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bliu'àièque cantonale. Fribourg

No 83 J. A. 7m" année PREMIER JOURNAL ILLUSTRE FRIBOURGEOIS Le numéro 60 cts SEPTEMBRE 1953

ORGANE INDÉPENDANT PARAISSANT UNE FOIS PAR MOIS

Administration : Avenue de la Gare 6, Fribourg, Tél. 2 37 60 Régie exclusive de la publicité: Annonces Suisses S.A. „ASSA" 1$t Abonnement: 1 an Fr. 6.- Etranger Fr. 8.50 Chèq. post, lia 2851 v 5, Avenue de Tivoli) Fribourg, Tél. 2 5135 Chèq. post, lia 4617 Editeur: René Dessonnaz Annonces 12 et. le mm. Kéclame 32 ci. le mm. Succursales dans toute I Suisse

9 km Ail rpntr» m ir ir 7 .. Au centre, M. Helfer, gendarme et garde-peclie, qui suivit la course en canot, puis M. Koger Diniclicrt, président du Comité d'organisation du champion¬ r,'sc ' erroud, a gagné le magnifique titre de cliampionne suisse de grand fond, en nageant sur une distance d'environ nat-. (Voir notre reportage aux pages suivantes.)

A. Wabcr, du Vélo-Club de Guin, mérite bien tes fleurs que lui offre cette fillette. Il sort grand vainqueur du championnat de l'Association cycliste fribour- geoise, qui eut lieu à Bulle. I>e parcours de 120 km. fut effectué en 3 h. 26' 38". (Voir notre reportage aux papes suivantes.)

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Mlle Hélène Piller

Le 29 juillet dernier, décédait à Paris où elle avait été conduite pour y subir une délicate opéra¬

tion, Mlle Hélène Piller. Alors avait tout à attendre de la vie, cette jeune fille avait été atteinte, il y a quelques années, d'une ter¬

rible maladie. Son courage et sa résignation à la supporter furent remarquables et elle n'hésita pas à se soumettre à une ultime opé¬

ration qui devait, hélas ! lui être fatale. Toute la sympathie va à ses parents si tristement privés de leur fille uinique.

(Photo Rast)

Mme Louise Bumbach

Arrivée au bel âge de 91 ans, Mme Louise Bumbach-Morard, était une excellente personne et une mère de famille vénérée, qui jouissait de l'estime générale à Romont. Il a plu à Dieu de la rap¬

peler à Lui alors que toute sa famille et ses nombreux amis souhaitaient la voir devenir cen¬

tenaire. La défunte laisse à Ro¬

mont un souvenir ému à tous ceux qui l'ont connue.

M. Marcel Bielmann

Profitant d'un jour de vacan¬

ces, M Marcel Bielmann, de Trey- vaux, était allé trouver son frère, armailli au pâturage de Corjon en dessus de Rossinière. On devait le retrouver, au début de l'après- midi, complètement déchiqueté à la suite d'une chute dans les rochers. Cette tragique nouvelle a bouleversé la population de Treyvaux où le défunt était très estimé. Il laisse une famille dans l'affliction et deux petits enfants auxquels va la compassion de tous leurs amis.

Mme M.-Louise Jaquet atâU

IflfSrttr

^ Jm C2Ü

A Marly, un-terrible accident a coûté la vie à une jeune femme, Mme Marie-Ix>uise Jaquet, et jeté la consternation dans tout son entourage. Au retour d'une visite en famille à ses parents, le cheval s'étant emballé, Mme Jaquet sau¬

ta du char et vint s'écraser sur le sol. Chacun compatit au mal¬

heur qui, en quelques minutes, brise un jeune foyer et laisse un petit orphelin de mère.

(Photo Macherel)

Me Jules Emery

Le doyen des notaires fribour- geois n'est plus. Après une vie laborieuse dont tous les actes furent des expressions de droiture et de conscience exemplaires, le défunt avait été préfet de la Broyé, puis chef de service au département des Communes et Paroisses, fonction qu'il quitta pour exercer sa profession de notaire. Très au courant des cho¬

ses et gens de Fribourg, il narrait volontiers les dessous de la petite histoire fribourgeoise. Il était ar¬

rivé au bel âge de 91 ans.

(Photo PRESS)

L'idée de cette émigration germa tout d'abord dans la tête de Nicolas-Sébas¬

tien Gachet, de Gruyères, ancien secré¬

taire de Murât, roi de Naples. Sa ren¬

contre à Paris avec le marquis de Marialva, ambassadeur du Portugal, lui fit entrevoir la possibilité de créer au Brésil une colonie suisse, avec l'appro¬

bation et l'appui financier de Jean VI, roi du Portugal.

Le 11 mai 1818, l'affaire est conclue.

Jean VI concède à Gachet une terre au nord de Rio. Il consent à payer le transport de cent familles suisses, à les loger, à les aider jusqu'à ce qu'elles puissent, après les grands travaux de défrichement, se suffire à elle-mêmes.

La ville s'appellera Nova Friburgo, la Nouvelle-Fribourg.

Cet acte donne la date officielle de la fondation de la cité.

Gachet, de retour en Suisse, gagne à sa cause certains gouvernements catho¬

liques. Puis, d'entente avec Bremond, directeur de la verrerie de Semsales, il organise les enrôlements, il précise le poids et le genre des bagages qu'on peut

emporter.

Jean VI attendait cent familles, soit environ 800 personnes. Mais comme le prix du transport est calculé à forfait, les chefs portent ce nombre à deux mille.

Le départ de 1000 « Brésiliens » se fit à Estavayer, le 4 juillet 1819. Le second millier rejoignit la flottille à Bâle. L iti¬

néraire empruntait les lacs de Neuchâ- tel et de Bienne, l'Aar et le Rhin, puis l'Océan jusqu'à Rio ; et de là, le fleuve Macacu par canots, enfin les pistes qui conduisaient à Cônego et à la Fazenda.

Cette foule nomade connut le prix d'un voyage mal organisé et mal dirigé.

Elle eut à subir un entassement sur des barques trop peu nombreuses, les dures exigences des péagers et des douaniers, la révolte dans ses propres rangs, l'at¬

tente de près de deux mois dans les ma¬

rais de Mijl, près de Dordrecht, enfin la détresse, la maladie, la mort...

Lu ville nouvelle

Les débuis furent décevants et péni¬

bles. Tout d'abord, il n'y eut pas assez de maisonnettes pour loger tout le monde, tant le nombre de familles excé¬

dait le chiffre prévu et précisé par Jean VI. Il fallut donr se répartir les toits en y abritant plusieurs familles.

On défricha la terre, on jeta des semen¬

ces. Mais nos gens, habitués à la culture des céréales et des prairies, à l'élevage, ignoraient les rudiments des travaux agricoles en pays tropical. Bien pis, ils n'avaient à leur disposition aucune voie de communication, aucune rivière navi¬

gable, de telle sorte que la vente et l'échange se révélèrent d'une difficulté insoupçonnée.

Beaucoup de colons ne purent tenir contre le sort malveillant. Us se disper¬

sèrent dans les environs plus fertiles, ou s'engagèrent tout simplement comme domestiques ou comme servantes à Rio de Janeiro, et dans les villes de la côte ou au plateau.

Si les obstacles découragent les fai¬

bles, ils aguerrissent, au contraire, les caractères généreux.

Grâce à une centaine de braves — de ces gens qui se sont enracinés dans leur nouvelle patrie, à la place qui leur fut assignée — Nova Friburgo a pris nais¬

sance, s'est développée, s'est inscrite définitivemnt sur la carte du Brésil.

Mais où se trouve exactement Nova Friburgo ? Prenez une carte de l'Amé¬

rique du Sud et formez un triangle équi-

'J-tibcuzq du Brésil

latéral sur la base Nictheroy-cap Frio.

Friburgo se trouverait à la pointe de ce triangle, à 104 kilomètres au nord. Elle compte 25,000 habitants, et 45,000 aveç ses environs. Le train de la Leopoldina- Raiway vous y conduit en quatre à cinq heures, soit de Rio, soit de Nictheroy.

L'EMIGRATION

Vous vous élevez peu à peu, en laissant derrière vous, dans une brume papillo¬

tante, la rade somptueuse de Rio, avec son fameux Pain de Sucre. Vous voyez défiler à la portière les plantations de café, les champs de manioc, les forêts de pins et de châtaigniers, les aligne¬

ments de figuiers et de pêchers...

Nova Friburgo s'allonge parmi les arbres. Elle n'a pas la grandeur austère de nos cités médiévales, où l'ombre des clochers se brise sur les maisons, où les flèches impriment à l'ensemble son élan vers le ciel. L'horizontale est souveraine.

à son appel. Elle leur offre, de la main droite, une couronne de laurier d'où flotte une incription de pierre : la patrie reconnaissante.

L'écrivain « fribourgeois » Galdino do Valle Filho, raconte, dans un fort beau livre, l'histoire et les légendes de Nova Friburgo. Il rend un juste hommage à ces travailleurs méthodiques et tenaces qui, après avoir fondé la ville ont su lui donner sa grandeur. Il affirme que les émigrés ont vraiment fait, par leur intelligence et leur courage, la prospé¬

rité du district et de toute cette région qu'on appelle la Suisse brésilienne.

L'histoire des fondateurs de Nova Friburgo n'est qu'un exemple entre mille des luttes que nos émigrés doivent par¬

fois mener pour arriver à se créer au loin une situation — si modeste soit- elle — que les circonstances ne'leur ont pas permis d'obtenir au pays. '

Robert Loup.

Si les monts primitifs éparpillent à la ronde leurs trapèzes et leurs cônes usés, la vallée s'étend, uniforme et plate, à leur pied. Le rio Bengalla se traîne entre ses rives, en talus. Les longues façades blanches, les toits en terrasses, les rangées do petites fenêtres, les mai-

Le centre de Nova-Friburgo.

sons basses, les clochers prismatiques, toute cette architecture simplifiée, mo¬

deste et jolie, développe ses lignes sobres parmi les feuillages et donne à la Nou¬

velle-Fribourg son caractère de ville étalée.

Centre agricole et industriel, station

d'été, la ville a tout à la fois le caractère d'un marché et d'une grande cité. Les usines et les ateliers — dentelles, mous¬

seline, ruhans, métallurgie, céramique — occupent près de 5000 ouvriers. Pendant la belle saison, les hôtels, pourtant nom¬

breux, ne suffisent pas à la demande. Le

La Pince ihi 1® Novembre, avec ses allées d'eucalyptus géants.

collège des Jésuites — placé sous le vocable du vénérable Anchietta qui mou¬

rut au Brésil en 1597 — prépare les jeunes gens de la région aux carrières libérales et commerciales.

Les places publiques y sont nombreu¬

ses. Deux d'entre elles évoquent des sou¬

venirs émouvants : celle du Soupir, avec sa vieille fontaine qui « pleure un éter¬

nel sanglot », comme le faisaient, se^oji la tradition, les anciens Suisses en pen¬

sant à leur pays. Puis, celle du Quinze-

Novembre, avec ses allées d'eucalyptus géants. On y érigea, en 1918, premier centenaire de la fondation, un monu¬

ment commémoratif. Une femme, debout sur une colonne grêle, tend ses deux bras aux colons suisses qui sont venus

Un film sur le

canton de Fribourg Ces jours prochains commenceront les premiers travaux de réalisation d'une œuvre qui répond certainement à un besoin : un film sur le canton de Fri¬

bourg. Il n'existe, en effet, encore au¬

cune bande permettant au public de se faire une idée générale de l'ensemble de notre canton et cette absence se fait souvent cruellement sentir.

Le film qui se prépare est destiné à combler cette lacune. Il ne s'agira pas d'une affaire de propagande, mais d'un ouvrage purement documentaire, destiné à décrire les divers aspects de notre pays, de son activité, de ses traditions et de ses particularités. Ce sera un film sonore et en couleurs, comme l'exigent les conditions actuelles du documentaire, ainsi que la réelle mise en valeur de ce qui caractérise un pays et son peuple.

Ce film est dû à l'initiative privée et sera réalisé sans faire appel aux deniers publics. Il a cependant été placé sous le haut patronage de l'Etat et de la ville de Fribourg, qui ont ainsi tenu à accor¬

der leur appui moral à cette intéres¬

sante et utile tentative.

Les études et travaux préparatoires étant maintenant assez avancés, les pre¬

mières prises de vues commenceront dans quelques jours. Elles dureront plus d'une année, de manière à saisir l'essen¬

tiel de chaque saison. La réalisation technique a été confiée à un cinéaste fribourgeois déjà bien connu, M. Hugo Corpataux, qui s'est entouré de toutes les collaborations nécessaires. Nul doute que chacun tiendra à lui faciliter la tâche, lorsqu'il travaillera dans nos vil¬

les et nos villages. Le public sera d'ail¬

leurs renseigné, de temps à autre, par la même voie qu'aujourd'hui, sur cette réalisation, qui intéresse chacun de nous. Eric E. Thilo.

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Septembre 1953 FKIBOÛBG-ILLUSTBÊ Page 3

LE CHAMPIONNAT SUISSE DE GRAND FOND A MORAT

Avant la course, .tous les concurrents sont examinés par un médecin. Le cœur tiendra-t-il pendant la com¬

pétition ?

Les sociétés de natation de Fribourg et de Morat ont eu la tâche d'organiser cette année le championnat suisse de grand fond, au lac de Morat.

Douze nageurs et une nageuse pri¬

rent le départ à Salavaux, le dimanche 9 août à 12 h. 30. Le parcours de 8 km.

600 conduisait à Môtier pour aboutir à Morat.

Dès le départ, Joseph Mocan du CN Lausanne, —■ hors concours parce que Yougoslave d'origine — prend de l'avance. Il est suivi de près par Mar¬

cel Brique du CN Fribourg — cham-

A gauche, M. André VuUlotul, qui a fonctionné comme chef de course. A droite, M. Koger Dinichert, industriel il Morat, un (les

principaux organisateurs de cette compétition très réussie.

Au bord du lac, les sportifs et les amis de la natation se sont donnés rendez-vous.

Le beau style de Joseph Mocan, de Lausanne, hors concours.

M. Marcel Brique, habitant le Bry, est un ex¬

champion suisse de grand fond. Cette année, il a été classé cinquième.

4 mois GRATIS

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Le vainqueur de la journée, M. Edouard Häuser, de Horgen, champion suisse 1953. Portant pantalon blanc, M. Koger Dini¬

chert, président du Comité d'organisation pion suisse 1952, —■ Marcel Derron du Polo Berne, André Schweizer du SC Solcure, Edouard Hauser du SC Horgen.

Au fur et à mesure que se déroule cette épreuve nautique, Hauser se distingue et termine champion Suisse 1953 avec un temps de 2 h. 31' 26" 2, bien que Mocan, toujours hors concours, fait 2 h. 28' 28" 4. Une mention spéciale est adressée à Mlle Thérèse Perroud, char¬

mante fribourgeoise du CN Fribourg, qui devient championne suisse de grand fond, avec le temps de 3 h. 46'. Le cham¬

pionnat, présidé par M. Roger Dinichert de Morat, et M. Lambert, de Fribourg, fut une réussite dont il faut les féliciter et la distribution de beaux prix ne fut pas le moindre de leurs mérites. L'ar¬

bitre était ML Iraclis Grafas.

(Photos Quinclct)

La courageuse cliampionne suisse est fribourgeoise. Mlle Thérèse Perroud est satisfaite de son nouveau titre et du prix qu'elle vient de recevoir. Nos

félicitations !

(Photo à. droite)

Tous les champions ne furent pas na¬

geurs ! M. Teddy Gander, à gauche, et M. Rieben, à droite, ont eu la chance de pêcher ce beau brochet do 18 livres, alors qu'ils suivaient les nageurs avec leur canot. Ce sont des champions en

leur genre !

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Page 4 FRIBOUBG-ILLUSTBÉ Septembre 1953

Le nouveau quartier des Daillettes Le développement de la construction dans toutes nos

grandes villes pose partout aux architectes et pro¬

priétaires, l'épineuse question des terrains.

Situé à l'ouest de Fribourg sur un pan incliné du côté sud, les Daillettes, depuis 1950, ont connu un essor particulier grâce à sa situation et son orientation.

D'autre part, l'heureuse initiative de MM. Briinisholz et Descloux, qui n'ont pas hésité de faire établir sur leur propriété un plan d'aménagement afin de réaliser un ensemble architectural et de sauvegarder l'esthéti¬

que du quartier, a largement contribué au développe¬

ment des Daillettes. Sous l'impulsion et la géniale conception des architectes Dubey et Surchat, bon nom¬

bre de familles sont venues s'établir en ce lieu où le mode d'implantation a été choisi pour laisser libre le plus de terrain possible et dégager au maximum la vue étendue et fort belle.

Un groupe d'immeubles locatifs abritant près d'une centaine de familles a vu le jour dans un cadre de ver¬

dure. On peut prendre position contre les grands blocs locatifs, mais il faut reconnaître que la hardiesse de leur conception et de leur style a permis de résoudre de la meilleure façon le problème difficile de la création d'appartements ultra modernes à des conditions avanta¬

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tation. Les solutions varient à l'infi¬

ni, depuis la maison familiale cons¬

truite en colonie jusqu'à la villa luxueuse.

Ci-dessus, quelques belles réalisations architecturnles, au quartier des Dail¬

lettes, de MM. Dubey et Surchat, tous deux architectes il Fribourg.

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Septembre 1953 FRIBOTJBG-IIiLUSTRÊ Page 5

l* PAROISSE DE ROSSEN/ EN FETE

L'inauguration de l'oratoire

Notre-Dame de la Paix veille désor¬

mais sur la contrée de Rössens. Ainsi l'a voulu et réalisé M. l'Abbé Claude Mon- ney, révérend Curé de Rössens.

Le jour de l'Assomption, par un bel après-midi, toute la population de Rös¬

sens et des environs s'était jointe aux membres du clergé pour la bénédiction de cet oratoire. Par une simple mais émouvante cérémonie, ce petit sanc¬

tuaire fut dédié à Notre-Dame de la Paix, dont le nom est invoqué plus que jamais. Des allocutions de circonstance, des cantiques, des chants, des produc¬

tions de la fanfare « L'Echo du Lac » firent de cette journée un événement dont tous les participants garderont un souvenir ému. Nombreux sont ceux qui en se rendant à cet oratoire ou en y pas¬

sant lors d'une course, invoqueront la bénédiction de la Gardienne de ces lieux, Notre-Dame de la Paix.

L'œuvre réalisée est due à M. Müller, architecte-paysagiste, pour la construc¬

tion et l'aménagement des abords, et à M. Grisoni, sculpteur à Bulle, qui a fine¬

ment taillé dans le bois, la statue de la Vierge.

Le bel oratoire (le pierres qui domine le lac de la Gruyère.

M. l'Abbé Claude Monney, révérend Curé de Kossens, bénit le nouvel oratoire.

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Le révérend Père Albert pendant son allocution.

Le groupe des scouts do St-Nicolas avait tenu à prendre part il cette belle manifestation.

Les fillettes pendant le clueur parlé

M. le Curé Monney, entouré de M. l'Abbé Vaucber et de HI. l'Abbé Chanex. A droite, le révérend J'ère, Albert qui fit

le sermon d'inauguration.

I,a fanfare ne peut pas jouer sans arrêt. Cette petite pose semble la bienvenue !

La fanfare «L'Eclio du Lac» avait prêté son concours. Ces jeunes paroissiennes ont eu l'honneur de porter la bannière.

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Septembre 1953 FBIBOUEG-ILLUSTKÊ Page 7 DANS LES COULISSES DU F.C. FRIBOURG

au seuil 2'une nouoeiU. saison Quand en été 1952, le F.-C. Fribourg

fut promu en ligue nationale A, nom¬

breux furent les citoyens dits « sportifs » qui commencèrent à se lamenter.

Il y a des gens qui sont comme ça : une bonne chose arrive-t-elle, ils se met¬

tent aussitôt à gémir à la pensée du mal qui doit nécessairement suivre le bien. Et alors, les gars de la Ire équipe du F.-C. Fribourg, qui venaient de triompher dans le championnat, enten¬

dirent au lieu des félicitations chaleu¬

reuses qu'ils espéraient, des considéra¬

tions ahurissantes sur leur bref séjour Musy, dit

ser par « Boulon », capitaine do l'équipe, se fait mas le soigneur Pierre Strebel avant la partie.

en ligue nationale A, sur la faillite pro¬

chaine du club, etc.

Or, Fribourg fait une excellente sai¬

son en ligue nationale A et la caisse du club n'a jamais connu une situation si réjouissante.

D'où recrudescence de lamentations chez les pessimistes congénitaux qui pensaient qu'on ne perdait rien pour attendre, mais grande satisfaction chez les gens normaux qui savent être joyeux quand les choses vont bien et optimistes quand elles vont plus mal.

Et, en cet automne 1953, Fribourg commence sa deuxième saison en ligue nationale A. L'équipe n'a pas reçu de renforts sensationnels venus du dehors ; point n'est besoin de posséder des jou¬

eurs aux noms illustres pour former une équipe dynamique d'amis jouant pour le plaisir et pour le club avant de jouer pour l'argent. Mais on a donné leur chance à quelques jeunes, formés dans les réserves, ce qui est une excellente idée.

La malchance n'a malheureusement pas épargné le F.-C. Fribourg en ce début de saison puisque, après deux matches seulement, on doit compter une

douzaine de joueurs indisponibles pour blessures, maladies, etc. Mais tout s'ar¬

rangera certainement et la chance re¬

viendra juste quand on en aura besoin.

Une histoire regrettable qui risque en revanche de ne pas s'arranger, c'est celle de l'excellent joueur Raetzo. Ce fin manieur de balle voulut retourner au F.-C. Central, club dont il est issu, mais le F.-C. Fribourg fit opposition. Si les affaires ne s'arrangent pas, Raetzo ne pourra jouer avec personne pendant deux ans, ce qui est pure folie puisqu'il est un des meilleurs footballeurs fribour- geois. Attendons et espérons.

Vous aurez, amis lecteurs, maintes fois l'occasion, au cours de la saison qui commence, de' voir des photos des mat¬

ches que disputera le F.-C. Fribourg. En revanche, vous n'aurez peut-être pas la possibilité de pénétrer dans les coulisses.

C'est pourquoi nous vous présentons aujourd'hui ces quelques photos prises ailleurs que sur le stade.

Et nous souhaitons avec vous une fructueuse saison au F.-C. Fribourg, ce club qui a parcouru bien du chemin depuis 1900, quand, il était encore le F.-C. Technicum.

M. Maurer, entraîneur, donne avant l'entraînement les conseils d'usage.

Tous les lundis, Mme Strebel, gardienne du stade, doit s'occuper de la lessive des équi¬

pements de toutes les équipes. Cela fait la bagatelle de 121 maillots, 121 cuissettes et 242 chaussettes. Si vous voulez lui donner

un coup de main...

Aux vestiaires les joueurs se préparent pour l'entraînement.

Yoki Strebel, le sympathique gardien du stade, l'homme qui a fait de St.-Léonard l'un des meilleurs terrains de

Suisse, prépare le matériel.

L'art do bloquer un ballon, par Hayoz, futur gardien du F.-C. Fribourg.

Avant le début du championnat, l'arriére Neubaus, comme tous ses camarades, passe une visite médicale.

Dietrich so prépare pour l'entraînement. Il ne s'était pas encore fracturé l'épaule.

IX

L'entraîneur Maurer et le soigneur Strebel en pleine discussion stratégique.

L'excellent président Uldry, ancien ar¬

rière glorieux du F.-C. F., a refait con¬

naissance avec le ballon au cours d'un entraînement. Ça lui a donné chaud.

L'équipe qui, l'année passée, fut championne de ligue nationale B et monta en ligue nationale A. I)e gauche i\ droite, deWuit : Strebel, Dougoud, Millier, Hartmann, Neuhaus, Kucslin, Cliatton, Streiner, Maurer. A genoux : Kae.t/.o, Dietrich, Haymoz, Weiss-

batim, Musy. (Photo M. Lorson) s

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L'intérieur du salon où M. Arsène nous a reçus fort aimablement.

« Un salon de coiffure pour dames est un salon de transformation ; on y entre mal coiffée, l'air « éteint », on en ressort épanouie et triomphante ! » C'est ce que nous avons dit, un jour, en passant, à M. Arsène, dont le salon de coiffure pour dames est bien connu à l'avenue de Pérolles.

Tout en admirant ses locaux aux cabines soignées

— où quelques fleurs mettent une note gaie et accueil¬

lante — nous avons posé quelques questions au maître des lieux :

— M. Arsène, la coiffure pour dames est-elle un beau métier ?

— C'est une profession difficile, nous répond-il, car adapter chaque coiffure à la mode de la saison, en tenant compte des goûts personnels de mes clientes, n'est pas toujours aisé. Et, par surcroît, c'est une profession toujours en mouvement qui oblige à le documenter constamment, si l'on veut faire du beau travail.

— Avez-vous quelques « tuyaux » sur les nouvelles

directives en matière de coiffures ? Quelle sera la mode cet automne ?

—> Oui, bien volontiers. Je reviens d'un cours où sui¬

vant la mode lancée par Paris, on maintient les cheveux courts. C'est très pratique, simple et élégant. La mode de cet automne sera caractérisée par l'apparition de deux nouvelles coiffures, qui portent les jolis noms de

« Corsaire » et de « Kent ». La coiffure « corsaire », jeune et désinvolte, est prévue pour les jeunes filles, alors que la « Kent », plus soignée et plus étudiée, est réservée pour les dames. De toutes façons, la tendance est de ramener les cheveux vers le front, en dégageant les oreilles. La nuque n'est plus rasée pour éviter l'al¬

lure garçonne et les cheveux y sont plutôt vagues, c'est-à-dire libres dans leur mouvement. La coupe se fait à 4 ou 6 cm. de longueur, au plus. On cherche à obtenir un effet de coiffure en « triangle », qui donne un petit air espiègle.

— Croyez-vous que la mode des cheveux courts tiendra ?

— Certainement, puisque les couturiers raccourcis¬

sent les robes, les coiffures se feront plus en hauteur.

D'après l'avis de mes clientes, les cheveux courts sont très pratiques, plus faciles à coiffer. Et pour les che¬

veux réticents, une bonne permanente a tôt fait de les rendre dociles et maniables à souhait.

En remerciant M. Arsène de son amabilité à nous ren¬

seigner, nous lui posons encore quelques questions au sujet des permanentes et des teintures, et il nous répond :

— Chaque cliente est un cas à traiter spécialement suivant sa qualité de cheveux, sa personnalité et ses goûts, et la mise en plis doit donner une belle satisfac¬

tion.

Nous sommes sortis de ce salon après un court instant pour laisser M. Arsène tout aux soins capil¬

laires de ses clientes. Son amabilité et sa compétence, comme aussi son personnel stylé, nous ont convaincus que du salon Arsène il ne peut sortir que de belles coif¬

fures, telles que les réalise un spécialiste.

NOTRE INTERVIEW DU MOIS Nous avons visité pour vous, chères lectrices,

un salon de coiffure

La coiffure de l'automne 1953, portant le joli nom aventurier de «Corsairo».

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Le championnat de l'Association cantonale

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Disputé sous la formule de handicap, sur une distance de 120 km., ce cham¬

pionnat, organisé par la Pédale bulloise, s'est couru dimanche 23 août. Une cin¬

quantaine de coureurs prirent le départ à Bulle et 36 furent classés. Le remar¬

quable effort fourni par A. Waber, du Vélo-Club de Guin, lui a valu le titre envié de champion, pour un temps de 3 h. 26' 38", alors que les « espoirs » de ce championnat ont quelque peu déçu les fervents du cyclisme. Plusieurs per¬

formances à signaler ont été réalisées par des coureurs, dont entre autres, Schott de la Pédale fribourgeoise et Piller du Vélo-Club de Guin, qui ont terminé respectivement 2me et 3me au classement.

On peut féliciter la Pédale bulloise pour son organisation en souhaitant toutefois — comme l'ont exprimé les coureurs — que la signalisation du par¬

cours soit, à l'avenir, plus précise.

Les sportifs de Bulle attendent l'arrivée des coureurs.

? ... ■*. t

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On attend impatiemment le passage de son favori. Y a-t-il accident mécanique ?

Les premières voitures suiveuses annoncent la proche arrivée des cou¬

reurs.

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Le tour d'honneur des vainqueurs. A Rau¬

che, A. Waber ; il droite, 1'. Schott, de la Pédale Fribourgeoise, classé second.

A. Waber, du Vélo-Club de Guin, a gagné vaillamment le championnat sur 120 km. A gauche, M. Louis Egger, de Guin,

qui a construit la bicyclette du vainqueur.

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Dans le pori de Southampton, la malle de Dieppe est sur le point de partir. Les passasers. Impatients. IlAnent sut le pont et attendent la clochc du départ. Quelques-uns parmi eux remarquent, au loin, un cycliste qui semble pédaler avec une énergie folle, alln de ne pas rater le bateau.

Hélas t les chances du cycliste paraissent bien petit««.

Les matelots ont déjà les mains sur les -passerelles pour les retirer.

Des paris s'engagent, et le pont de la mallo vit un émoi frénétique.

— Arrivera !

— Arrivera pas

— Vas-y, cycliste 1

— T'essouffle pas, hé, bouffi !

Tout Juste à la dernière seconde, le cyclist« arrive, des¬

cend de bécane, escalade la seule passerelle encore tendue et crie :

— En roule !

C'était le capitaine du bateau.

Un gentleman

Le téléphone sonne. H est 3 heures du matin.

— Allo ? fait ce monsieur, très distingué.

— Monsieur, dit une voix féminine dans l'écouteur, fai¬

tes donc taire votre chien, qui hurle depuis des heures.

— Certainement, Madame... Excusez-moi, et merci.

Le lendemain, & 3 heures de la nuit, le téléphone sonne chez la dame.

— Madame, fait le monsieur toujours très distingué, est-ce vous qui m'avez demandé de faire taire mon chien, la nuit dernière 7-

— Oui, Monsieur...

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