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Régie exclusive de la publicité: Annonces Suisses S.A- „ASSA&#34

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îètjue cantonale. 1' ribourg

No 93 J. A. 9m* année PREMIER JOURNAL ILLUSTRE FRIBOURGEOIS Le numéro 60 cts JUILLET 1954

iiuisnif

ORGANE INDEPENDANT PARAISSANT UNE FOIS PAR MOIS

^ ^ ! Régie exclusive de la publicité: Annonces Suisses S.A- „ASSA"

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Editeur: René Dessonnaz Annonces 12 et. le mm. Réclame 32 cf. le mm. Succursales dans fouie la Suisse

Lu ville de Morat en fête. Ces deux Moratoires ouvraient le cortège commémoratîï (le la bataille de Morat (voir notre reportage il l'intérieur).

Le grand prix cycliste (les magasins Aux Trois Tours a connu un grand succès, malgré le mauvais temps. Mlle Georgette Achy offre au vainqueur, M. J. KossW'K

de Lausanne, les traditionnelles fleurs (voir page 4).

Cette campeuse jurassienne est venue planter sa tente à Fribourg où avait Ile*

le rallye national suisse des clubs de camping (voir notre reportage à l'Intérieur). M. Jean-Louis Maradan, de Fribourg, saute 1 m. 80. Scra-t-il sélectionné pour les championnats d'Europe ? (voir texte en page S).

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Mme Léopold Daler

Personne aimable et distinguée, Mine Léopold Daler — fille de M. Bugnon premier dentiste établi à Fribourg — avait rempli, pen¬

dant 16 ans, les fonctions de bi¬

bliothécaire au Musée pédagogi¬

que cantonal. Sa bonté et sa bien¬

veillance l'ont rendue extrême¬

ment sympathique. Nombreuses sont les personnes qui ont eu une pensée émue à sa mémoire, en apprenant la pénible nouvelle de son décès à l'âge de 82 ans.

(Photo Macherel)

M. Auguste Vicarino

Lissant ses grandes moustaches blanches qu'éclairait encore un sourire malicieux, M. Auguste Vicarino était partout le bienvenu.

Homme actif et entreprenant, il avait donné à la maison de vins qu'il dirigea jusqu'à 79 ans, une expansion remarquable. Il s'était en outre intéressé au développe¬

ment de Fribourg, à la Société des voyageurs de commerce dont il était un honorable vétéran, et il fut l'un des créateurs de la pinte fribourgeoise du Comptoir suisse à Lausanne.

M. Louis Pipoz

Après une longue maladie, M.

Louis Pipoz est décédé à l'âge de 76 ans. Habitant La Tour-de- Trême, où il ne c omptait que des amis, le défunt avait fait car¬

rière aux G.F.M. où il avait su mériter la confiance de ses chefs et l'estime de ses collègues. Labo rieux et dévoué, il aimait à rendre service et s'il laisse d'unanimes regrets, son souvenir restera vi¬

vant au cœur de tous ceux qui l'ont connu.

M. Noël Perrenoud

Petit scout courageux, qui sup¬

porta avec un courage exemplaire sa longue maladie, petit enfant de chœur pieux et conscient de la grandeur de son rôle, Noël Perroud est parti, à l'âge de 11 ans et demi, au matin de la Fête-Dieu, pour être lui-même un de ceux que Dieu place tout près de Lui dans le cortège triomphal de ses élus. Parents éplorés que cette mort frappe cruellement, que l'âme de votre cher petit vous soutienne et vous protège à son tour dans cette épreuve.

de Sœur Lambertine Davet l'Abbaye de la Fille-Dieu,

près Romont

Une sœur tourière est le trait d'union entre l'extérieur et la clô¬

ture et doit, de ce fait, remplir une mission délicate. Sœur Lam¬

bertine, désignée à cette charge, a donné tout son cœur à sa tâche ; ses bonnes paroles, comme son ac¬

cueil souriant à la porte du mo¬

nastère, réchauffaient le cœur.

Elle est décédée à l'âge de 77 ans, ayant 51 ans de profession reli- ,gieuse, après une vie toute de consécration.

M. Alphonse Monney M. Aloïs Scherrer Mme Jean Risse M. Lucien Zbinden M. Louis Overney

Longtemps syndic de Rueyres- Treyfayes, le défunt avait été entre autres président de la société de laiterie. Agriculteur avisé et travailleur infatigable, il possédait des qualités de bon senj et de clairvoyance et sa bienveil¬

lance souvent mise ä contribution ne fut jamais en défaut.

Profondément attaché à sa terre, toute sa vie se résume en trois mots : labeur, droiture et devoir.

Après une brève mais douloureuse maladie, supportée sans une plainte, vient de mourir à Fribourg, M. Alois Scherrer, secrétaire au Bureau fédé¬

ral des imprimés. Le défunt, après avoir terminé ses études secondaires en Suisse allemande et sa philosophie à notre université, ouvrit en 1917 une école de langues et de commerce en Allemagne, qu'il dirigea pendant 15 ans. Revenu au pays, il entra en 1939 clans l'administration fédérale, tout en restant fidèle à Fribourg et à la Sociétés des Etudiants suisses dont il était un membre honoraire assidu.

Fille de M. Calybite Tinguely, ancien instituteur à Ependes dont elle avait ensoleillé la vieillesse par son dé¬

vouement, Mme Jean Risse a gardé toute sa vie le goût des choses de l'esprit et s'était intéressé spéciale¬

ment à l'histoire. Aussi fut-elle pour son mari, le poète Jean Risse, décédé en 1942, « au deuil des parents, et des frères et des amis » l'épouse com- préhensive qui encourageait son talent. La mort l'a frappée à Sion, où elle était en séjour chez sa fille et où elle avait dû subir une inter¬

vention chirurgicale. (Photo Waber)

C'est dans la pleine force de Fager

après une pénible maladie qui mina pendant deux ans, peu à peu ses for¬

ces, que s'en est allé M. Lucien Zbinden, secrétaire à la Caisse canto¬

nale de compensation. Après avoir obtenu le brevet d'instituteur, le dé¬

funt quitta l'enseignement pour entrer à l'Office fédéral de l'industrie, des arts et métiers et du travail. Em¬

ployé, ensuite, de l'Office cantonal du travail, il passa, à la fin de la guerre,, à la Caisse cantonale de compensation où il était apprécié tant par ses chefs que par ses coITègues-

Ancierr forestier et conseiller paroissial, M. Louis' Overney s'est éteint à EchaTlens, après une vie de labeur intense et de probité remarquable. Membre fondateur de la société de chant de' son vil¬

lage, il en avait été nommé mem¬

bre d'honneur. On lui reconnais¬

sait beaucoup- de bienveillance et de compréhension et ses conci¬

toyens lui accordaient toute- leur' affectueuse estime.

Petit « ange » (le la procession.

La Fête-Dieu à Prez-vers-Noréaz Nous avons choisi, cette année, le village de Prez-vers-Noréaz pour assister à la procession de la Fête-Dieu. Loin de la ville, où la vanité, la parade et la curiosité étouffent quelque peu chez les participants, la piété et la foi, nous avons retrouvé, là, une procession sans spectateurs, où tout le village, au long du parcours marqué par trois reposoirs construits avec amour, faisait au Roi-Divin une escorte de louange, d'hommage pieux et de prière fervente.

Au long des maisons ornées et garnies des plus belles fleurs, Dieu retrouvait, au passage, la lumière des petites bougies Lui apportant le symbole de la foi et de la confiance des habitants.

Il traversait, au rythme des chants sacrés, les prés où achevait de grandir le foin abondant.

Manifestation de foi et d'amour à laquelle le Roi silencieux et humble de l'hostie ne pouvait être insensible, manifestation de sincérité et de droi¬

ture d'un peuple qui ne méconnaît le sens de la hiérarchie spirituelle et des valeurs divines. La Fête patronale de Saint-Jean-Baptiste, qui eut lieu une semaine plus tard, y était annoncée paï un groupe représentant le Précurseur du Christ vêtu d'une peau de bête et portant dans ses bras une brebis.

I-a musique solennelle est jouée par la fanfare de Prez.

Los fillettes aux longues robes blanches, portant une palme,

ouvrent le pieux défilé. Tout le village participe à la procession. Ci-dessus, un groupe de

villageois faisant une escorte lente et recueillie au Saint-Sacrement.

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Juillet 1954 FRIBOTJRG-ILLUSTRÊ Page 3

LES 150 ANS DES GRENADIERS

Sur la place Georges Python, les Grenadiers fribourgeois présentent les armes en signe d'adieu au contingent genevois.

La belle tenue des sapeurs.

Fondé en 1804, le contingent des Gre¬

nadiers fribourgeois avait débarqué en 1814 au Port-Noir pour assurer l'indé¬

pendance de Genève. Disparu avec l'ar¬

mée fédéral, il s'était reconstitué, avec l'appui des autorités de Genève, en 1914.

Il a fêté tous ces anniversaires avec la participation des grenadiers genevois auxquels il est lié par une amitié sécu¬

laire. Il reçut nos confédérés à la porte de Berne suivant le rite d'antan et les autorités fribourgeoises les saluèrent

sur la place du Petit-Saint-Jean avant le cortège qui, au travers de la ville, devait les conduire à l'Hôtel Suisse pour le repas officiel suivi de la réception de 16 nouveaux membres.

Ce fut une manifestation grandiose, ponctuée de coups de canon où l'on eut le plaisir de voir défiler, malgré la pluie, les uniformes d'autrefois avec leur élé¬

gance riche en couleurs et leurs acces¬

soires imposants.

Juliette Bise au Conservatoire Mlle Juliette Bise, prix de virtuosité du Conservatoire de Genève, a été nom¬

mée professeur de chant au Conserva¬

toire de notre ville en remplacement de Mme Martin-Chappuis. Les auditeurs de.- Radio-Genève ont déjà eu l'occasion de goûter à bien dès reprises au charme exquis de cette voix ehaude et pleine soit dans des enregistrements spéciaux, soit avec l'Orchestre de la Suisse romande dont elle est soliste. C'est avec plaisir que nous félicitons Mlle Bise, toujours simple et pleine de sollicitude pour les nombreux amis qu'elle s'est fait, de cette nomination qui consacre une fois de plus son' talent.

(Photo Düss)

A la porte de Berne, le commandant du contingent J«—.

bourgeois reçoit le capitaine Charles Plan, comnwAdanT ' des Grenadiers genevois.

(Notre photo à droite)

Un pionnier de la télévision La télévision suisse a donné récemment une émission folklorique de la Gruyère et pour ce fait quelques Gruériens, Grucriennes et armaillis furent invités à Zurich, au poste émetteur.

La Maison spécialisée Radio-Bongard, de Fribourg, a eu à cette occasion l'ingénieuse idée d'installer un poste de télévision dans une échauguette du château de Gruyères afin que les habitants de la cité comtale puissent voir les leurs évoquer et chanter leur beau pays.

L'émission fut aussi parfaite que possible malgré les parages montagneux et la longue distance de réception.

La Maison Radio-Bongard a été chaudement félicitée pour son installation parfaitement au point qui a pro¬

curé aux gens de Gruyères une soirée qui fera date dans leurs souvenirs.

M. le colonel I'aul Wolf, comman¬

dant du contingent des Grenadiers fribourgeois.

Athlétisme (Voir notre photo en page 1 )

Une rencontre opposant le Stade-Lausanne au Club Athlétique de Fribourg et comptant pour le champion¬

nat suisse interclubs, s'est déroulée dernièrement au stade St-Léonard. On enregistra d'excellents résultats et trois records fribourgeois furent «mis à mal » soit : au 800 m. parcouru par Francis Etter en 1 min. 57 sec.

°/10 (ancien record 1 min. 59 sec. »/,„) ; à la course relais 4x100 m. par le CAF, en 45 sec. '/I0 (46 sec.) et au javelot par Palan, avec un jet de 50 m. 79. Jean- Louis Maradan, sélectionné possible de notre équipe nationale aux championnats d'Europe, réalisa 1.75 m.

au saut en hauteur, échoua de peu à 1.78 m. Il peut faire mieux car il a déjà « sauté » 1.80 m.

Le Stade-Lausanne totalisa 8846 points en catégo¬

rie A (16 disciplines) et le CAF 7237 points en catégo¬

rie B (14 disciplines).

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A l'un des créneaux du château de Gruyère, M. Bongard fixe l'antenne de télévision.

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Page 4 FRIBOURG-ILLUSTBÊ Juillet 1954 Cyclisme

Le Grand Prix des Magasins

„AUX TROIS TOURS"

** r

A gauche, M. J. Rossier, de Lausanne, qui h gagné l'épreuve des 177 km en 4 )i. 25' 87", suivi à 2 secondes par R. Favre, de

Genève (à droite).

Les clubs cyclistes de Fribourg offrent, chaque année, au public de la ville et de nos campagnes, de magnifiques occa¬

sions de se passionner pour un sport qui a conquis les faveurs de la grande foule.

La Pédale fribourgeoise a organisé le

« Tour du Canton » et s'apprête à rece¬

voir les coureurs du Tour de Suisse.

Entre temps, le Grand Prix des Maga¬

sins «Aux Trois Tours » (16me édition) s'est couru sur le parcours Fribourg, Morat, Avenches, Misery, Fribourg, Prez-vers-Noréaz, Fribourg, La Roche, Broc, Bulle, Le Bry, Fribourg. Le Vélo- Club Fribourg est un spécialiste des bonnes organisations de sorte que, mal¬

gré la pluie qui tint fidèlement compa¬

gnie aux coureurs et suiveurs, cette épreuve se déroula sans incident ni acci¬

dent.

La lutte entre les favoris de cette intéressante épreuve fut très serrée. Les Romands se distinguèrent tout particu¬

lièrement en classant six hommes en tête avec Rossier, de Lausanne, comme vainqueur et le Fribourgeois Bonny, du V. C. Renaissance, au 6me rang à 2 min.

seulement du vainqueur ce qui est une belle performance.

Cette course que nous avons pu sui¬

vre dans ' toutes ses phases grâce à la virtuosité de notre conducteur, M. Dé- vaud fils, que nous remercions, est un succès de plus à l'actif du Vélo-Club Fribourg, présidé avec compétence par M. H. Henseler. A. Z.

UN SPORTIF FRIBOURGEOIS Il n'est certes aucun sportif suisse ne

connaissant pas notre coureur inter¬

national motocycliste Benoit Musy.

Homme d'action, énergique, il doit sa popularité à sa brillante carrière spor¬

tive. Escrimeur, skieur, cavalier, il se passionna pour le sport mécanique. Il acquit sa témérité dans la plus « Haute Académie du risque », le parachutisme.

Pilote, il fut en 1947 le premier para¬

chutiste de l'armée. Mais c'est dans la compétition motocycliste qu'il se cou¬

vrit de gloire par un palmarès des plus brillants. Très tôt il se fit remarquer

listes qui preéÇue tous forgèrent leur expérience par la motocyclette.

Pour ses débuts, il courra en catégo¬

rie « sport », sur un modèle A. 6. G.C.S.

1953-54, 2 litres, sorti des célèbres Usi¬

nes Maserati, dirigées par le Comman- datore Orsi. Ce modèle est identique à celui, piloté au Brésil par Toulo de Graf- fenried, dont les victoires sont encore gravées dans notre mémoire.

Après Toulo, la Suisse et Maserati posséderont en Benoit Musy, non seule¬

ment un excellent pilote, mais un grand sportif dont la modestie remarquable

•«ai,

Benoit Musy et sa Maserati sur l'autodrome de Mod<5is£.

par une excellente technique de course mais plus encore par sa franchise et sa sportivité.

Fidèle à la marque Guzzi, il fut cham¬

pion suisse en 1948, 1949, 1950, 1951 et 1953. Ses succès en Suisse et dans tous les pays d'Europe le classèrent parmi les meilleurs pilotes internationaux. Son mérite est, rehaussé du fait que Benoit Musy lutta seul, au prix d'énormes sacrifices tant matériels que moraux.

Devant les difficultés d'obtenir les derniers modèles et devant aussi une diminution d'intérêt provoquée par les récentes modifications de la compétition motocycliste, il opte aujourd'hui pour l'automobile, en s'inspirant de la car¬

rière des récents champions automobi-

n'est pas étrangère à l'affection que lui portent tous les sportifs suisses.

Il vient d'ailleurs de nous prouver ses possibilités. A Francorchamps en Belgi¬

que, pour sa première course il se classa premier et tout récemment à Imola, dans une épreuve comptant pour le championnat italien il s'adjugea une 7me place en ayant virevolté deux fois sur la piste, lors de la course dans la¬

quelle il avait à faire face à tous les as transalpins.

Ce sont là ses débuts mais nous som¬

mes certains que Benoit Musy va porter très haut les couleurs de Fribourg et de la Suisse.

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Juillet 1954 FRIBO (JBG-ILLTJSTRÊ Page 5

Ah quelle soif!

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la seule boisson de ce genre qui utilise l'eau minérale renommée d'Eglisau. Très avanta¬

geuse en bouteille de3,6dl ou, pour la famille, en bouteille d'un litre. x^

Les championnats universitaires suisses Cette importante manifestation a

réuni les meilleurs sportifs de nos uni¬

versités qui se sont affrontés dans des épreuves d'athlétisme, d'escrime, (fleu¬

ret, épée, sabre), de natation et de foot¬

ball.

Sous la compétente direction de M.

Pius Pally, maître de sports, la Com¬

mission sportive académique avait pré¬

paré avec soin les diverses épreuves qui se sont déroulées dans un ordre parfait et dans un bel esprit d'amitié et de camaraderie.

D'excellentes performances furent réalisées, principalement en athlétisme, où quelques records furent égalés et même dépassés ce qui prouve un net progrès dans le sport universitaire.

Léo Stevens, de Genève, franchit la ligne d'arrivée aux 400 m.

L_ c ..

jv

uerron, de Berne, a brillura- nient remporté les épreuves de

natation.

Au centre, M. Pius Pally, maître de sports il l'Université de Fribourg, et ses amis.

Le manque de place me permet, mal¬

heureusement, de ne soulever qu'un tout petit voile sur la personnalité de ses différents joueurs.

Mais pour se faire une image de cette formation plaisante et dynamique, il n'y a qu'à nommer les PYTHOUD, respecté président de l'Association cantonale ; GALLEY, le maitre du sifflet ; WAE- BER, tout auréolé du signe Oméga ; BARAZZONI, la vitesse personnifiée ; UFHOLZ, distingué manager de l'équipe féminine (dont nous parlerons à une prochaine occasion) ; MASSET, devenu l'heureux père d'une charmante fillette ; STRITT, qui malgré son air de timidité assure un jeu énergique à l'arrière ; MAILLARD, dont nous ne voulons pas dévoiler les activités secondaires en- dehors de la Banque de l'Etat ; et enfin FAVER, source intarissable..., puisqu'il représente la fameuse marque «Martini- Rossi ».

Voilà les artisans, qui, au fil des ren¬

contres de cette saison ont su déployer l'endurance nécessaire pour distanc les autres adversaires et se hisser triomphalement dans le fauteuil du dauphin. R. YV.

L'Université de Genève a gagné le championnat au fusil. Ci-dessus, Willy Hurni, de Fribourg, en

position de tir.

M. le conseiller d'Etat Python (il gaucho) était présent fi la réception qui eut lieu A

l'Université.

Les « MartinJ » ont marqué un but. Barazzoni vient de lancer la

balle dans le panier.

...Et voici l'équipe

„Martini"

Je n'en avais jamais douté ! Cette sympathique équipe de basket du Fri- bourg III, amalgamée avec quelques jeunes, était capable de nous créer de belles surprises. La plus grande, cette saison, est celle de son excellent classe¬

ment, donc de sa magnifique 2e place au championnat, s'alignant derrière St-Jean, qui, avec sa triplette avant : Bertrand-Bonino-Durr, est indiscutable¬

ment l'équipe la meilleure, qui présente le jeu le plus homogène, le plus specta¬

culaire et le plus réalisateur. Du ^oli basket. Et il aurait été injuste qu'elle soit détrônée de sa place de leader.

Mais revenons-en à l'équipe Martini.

Au stand des Neigles, M. le Dr Max Gutzwlller, professeur fl l'Université de Fribourg, s'intéresse aux résultats obte¬

nus par nos étudiants.

A droite, M. Fernand Fleury, secrétaire à la Direction de l'Instruction publique, et M. Vincent Kessler, concierge de l'Uni¬

versité.

Le jeu est arrêté. Galley, à gauche, et Marc Waeber, repren¬

nent leur souffle. A droite, M. Bellotti.

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Page 6 FRIBOûRG-ILLUSXBÉ Jt FRIBOURG-ILLUSTRÊ Page 7

A travers le P > de Fribonrg avec les autobu autocars G FM

- --vÄÄrÄÄ1: -

Si l'on n'imagine pas Fribourg sans les orgues de sa cathédrale et sans son université, ni la Gruyère sans ses vache¬

rins et sans ses armaillis barbus, on ne conçoit plus notre canton sans son ré¬

seau serré de lignes ferroviaires et de services automobiles. Cette ^ abondance de trains et d'autobus, qui fait 1 admira¬

tion des étrangers, nous paraît toute naturelle et il est des gens qui, candide¬

ment, s'étonnent de voir quelques petits villages échapper encore à ce treillis serré' de communications.

Il y a un siècle, il n'y avait que quel¬

ques transports embryonnaires. Le can¬

ton fit alors des sacrifices financiers gigantesques et construisit, à ses frais, les tronçons des lignes C.F.F. qui traver¬

saient son territoire. Puis le réseau de voies ferrées se développa. En 1868 tut inauguré le Bulle-Romont, qui ne fut électrifié qu'en 1946 et est alimente actuellement par le courant a 15.0UU volts des C.F.F. La ligne Fribourg- Morat, prolongée bientôt jusqu'à Anet était ouverte à l'exploitation en 1ö9ö.

La traction à vapeur y fut remplacee, dès 1903, par un courant continu de 800 volts qui a été normalisé, en 1947, avec celui des C.F.F. et permet mainte¬

nant aux automotrices de circuler au- dehors et, notamment, de rejoindre directement, par Anet, Berne, Neu- chàtel et, de là, la ligne Dijon-Paris.

Les Chemins de fer électriques de la Gruyère (C.E.G.) datent de 1903. Ils relient le pays des vanils, par Bulle et Châtel-St-Denis, aux C.F.F. qui passent à Palézieux, au M.O.B, qui traverse Montbovon et aux C.E.V. qui aboutis¬

sent à Vevey. Cette ligne est a voie étroite, de même que celle qui conduit de Bulle au village industriel de Broc et fut construite en 1912.

Dès cette date, notre réseau ferro¬

viaire est au point. Il comporte depuis lors, outre les 123 km. des lignes C.F.F., 100 km. appartenant aux trois compa¬

gnies privées, C.E.G., B.R. et F.M.A.

qui comportent 50 km. à voie étroite et

En montagne, l'autocar est un moyen de transport arable et sûr. Ci-dessus,

„„ car G FM sur la route du Grand St Bernard il L.ddes.

Chaque jour, par n'importe quel temps, des centaines de voyageurs sont transportés

par les services réguliers.

50 km. à voie normale. Que tions, cependant, furent appo lors ! Elles portent pri::

outre l'électrification de la t la qualité du matériel : 1>

d'aujourd'hui, confortables et n'ont rien à envier à celles et les sièges rembourrés des ces actuelles assurent un vo>

ble tandis qu'au travers des vitrées glisse le paysage aux monieuses.

De grosses lacunes exista;

cependant, au début de 1;

guerre, dans nos commun;!

configuration géographique rendait bien onéreuse la c de nouvelles voies ferrées. M tion automobile avait, entre son apparition et la comp;i décida de compléter le rail la route. Le 1er mai 1916, ■ sa première concession de public par autobus et assm de Bulle à Fribourg par La prenant ainsi un service 1

dant une année par M. Fa- Ce fut le début d'un rai pement. Aujourd'hui, ce sont sions postales qui sont ex;' courant tous les districts rayonnant même dans les i trophes de Vaud et de Berne un total de 372 km. Elles si ment desservies par 60 voi cars aux carrosseries mr comme le paysage, marie foncé des forêts au vert prairies.

Une fusion administrativ bué à ce développement cc 1927, les compagnies C.E.G.

tout en restant distinctes, on tion unique. Dès 1942, avec 1 la compagnie Bulle-Romor l'unité complète par la for G.F.M. (Gruyère-Fribourg-J globant l'ensemble des trois primitives.

grâce à un service bien organisé, des milliers d'enfants apprennent à connaître notre pays.

Dans bien des cas, l'autocar est le seul moyen de transport qui relie nos campagnes à la ville.

Une étroite collaboration existe entre l'administration des postes et les GFM pour le transport du courrier.

Grâce à un entretien constant et méticuleux des véhicules, les cars GFM sont d'une grande sécurité. (Photo Mülhauser)

Que de chemin parcouru depuis 1904 ! Un récent modèle de car GFM.

Une colonne de pullmans GFM prête au départ dans notre belle campagne slnginoise. (Photo Mülhauser)

De nombreux camions lourds parcou¬

rent tout le réseau routier suisse. Les transports franco domicile (E.F.D.) rendent d'appréciables services et assu¬

rent, en outre, la liaison entre les gares et le destinataire.

Quelques chiffres donneront une image de l'activité actuellement dé¬

ployée par les G.F.M. qui ont à leur service 342 agents réguliers dont 230

pour leurs chemins de fer et 112 pour les services d'autobus et pour l'E.F.D.

assuré par 14 camions. En 1953, les autobus ont parcouru 1.650.000 km. pour leurs courses régulières et 280.000 km.

lors d'excursions supplémentaires. Sur ces 2 millions de km., auxquels il faut ajouter 880.000 km. accomplis sur les rails, 2.500.000 voyageurs ont circulé en 1952 ; 138.000 tonnes de marchandises et d'envois postaux, 29.000 têtes de

bétail et 2.000 tonnes de bagages ont été transportées.

Ces chiffres nous permettent une conclusion — peut-être sans poésie — mais assurément convaincante Les G.F.M. rendent au canton de Fribourg, à ses habitants et à son tourisme des services dont on est bien loin, souvent, de soupçonner l'importance, l'utilité et"

l'efficacité.

'.f• .

Une foule de joyeux touristes franchissent nos beaux cols de montagne ma.grr les nombreuses difficultés de la route.

Quelle joie de pouvoir parcourir nos beaux paysages confortablement Installé dans des voitures modernes comportant les derniers perfectionnements techniques

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Page 8 FRIBOURG-ILLUSTRÊ Juillet 1954

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réputation. Un laboratoire des plus mo¬

dernes et un magasin bien conçu offrent aux clients une marchandise impeccable, présentée avec beaucoup de soins.

Ce magasin ne suffisant pas aux

La boucherie-charcuterie rénovée de la rue Marcello.

Le laboratoire de la rue Marcello.

demandes de la clientèle des hauts-quartiers, M. Baeriswyl eut l'idée d'ouvrir une succur¬

sale à la route de Villars, dans l'immeuble Beaulevant. Amé¬

nagée avec les derniers per¬

fectionnements techniques, cet¬

te nouvelle charcuterie est indiscutablement la plus mo¬

derne de la ville.

La prospérité de ce com¬

merce est tout à l'honneur de M. Baeriswyl et de son épouse qui collabore à l'entreprise et qui vient de recevoir une mé¬

daille d'Or à l'Hospes pour la présentation de plats de char¬

cuterie.

Ja- nouveau magasin ultra-moderne de la route de Villars. (Photo Lorson)

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Le tir de Morat

Ce tir historique, qui perpétue le sou¬

venir de la victoire des confédérés en 1476 sur les armées de Charles le Témé¬

raire, s'est déroulé sous un soleil écla¬

tant et a réuni 1600 concurrents répartis en 156 groupes, parmi lesquels un fort contingent de Bernois. L'organisation, dirigée par M. Fritz Fürst, se révéla impeccable : en 2 heures le programme des tirs fut exécuté sans accrocs. Cha¬

cun avait à tirer, dans le Bois Domin-

que, au-dessus de la cité, 12 coups, en 4 minutes, sur une cible placée à une distance non précisée. Dans cette forêt dont une partie est située sur l'enclave bernoise de Villars-le's-Moines, les deux cantons se donnaient ainsi la main. Ils y étaient officiellement représentés, ainsi que le Conseil fédéral qui avait délégué le colonel-cdt de corps Corbaz.

Le concours avait été précédé d'une bienvenue de M. Fürst et d'un culte

célébré par M. le pasteur Fritz Brech¬

bühl, de Morat, et rehaussé par les pro¬

ductions des sociétés chorales de la ville.

Un cortège ramena en ville les tireurs dont plus de 2.000 personnes avaient suivi le travail. Les invités se réunirent à l'Hôtel de la Cçoix-Blanche pour se rendre, après le repas officiel, sur la place du Collège-où eut lieu la procla¬

mation des résultats et la remise du fanion au groupe Sternenberg de Bum- pliz, qui, vainqueur pour la troisième fois, gagne définitivement le précieux trophée.

Les clubs de camping de Suisse s'étaient donné rendez-vous sur l'espla¬

nade du Guintzet pour leur rallye natio¬

nal. En quelques heures, ce belvédère à la vue magnifique se couvrit de plus de 300 tentes ou 1100 campeurs passèrent, sous le soleil et sous la pluie des heures merveilleuses. L'inauguration officielle, suivie d'un feu de camp et d'une partie récréative, fut rehaussée entré autres, par la présence de ML le syndic Jean Bourgknecht, qui souhaita la bienvenue aux campeurs et de M. le conseiller d'Etat Georges Ducotterd. Sous les ten¬

tes aux larges auvents, chacun fit joyeu¬

sement sa cuisine, mangeant de bon appétit dans le grand air qui apportait à chacun le sentiment d'une délivrance, hors d'un monde formaliste. L'organisa¬

tion, assumée par le club de Fribourg, lui valut les félicitations les plus élo- gieuses de la part des connaisseurs.

Le rallye national de camping

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Juillet 1954 FRIBOTJRG-ILLTJSTRÊ Page 9

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Les contemporains de 1914 en Italie. On reconnaît sur not;re photo : MM. Sallin, Jost (le chauffeur), Dietrich, Wider, Perler, Baerisvvyl, Despond, Chammartin, Widder, Dolder, Piantino, Clerc, Egger, Friedly, De Michelis, Berchtold, Minder, Brtigger, Caboussat, Delley,

Esseiva, Beaud et Villard.

Les 1914 en Italie Les contemporains de Fribourg de

1914 ont fêté leur quarante ans par une excursion en car Rehm, conduit par un 14, dans l'Italie du nord. Si les femmes ont toutes les peines du monde à entrer dans la trentaine et ne veulent ensuite plus en sortir, ces 23 compagnons-là n'ont fait aucune difficulté pour passer à la quarantaine. Demandez-le à leur président, M. Henri Caboussat, à leur chef de course, Me Aloys Sallin et à leur speaker, M. Dody Berchtold : ce fut une promenade des plus joyeuses qui, le pre¬

mier jour leur a permis, avant de passer le Saint-Gothard, d'être les premiers à franchir, cette année, le Susten. On se

repose de ces émotions alpestres en pas¬

sant la soirée et la nuit à Lugano indo¬

lente et fiévreuse à la fois. La boussole mise sur Milan, permet de suivre, pen¬

dant quelques kilomètres le « Giro d'Italia » alors que les Suisses s'en sont, dans cette derniere étape, assuré la vic¬

toire, honneur périlleux que certains Italiens ne sont guère d'accord d'admet¬

tre. Milan, son Dôme et ses merveilles s'estompent ensuite pour laisser place à la fraîcheur de Stresa et des Iles Bor- romées, dernière halte de ce voyage réussi qui vit encore le Simplon. Ils étaient 23 au départ. N'ayez crainte, ils étaient aussi 23 à l'arrivée !

Quelques voitures suffirent pour con¬

duire les participants à ce charmant endroit où les attendait une succulente raclette en plein air.

Préparée dans le plus grand secret par un comité dévoué qui eut réunion sur réunion, souvent jusqu'à des heures fort avancées (un comité... c'est un comité !), la journée fut fort réussie et la raclette une merveille gastronomique.

Précisons que le mérite en revient surtout au président, M. Marc Waebey, qui mit son talent culinaire à rudp épreuve, M. Roger Morel, cantinier offi¬

ciel des « 20 » étant justement absent ce jour-là. Pour la circonstance, M. Jean Rappo fonctionnait comme maître

• d'hôtel et c'est grâce à son service ultra-rapide, que chacun pu déguster l'excellent fromage valaisan qui, comme il se doit, fut bien arrosé par la suite ! Après les bonnes poignées de mains d'usage, chacun se sépara le cœur joyeux et l'on entendit un membre dire : des journées pareilles, il en faudrait 8 par semaine !

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Les contemporains de 1904 et 1918 C'est à la brasserie Beauregard que se sont trouvés réunis, un samedi après- midi, les contemporains de 1904 et de 1918 habitant Fribourg et les environs.

M. Adolphe Gendre, préside les aînés et M. Charly Reichler allait être placé, quelques jours plus tard, à la tête des cadets, dont la société s'est définitive-

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Quelques contemporains de 1920 aprf'S la raclette : MM. Kolly, Deillon, Castella, Berger, Angeloz, Galley, Siffert, Moss- brugger, Biffrare, Rappo, Pauchard et

Waeber.

Les 1920 en promenade La grande course annuelle des « 20 >

a eu lieu cette année à Châtillon, soit à 4 km. de Fribourg ! Ce fut un peu com¬

me les grandes promenades des petite écoles ! Baucoup de bonne humeur et peu de kilomètres.

A gauche : M. Raymond Berger et M. Galley, deux amateurs de raclette !

Les contemporains 1901 : MM. Gendre, Rappo, Goldinger, Dutoit, TJldry, Phi- lipona, Kolly, Dou- Koud, Morel, Schou- wey, Klaus, Joye, Von Dach, Equey, Spicher et Markus Ott mann assis.

ment constituée et que vous retrouve¬

rez, tous les premiers dimanches du mois, à leur local de la Croix fédérale, rue de l'Ancienne Préfecture.

La visite fut des plus cordiales et M. le Dr Marcel Guhl, directeur, sou¬

haita la bienvenue aux uns et aux autres, leur prouvant, par un calcul spirituel, qu'ils avaient tous... 27 ans et leur offrant ensuite une généreuse col-

V

lation. M. Gendre se fit l'interprète de tous les visiteurs (de 27 ans !) pour remercier la Brasserie Beauregard de son accueil sympathique. Notons encore que les 1918 trouveront dans le Fribourg Illustré, édité par un des leurs et devenu leur organe officiel, tous les renseigne¬

ments concernant à l'avenir leur asso¬

ciation.

.Les contemporains de 1918 : MM. Décorvet, Müller, Cotting, Stegmann, Sauterel, Kuenlin, Schmutz, Charly Reichler, Galley, Jonin, Bulliard, Jungo, Marbach,

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La nouvelle factorerie des sels.

Le nouveau bâtiment de la factorerie de$ tels Ingénieur : M. Pierre Brasey, Fribourg.

Architecte : M. Charles Vesln, Fribourg.

. L'ancien dépôt de la factorerie des sels, qui se trouvait situé dans un des entrepôts de la gare, s'avérant de plus en plus insuffisant, le département can¬

tonal des bâtiments a décidé de cons¬

truire une factorerie capable de conte¬

nir une plus grande quantité de sel.

L'étude de cette construction a été confiée à M. Charles Vesin, architecte à l'Etat, qui a élaboré les plans d'un bâti¬

ment de 40 m. de long sur 15 m. de large, comprenant un sous-sol, pourvu d'un monte-charge, et un bureau. Sa capacité d'emmagasinement, bien supé¬

rieure à celle de l'ancien dépôt loué aux C.F.F., est de 1036 tonnes.

Le calcul pour la charpente et la résistance des matériaux a été fait par M. Pierre Brasey, ingénieur à Fribourg.

Située au pied de la butte de Pérolles, près des voies industrielles, la nouvelle construction possède un quai de déchar¬

gement qui facilitera grandement la distribution du sel aux magasins de détail. Ceci contrairement à l'ancien système où les livraisons étaient faites directement aux débitants.

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drome de Fillistorf jouit non seulement d'un accès facile, mais surtout d une orientation et de conditions hygromé¬

triques favorables, car il est placé dans l'axe des vents et émerge des bancs de brouillard. M Joseph Zurkinden, qui le dirige, y forme des pilotes sur ses avions à double commande — petits Pipers, à la vitesse de croisière de 170 kmyh. et Bonanza à 4 places à l'équipement mo¬

derne, qui atteignent une vitesse de croi¬

sière de 270 km.'h. et peuvent atteindre, avec leur rayon de 1900 km., toutes les capitales d'Europe, sans escale. Ces avions servent également comme rapi¬

des taxis aériens. Une école de parachu¬

tistes, la première de Suisse, peut aussi se glorifier d'avoir formé le plus jeune d'entre eux, qui n'a que 21 ans. Des meetings et des démonstrations d'héli¬

coptères complètent l'activité intense de cette place d'aviation, dont l'agran¬

dissement est prévu et qui se double, en hiver, de celle du Lac-Noir où les avions vont atterrir sur la glace miroi¬

tante. Avant le vol, M. Joseph Zurkinden fait quelques recommanda¬

tions au pilote. (Photo Hans Burgunder) Exercice de saut en parachute. Un bel atterrissage.

(Photo Hans Burgunder)

(10)

Juillet 1954 FRIBOUKG-ILLTJSTRÊ Page 11

Avec les anciens élèves du Teclmicum Les anciens élèves du Technicum can¬

tonal ont célébré le cinquantenaire de leur association par deux joyeuses jour¬

nées. La manifestation débuta, le samedi, par la visite des ateliers rénovés et per¬

fectionnés où les jeunes d'aujourd'hui suivent avec plus de facilité, les traces de leurs anciens. Ceux-ci, au nombre de 150, eurent plaisir à se remémorer ainsi leurs anecdotes de jeunesse et leur temps d'études qui les a conduit, aujour¬

d'hui à des situations intéressantes.

Lors du banquet, au casino des Char- mettes, M. Henri Perroud, président de l'association, salue les représentants des autorités et des associations-sœurs. Il eut un mot spécial pour M. Albert Friedinger, de Lausanne, que chacun appelle à juste titre le fondateur, car il fut le plus actif de l'équipe restreinte du début.

C'est avec plaisir et fierté que les Anciens du Tec purent se rendre compte que, sous la direction de M. Ernest Michel, qui mène aujourd'hui de main de maître les destinées de notre établis¬

sement technique cantonal, l'image heu¬

reuse qu'ils en avaient gardée depuis leur entrée dans la vie pratique et qu'ils évoquèrent au long de la sortie du len¬

demain, se trouvait ainsi renforcée par la prospérité actuelle. Aussi se séparè- rent-ils, après ces deux journées hors du temps présent avec du soleil dans le cœur et en remerciant M. Edouard Boivin et son comité d'organisation des heures joyeuses qu'ils leur avaient fait passer.

Grâce à l'amabilité de la Direction du Technicum, les anciens élèves eurent l'occasion de visiter les ateliers mécani¬

ques de cette importante école, ainsi qu'une exposition de dessins exécutés par la section des arts graphiques.

Les anciens élèves furent émerveillés de voir ces nouvelles réalisations et la belle exécution des travaux présentés.

t. t-

Au centre, M. Albert Friedinfïer, fondateur de l'Association des anciens élèves du Technicum, en conversation avec M. Franc (il droite),

contre-maître aux ateliers mécaniques.

fa;

M. Edouard Krebs, maître de pratique (il pauehe) donne quelques explications il un

ancien élève.

Cet ancien élève examine attentivement les nouvel¬

les méthodes de travail appliquées dans les ateliers

Cette machine construite dans les ateliers du Technicum, fait l'admiration d'un groupe d'an¬

ciens élèves.

î

Mme Ernest Michel, qui semble craindre le photographe, visite les ateliers mécaniques sous la conduite de son mari, M. le Dr Ernest

Michel, directeur du Technicum.

Jeunes maîtres et anciens élèves fraternisent en passant en revue de vieux souvenirs. On reconnaît MM- Mœhr, Cuennet, contre-maître

aux ateliers, et Gendre.

M. Gerber, professeur, (à droite), retrouve avec plaisir deux de ses anciens élèves : MM.

Stocker, de Zurich, et Dubois, de Lyon.

Au centre, M. Fernand Cuennet, contre-maître, surveille un élève, sous les yeux d'un ancien

technicien, M. Dousse.

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Page 12 FRIBOURG-ILLUSTRÊ Juillet 1954

Mlle Daniele Génault, miss Paris 1953, vient de remporter le titre de MISS EUROPE.

Nous la voyons ci-dessus photographiée à Fribourg lors de son dernier passage, portant une toilette du soir de la Maison Nouveautés Knopf S. A., Fribourg.

Avec nos irtlstss

Le dîner des peintres et sculpteurs La section fribourgeoise des peintres et sculpteurs suisses avait réuni l'autre soir, dans la grande salle de l'Hôtel de l'Aigle-Noir, une quarantaine de mem¬

bres et amis — y compris celles qui sont les inspiratrices de leur talent — pour le diner annuel de la section. Dans une ambiance charmante qui elle, inspi¬

rerait le poète, et dans ce local qu'ils ont, chacun, décoré d'une de leurs œu¬

vres, les maîtres de la palette et du ciseau passèrent des heures agréables, animées par M. Pascal Castella, major de table, qui donna entre autre la parole à M. le conseiller d'Etat Georges Ducot- terd. Le représentant des autorités sut allier, dans ses paroles, les tons graves, en parlant du rôle de l'artiste dans la société, aux teintes légères en sertissant son discours et ses voeux d'une sou¬

riante amabilité.

La souriante Mme Raymond Meuwly, à côté de M. Franz Lorenz.

Mme Jean-Baptiste Wuilleret et le peintre Yoki... ou la joie de vivre !

Le verre de l'amitié ! Mme Antoine Claraz et le peintre Riesemey.

M. Pascal Castella souhaite la bien¬

venue aux liôtes, en particulier à M. G. Ducotterd, conseiller d'Etat.

Tout à gauche, M. Job, architecte.

A la Société protectrice des animaux

L'Union romande des sociétés protec- comme vice-président, M. Serge de que et tendre à ce que l'homme, qui a trices des animaux a tenu à Fribourg, Diesbach. Au cours des délibérations, le droit de vie et de mort sur les ani- sous la présidence de Me Carl Ott, de M. Debrot, vétérinaire aux abattoirs de maux, n'en abuse pas et qu'il évite toute Neuchâtel, son assemblée annuelle. Elle Lausanne, a rappelé que toute sentimen- cruauté imbécile ou sadique, car celui a été reçue par la section locale que talité doit être bannie, que le travail qui est bon avec les bêtes est en général préside M. Réginald de Henseler avec, doit s'effectuer selon un plan méthodi- aussi un philanthrope.

A droite, M. Réginald de Henseler, le dévoué président de la >Spa, et M Serge de Diesbach, vice-président.

-è.

M. le préfet Renevey en conversation avec Mme Ellès-Prlvat, secrétaire du bureau zoophlle international de Genève.

Deux membres de la Société : Madamô

Charles Dossenbach et M. Paul Barbey» Une souriante déléguée vaudoise au^c côtés de M. Dagobert Zwimpfer.

Références

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