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hèque cantonale. Frihourg

Ho 114 J. A. 11m* année PREMIER JOURNAL ILLUSTRÉ FRIBOURGEOIS Le numéro 60 cfs AVRIL 1956

©ranüc

Ampère

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Au concours du Gambrlnus, Mlle Deschoux, de Grolley, fut très applaudie dans

«l'armailll des Grands-Monts». Comme quoi l'on sait encore apprécier les chants de chez nous. (Voir pape 3.)

Suisse B - Belgique B, un match qui a fait parler de lui. Notre objectif a saisi au vol le portrait des entraîneurs, le Belge, M. Ceuleers (à gauche) et M. Mauror

'à. droite) au restaurant do la tour du Cardinal (reportage en page 7).

(2)

2 FRIBOURG-ILLUSTRÊ Avril 1956

M. Armand Droz

Directeur de la fabrique de produits alimentaires Armanda, M. Droz, né à Bienne en 1874. était l'un des industriels les plus en vue d'Estavayer-le-Lac où il se fixa après avoir fait son apprentis¬

sage de confiseur à La Chaux-de-Fonds et des stages en Angleterre. Il dirigeait sa fabrique, fondée en 3917 avec com¬

pétence, secondé, les dernières années, par son fils Armand, député au Grand Conseil. Il s'intéressait en outre au tir et au chant qu'il pratiquait dans les sociétés locales dont il était membre d'honneur. (Photo Tornow)

Mme Louise Deillon

Mme Auguste Deillon était née Louise Guérig. Venue du village de Siviriez, elle s'était établie avec son mari à Fri- bourg, dans le quartier de Pérolles, et éleva avec lui, dans le respect du devoir religieux et l'amour du travail, une belle famille de quatre enfants. Elle était connue comme une personne charitable, bonne et modeste. Elle s'est éteinte au bel âge de 81 ans, entourée de l'affection tendre et fidèle des siens.

M. Carlo Frossard

Disparu à l'âge de 53 ans déjà, M. Carlo Frossard était un visage connu des mi¬

lieux sportifs de Fribourg où il était un membre fidèle de F.-C. Central et Richemond. D'un caractère jovial et franc, il travaillait dans les ateliers de l'usine Cafag où il était très estimé et comptait de nombreux amis. Ces der¬

nières années il avait fait de la pêche sa distraction préférée et trouvait dans ce sport paisible une réserve d'énergie pour son travail et de bonne humeur.

M. Rieger

Maître cordonnier de profession, M.

Rieger avait ouvert, tout jeune, un atelier à la rue des Forgerons. Par son travail consciencieux il s'était attaché, durant les 55 ans qu'il passa dans son échope, une clientèle nombreuse et fidèle qui appréciait son bon cœur et il était devenu une des figures les plus popu¬

laires du quartier de l'Auge. Il passa les dernières années de sa vie chez son fils où sa famille l'entourait de soins affectueux. Il les a quitté à 80 ans après une pénible maladie courageuse¬

ment suppDrtée.

M. Ferdinand Grandjean

C'est au cours d'une partie de chasse dans une réserve bernoise, près de Kœniz, alors que les trois participants étaient en train de vider le chevreuil qu'ils avaient abattu qu'un fusil démon¬

table. que M. Grandjean portait sur lui, fit soudain feu, l'atteignant en pleine poitrine et le tuant sur le coup. La victime n'avait que 38 ans. Grand tra¬

vailleur, il cultivait le domaine familial et était de plus connu comme bon skieur, varappeur intrépide, chasseur passionné et tireur adroit.

Mme Frieda Zahnd Y -y**

MM. Marcel et Germain Berset M. Jean de Boccard M. Edouard Vaucher

Née Frieda Rueschrgg, Mme Hermann Zahnd était âgée de 59 ans et avait épousé un commerçant qui tient à Rosé, une boulangerie-épicerie. Personne affa¬

ble et dévouée elle ne se contenta pas de tenir son ménage mais seconda en outre admirablement son mari dans son commerce où une nombreuse clientèle savait apprécier ses qualités. Elle fut emportée par une embolie à la suite d'une opération dont on attendait pour¬

tant la guerison.

Coup sur coup les villages de Villarsiviriaux et Villargiroud ont vu disparaître deux de leurs habitants et la famille Berset frappée par deux fois dans ses affections les plus chères. M. Marcel Berset était maitre-boulanger et il est décédé dans sa 65me année après une longue et pénible maladie supportée avec une résignation toute chrétienne. Il était non seulement le commerçant affable et consciencieux auprès duquel chacun se rendait avec plaisir mais aussi un homme estimé que ses capacités et sa droiture avaient élevé à la charge de président du Conseil de paroisse. Quant à son neveu, M. Germain Berset. il a été enlevé cinq mois après la mort de son père, à l'âge de 33 ans.

des suites d'une grave opération en laquelle il avait placé son ultime espoir.

Pendant de longs mois il avait supporté avec courage les cures du sanatorium.

Enlevé en pleine jeunesse — il n'avait que 29 ans — à la suite d'une interven¬

tion chirurgicale à Lausanne, M. Jean de Boccard avait, ses études secondai¬

res terminées, acquis le grade de licen¬

cié en droit à l'Université de Fribourg.

Il avait, après un stage à l'étude de Me Dupraz. passé à Genève ses examens d'avocat et était le collaborateur appré¬

cié de l'Etude Perriard où on l'estimait pour son intelligence et sa droiture. Il était premier-lieutenant d'infanterie.

(Photo Rast)

Retraité des CFF, M. Vaucher était ori¬

ginaire du canton de Neuchâtel mais habitait depuis longtemps Fribourg à laquelle l'unissaient de nombreux liens de parenté. Homme actif, il ne pensa pas que le repos fût venu pour lui avec la retraite. Aussi prit-il alors en mains plusieurs affaires et s'occupa-t-il, notam¬

ment, des Coopératives réunies. Tou¬

jours alerte malgré ses 82 ans il était un fervent de la musique instrumentale et la Musique Ouvrière le compta parmi ses fondateurs.

M. l'abbé Henri Bullet Mme Maria Etienne

Né à Estavayer en 1875, M. l'abbé Bullet avait été ordonné prêtre en 1900.

Après avoir été vicaire à Genève et Neuchâtel il fut appelé à la tête de la paroisse de Château-d'Oex dont il fut le fondateur, étant arrivé dans un lieu sans chapelle et sans cure. Il s'y dévoua avec sa discrétion proverbiale et son courage tenace, malgré toutes les diffi¬

cultés. jusqu'en 19-15. Retiré ensuite à Prela/, il accepta bientôt le poste déli¬

cat d'aumônier du Bon Pasteur à Lully, où il sut se faire aimer, par son carac¬

tère primesautier. des pensionnaires.

Une grave opération u la tète a eu raison, à 50 ans, de la robuste consti¬

tution de Mme Feinend Etienne, qui habitait Rosé où elle avait élevé, infa¬

tigable et souriante, dans un esprit chrétien, une belle famille de 13 enfants.

En collaboration avec son mari elle avait fait de son foyer une source de bonheur et d'affection. Quanti vint la mort elle se résigna avec courage, ac¬

complissant jusqu'au bout, son devoir et donnant encore l'exemple.

(Photo Macherel)

M. Théophile Charrière M. Fridolin Gander

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M. Albert Goumaz L«

Marcel Chatagny Le docteur Paul Charrière

Né à Fétigny en 1874, M. Goumaz, une fois le brevet d'instituteur acquis, com¬

mença sa carrière à Progens, où il fonda son foyer. Puis il fut appelé à Fétigny où il forma deux générations et consa¬

cra le meilleur de sa vie. Pédagogue avisé, il prêchait d'exemple en tout, toujours conciliant et agréable, gardant toujours au premier plan de ses pré¬

occupations son devoir d'instituteur, malgré les nombreuses charges qu'on lui demanda d'assumer. Il éleva une belle famille où Dieu choisit trois prê¬

tres.

Mme Joséphine Romanens

Conseiller communal et paroissial pen¬

dant plusieurs périodes, membre fonda¬

teur et membre du comjté de direction de la Caisse de Crédit Mutuel de son village, M. Charrière. personnalité en vue à Cerniat. était le fils de ses œuvres. 11 débuta au service d'entrepreneur italien et apprit à son tour le métier de maçon et fonda sa propre entreprise. Il cons¬

truisit entre autres la maison d'école et l'hôtel de la Berra et était le maçon at¬

titré de la Valsainte. Loyal et conscien¬

cieux. il était d'un esprit ouvert et obser¬

vateur. lisant beaucoup, d'une conversa¬

tion agréable et d'une fidélité à toute épreuve. (Photo Dorsaz. l,ausanne)

Entrepreneur-maçon à La Villette, près de Bellegarde, le défunt, qui était âgé de 70 ans, était une figure connue dans la vallée de la Jogne où il s'était acquis une solide réputation professionnelle par ses capacités et par son travail sérieux.

Il s'était spécialisé dans la construction de murs secs et de citernes. Epoux et père de famille modèle, il avait élevé avec courage une belle famille de 9 enfants dont l'aîné travaillait avec lui.

Veuve de Célien Romanens. Mme José¬

phine Romanens passa toute sa vie dans son village natal de Sorens, où elle habitait en Malesscrt. Par son amour du travail elle fut pour son mari une aide précieuse dans l'exploitation du domaine familial où elle éleva ses en¬

fants dans des principes de religion et de droiture. Après la mort de son mari elle fut entourée de l'affection des siens au long d'une vieillesse au cours de la¬

quelle les épreuves ne lui manquèrent pas.

On se souvient encore du tragique prri- dent qui. le 2 décembre 1955. enleva le jeune Marcel Chatagny, âgé de 12 ans.

qui vint, aux Grand'Places. heurter avec son vélo un camion et tomba sous la remorque qui l'écrasa. C'était un garçon vif et intelligent, appartenant à une nombreuse famille. Il respirait la vie et la santé et sa cruelle disparition a privé les siens d'un fils et d'un frère aimé et ses camarades d'un ami dont ils reconnaissaient naturellement la valeur.

Né à Cerniat en 1885, le défunt fit. à Romont et Fribourg ses études secon¬

daires et étudia la médecine aux Uni¬

versités de Bâle et Lausanne. Après un stage à Leysin. il ouvrit un cabinet de consultation à Bulle, partit ensuite pour Constantinople que la révolution obli¬

gea à quitter. Il s'établit alors, en 1923.

à Rue où, pendant plus de 30 ans. il se donna entièrement à son art et à ses patients. Il avait appris dans les épreu¬

ves, le sens de la compréhension qui lui gagna la confiance de chacun. Il était membre d'honneur de la société de musique locale.

Mme Ida Desdoux Mme Florence Castella

Mme Adrien Descloux. née Ida Barras a été enlevée à l'affection de son foyer à l'âge de 38 ans, à la suite d'une inter¬

vention chirurgicale à l'hôpital de Riaz.

Non seulement elle était une épouse secondant admirablement son mari et une mère de famille dévouée, mais elle gardait l'amour des vieux métiers et, comme tisserande. elle était appréciée pour son travail artistique confectionné avec soin.

Mme Florence Castella-Doutaz était l'une des doyennes de Bulle. Agée de 90 ans, elle connut une vie toute de tra¬

vail et pratiqua autrefois le métier de repasseuse, se rendant dans les ména¬

ges pour faire la lessive. Elle était par¬

tout appréciée pour son bon cœur, sa modestie et son travail consciencieux.

D'une santé robuste elle vécut une heu¬

reuse vieillesse entourée, après la mort de son mari, de l'affection de ses enfants et petits-enfants.

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Avril 1956 FRIBOURG-ILLUSTRÊ 3

üllUtUMITE KKffCTW

SAVONNERIE

PECLARD

YVERDON

AU GAMBRINUS

Concours de variétés

Muffuy Sandra (qui vient de se classer brillante seconde) et Baccanal donnent, hors concours, un numéro très Montmartre.

M. Mossu présente l'une de ses compositions, « Le croque-mort », sur des paroles d'ICniilc Garda/, (mais oui, celui de «Mardi les Gars») auquel il se lia d'amitié

sur les bancs de St-Michel.

M. Charles Kreutzer, l'aimable direc¬

teur du Gambrinus vient de montrer qu'il sait tirer un excellent parti de son établissement en ouvrant aux amateurs fribourgeois un concours de variétés en plusieurs épisodes.

M. Mens et son orchestre étaient chargés d'animer et de soutenir les débats. Quant au jury, il était, com¬

me disent nos politiques, souverain puisque c'était le public qui, parfois, au lieu de voter, préférait manifester ...et c'est son droit. On posa inévita¬

blement la question de l'amateu¬

risme, c'est-à-dire la question de sa¬

voir à partir de quel point un artiste devient professionnel. A notre sens, il semble que tout concurrent doive être parfait dans son genre et que la distinction ne doit pas se faire sur la qualité, mais sur le fait que, oui ou non, tel ou tel artiste gagne sa vie au moyen de son talent. Mais c'est une vieille querelle d'école qui a l'avantage de donner plus de sel encore à tout concours d'amateurs.

Ceux qui montèrent sur le podium surent tous choisir un répertoire cadrant bien avec leur personnalité et les seuls défauts furent techniques en ce sens que certains ne « man¬

geaient » pas assez le micro. Le public se montra bon public en applaudissant avec chaleur et, comme à ce jeu-là chacun était gagnant, les concurrents emportèrent leurs bouteilles d'apéritif et le vain¬

queur son 20 francs-or qui, ce jour-là, pesait 32 fr. 50. Le public eut sa part puisqu'il y eut prolongation et cha¬

cun rentra chez soi en se disant que, la prochaine fois, il monterait, lui aussi, sur les planches pour montrer de quelle voix il se chauffe.

«Viens au creux de mon épaule» chante I'ierre Sclialler.

M. Mens mène le jeu avec le concours, bien sûr, d'un frêle micro.

Marcel Mulhauser, grand vainqueur avec, « Un p'tit coin d'Paradis » et les « Cavaliers du Ciel » remporte

la « médaille d'or ». « La Fiesta bohémienne » était au programme avec Claude Despond.

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H IL L M A N I HUMBERT I SUNBEAM I EXPOSITION I

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4 FRIBOURG-ILLliSTRÊ Avril 1956

Albert Schœni reçoit les visiteurs avec son amabilité coutumiére. Cette damp s'intéresse vivement aux modèles de tentes.

Le héros de l'exposition était le vélo qui reste le moyen de transport écono¬

mique par excellence.

La joie de posséder une Elna-Supermatic

est si normale sur cette charmante ménagère, que chaque femme doit l'envier. Cela est si naturel quand on connaît la valeur d'une telle machine à coudre. Sa robustesse, sa précision, sa tacilité à l'emploi, en font une amie fidèle pour la vie.

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Qui n'a désiré passer quelques jours de vacances sous une tente ? Quel enfant ne rêve pas d'un vélo et quel adolescent ne rêve pas d'une bicyclette de course à huit vitesses ? Et combien de personnes amélioreraient leur condition par le simple achat d'un vélo ou d'un vélo-moteur ! Albert Schœni, le dynamique ami des coureurs, a pris l'initiative, cette année, d'exposer à la salle du Café des Grand'Places. Un concours mettait en, jeu un vélo pour enfant. C'est le jeune Jean-Raymond Broillet qui l'a gagné. Bravo ! Le vélo reste roi, la petite reine comme on l'ap¬

pelait autrefois, même si le vélo-moteur prend du terrain. Il garde son rang par les perfection¬

nements constants que lui apportent les techniciens : légèreté et solidité incroyables, accessoires de précision, usure infime, élégance... Albert Schœni n'a pas oublié non plus que le matériel de camping était le fidèle compagnon du cycliste.

Et si vous n'avez pas pu visiter l'exposition, allez chez Schœni qui a tout ce qu'il vous faut. Ça lui fera plaisir, bien sur. Mais vous, vous apprendrez quelque chose.

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Rêve d'automobiliste.

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Avril 1956 FRIBOURG-ILLUSTRÊ 5

Triathlon et tétrathlon

militaires au

Lac Noir

L'organisateur dévoué de ces concours, le Cap. Krattinger, président du groupement polysportlf de Fribourg, remet son prix au Pit. de Gottrau.

Parti grand favori de la descente, le champion fribourgeois Rossier s'est classé premier dans cette discipline.

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Le Pit. Vaugne a reçu une mention spéciale comme t riut hlt'te le plus ftgé.

Le Pit. Danilo Daguet remercie avec humour ses collègues du bureau des

calculs.

Ces concours militaires ne purent se disputer cette année que grâce à l'esprit d'entreprise de ses organisateurs qui ne reculèrent pas devant la difficulté d'appeler les concurrents au Lac-Noir où, jusqu'à mi-pente du télé-ski, l'herbe indési¬

rable poussait à ciel ouvert. Dans le cas parti¬

culier, les organisateurs sont tous des sportifs et il ne craignirent pas de fixer les différents par¬

cours (excellents selon les coureurs eux-mêmes) à la Riggisalp et sur ce qui restait des pistes. Un soleil magnifique présida à ces épreuves dans lesquelles la régularité est le gage le plus sui¬

de réussite. La conclusion la meilleure que l'on puisse donner à cette manifestation fut trouvée par le colonel Delay qui représentait le Cdt. du 1. C. A. : « Avec de tels soldats, il n'y a pas de problèmes de défense nationale ».

L'App. Aiwlré Macheret se classe second à. la descente dans sa catégorie et second au classement général.

Zwelsimmen avait délégué trois concurrents de première valeur, (de gauche à droite) le Sgt Ginggen, le Cpl Müller et le Four. Matti, qui em]K>rtèrent respec¬

tivement la 2me, la Ire et la Sme place au classement général du tétrathlon de catégorie I.

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FRIBOURG-ILLUSTRÊ Avril 1956

OVI

en fête

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Mlle Delley remet gracieusement un souvenir à ÎVL Moullet, syndic de Lovens.

M. Moret durant son allocution. C'est lui qui eut l'heureuse initiative de cette mani¬

festation bien sympathique.

Afin de parer à la mélancolie hivernale, Lovens a décidé de sourire et sa chorale « l'Echo du Belvédère » a organisé une soirée toute familière et donné rendez-vous au village et à ses amis à la maison d'école. Après un repas succulent arrosé par tout ce que le Valais met de soleil en bouteille, la chorale se fit applaudir dans un réper¬

toire choisi parmi les chants qui nous tiennent à cœur. Puis la partie oratoire permit à chacun d'exprimer ses sentiments et l'on en arriva au point culminant de la fête. Car Lovens avait eu la délica¬

tesse de vouloir marquer sa recon¬

naissance à trois conseillers commu¬

naux, MM. Yerly, Moullet et Codou- rey, qui, depuis plus de 25 ans, voient leur mandat renouvelé. Et c'est par le Vieux Cha¬

let que prit fin cette belle soirée vouée à l'enthou¬

siasme.

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M. Buys dirige avec art et fermeté la chorale récemment constituée. On remarque que le Préfet de la Sarlne, M. Renevey, a pris place au rang des

chanteurs.

M- Bernard Telley (à droite) se montra un major de table de grande classe et sut mener les Joyeux débats. A ses côtés, M. Yerly et M. Telley junior.

(Photos Geisel)

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8 FRIBOURG-ILLUSTRÊ Avril 1956

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M» ïlelchler (à droite) de la brasserie Bcaurctfard, échange ses impressions avec

l'excellent tenancier du nouvel établissement, M. A. Berehtold. M. Aeby n'aime pas le flash et préfère que l'on photographie les locaux. Ce sera pour la prochaine fois.

A la Vignettaz

I.e déménagement de Dodi avait pour légende : « C'est tout neuf, niais tant pis, on servira qunnd-même ».

M. Tacchlni est heureux d'avoir mené à bon port la sympathique réalisation du café de la Vignettaz.

A la Vignettaz, il manquait quelque chose et depuis trop longtemps. On y avait le soleil, l'école, les jardins, la tranquil¬

lité, quelques magasins et l'ar¬

rêt du trolleybus au Daler.

Mais il fallait descendre « en ville » pour boire sa chope ou ses 2 décis.

Maintenant, ça va changer.

Car tout Fribourg va monter à la Vignettaz. Ceux qui cher¬

chent des appartements en trouveront à la Cité des Alpes.

Et ceux qui n'en cherchent pas y trouveront Dodi Berehtold qui vient d'y prendre en charge le Café de la Vignettaz. C'est vous dire que le déplacement vaut la peine. D'autant plus que ceux qui n'aiment pas uti¬

liser leur train 11 n'auront que deux pas à faire depuis l'arrêt du Daler. L'inauguration a été une vraie fête d'amis. Elle a été aussi une vraie petite fête du travail parce que les maî¬

tres d'état et les entreprises Tacchini S. A. et Sateg S. A.

ont réussi à terminer les locaux une semaine avant la date fixée, ce qui n'est pas courant de nos jours. Fribourg-Illustré vous présentera, la prochaine fois, ce merveilleux établisse¬

ment où tout a été fait pour le bien-être du client. Mais le meilleur reportage sera encore celui que vous irez faire vous- mêmes sur place.

M. Ciulil, directeur de la brasserie Beaure(jard, en conversation avec le direc¬

teur de la Police, M. le conseiller d'Etat Torche.

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1er étage Fribourg

Succès fribourgeois au concours international de décoration Le concours international de décoration, orga¬

nisé chaque année par le grand journal français

« L'ami du charcutier » de Paris, connut cette année un succès extraordinaire de participation.

Dans la liste des concurrents gagnants, il y a Mme Marie Baeriswyl, épouse de M. Pierre Baeriswyl qui exploite une boucherie à la rue Grimoux et une à la Route de Villars à Fribourg, obtenant deux médailles gravées.

Mme Baeriswyl, seule concurrente Suisse avec prix, a obtenu le 2me prix d'étalage et un 2me prix de décoration pour le sujet ci-contre.

Félicitations à Mme Baeriswyl, pour son magni¬

fique succès.

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Avril 1956 FRIBOURG-ILLUSTRÊ

Clôture des cours du semestre d'hiver

M. Roland Singy, professeur d'anatomie, au cours de

l'examen final.

M. l'abbé Murith, aumônier de l'Institut, contribue efficacement à la formation de la jeunesse paysasne

qui lui est confiée.

Professeur de bactériologie laitière, M. le Dr Demont donne l'un des cours très importants de l'école de laiterie.

Au cours d'arboriculture, M. H. Clément utilise, comme c'est fréquemment le cils à Grangeneuve, l'appareil de projection qui permet à l'élève de réfléchir en ayant sous les yeux un problème concret. Cette manière de faire gagné du temps, ce qui est précieux à notre Institut agricole où la

durée des cours suffit de justesse au programme.

Do*. ZtfxSceai

Bien utiliser les engrais est un gage de succès. Les jeunes paysans de langue allemande l'apprennent chez

M. Müller.

Chez les laitiers, M. Macheret Initie les nouveaux à la fabrication du fromage qui est l'une des façons les plus rationnelles de

« stocker » le lait. De lui, dépend en partie la formation de bons fromagers qui contri¬

bueront à faire de notre canton le produc¬

teur de pièces de choix.

Une bonne étude des machines agricoles permettra à l'élève de les utiliser rationnellement et, surtout, de les acquérir à bon escient. C'est M. B&echler qui

s'occupe de ce cours.

Le directeur de Grangeneuve, M. Chardonnens, donne lecture du palmarès.

A GRANGENEUVE

Avec ses près de 150 élèves, l'Institut agricole de l'Etat vient de battre, cet hiver, son record d'inscriptions. Mais, comme l'a relevé son directeur dans son rapport final, la participation des districts allemands du canton est plus forte, en valeur absolue, que celle des autres districts. On ne peut vraiment pas donner de raisons écono¬

miques à ce phénomène. Mais on pourra vraisemblablement lui en donner s'il s'accentue car il est prouvé que Grangeneuve enseigne au jeune paysan les bases nécessaires d'une exploitation rationnelle, d'une rentabilité accrue par une judicieuse économie des moyens. Il ne sert de rien d'accroître magnifiquement le rendement quantitatif si le bénéfice relatif baisse fortement. L'Ecole d'Hiver donne aux élèves, en deux semestres, l'occasion de se faire une idée claire sur les principes d'exploitation, allant de la construction rurale à la chimie des sols, des cours d'élevage et d'anatomie à la botanique, à l'arboriculture et aux cultures et prairies, en passant par les machines et la comptabilité rurale.

Parallèlement, l'école de laiterie, avec une forte participation étran¬

gère au cours annuel et des inscriptions record au coure semestriel, prépare les laitiers, avec des exigences semblables, à tenir leur rôle essentiel dans la famille paysanne.

La beurre rie est du domaine de M. Progin.

M. le conseiller d'Etat Quartenoud Insista sur les pro¬

blèmes paysans de l'heure et sur le fait que l'Ecole cantonale d'Agriculture est l'un des moyens de résoudre

ces problèmes.

Mais, même si les inscriptions de cette année sont plus élevées que de coutume, on est encore loin d'un sommet. Et c'est regrettable.

Car, si l'agriculture est défavorisée par rapport aux autres activités puisque sa part du revenu national est inférieure à sa proportion et à son travail, l'un des moyens de remonter la pente est certainement une meilleure formation professionnelle qui, dans tous les cas, abaisse le prix de revient. Les ouvriers l'ont compris et leur salaire varie surtout en fonction de leurs connaissances, de leur formation.

Le salaire de l'agriculteur — qui est en même temps son propre employeur et son employé — étant compris dans les produits qu'il met sur le marché, le paysan peut l'influencer directement en acqué¬

rant des connaissances pratiques telles que les lui enseigne notre Institut agricole. Certes, il doit revendiquer de justes prix. Mais le poids de ses revendications sera augmenté le jour où, bien qu'en minorité dans notre pays, il pourra dire qu'il a réduit au minimum ses frais d'exploitation sans nuire au rendement et à la qualité, élé¬

ments décisifs sur le marché, le jour où, dans l'ensemble, il aura cessé d'être un travailleur aux méthodes souvent trop empiriques, pour devenir un agriculteur qualifié. Il ne s'agit pas, en définitive, Haider l'agriculture à survivre. Il faut qu'elle prenne conscience du

"ait qu'elle peut vivre. Grangeneuve, avec une équipe de professeurs aux connaissances solides, constamment vérifiées par la pratique, est à la clé du problème paysan chez nous.

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Avril 1956 FRIBOURG-ILLUSTRÊ 11

P. LEI B Z IfLA

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GRAND'PLACES 26 . FRIB0UR6

En attendant que « leur » monument à l'Abbé Bovrt soit sorti de son rocher, les Bullois ont demandé à Fri- bourg de leur prêter celui des Grand'Places. C'est avec la joie que l'on devine que la population de Fribourg l'a vu quitter le fond des Grand'Places pour aller rem¬

placer momentanément la statue de Nicolas Chenaux

— actuellement en répara¬

tion — sur la place du Mar¬

ché à Bulle. Ainsi, le (guer¬

rier cède le pas au poète.

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La Swissair aurait-elle des poux (du ciel) ? Ce n'est certes pas le cas. Mais notre photographe a saisi l'habile constructeur et pilote fribourgeois, M. Louis Cosandey, alors qu'il tentait, à bord d'un appareil de sa construction, de passer sans dommage entre l'hélice

en mouvement et la carlingue d'un DC 3 à Coïntrln. (JAFA)

La récente décision du Grand Conseil de doter la police de nouvel¬

les stations radiophoniques vient de Jeter l'émoi parmi la popula¬

tion de Fribourg. En effet, si la grue traditionnelle de la tour Saint-Nicolas a disparu, elle a fait place à une puissante antenne émettrice de radio-télévision — en harmonie avec la cathédrale,

disent les esthètes.

d'Avril

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OFFENSIVE DE PRINTEMPS

Lu mode des chapeaux est agréablement diverse. Elle n'est pas limitée par un type absolu mais elle doit s'adapter à chaque

ensemble.

Les couleurs ne sont que le début de l'enchantement. Les blouses se veulent de ligne simple au dessin fantaisiste qui réunit tantôt des fleurs, des. pois ou des rayures. Les gilets s'accommodent de tous les tons pastel comme les manteaux d'été coupés dans tout ce que l'ingéniosité fournit de tissus légers. Çommc de coutume, la ligne typique de la nouvelle mode féminine est désignée par la tenue de .ville l'après-midi : Silhouette détachée par le choix du noir,' épaules rondes, taille haute et poitrine effacée, soulignée par un drapé. Mais, si cette ligne donne le ton, un ton voisin du fourreau classique, mille autres solutions égaient le printemps 1956.

Que l'on songe à toutes les fantaisies offertes par l'usage de toiles- tailleurs et de jupons empesés qui assurent à la jupe amplitude et légèreté. Que l'on songe à tous les écossais, à tous les pieds-de-poule et à la gamme des Princes de Galles très en vogue ! Et l'on aura un reflet atténué de ce que les Trois Tours mettent à profusion à disposition de la femme d'aujourd'hui.

AUX TROIS TOURS tj-zibeutq

Lancer la mode nouvelle est, depuis longtemps, une tradition des magasins Aux Trois Tours qui viennent de marquer l'arrivée du printemps par une éblouissante présentation de modèles. Une fois de plus, MM. Nordmann n'ont pas hésité à faire installer une piste au second étage et à révéler au public féminin plus de deux cents trésors vestimentaires. Que les maris qui, pour la plupart, étaient absents, ne s'effrayent pas : des listes de prix ont été largement distribuées, montrant clairement que l'élégance, le chic, la fraîcheur, la nouveauté, sont, de nos jours, à la portée de tous. Au reste, les) absents ont tort. Car on ne voit pas pourquoi Monsieur n'aurait pas accompagné Madame, histoire de lui dire à la fin du défilé : «Çal me ferait plaisir de t'offrir le tailleur No 48. » Le succès du défilé) fut tel que l'on dut refuser du monde. Mais, qu'on se le rappelle : le rayon de vente des Trois Tours est à votre disposition, Madame, pour vous aider à choisir votre ligne de printemps et vous conseiller!

dans l'habillement de votre grande fille.

Parlons d'abord couleur. Tous les jaunes sont de la fête et, du citron[

à l'orange en passant par le canari et la jonquille de Pâques, leur ronde vive annonce déjà l'été. Mais les jaunes savent que les tons pastel conviennent particulièrement au printemps et leur laissent unel large part. Et les pastels appellent les beiges, tous deux traités enl tonalités de plus en plus légères et tendres. La distinction suprèmef reste l'apanage du noir et le rouge éblouissant n'a pas perdu de ter¬

rain : il s'affirme au côté des verts. Les bleus un brin militaires, le) ciel et le Swissair, jettent leur note myosotis dans cette symphonie printanière qui, par la seule couleur, est déjà l'une des plus riches queji l'on ait vues.

Quant aux tissus, la mode nou¬

velle, les choisit, en général légers. Qu'il s'agisse de la blouse, de la jupe, de la robe, du tailleur ou du manteau, les jerseys, les lainages fins, les nylons, les fibres synthétiques, ouvrent le bal. Le coton reste, bien entendu, le plus répandu et la soie se réserve de com¬

poser les plus beaux ensembles de cocktail et de soir dont la dominante est une façon toute européenne de traiter des sujets orientaux. Et, que la femme n'oublie pas que toutes les mer¬

veilles du printemps 1956 doi¬

vent s'accompagner d'accessoi¬

res de bon goût, tels que les lui présentent les magasins Aux Trois Tours.

Le tirage d'une loterie marquait la mi-temps de ce match de l'élégance, l'un des plus brillants que l'on ait vu à Fribourg.

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