Repetti dont l'adresse reste inconnue. Le troi¬

sième est allé à M. Ernest Maradan pour son poème «C'est mon village».

Nos compliments. Nous avons égale¬

ment entendu MM. Michel Corpataux, président de la commission du chant;

Louis Page pour le patois. Cyrill Renz.

Vue partielle de l'assemblée à Cousset moniteur cantonal de danse; et Jean- Louis Castella, président de la com¬

mission de musique.

Election et nomination statutaires M. Cyrill Renz, qui a été durant dix ans le digne successeur de Jo Baeriswyl, selon M. Francis Chappuis qui lui a rendu hommage pour l'immense tra¬

vail accompli au sein de la Fédération et des groupes affiliés, avait présenté sa démission. En signe de reconnais¬

sance, il a été chaleureusement ap¬

plaudi par l'assemblée et fleuri. C'est M. Jean-Louis Bugnon, moniteur du groupe de danse de «La Villanelle» qui a été nommé moniteur cantonal de danse. Nos félicitations.

M. Albert Jaquet, président, a été réélu pour une période de trois ans. Il en est de même pour les membres du comité qui ont tous accepté une nouvelle élection. Ce sont MM. Anton Hofste- ter (Guin) et Jean-Jacques Glasson (Bulle), vice-président; Mme Hermine Renz, (Courtepin). secrétaire à la cor¬

respondance; Mlle Michèle Pluviaux (Fribourg), secrétaire des procès-ver¬

baux; et Charles Maquelin (Praz).

trésorier.

(21)

Assises de la Fédération fribourgeoise du Costume et des Coutumes

Quelques membres du comité cantonal. De gauche à droite: MM. Michel Corpataux, Mlle Michèle Pluviaux, Albert Jaquet président Charles Maquelin, Mme Hermine Renz, Henri Gremaud et Anton Hofstetten

Chœur mixte «La Villanelle»

De belles fêtes en perspective pour la FFCC

Le président a relevé dans le pro¬

gramme d'activité de la Fédération, la participation de 80 personnes costu¬

mées par canton â la Fête fédérale des costumes qui a lieu les 8, 9, 10 et 11 juin 1978. L'an prochain, la FFCC fêtera le quarantième anniversaire de sa fon¬

dation. Cet événement sera marqué le 10 juin 1979 à Fribourg, par la Fête cantonale fribourgeoise des costu¬

mes, laquelle coïncidera avec le 175e anniversaire de la «Landwehr». L'édi¬

tion d'un livre sur le folklore fribour- geois et la revision des statuts de la FFCC retiendront l'attention du comité cantonal ces prochains mois. En 1981, â l'occasion du 500e anniversaire de l'entrée de Fribourg dans la Confédé¬

ration, la FFCC accueillera dans ses murs la Fédération nationale des cos¬

tumes qui tiendra ses assises à Fri¬

bourg.

Dans les divers, M. Jaquet a encore remercié le groupe folklorique «Les Gais Vulliérains» qui, par l'entremise de M. Jean-Marie Droz, président, a versé une somme de 500 francs à la Fédération en vue de l'inauguration d'un drapeau.

L'organisation de la prochaine assem¬

blée des délégués a été confiée au groupe folklorique «Le Bluet» et la fanfare «La Gérinia» de Marly.

Un bref exposé de M. Maggi sur la Suisa a mis un point final à cette assemblée très fructueuse en ensei¬

gnements, mais quelque peu ternie par l'intervention du président de La Chan¬

son des Quatre-Saisons de Cormin- bœuf. Nous ignorons pour l'instant qui a tort, qui a raison. Comme il n'y a pas de fumée sans feu...

Allocutions en chansons

L'apéritif offert par la commune a été suivi d'un excellent repas servi par les tenanciers de l'Hôtel de la Gare. Les allocutions prononcées par M. Henri Steinauer, vice-président du Grand Conseil; MM. Raymond Perroud, président de l'Association Joseph Bo-

vet; Jean-Louis Terrapon, syndic de Montagny-les-Monts; et Paul Zbin- den, du Trachtengruppe Diidingen, ont été embellies par les merveilleuses productions de «La Villanelle» dirigée par M. Pierre Huwiler.

En conclusion, nous pouvons dire

qu'au cours de cette assemblée, nous avons acquis la profonde conviction que la Fédération fribourgeoise du costume et des coutumes va de l'avant et qu'elle réussira à maintenir et à promouvoir cet idéal qui fait sa force.

(Texte et photos G. Bourquenoud-FI) Chantons, dansons, rions...

ROMONT rendez-vous du folklore international A l'occasion de son 40ème anniver¬

saire, le groupe folklorique «Au fil du Temps» de Romont organisera, pour marquer l'événement un 3ème festival folklorique international, après ceux de

1967 et 1971, qui connurent le plus éclatant des succès. A cet effet, un comité est chargé de mettre sur pied ces «Fêtes du folklore international - Romont 1978» qui réuniront des grou¬

pes européens et d'outre-mer, du 8 au 11 juin. Différentes manifestations se dérouleront durant ces 4 jours. Outre les spectacles quotidiens donnés par les goupes étrangers, le samedi sera l'occasion d'un grand rassemblement de groupes folkloriques d'enfants, ve¬

nant de Suisse et des pays limitrophes, et d'une animation commerciale de la cité. Le dimanche sera réservée aux festivités du 40ème anniversaire du groupe «Au Fil du Temps» et è un spectacle permanent donné par tous les groupes présents, en divers points de la ville.

Gageons que ces «Fêtes du folklore international - Romont 1978» rempor¬

teront un succès aussi grand que les deux précédentes éditions.

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Programme général de notre fête Cantine chauffée

de 1500 places Vendredi 16 juin 1978 20 h. 30

SUPER LOTO valeur des lots: Fr. 6 000.- Soirée animée par les «TEXANS»

Samedi 17 juin

20 h. 15: Concert de gala par la FANFARE de la TOUR de PEILZ Direction:

M. Maurice COLLIARD

Avec la participation de Bernard ROMANENS,

soliste de la Fête des Vignerons 22 h.: Grand BAL

conduit par les «GAULOIS»

Dimanche 18 juin Journée officielle 9 h. 30: Messe è l'église 11 h.: Concert apéritif par la fanfare paroissiale de Promasens 12 h.: Repas et partie officielle 14 h.: Productions du groupe

«Mon PAYS» dir. Mr. Michel Corpataux et de la fanfare de la CVE dir. Mr. Marcel BRAILLARD 20 h.: Grand Bal conduit par l'orchestre les «FAUX-FRERES»

Restauration chaude et froide durant toute la fête.

Soyez les bienvenus...

AUBERGE DE L'ETOILE

PROMASENS

LE RENDEZ-VOUS DES AMIS ET DES YASSEURS Fam. Robert Aeby Tél. 021/93 50 49

Références

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