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Il a été tiré de cet ouvrage : deux cent vingt exemplaires sur papier alla dont deux cents numérotés de 1 à 200 et vingt numérotés de 1 à XX

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MARINE et

RÉSISTANCE

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Il a été tiré de cet ouvrage : deux cent vingt exemplaires

sur papier alla

dont deux cents numérotés de 1 à 200 et vingt numérotés de 1 à XX

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A M I R A L M U S E L I E R

M A R I N E 1 e t

R É S I S T A N C E

FLAMMARION

2 6 , r u e R a c i n e , P a r i s

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Droits de traduction, de reproduction et d'adaptation réservés pour tous les pays

Copyright 1945, by ERNEST FLAMMARION Printed in France

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NOTE DE L'AUTEUR

Pendant mes loisirs forcés, au cours de ces deux dernières années, j'ai voulu fixer, pour les histo- riens de l'avenir, certains faits importants ainsi que les conditions dans lesquelles s'est formé et s'est développé, jusqu'à la victoire "finale, le mouvement de la France combattante.

Les détails de cette période ardente sont relatés en trois volumes qui, pour des raisons d'ordre na- tional, ne peuvent paraître à l'heure actuelle.

Dans un autre ouvrage en deux volumes, j'ai écrit les mémoires de ma vie, très agitée, entièrement con- sacrée au service dé la France.

Enfin, dans un autre livre, j'ai raconté le détail de mes efforts pour réaliser l'union de tous les Fran- çais, comme aussi les incidents qui se sont produits au moment où, après l'arrivée du général de Gaulle en Algérie et jusqu'à l'établissement du Comité Na- tional Français à Alger, le général Giraud était com- mandant en chef civil et militaire.

L'ensemble de cette œuvre ne paraîtra que lorsque les circonstances seront plus opportunes. Mais, dès

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maintenant, et à la demande de quelques amis, j'ai résumé mon action en France, à l'époque de l'armistice de juin 1940, puis en Angleterre comme chef des F.N.F.L. (Forces Navales Françaises Libres) et F.A.

F.L. (Forces Aériennes Françaises Libres).

Ce petit livre ne traite volontairement d'aucune question politique. Il s'efforce d'être sincère. Il a pour but de faire connaître à tous ceux qui aiment la Marine et, au-dessus d'elle, la France, l'effort fait, pour la défense et l'honneur du Drapeau, par les officiers, les aviateurs et les marins qui, ayant tout • sacrifié à la Patrie et se tenant à l'écart de toute intrigue, ont pu, comme les grands ancêtres, prendre pour devise « La Victoire ou la Mort », sous le signe de la croix de Lorraine.

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Robur et œs triplex Sic sunt aut non sint !

(HORACE) Force et triple airain

Ils sont ainsi: ou qu'ils ne soient pas!

Initiative et action

(Conseils aux Jeunes Officiels. Londres, 1940) Quand un officier de quart, de nuit, aperçoit un objet flottant suspect, pouvant être un sous- marin, il doit :

1° Mettre le cap dessus pour l'aborder;

2° Prévenir le Commandant.

Je couvre de ma responsabilité tout officier à qui il arrivera un accident en exécutant cet ordre : il vaut mieux se crever sur une épave ou sauter sur une mine que manquer un sous- marin ennemi.

1" Escadrille d'Avisos Chasseurs.

Août 1918.

« Moi vivant, personne ne touchera au Dra-

« peau, je préférerais faire sauter mon bâtiment

« que de lui laisser infliger cette honte. » Sébastopol, Avril 1919.

MUSELIER.

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CHAPITRE I

DE LA MOBILISATION A LA DÉBACLE

Au moment de la mobilisation de 1939, j'étais contre-amiral, commandant la Marine et le secteur de défense à Marseille. Il e

Dans mes attributions entrait la défense antiaérienne de la région Berre-Marseille, ainsi que la formation de tous les convois. Je craignais une attaque brusquée des Italiens sur le port et sur la ville et savais qu'une telle attaque pouvait être un désastre.

J'avais été chargé à Marseille, en 1925, de certaines études relatives à la défense de ce secteur extrême- ment important : les projets que j'avais établis avaient été partiellement réalisés pour la Marine, mais rien, ou à peu près rien, n'avait été fait en ce qui con- cernait la défense antiaérienne de Marseille et de l'Etang de Berre. Les batteries, fournies et armées par la Guerre, étaient toutes d'un modèle si ancien qu'il était enfantin d'envisager leur emploi heureux contre des avions modernes. La défense passive, qui

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- ne dépendait d'ailleurs pas de moi, était inexistante.

L'incendie des Nouvelles Galeries prouva, de façon indéniable, en présence même de Daladier et de Cam- pinchi, la carence de la municipalité et des pompiers marseillais. Je fus obligé d'intervenir et de faire rallier les pompiers de la marine de Toulon, grâce à l'action desquels le groupe d'immeubles de l'Hôtel de Noailles et des maisons voisines put être sauvé.

A la suite de ces incidents, un administrateur extra- ordinaire, M. Surleau, fut nommé et chargé des affaires municipales, et je pus travailler activement en colla- boration avec lui, avec le préfet et le général com- mandant la XVe région (général Olry), à la mise en état de défense de la région Marseille-Berre. La défense antiaérienne était, je le répète, absolument insuffisante;

dans un rapport, je dus écrire : « Dans une étude faite il y a treize ans, j'ai précisé que la défense anti- aérienne de la région Marseille-Berre était inexistante;

il en est de même aujourd'hui. » Comme amiral com- mandant la Marine et le secteur, j'étais responsable de cette défense, dont je devais prendre le commande- ment effectif au moment de la mobilisation, mais le matériel et le personnel de défense antiaérienne étaient fournis par la Guerre. Les canons dataient de plus de cinquante ans, les projecteurs, prévus pour la région de Berre seulement, ne portaient qu'à 3.000 mètres.

A la suite de mes réclamations vigoureuses, le pré- sident du Conseil fit envoyer une commission d'enquête parlementaire, et le Conseil Supérieur de la Défense Nationale s'émut. Le généralissime Gamelin vint à Marseille pour examiner la situation; au cours d'une conférence, en présence des généraux et des chefs de corps, il me proposa de renforcer la défense par trois

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batteries de 75 hippomobiles, non spécialisées pour le tir contre-avion, armées de personnel de la deuxième, réserve, au vingtième jour de la mobilisation. Mon état-major était indigné et la réponse à Gamelin fut la suivante :

— Mon Général, nous aurons affaire à des avions Savoia Marchetti, plafonnant à 6.000 mètres avec une tonne d'explosifs. Vous nous proposez des canons non spécialisés tirant à 4.000 mètres; c'est à peu près comme si vous me demandiez de, disposer tous les chasseurs marseillais armés de leurs pétoires sur les collines environnant la ville.

Gamelin ne répondit rien, mais le soir, à la gare où je l'avais accompagné, m'ayant pris par le bras et à l'écart, il me dit :

— Nous n'avons pas de matériel moderne. Au- fond que désirez-vous que je fasse ?

Je connaissais nos possibilités :

— Faites-moi envoyer deux batteries de canons 90 marine contre-avions. Il en existe six. Si je reçois ces deux batteries, je pourrai vous rendre plu- sieurs milliers d'hommes.

Gamelin me répliqua :

— Les hommes, j'en ai bien assez, mais c'est le matériel qui manque.

J'insistai auprès de lui pour qu'il hâtât la com- mande de 200 batteries de 90, type marine, modèle dont j'avais demandé la fabrication dans mon rap- port de 1925. Le train partit, mais j'avais la pro- messe de Gamelin de recevoir les deux batteries marine de 90 CA.

Elles arrivèrent en effet un mois après, mais Darlan,

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à qui Gamelin les avait arrachées pour moi, était fort mécontent. Aussi eut-il soin de spécifier dans la dépêche ministérielle qui en ordonnait l'envoi, que les pièces devraient être expédiées à Marseille avec une partie de ' leur personnel mais sans groupe de projecteurs. Le personnel arriva très incomplet, mais le manque de projecteurs m'interdisait de pouvoir employer utilement de nuit cette excellente artillerie de défense antiaérienne, qui pouvait tirer jusqu'à plus de 10.000 mètres d'altitude. Ceci est, entre cent autres, un exemple des difficultés auxquelles je me suis heurté au cours de mon commandement.

Ces difficultés furent de tout ordre. Au cours des trois mobilisations successives, de septembre 1938, du printemps et de l'automne 1939, je cherchai à les résoudre, me heurtant toujours au manque d'initiative, à la paresse ou à la crainte des responsabilités. Un jour, on m'interdisait d'employer à la D.C.A. les puissants projecteurs d'artillerie de côte du secteur;

les logements pour les mobilisés manquaient et on res- treignait mon droit de réquisition; les ouvriers né- cessaires aux installations ne pouvaient pas être trou- vés localement du fait de la mobilisation et je passais plusieurs mois avant de pouvoir obtenir les compa- gnies d'ouvriers indispensables. Une autre fois, sous prétexte d'un manque de vêtements chauds nécessaires aux troupes de campagne, on enlevait les vareuses de laine et les capotes des malheureux artilleurs de D.C.A., de veille permanente sur les collines balayées par le mistral. Je raconterai par ailleurs le détail de ces difficultés. Les pièces officielles qui constituent de lourdes charges pour le haut commandement sont en lieu sûr. Qu'il me suffise de dire que la mobili-

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sation, puis le blocus furent nettement sabotés par ceux qui en étaient responsables.

Malgré tout, au début d'octobre 1939, j'avais pu faire 600 prisonniers et plus de trois milliards de prises. L'amiral Darlan me fit dire par son adjoint, le capitaine de vaisseau Airphan, venu en mission à Marseille, qu' « il donnait vingt sur vingt à ce qui avait été fait à Marseille, et que j'allais être nommé vice-amiral en récompense de mes efforts Je fus en effet promu le 9 octobre 1939, mais, à ma grande stupéfaction, je fus placé le lendemain dans le cadre de réserve, par application d'un décret-loi qui auto- risait le ministre de la Marine, sur proposition du commandant en chef, à placer en réserve, les officiers généraux qui n'étaient plus aptes à remplir les fonc- tions de leur grade. Or, le même jour, je recevais un ordre me rappelant à l'activité et me laissant à mon poste avec des pouvoirs plus étendus. Mais, comme sur le plan administratif, j'étais néanmoins maintenu dans le cadre de réserve, ce qui, malgré le rappel, consacrait une injustice, j'établis immédia- tement un recours en Conseil d'Etat et demandai une audience au président de la République, chef suprême des armées de terre et de mer.

Darlan vint à Toulon quelques jours après et m'affirma sa vieille affection. Il ajouta qu'il m'avait fait nommer dans le cadre de réserve parce qu'il avait

* besoin de vice-amiraux et qu'il était limité par la loi des Cadres, mais que cela n'avait aucune importance, car la guerre serait longue et qu'il désirait me confier un commandement actif à la mer, de préférence en Mer Noire dont j'étais spécialiste. J'acceptai son

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discours avec quelque ironie et, peu après, se produi- sirent les incidents suivants :

A Marseille, j'avais eu à lutter contre la tournure d'esprit de certaines hautes personnalités qui ne pou- vaient arriver à comprendre les changements néces- sités par l'état de guerre dans la vie commerciale.

De nombreuses circulaires du ministre des Finances et du ministre du Commerce incitaient les expor- tateurs à une activité maxima. Ceux-ci, exécutant à la lettre les instructions d'avant guerre, expédiaient les tourteaux et les arachides par exemple vers l'Alle- magne, la Suisse, les Pays Scandinaves, bien que j'eusse signalé à maintes reprises le danger de pareilles exportations, à de hautes personnalités, à Paris et à Marseille, et au président de la Chambre de Com- merce. Mais ces pratiques, néfastes à mon avis, en période de tension politique, devenaient un crime après la déclaration de guerre. Je fus obligé de sévir et fis arrêter ou poursuivre vingt-sept personnalités.

marseillaises, pour des faits criminels relatifs à des tentatives de vente de bâtiments à l'étranger, sabo- tage 'de mobilisation ou manœuvres tendant à frustrer le Trésor des produits du blocus.

Au cours de mon commandement, j'eus à diverses reprises l'occasion de faire saisir des cargaisons destinées à Rotterdam, Brême (à ordre) ou à ordre de maisons allemandes (par exemple Otho Mieyer, Rotterdam, Hambourg). Plusieurs fois, on vint me déclarer que lesdites cargaisons étaient destinées à un groupement marseillais. Mais j'avais fait saisir à bord les connaissements originaux, et ceux que me présentaient d'honorables messieurs étaient purement des faux. D'où poursuites : désignation d'un officier

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de police judiciaire, etc... Je continuai jusqu'au jour où l'amiral Abrial, Préfet maritime à Toulon à cette époque, me transmit l'ordre suivant de M. Campin- chi :

« Ne rien faire contre M. X... sans mes instructions personnelles ».

Ma réponse à l'amiral Abrial, qui m'avait précisé qu'il servait uniquement de « boîte aux lettres » en cette affaire dont je lui avais parlé plusieurs fois, fut :

« Je m'étonne que vous acceptiez le rôle de « boîte aux lettres » dans une affaire aussi grave; je répon- drai aujourd'hui même au Ministre ».

Je me fis apporter le dossier et, après avoir vérifié moi-même le bien-fondé de l'accusation, je fis répondre à Campinchi, par l'intermédiaire d'Abrial :

« D'après la Constitution Française, le politique et l'exécutif n'ont rien à voir dans le judiciaire; en conséquence, l'affaire suivra son cours. »

Presque à la même époque, un Levantin d'Accra vint me trouver pour protester contre une réquisition de plusieurs milliers de tonnes d'arachides que j'avais fait saisir dans les docks de Marseille. Les docks étaient bondés de marchandises de cet ordre, et je craignais à la fois un embouteillage du port et un incendie grave par suite de bombardements aériens à prévoir, ou même de combustions spontanées ou accidentelles. Par ailleurs, le ministère du Ravitaille- ment n'ayant pas passé ses commandes en temps voulu, les usines manquaient de matières premières et dix-huit d'entre elles allaient être obligées d'entrer en chômage. Je fis donc réquisitionner tous les stocks

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périssables, nécessaires aux industries de guerre et que les spéculateurs avaient amassés dans les docks.

Le Levantin en' question osa me menacer de se plaindre à M. Campinchi dont il était, disait-il, le client. Je fis immédiatement mettre en prison cet indi- vidu. Mais je dois ajouter que, huit jours après, j'étais mis à la retraite d'office. Le prétexte pris ne me fut dévoilé que plusieurs mois après, lorsque M. Campinchi me fit appeler, en mars 1940, pour se plaindre des propos que j'avais effectivement tenus à son sujet à propos des affaires de Marseille.

— Vous prétendez, m'a-t-il dit, avoir été mis à la retraite à la suite de l'affaire X... C'est inexact.

Vous avez été mis à la retraite pour indiscipline, pour avoir communiqué à des personnes non quali- fiées des renseignements secrets relatifs à la Défense Nationale.

Voici ce qui s'était passe :

Parmi les attributions de mon commandement à Marseille, je joignais à celles de tous les comman- dants de secteur, une délégation personnelle du ministre de la Marine et du commandant en chef des Forces Maritimes Françaises pour la formation des convois. J'étais chargé de réunir, dans les diffé- rents ports, les groupes de paquebots et de bâtiments de commerce nécessaires pour les convois à former, suivant les besoins mentionnés par les plans généraux des journaux de mobilisation, ou nécessités par cer- taines circonstances particulières. Un bureau spécial de mon Etat-Major avait, dès le temps de paix, préparé ces questions. Lorsque j'avais, par exemple, au huitième jour de la mobilisation, à assurer le transport d'une division d'Oran à Marseille, je devais

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