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üiDMottu-quc caiiiuuaic, rriuuiu^

No 122 J.A. 11m* année PREMIER JOURNAL ILLUSTRÉ FRIBOURGEOIS Le numéro 60 cts DÉCEMBRE 1956

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Présageant Noël dims le cœur des enfants, la Saint-Nicolas reste une tradition vivante chez nous. Le « Saint-Nicolas » du Collège St-Micliel, malgré ses 50 années, est toujours attendu avec ferveur et impatience car, et c'est là son

secret, il a choque année un peu plus de quinze ans. (Photo Mülhausen)

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Michel Jordan a été désigné par ses camarades de réthorique pour assumer le rôle de Saint-Nicolas dans le cortège traditionnel de Fribourg dont on fête le cinquantenaire. Ias voici quelques instants avant d'avoir revêtu les augustes

attributs de ses fonctions célestes.

(2)

2 Décembre 195lî

Mme Gabrielle Macherel

Née Gabrielle Floury Mme Ferdinand Machorel, d'origine jurassienne avait épousé un ancien secrétaire de la pré¬

fecture de la Sarine que la mort lui ravit prématurément. Malgré cette cruelle épreuve elle ne perdit pas courage et continua à élever avec beaucoup de mé¬

rites une grande et belle famille qui lui faisait honneur. Malgré son bel age de 74 ans, sa santé était demeurée solide autant que son caractère était énergi¬

que. El c'est pour ses enfants et petits- enfants une perte d'autant plus doulou¬

reuse que cette disparition subite que rien ne laissait présumer.

Mme Léonide Wicht

Fille de M. François Mossu, ancien pro¬

priétaire de l'Hôtel Bellevue, à Broc, Mlle Léonide Mossu avait épousé M.

Fernand Wicht qui exploitait alors à Fribourg une boulangerie. Secondé par sa femme, ce fut ensuite vers le métier de son beau-père que se tourna M. Wicht qui vint à Châtel-Saint-Denis exploiter l'Hôtel-de-Ville avant de se fixer à La Tour-de-Peilz où le couple s'occupait notamment de la location de bateaux.

Mme Wicht fut pour son mari une épouse admirable qui lui apporta une aide précieuse et pour ses proches un modèle de piété. Elle avait bl ans.

M. Louis Vielle

Ce n'est pas les titres qui manquaient à M. Vielle mais ils reflétaient bien les préoccupations de ce retraité CFF, autre¬

fois commis principal aux Machines de la gare de Fribourg. Fondateur de la section fribourgeoise — dont il fut pré¬

sident pendant 35 ans de la société suissa du secours mutuels, Helvétia, il était membre d'honneur de la section de la ville et membre honoraire romand et suisse. Sa grande bonté l'avait orienté vers les questions sociales, vers l'aide aux malheureux et aux veuves et c'est encore avec désintéressement qu'il met¬

tait au service de chacun son talent de

< rhabilleur >.

M. Adolphe Sjchaerly

Le défunt fit toute sa carrière aux ate¬

liers CFF où il était entré, à Fribourg, en 1899. Il gravit ensuite successivement tous les échelons avant d'être promu contremaître de première classe aux ateliers d'Yverdon où il avail été trans¬

féré en 1925. Ami fervent de la monta¬

gne, il était membre fondateur du club alpin Vanil Noir et membre de celui du Moléson. Il avait de nombreux amis qui appréciaient sa camaraderie loyal'e, ses talents de chanteur et ses qualités d'alpiniste. Il est mort subitement à l'âge de 77 ans.

M. Georges Gross

si : i -, V . /s

La figure souriante de M. Georges Gross, maître marbrier n'est plus. C'est à 68 ans que la mort l'a ravi à l'affection de son épouse et de son fils. Il avait établi, à la porte de Morat, une entreprise de marbrerie qu'il avait rendue prospère par ses connaissances professionnelles.

Il s'intéressait au reste vivement à tout ce qui concernait son métier où l'art vient compléter la technique et fut membre fondateur et ancien président de la société cantonale fribourgeoise des entreprises de marbrerie.

Mme Marie Meftraux

C'est à la suite d'une pénible maladie qu'est décédée, à l'âge de 70 ans, Mme Marie Mettraux, née Corminbœuf. La défunte avait passé sa jeunesse à Ville¬

neuve où son père était un agriculteur distingué. Elle laisse à Neyruz le sou¬

venir d'une mère admirable qui inculqua à ses trois enfants l'amour du travail et d'une épouse de grand cœur qui vouait toute son attention aux modestes pré¬

occupations de son ménage. Elle laisse aussi à la population de ce beau village le souvenir de la commerçante avisée et serviable dont le commerce est tenu, à l'heure actuelle, par sa fille.

M. Marius Buchs

Une crise cardiaque a mortellement frap¬

pé, à l'âge de 50 ans. M. Marius Buchs, monteur électricien à Bulle. C'est à la société électrique de cette ville qu'il avait fait son apprentissage. Il partit ensuite accomplir différents stages au- dehors avant d'être nommé monteur et c'est à ce titre qu'il fut. pendant quel¬

ques années, stationné à Charmey.

Grand ami de la montagne, c'était un passionné des courses alpestres. Cama¬

rade franc et agréable il avait le sens de l'hospitalité et de la cordialité qui le faisaient apprécier de chacun.

M. Pierre Zenoni

Succombant à une longue et pénible ma¬

ladie. M. Pierre Zenoni est décédé à Vuadens à l'âge de 74 ans. D'origine ita¬

lienne, il passa la plus grande partie de sa vie à Bulle où il exerça la profession de maçon. Il y était connu et avantageu¬

sement estimé car il joignait à ses capa¬

cités professionnelles de belles qualités de coeur et de courage. La maladie l'obli¬

gea à se retirer à Vuadens où il fut ré¬

conforté par les soins diligents et affec¬

tueux de son épouse qui lui rendit ses dernières années plus douces.

M. Edouard Rossy

Ce fut prématurément, à l'âge de 56 ans, que la mort a ravi à la considération de son village M. Edouard Rossy, à Cournil- lens, terrassé par une cruelle maladie.

Le défunt joua un rôle en vue dans sa contrée. Il fut en effet appelé à faire partie du conseil communal de Cour- nillens où il s'occupait en outre de la caisse Raiffeisen et de diverses sociétés.

Il était en autre engreneur de la société de battage et membre du comité du cercle d'assurance du bétail et du syndi¬

cat bovin.

M. Martin Sottas

Avec M. Martin Sottas disparaît, non seulement une figure bien connue dans la Neuveville où il habitait avec sa fidèle épouse, mais encore un des anciens ou¬

vriers de la Fabrique de chocolat de Villars S. A., resté longtemps à son poste avant d'être mis au bénéfice de la retraite qu'il avait bien méritée. Il avait élevé une fort belle famille et avait eu la joie d'être, non seulement grand-père, mais même arrière-grand-père. Il trou¬

vait auprès des contemporains de 1884, un délassement et de solides amitiés.

Rd. Sœur Stéphanie Chaperon M. Roger Schliichter

*

Mme Marie-Louise Rossier 9

Mme Séraphine Bourquenoud M. Louis Bussard

Dieu n rnppelé h lui l'âme de Sœur Stéphanie Chaperon, décédéc à 80 ans, après une longue maladie, â Châtel- Saint-Denis. Elle était entrée dans la congrégation des Religieuses Ursulines à l'âge de 20 ans déjà. C'est donc après 60 ans de profession religieuse et de fidélité â son idéal de dévouement et d'apostolat que sœur Stéphanie a quitté cette terre où elle s'était consacrée à répandre le bien autour d'elle, avec dou¬

ceur et fermeté, très aimée de tous ceux qui ont eu le bonheur de la connaître.

Un tragique accident a coûté la vie à M. Schliichter, tué au carrefour de la Laiterie Centrale de Fribourg. Ce jeune homme avait terminé son apprentissage dans un bureau d'architecte de la ville et travaillé ensuite dans la même bran¬

che à Avenches. Il se proposait d'entrer à l'Ecole polytechnique fédérale après un stage en Allemagne. Jeune homme gai. travailleur et dévoué, il faisait le bonheur des siens. Membre du club athlétique de Fribourg il était de plus un sportif excellent et un camarade aimé.

Veuve de M. Charles Rossier, qui avait donné au Commerce de fer fribourgeois S. A. un essor réjouissant. Mme Marie- Louise Rossier, née Baechler est décé¬

dée, â l'âge de 74 ans. après une cruelle maladie qu'elle supporta avec un cou¬

rage digne d'exemple. Elle vivait avec ses fils, qui continuent le beau travail de leur père, dans cette rue de Lausanne où l'on voyait passer toujours avec plai¬

sir la silhouette, restée étonnament jeu¬

ne, de Mme Rossier dont la vie fut un modèle de dévouement et de foi agis¬

sante.

Avec Mme Séraphine Bourquenoud. née Moret. c'est une bien sympathique octo¬

génaire de Vaulruz qui s'en est allée.

Pendant de nombreuses années elle avait exploité avec son époux la boucherie communale de Vaulruz. Devenue veuve il y a déjà longtemps, elle n'en conti¬

nua pas moins à faire rayonner dans le village ses qualités de cœur et les fruits do sa bonté. Travailleuse et modeste, toute dévouée aux soins de son foyer, elle fut arrêtée, depuis bien quelque temps, par la maladie qui la trouva cou¬

rageuse et résignée.

La disparition de M. Louis Bussard, à Pringy, qui est décédé à l'âge de 80 ans, prive la Gruyère d'un de ses barbus populaires qui ajoutent â leur figure caractéristique le sens de l'humour, la franchise et la solidarité d'esprit. Bûche¬

ron de métier. M. Bussard s'occupa également de drainage et passait ses moments de loisir en promenades dans la Gruyère dont il connaissait tous les secrets et il continua son dur métier jusqu'à ses dernières années.

Mme Berthe Dupasquier M. Werner Zbinden Mlle Marguerite Schori M. Pierre Galley

Habitant Vuadens. Mme Auxenee Du¬

pasquier, née Berthe Dupasquier. est décédée â l'âge de 59 ans. après une longue maladie contre laquelle elle lutta avec courage mais qui avait miné sa santé depuis de nombreuses années déjà.

Elle laisse dans son village l'excellent souvenir d'une personne estimée de cha¬

cun. qui passa la plus grande partie de sa vie â s'occuper avec énergie et amour du foyer conjugal et de l'éducation de ses enfants, en maîtresse de maison accomplie.

Nous réunissons ici. dans le même souvenir M. Werner Zbinden et Mlle Margue¬

rite Schori, que la mort a frappé ensemble, seuls, par une asphyxie accidentelle.

M. Zbinden, âgé de vingt ans et domicilié dans la commune de Planfayon tra¬

vaillait depuis quelques jours chez M. Schori, à Prez, où il avait mis sa jeep au Service de l'exploitation agricole. Le samedi soir il utilisa l'automobile de M. Schori pour conduire la fille de ce dernier. Marguerite, âgée de 18 ans. dans un cinéma de Romont. Au retour les jeunes gens rentrèrent la voiture au garage où ils s'attardèrent. Mais les.gaz sortant du pot d'échappement du véhicul'e les asphyxièrent p*eu â peu et l'on découvrit, le lendemain matin, leurs corps inani¬

més. Devant ces deux vies fauchées brutalement et pourtant pleines, l'une et l'autre, de promesse on ne peut que se recueillir avec émotion. Cet accident tra¬

gique a jeté la consternation dans le village de Prez comme dans celuurte Plan¬

fayon où les familles cfes deux victimes étaient avantageusement connues et unanimement respectées.

Retraité des Entreprises électriques fri- bourgeoises, M. Pierre Galley, qui habi¬

tait Fribourg mais dont de nombreux parents se trouvent à Ependes, fut pris de malaise dans l'autobus qui l'y condui¬

sait alors qu'il allait y fleurir des tom¬

bes pour la Toussaint. Quelques heures plus tard il décédait à l'hôpital. C'est dans ce village auquel il était très at¬

taché qu'il reposera, après une vie faite de travail consciencieux dans sa profes¬

sion et d'attachement à sa famille, au progrès social chrétien et à sa foi.

M. Marcel Caille

Originaire d'Estavannens où il a au reste passé sa trop courte existence.

M. Marcel Caille avait été atteint, il y a quelque temps de maladie contractée, à ce que l'on croit, au service militaire.

Transporté à l'hôpital cantonal de Fri¬

bourg, il devait y décéder après de cruelles souffrances, âgé de 21 ans. Gar¬

çon agréable et travailleur qui faisait partie, dans son village, des sociétés de tir, de musique et de chant, il s'y était acquis de solides amitiés tout comme â la parqueterie Binz, à La Tour-de-Trême.

où il avait été engagé et où chacun l'ap¬

préciait favorablement.

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IN MEMORIAM" 1956 if m\]

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MM. les

à porter conseillers d'Etal

I'hommaKe ti Ducotterd et Genoud avaient tenu, par leur présenei-, oiivernemeiit il ceux <|iii out donné leur vie pour im

monde meilleur.

M. Bastian, commandant la section que le Contingent des Grenadiers Iribour- jjeois avait déléguée il cette manifestation.

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I,a présence des drapeaux des bataillons fribourjreois symbolisait le souvenir que (Tardent nos troupes de leurs camarades tombés.

Cet to année, les sacrifices du peuple hongrois en lutte pour sa liberté ont donné une atmosphère toute particulière de recueillement aux manifesta¬

tions patriotiques à la mémoire des soldats morts.

A Fribourg, le 11 novembre, on fit coïncider, pour la première lois, la manifestation de l'Union des sociétés militaires et l'office de Kequiem tradi¬

tionnel de la session du Grand Conseil, donnant ainsi plus d'ampleur à cette cérémonie du sou¬

venir. Et ici, comme partout dans le canton, on lit ressortir combien grand était le sacrifice de certains et combien nous tous qui en bénéficions leur devons un témoignage tangible de reconnais¬

se! n ce.

Le président de la section fribourgeoise de l'AKTM, organisatrice de la manifestation, l'app. l'ierre Brunisholz, au cours de son

allocution devant l'Hôtel de Ville.

line attitude de M. Oscar Moret, directeur do la «Landwehr», pendant l'exécution de

« IMiis près de toi, mon Dieu» par notre Corps de Musique officiel.

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4 FRIROURG-ILLl'STRÉ Décembre 1956

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Les invités furent accueillis à la Grenette. Oe v,. à dr., le Colonel KM G de Buman, président de la SFO, le Colonel Cdt de Corps Corbat, le Colonel KM G Krnst, prés.dent central de la SSO, le Colonel div. Frick et le Colonel Hirt, président

de la Commission sportive de la SSO.

5me Orientation de nuit

En patrouille avec le Cpl H.

Mauron, le SrI: J.-Cl. Kontana s'est classé 1er des Fribourj;eois en catégorie Sous-Off. Klite.

Entourant le Major Rufer, les Capitaines Reichler (à r.) et Krattinger (à dr.).

Malgré le délai restreint dont elle dis¬

posait pour mettre sur pied la cin¬

quième course d'orientation de nuii de la Société Suisse des Officiers, la section de Fribourg a réussi à pré¬

parer à la perfection cet entraîne¬

ment hors-service. Elle le doit au dy¬

namisme de son président, le Colonel EMG de Buman, aux capacités tech¬

niques inlassables du Major Wuilloud, officier des sports du 1er C. A. et au concours bénévole de nombre de ses membres. Il convient de relever égale¬

ment l'apport précieux de l'école se¬

condaire professionnelle dont une bonne équipe d'élèves a prêté main- forte aux organisateurs.

Cette course bisannuelle a eu un suc¬

cès répondant pleinement au travail de ses promoteurs puisque près de 200 patrouilles, tant officiers que sous- officiers ou chefs SCF, se sont pré¬

sentées au départ à Cutterwil. Elle témoigne, une fois de plus, du sérieux avec lequel les cadres de notre armée entendent leur préparation.

Le Lt J. Jordan, en compagnie du Lt A. Maillard, a décroché le 1er rang des Fribourgeois en

catégorie légère d'Elite.

Au poste de tir, le Capitaine Piller, Cdt du Bat. fus. 14, donne ses instructions à une patrouille tandis que le lieutenant Glllon prend liaison radio avec la ciblerie.

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Ivcs deux réglmentlers de l'élite fribourgeoise, MM. les Colonels Bullet et de IMcsbach, ont suivi avec intérOt les différentes compétitions.

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Décembre 1956 5

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| Baumgartner i dans le rôle de

1 Josef Aesba- I ?her, le, « fou ».

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du souffleur.

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Discours du syndic Snnnmatter (M. Ernest Hofer) lors de l'assemblée des bourgeois. Au premier plan, Veri Aesbacher (M. Walter Brülhart) et son père Josef (M. Willy Baum¬

gartner).

• •-Ii V _ M. Minder a repris pour la circonstance la blouse de coiffeur. Le voici maquillant Godi Bürer (M. Walter

Beyeler) avant son entrée en scène.

Le Club des Yodleurs « Alperösli » de Fribourg et Granges-Paccot a fêté le trentième anniversaire de sa fondation en présentant, sur la scène du Livio, un spectacle populaire de première valeur, Hei-zue, dû à l'imagination de Walter Steiner. Au début de cette soirée commémorative, M. Witschi retraça l'activité de son club et fit ressortir la fidélité des membres de la première heure-.

Puis les frères Pulver, de Berne, ouvirent le spectacle par une marche vibrante et l'on enchaîna sur la pièce qui est, au sens d'autrefois, une comédie car tout est bien qui finit bien à la fin des trois actes et des six tableaux. Le groupe des costumes ber¬

nois de Fribourg avait prêté son concours à cette réussite et l'on eut le privilège d'entendre M. Sepp Jenny, yodler en solo. La danse jusqu'au petit petit-jour mit le point final à cette magnifique soirée de l'Alperösli auquel on souhaite encore de nombreuses

Les fiancés de la pièce, Vreni Sunnmatter (Mlle Marguerite Hertlg) et Peter Zurbrüggen (M.Hans Witschi, président du Club de yodleurs l'Alperösli)

floraisons. (Photos Mülhauser)

Bethli Hubacher (Mlle Vreni Kiistli) en aimable échange

de propos avec Ohasper I'armailli (M. Herbert Nydegger) Vreni Sunnmatter en colloque avec l'une des charmantes chevrettes-actrices.

eureKA !

EUREKA ! s'écrie Archimède dans sa baignoire EUREKA ! s' écrie Monsieur Dupont

EUREKA ! s'écrie Madame Dupont ILS ONT TROUVÉ

Ils feront leurs achats de Noël aux Entreprises Electriques Fribourgeoises

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FRIBOURG-ILLUSTRÉ Décembre 1956

M. Fernand Aebischcr, le dévoué président du Hockey-Club Gottéron vient de recevoir une. channe en témoignage de

reeon naissance.

Pour l'inauguration de la patinoire artificielle des Augustins à Fribourg, le H.-C. Gottéron avait organisé un tournoi de hockey dont le trophée était sportivement offert par la mai¬

son «Mauroux-Sports». Ambri-Piotta, Montana et Chamonix répondirent à l'invitation des locaux. Les pronostics furent partiellement dé¬

joués par un changement dans la composition d'Ambri et l'apparition d'un Chamonix spécia¬

lement brillant. Gottéron ne fut toutefois pas surpris et donna à son public le spectacle d'un franc et beau jeu et il ne s'inclina devant per¬

sonne, la coupe revenant à Chamonix par désis¬

tement chevaleresque des locaux qui étaient à égalité avec les français.

L'inauguration proprement dite eut bien ce caractère familier qui est l'atmosphère-même de ce club. La patinoire artificielle est née du travail du H.-C. Gottéron et de la grande classe dont cette équipe fait preuve sur le plan natio¬

nal. Nous avons relevé, dans notre numéro de septembre, les efforts inlassables de ce club pour réaliser son rêve : pouvoir jouer et s'en¬

traîner d'une façon plus indépendante des con¬

ditions atmosphériques sur son propre « ter¬

rain ». Des débuts modestes en 1935 à nos jours, quel chemin parcouru ! Alors le hockey était une nouveauté que des jeunes gens de l'Auge désiraient faire connaître. De l'étang du Gottéron, on passa au terrain des Augustins, en 1942, patinoire naturelle. Dès lors, ascension verticale du club : en 1947, il passe de série B en A et, en 1953, en ligue nationale B. Il de¬

vient nécessaire d'avoir une patinoire moderne.

C'est chose faite aujourd'hui et il convient de féliciter tous les artisans de cette réalisation qui permet aux enfants des écoles de s'adonner, tout au long de la semaine, à un sport sain et fortifiant entre tous, et aux trois équipes du Gottéron de s'entraî¬

ner et de se présenter devant leur public.

Le succès recueilli d'emblée lors des pre¬

mières rencontres démontre clairement que les promoteurs avaient raison et que leur audace était justifiée.

Nous avons le plaisir de présenter à nos lecteurs la première équipe du H.-C. Got¬

téron afin de mieux faire connaître cha¬

cun de ces joueurs qu'ils auront l'occa¬

sion d'applaudir tout au cours de l'hiver.

M. le curé Moser bénit la patinoire.

SUR L'«ARTIFI(IEILE»

Le capitaine du H.-C. Gottéron a le sourire en ce jour de fête. Né en 1931, Joseph PILLER fait partie depuis 14 ans de son club. Employé aux EEF et père d'un charmant garçon, il tient le rôle d'arrière sur la place.

A (fauche, Marcel Réalini, le sym¬

pathique reporter sportif, prend quelques notes. C'est lui qui s'est chargé de réunir les éléments de notre pape sur le H.-C. Gottéron.

Le syndic de Fribourg, Me J. Bourgknecht, et le directeur des EEF, M. Acker¬

mann, assistaient iV l'inauguration.

Deux amis de la patinoire, M. le conseiller national Strebel et M. Henri Folly. Vue générale de la nouvelle patinoire des Augustins.

Tous les travaux de génie civil pour la Patinoire artificielle ont été exécutés par les entreprises

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Décembre 1956 FRIBOURG-ILLUSTRÊ 7

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Avec Arnold Streun, le H.-C. Gottéron compte un avant au palmarès spéciale¬

ment étoffé. De la classe 1925, cet opti¬

cien de Berne, marié et père d'un gar¬

çon, a débuté à 17 ans sur les patins et fait un stage de 8 ans au S. C. Berne et un de 2 ans au H.-C. Lausanne. Sélec¬

tionné 22 fois avec Suisse A et 8 fois en B, il porta les couleurs nationales aux jeux olympiques 1953, au championnat du monde 1950 à Londres et rend de pré¬

cieux services au Gottéron comme en¬

traîneur. (Photo Meyer-Henn)

Dessinateur de profession, Pierre Clément s'est intéressé au hockey sur glace dès l'âge de 15 ans. Ses camarades du Gottéron connais¬

sent bien son efficacité car ils l'oni rencontré à maintes reprises alor^

qu'il faisait partie du H.-C. Jura et ils se réjouissent de voir un de leurs anciens adversaires pren¬

dre place parmi les avants de leur équipe. Clément est né en 1928 et travaille à Fribourg.

(Photo Hans Schmid)

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Employé PTT à Berne où il est marié et a deux enfants, Alphonse Weissbaum est un fidèle du club où, dès l'âge de 14 ans, il a fait toutes ses armes, à part une sai¬

son au Länggasse de Berne. A 28 ans, il est un avant rapide et sûr.

Ses interventions sont souvent saluées par les tribunes.

Cet ingénieur, en génie civil aux allures sportives n'est autre que Anton Zimmermann, de Thoune.

Après avoir débuté au S. C. Berne, il vint en 1954 au grand club fri- bourgeois où sa place, sur la glace, est à l'arrière. Il s'est adapté rapi¬

dement à l'atmosphère du Gotté¬

ron où il jouit de l'estime méritée de ses co-équipicrs.

Né en 1935, Claude Schnei- ter nous vient de Neuchâtel où il est étudiant en sciences économiques. Il fit ses dé¬

buts au Young-Sprinters et joue au Gottéron depuis 2 ans. Gardien efficace, c'est contre sa crosse que se bri¬

sent souvent les espoirs et les. descentes des équipes

Employé de commerce à Fri¬

bourg, Roper Aebischer a fait, depuis 1950 où il y est entré, une belle carrière dans son club. C'est un avant redouté et qui tiendra en haleine le public tout au long de la saison.

Depuis 1952, Jean Aebischer fonce avec les avants. Il est né en 1935 et exerce à Fri¬

bourg la profession de pein¬

tre. C'est un joueur sympa¬

thique qui permet tous les espoirs et que l'on rencontre avec plaisir sur la glace.

adverses. (Photo Gloor)

H.-C. GOTTERON

Fritz Bieri est entré jeune au Gottéron en se disant sans doute, comme nombre de ses camarades, que la va¬

leur n'attend pas le nombre des années. Cette saison le verra au poste d'avant où il utilisera les connaissances qu'il s'est acquises dès l'âge de 16 ans. Né en 1934, il est employé de commerce à Fri¬

bourg.

Y va n l'nnchaud est fonctionnaire à Romont. Aussi apprécie-t-il tout spécialement de pouvoir continuer son entraînement de hockey. Né en 1934, il entra à l'âge de treize ans déjà au H.-C. Lausanne et il défend les couleurs du club roi des Augustins depuis 1951. Cette sai¬

son le verra au poste-clé d'arrière où son style fera la joie du public.

Trois ans à la Chaux-de-Fonds puis au Rot-Blau de Berne, Rolf Him¬

melreich joue au Gottéron depuis le début de cette saison. Il y ap¬

porte son expérience et ses finesses d'avant. Lorsqu'il a déchaussé ses patins, il est ébéniste à Berne.

Né en 1934, il est, à l'heure actuel¬

le, en pleine forme et: le public fribourgeois a tout avantage à faire sa connaissance.

Us fates ! !

Des prix imbattables

"Nous nous permettons de présenter un peu plus longue¬

ment Mike O'Brien, l'étonnant entraîneur de « notre » club. Avant des Brighton Tigers (dont il porte, ci-dessus, le maillot), O'Brien est l'un des meilleure marqueurs actuels et la presse anglaise a souvent eu l'occasion de louer ses qualités. Il a vu le jour en 1933 à Countyclear et c'est à l'âge de 12 ans déjà qu'il entrait dans le

« Sussex Tigers » qu'il quitta, il y a six ans, pour le

« Brighton s>. Il a défendu également les couleurs du Nottinghams et, soit en

1951, soit en 1953, il fit partie de l'équipe natio¬

nale anglaise pour les championnats du monde.

Il se sent très à l'aise chez nous où il a trouvé, dit-il, une équipe de va¬

leur dont l'esprit est for¬

midable et qui peut de¬

venir l'une des plus dan¬

gereuses. Inutile d'ajou¬

ter que O'Brien est parti¬

culièrement heureux de la patinoire artificielle

des Augustins et qu'il a Arnül(, Beer cst né en 1930

frihm,, crI^C0CUI 11 est caissier CFF à Berne,

ls' marié et père d'une fillette.

Ses stages avant d'entrer au club des Augustins l'ont vu au S.-C. Berne, puis au H.-C. Bâle, enfin chez nous après un retour passager à Berne. Comme c'est le cas pour un bon nombre de ses camarades, il a été attiré par l'atmosphère cordiale du H.-C. Gottéron et son sé¬

rieux à l'entraînement.

(Photo Saxer)

Comme nombre de ses camara¬

des. Alphonse Schaller est entré au Gottéron à 14 ans. On le verra, sur la glace comme ar¬

rière. Marié il est ouvrier à l'usine Tellko et il est une fi¬

gure bien sympathique de chez nous. L'hiver qui s'ouvre nous promet, avec lui, du beau jeu.

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^— (Photo P. Machereli

L'équipe de Montana salue de la crosse lors d'un match disputé le jour de l'inauguration.

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Une nouvelle industrie, la ROMAG, vient de s'établir à Guin. Elle comprend, dans son programme de fabrication, des tuyaux en ruban d'acier soudés à l'élec¬

tricité dont l'usage est universel ; des tuyaux à accouplement rapide ; des tuyaux à joints articulés et des tuyaux à protection de câbles. Cette fabrique livre également un choix appréciable de machines dont nous citons quelques exemples : faucheuses mécaniques, re¬

morques à un axe, tracteurs à 4 roues sous la marque SCHANZIN, machines et mixer SAMIX, aspirateurs à foin, paille ou grains, ainsi que toute la gam¬

me des machines et outils agricoles.

Cette vaste entreprise comprend un ate¬

lier de réparations et ses entrepôts sont largement pourvus de pièces de rechan¬

ge. Ses locaux vastes et bien compris ont été exécutés par des entreprises du pays dont la renommée n'est plus à faire et il convient de féliciter chaque maître d'état pour la qualité de son travail.

Grâce à leur collaboration intelligente, la ROMAG dispose de locaux et d'instal¬

lations les plus modernes et les plus aptes à assurer une exécution soignée de son programme dans des conditions de

travail idéales.

Nos photos vous montrent, en haut, i:n„

phase du montage (les tuyaux à joi:>ts articulés et, en bas, l'expédition de di¬

verses machines agricoles.

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...et nos routes deviennent de plus en plus insuffisantes. Notre photo montre M. Ber- sier, commissaire de la circulation, en liaison radio avec ses agents au cours d'un

embouteillage. I>e deuxième Comptoir de l'érolles a connu plein succès.

M. am Rhyn prononce le discours d'ouverture. I'('s Tréteaux de Clialamala ont porté £1 la scelle le « .Malade Imaginaire » incarné par M. Basile Ncliouwey.

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tait reprit do l'essor grâce à cette initiative que les autorités du collège - qui n'avaient pas été consultées — soutinrent par la suite au lieu de la blâmer. Car ce cortège part d'un sentiment gé¬

néreux : Il veut apporter à tous les enfants une part de merveilleux et quelques gâteries. La der¬

nière guerre elle-même ne le suspendit pas parce qu'il s'adressait aux seuls innocents qui aient droit pleinement à leur part de lumière.

Le 6 décembre 1906, se- renouait ainsi une tradi¬

tion interrompue en 176'1, époque â laouclle la Saint-Nicolas était organisée par les enfants des écoles. Pour marquer le cinquantenaire, le comité

SAINT-NICOLAS fête ses 50 ans au Collège St-Michel

Charles Kivu, distingué secrétaire du comité d'organisation.

La Saint-Nicolas fait tellement partie de nos cou¬

tumes que bien peu savent comment et pourquoi le cortège solennel de Fribourg est l'apanage de la classe de réthorique du collège St-Michel. Nous le devons, comme le rapporte M. J. Jordan, pro¬

fesseur d'histoire au collège, dans le numéro de novembre du « Message », à l'initiative d'un grou¬

pe de huit ou neuf externes qui, en guise de farce, avaient préparé, en secret, la manifestation de 1906 et l'avaient annoncée au public au dernier moment. La foire de la Saint-Nicolas qui péricli-

Depuis 50 ans, cette image du Saint-Nicolas (le St-Michel remplit de joie le cœur des enfants de Fribourg. (Photo Miilhauscr)

issu des rangs de réthorique a décidé d'octroyer davantage de biscômes et, en plus des dons qu'il fait chaque année à diverses institutions charitables, il a choi¬

si de faire don d'un piano à l'Institut des Sourds-Muets du Guintzet, instrument d'éducation dont il a un pressant besoin.

Mais on ne peut parler de la Saint-Nicolas

1.0 souriant collégien-caissier est François Ayer.

Jean Civelli (i\ g.) préside une séance du comité avec, à sa gauche, son vice-prési¬

dent, l'ierre Donzé. I>e comité de St-Michel est composé exclusivement d'élèves de réthorique.

ceux-ci étaient faits aux vignettes de M.

Reichlen, mais celui-ci a pris une retraite bien méritée et une nouvelle tradition est peut- être née cette année : Celle d'un concours ouvert à tous les élèves pour l'illustration de la carte de la Saint-Nicolas. De toute façon, il intéressera nos lecteurs d'apprendre que les collégiens auto¬

risés à porter le câble ou les torches sont ceux qui ont vendu le plus de cartes. Qu'ils s'en sou¬

viennent l'année prochaine ! sans dire un mot de sa carte, des trente

cartes que M. E. Reichlen a dessinées avec amour durant sa carrière de professeur au collège et dont la collection représente une synthèse des événements de cette période vus par Saint Nicolas. La carte du cinquan¬

tenaire, due au talent de Vincent Carrard a un peu surpris les acheteurs habituels tant

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tuelle Vaudoise, vient de se clore un concours qui fait honneur au talent et aux qualités artisti¬

ques de Bernard Scliorderet, un jeune artiste fribourgeois qui n'en est plus au stade des pro¬

messes mais s'est acquis une belle maturité. Le premier pro¬

jet primé pour la décoration du hall du Cèdre — le nouveau bâtiment administratif de cette société dû aux plans de M. Jean Tschumi, professeur d'architec¬

ture à l'Ecole Polytechnique de Lausanne — est « Tempo », un grand panneau présenté par Bernard Schorderet qui s'est inspiré pour cette réalisation non figurative, de l'atmosphère et des réalités particulières du bâtiment. Il s'agissait, en effet, de faire de ce panneau une partie intégrante du complexe architectural et non une «déco¬

ration» au sens courant d'oeu¬

vre d'art transportable et in¬

terchangeable. C'est, si l'on veut, la formule la plus élevée des « arts appliqués ».

Notre photo montre Bernard Schorderet en conversation avec André Bloc, le célèbre cri¬

tique parisien, devant le projet de Tempo ». En haut du pan¬

neau, à gauche, on relève un détail de l'exécution et, sur l'œuvre elle-même, une sil¬

houette humaine donnant la mesure de l'ensemble.

(Photo Presse Diffusion)

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Décembre 1956 K R I B O l'Ii G - 11.1. V S T K Ê 11

C'i-dcssus : Koim\ les Gr»iules Avenues (1951 - 65 \ 7(i cm.)

Ci-contre: J>» Couture (1953 - (iOxô.Lcm) De quoi est laite exactement l'émotion que nous éprouvons à la vision, j'allais dire au spectacle des grands dessins du peintre Charles-Yves Jordan ? Ou en¬

core, quelles sont les composantes qui entrent dans la nature de cette émotion que nous sentons tous avec une acuité que souvent nous n'éprouvons pas devant les toiles d'autres peintres ? Ou enfin, quelle est la qualité essentielle, pre¬

mière, irréfutable de cette émotion ? S'il est possible de répondre à semblable question, il faut, essayer de refaire un bout du chemin qui a conduit Charles- Yves de la réalité — paysages, portraits, intérieurs —- telle qu'il l'a vue jusqu'à la transposition, transformation, enfin l'a¬

chèvement poétique d'une réalité nou¬

velle, le dessin qu'il nous montre, la réalité artistique telle que nous la pal¬

pons avec les yeux.

Chez le peintre il y a déjà émotion en face du modèle et par modèle j'entends aussi bien l'amas de toits d'une ville vu d'un belvédère, l'enfilade d'une rue ro¬

maine, l'intérieur d'un salon donnant sur une fenêtre lumineuse, des fruits arran¬

gés sur une table à la nappe à carreau, que le portrait d'une jeune fille, d'une

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Les dessins de

Charles-Yves Jordan famille et que l'auto-porl rait. Cette émo¬

tion qui chez les profanes que nous som¬

mes n'est que prosaïque ou utilitaire, est pour le peintre d'ordre pictural déjà : le modèle se réduit déjà dans sa pen¬

sée, en taches et formes colorées. Les problèmes commencent à se poser pour l'artiste dans le choix des moyens de rendre tangible et concret, le sens poé¬

tique et pictural de sa vision, pour l'œil profane qui ne l'a pas découvert dans ïa réalité, mais va le découvrir dans l'œuvre d'art telle qu'elle est montrée.

Les moyens choisis par Charles-Yves sont le crayon simplement et la multi¬

tude des nuances — toute la gamme des gris, du blanc au noir — dont est capa¬

ble un simple crayon. Et ce faisant, il a choisi la voie la plus difficile : instru¬

menter au lieu d'orchestrer, construire un univers coloré sans couleur, compter sur des valeurs noires et blanches pour exprimer des états poétiques sans spé¬

culer sur les richesses de coloris. Ceci posé, il laut avouer que non seulement Charles-Yves a choisi le chemin le plus difficile, mais qu'il en a triomphé avec une aisance étonnante. En effet, à regar¬

der ces dessins, on éprouve justement un sentiment curieux de coloris, non que l'imagination leur superposât des cou¬

leurs : mais les vibrations lumineuses qui animent chacune des œuvres, lais¬

sent derrière elles un souvenir coloré ; la lumière et l'im¬

pression colorées y sont telles que les couleurs ne seraient ajoutées que comme des pléonasmes. Avec Charles-Yves le dessin, parce qu'il n'est pas l'ossature d'une peinture, l'ébauche sur papier d'une sculpture, l'illustration d'une œuvre littéraire, est élevé au rang d'un art plastique auto¬

nome, ne donne pas cette impression d'essais, de tentatives, de travail préparatoire, cette impression parfois d'inachevé en somme que donnent en général les dessins.

Je ne voulais pas manquer de signaler par ces quelques notes l'œuvre d'un ami, à l'occasion de l'exposition qu'il vient de faire à Wil dans le canton de St-Gall. Jritn-Mirhcl II:iyoz

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Une attitude de Mlle Claudine Catting.

Dans les coulisses, Mlle Marianne Gobet initie Jacques- Véronique, la petite fille de Mme Jacqueline Thévoz,

aux attitudes de la scène.

J Le programme du spectacle présenté cette année par les élè¬

ves de Mme Jacqueline Thévoz, était peut-être trop chargé et présenté avec, trop d'effets. D'où la polémique que chacun sait. I>a photographie ne peut servir de témoignage en la ma¬

tière car la danse est essentiellement mouvement. Mais elle est le juste reflet de quelques attitudes que nous livrons il la réflexion de nos lecteurs. (Photos Mülhauser)

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