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Paraissait le Hercredlfet le Samedi à la Cham-de-Fonds

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Vingt-cinquième Année. — N° 100 P r i x d u n u m é r o : 1 0 centimes

Samedi 17 Décembre 1910 Bureaux : R u e de l a S e r r e , 5 8

S U I S S E

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ABONNEMENTS

Un an Six mois

Suisse . . . . Fr. 6.— Fr. 3.—

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Paraissait le Hercredlfet le Samedi à la Cham-de-Fonds

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suisses 20 ct., offres et demandes de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

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Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le j o u r n a l

Bureau des Annonces : HAASENSTEIN & VOGLER, 49, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger

Socialistes et syndicalistes

A propos du congrès socialiste qui vient de se tenir à Bàle, un correspondant écrit ce qui suit au Journal de Genève :

Les deux journées du congrès socialiste suisse qui vient de siéger à Bàle ont vu surgir chacune une question particulière- ment intéressante, parce que, dépassant les intérêts locaux et les querelles de clocher, elles découlent des principes mêmes du socialisme. . . .

Ces deux questions à tout prendre n'en sont peut-être q u ' u n e . Elles font toucher du doigt un des écueils auxquels s'est tou- j o u r s heurté le socialisme dès qu'il s'agit de passer de la théorie à l'application pra- tique : la mésintelligence qui s'élève entre les chefs, les théoriciens et la masse, en général peu préparée à les comprendre.

Les congres socialistes qui se sont tenus à l'étranger nous en avaient d o n n é maints exemples. Le conflit devait fatalement se dessiner chez nous aussi, à mesure que se développait l'organisation du parti.

La première journée a fourni à certains orateurs l'occasion de qualifier d'autocrati- que l'attitude des m e m b r e s socialistes du Conseil national. Aux termes d'une déci- sion prise au congrès de Baden, en 1909, M. Greulich eût dû présenter un rapport sur l'activité des députés socialistes. Il se contenta de déclarer que les expériences faites dans de précédents congrès l'avaient décidé à n'en point préparer et que l'on pouvait se contenter du rapport de l'an- nuaire. Après une discussion assez vive .par instants, le congrès a fini par adopter

la motion suivante, qui renferme, en som- me, un blâme à ses chefs :

Le congrès compte qu'à l'avenir la fraction socialiste du Conseil national présentera de nou- veau à l'Assemblée annuelle un rapport sur son activité. Il approuve quant au reste cette ac- tivité.

Le moment le plus intéressant de la se- conde journée fut la discussion féconde qui s'engagea sur les rapports du parti so- cialiste avec les syndicats. Cette question, si brûlante dans d'autres pays, s'aggrave chez nous du fait, — sur lequel a insisté

M. Pflüger, de Z u r i c h , — q u e , si les cama- rades de nationalité suisse dominent dans l'organisation politique, dans les syndicats, ce sont les camarades étrangers.

Les orateurs n'ont point dissimulé les divergences, — divergence de principe même, — qui divisent les socialistes sur cette question. Et toute la discussion a laissé pressentir les difficultés qui peuvent surgir entre les syndicats et ïa direction du parti. M. Greulich l'a déclaré sans équivo- que : «Nous ne devons pas oublier que ce ne sont pas nos adversaires qui nous cau- sent le plus d'embarras, mais les ouvriers, qui ne nous comprennent pas. »

Ces paroles, tout chef socialistes pour- rait les avoir prononcées. Elles résument la leçon qui se dégage du congrès de Bàle, et — il faut bien l'avouer, quelque parti- san que l'on soit du socialisme — de pres- que tous les congrès socialistes. Il ne fau- drait point cependant se montrer trop pessimiste: les divergences entre les chefs et la masse sont dans la force des choses.

Le conflit, chez nous, n e s'est révélé qu'à l'état latent. La commission nommée pour étudier les résolutions relatives aux rapports du parti et des syndicats l'empê- chera sans doute de s'aggraver.

Quoi qu'il en soit, la discussion loyale, dirigée si habilement par M. le conseiller d'Etat Wullschleger, a contraste heureuse- ment avec ce qui s'est vu dans des congrès socialistes étrangers.

Contre l'arbitrage obligatoire La Fédération des industriels et com- merçants français communique au public une note relative au projet de loi relatif à la conciliation et l'arbitrage qui, dit-elle, «sou- lève dès maintenant de vives objections».

Voici le texte de cette note, que nous reproduisons à titre de document.

Particulièrement grave est le principe de l'ar- bitrage obligatoire. La sentence du tribunal ar- bitral va devenir exécutoire. Dès lors le contrat de travail ne naîtra plus, dans l'industrie des chemins de fer, de l'accord libre des intéressés:

il procédera de la contrainte imposée par un tiers. Que ce tiers soit un tribunal, que ce tribu- nal soit constitué dans des conditions destinées

à donner le plus de garanties possible, il n'en est pas moins vrai que la motion de «contrat» c'est- à-dire de «consentement» va être définitivement ruinée dans cette industrie : le régime d'autorité et d'autorité étrangère à la gestion même de l'affaire va remplacer radicalement le régime contractuel.

Ici apparaissent une à une toutes les objections qui se dressent contre le principe même de l'ar- bitrage obligatoire.

Notons d'ailleurs que les compagnies pour- ront, à juste titre, faire observer que, de par la nature même des choses, l'ouvrier gardera le droit de renoncer, individuellement, à son em- ploi, s'il est mécontent de la sentence arbitrale, tandis que la compagnie liée envers l'Etat par une obligation d'exploitation née de son C8hier des charges, et liée envers son personnel par des obligations de rémunérations nées de la sen- tence arbitrale, n'aura pas la ressource de cesser son entreprise et de «passer la main».

Nous savons à merveille quels arguments pourra ici invoquer le gouvernement: il pourra dire que la suppression du droit de grève ou- vrière entraîne une compensation nécessaire, que les compagnies sont concessionnaires d'un monopole qui leur impose des obligations par- ticulières, qu'elles ont, en cas de répercussions financières trop lourdes, le bénéfice de la garan- tie de l'Etat; il pourra invoquer enfin, au-dessus des intérêts et des droits des parties en litige, les intérêts et les droits de la collectivité nationale.

Mais si ces arguments peuvent valoir, lors- qu'il s'agit de la concession d'un monopole nou- veau, dont le soumissionnaire a, d'avance, ac- cepté les charges et couru les risques, n'est-il pas injuste de les opposer au bénéficiaire d'un monopole ancien, dont les conditions d'exploita- tion sont ainsi bouleversées, dont le cahier des charges est pour ainsi dire transformé sans son assentiment? N'est-ce pas plus injuste encore à l'égard des compagnies qui vont cesser de jouir de la garantie?

S'il s'agit même de la concession d'un mono- pole nouveau, les objections purement juridi- ques disparaissent, mais les objections financiè- res ne vont-elles pas se dresser? N'est-il pas à redouter que les soumissionnaires, en présence de cet aléa formidable que présentent les déci- sions d'un tribunal chargé à lui seul de fixer le prix et les conditions du travail, ne se fassent plus rares et plus exigeants?

Une dernière observation est importante. Le projet prévoit le cas où la sentence doit avoir une répercussion financière. En ce cas, avant d'être exécutoire, elle sera soumise à la ratifica- tion du Parlement. Imagine-t-on que le Parle- ment en ce cas, ne prendra jamais la responsabilité de se refuser à consacrer la sentence arbitrale?

Et ne voit-on pas qu'il ne sera dans l'espèce qu'une «chambre d'enregistrement»?

Il ne serait pas impossible que, dans ces con

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666 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE dilions, le gouvernement vit se former, contre le

troisième projet, le bloc de ceux qui tiendront pour les libertés ouvrières, de ceux qui tiendront pour les libertés patronales, de ceux enfin qui tiendront pour la liberté de tout le monde.

Exposition de Bruxelles Compagnie des montres « INVAR »

La Chaux-de-Fonds.

Récompense obtenue : Diplôme d'honneur.

La Compagnie des montres « Invar» est l'une des fabriques de montres de fondation assez ré- cente, dont La Ghaux-de-Fonds peut s'honorer, depuis qu'elle est résolument entrée dans la voie de la transformation du mode de fabrication des montres. La montre «Invar», en effet, a été lan- cée sur le marché dés 1902.

Utilisant les fruits d'expériences faites anté- rieurement, cette maison s'est, d'emblée, outil- lée de la façon la plus perfectionnée, ce qui lui permet de prétendre à un bon rang dans l'échelle des maisons d'horlogerie suisses et de justifier la haute récompense obtenue à Bruxelles, comme suite à la médaille d'or qui lui fut décernée à Mi- lan en 1906.

En dehors de certaines parties secondaires de la montre, dont presque toutes les fabriques sont, pour l'une ou pour l'autre, tributaires des spécia- listes, la Fabrique «Invar» produit, dans ses lo- caux où elle occupe plus de 200 ouvriers, toutes les pièces de la montre. De plus, son atelier de mécanique fort bien agencé, lui permet de pro- duire elle même, la plus grande partie des ma- chines et des machines-outils nécessaires à la fa- brication de ses ébauches et d'autres parties de montres.

L'exposition de cette maison, à Bruxelles, comprend, en premier lieu, une série de mouve- ments en cercles, représentant, dans chaque ca- libre, les différentes grandeurs, ce qui permet aux visiteurs, de même qu'au Jury, de se rendre plus facilement compte de l'échelle des qualités comme aussi des différents aspects des mouve- ments qui y correspondent.

Ensuite, la maison présente une grande va- riété de montres, depuis la montre 7 pierres (spé- lialement destinée au marché américain) jusqu'à la montre 21 pierres avec chatons en or, empier- rages rubis, et d'une qualité permettant l'obten- tion de bulletins d'observatoire de 1™ classe.

Pour bien marquer sa volonté d'être moderne et de ne pas se laisser arrêter par les difficultés, la Fabrique «Invar» produit exclusivement la montre avec échappement ancre ligne-droite, en grandeurs de 11 à 19 lignes et en lépine et savonnette, dans tous ses calibres. A cette fabri- cation, qui est la base de la production générale, viennent s'ajouter plusieurs spécialités en cali- bres réservés.

Dans le but de justifier le nom Invar utilisé comme marque, la maison a adopté, pour ses spiraux, la courbe théorique de Philips et vient de prendre un brevet original spécial, compor- tant deux spiraux pluls sans courbe terminale, placés de façon diamétralement opposée et qui sont attachés séparément à leur piton respectif.

Celte montre, qui n'a aucune raquette, a été dé- nommée Invar-Scientific et n'a pas été l'une des moindres curiosités de l'exposition de l'horlo- gerie.

Les montres exposées paraissent indiquer que la maison, attribuant avant tout la plus grande importance au mouvement, a tenu à soumettre à l'appréciation des visiteurs, une collection de montres absolument praliques, telles qu'elles sont le plus demandées par la clientèle, et méritant le nom de bonne montre civile, ce qui correspond aux plus réels besoins des consommateurs.

Mais il faut aussi sacrifier à l'œil des visiteurs, qui ne sait pas toujours apprécier la qualité des objets qu'on lui soumet et s'arrête surtout à leur aspect extérieur.

Aussi la Fabrique « Invar» a-t-elle complété son exposition, en décorant de riche façon un certain nombre de boites, en genre fantaisie, niel, frap- pes diverses, boites or émaillées, ciselées et joaillerie, etc.

Ajoutons pour conclure, que la production to- tale de la Compagnie des montres «Invar» com- porte le 50°/o de montres avec boites en or.

La situation à Pforzheim

Notre confrère la Pforzheimer Bijouterie- Zeitung donne la description suivante de la si- tuation de l'industrie bijoutière à Pforzheim pen- dant le conflit ouvrier actuel :

« Samedi 26 novembre les derniers ouvriers syndiqués, et avec eux, un grand nombre de non-syndiqués se sont joints aux grévistes. Les non-syndiqués ont été surtout obligés de pren- dre ce parti par les molestations auxquelles ils étaient continuellement en butte et qui, à la fin, devenaient insupportables. Ceux qui habitaient les localités des environs, en se rendant à leur travail le matin, se voyaient arrêtés dans la rue ou dans les bois par les grévistes, qui tachaient de les persuader à suivre leur exemple, et dans ces rencontres, les paroles n'ont pas toujours été les seuls arguments employés.

« L'aspect de la voie publique à Pforzheim a complètement changé en conséquence de la grève.

Tandis que, autrefois, pendant les heures de tra- vail, la paix et la tranquillité y régnaient en souverains, on y voit partout, à présent, des groupes en train de discuter avec la plus grande excitation, et l'élément féminin, dans ces grou- pes, est assez fortement représenté. Partout l'on se heurte à des postes de polices renforcés par des hommes venus de Carlsruhe. Des scènes odieuses se sont produites devant certaines fa- briques ; à plusieurs reprises les grévistes, pres- que tous armés de gourdins, ont pris une attitude tellement menaçante vis-à-vis des ouvriers qui désiraient continuer le travail que la police a du intervenir.

« Les patrons sont toujours d'accord, comme auparavant, pour déclarer que les exigences irraisonnables des grévistes ne sauraient former l'objet d'aucune négociation et qu'il n'y a d'autre issue possible qu'une déclaration du côté des ou- vriers qu'ils sont disposés à reprendre le travail et à débattre avec leurs patrons mêmes les con- ditions du travail. Si les ouvriers ne veulent pas prendre ce parti-là, les fabricants comptent sou- tenir, de la façon la plus rigoureuse, la suspen- sion qu'ils ont projetée, afin d'obtenir enfin la paix. Malheureusement, il est à craindre que cette suspension ne pourra être soutenue sans porter le plus grand préjudice à l'industrie locale de Pforzheim et que Vienne, Genève, Paris et Birmingham, sans compter les centres indus- driels allemands, profiteront de cette grève, com- mencée absolument à la légère. Cependant ce ne seront pas les fabricants seuls qui vont souf- frir par cette stagnation, mais en premier lieu pour une période bien plus longue, les ouvriers eux-mêmes, particulièrement ceux qui, une fois la grève finie, ne pourront plus trouver de tra- vail. Car, quelle que soit l'issue, une partie des affaires sera atteinte en tous cas, et que la paix se fasse, tôt ou tard, il ne sera toujours pas réen- gagés plus d'ouvriers qu'il n'en est besoin. Nous rappelons de nouveau l'exemple d'Oberstein où, après la grève de 1907, 462 ouvriers seulement purent être réengagés, après un chômage de 17 semaines, sur le nombre total de 1100 d'avant le conflit.

Tout cela ne compte pas, cependant pour la Ligue des ouvriers en métaux, pourvu que ceile-ci ait seulement gagné d'autres partisans aveugles.»

* * *

D ' autre part, la Deutsche Uhrmacher- Zeitung écrit ce qui suit :

La grève de Pforzheim entraîne une grande perturbation dans les affaires, surtout en ce mo- ment où les affaires battent leur plein en raison des fêtes de Noël et Nouvel-an. Aussi les fabri- cants de bijouterie prient leur clients, les gros- sistes, de patienter, vu que le manque d'ouvriers oblige les premiers à n'exécuter que des petites commandes. Cet état de choses durera certaine- ment pendant quelque temps.

L'Exposition de Paris en 1920 aura-t-elle lieu ?

Le correspondant de Paris au Journal de Genève, publie les renseignements sui- vants desquels on peut conclure que rien n'est encore décidé.

C'est décidément vrai. La menace n'est pas il- lusoire. On veut, pour notre bonheur, doter Pa- ris d'une nouvelle exposition universelle en 1920,

année jubilaire de la République. Du moins est- ce l'intention certaine d'un groupe nombreux, tenace et puissant d'hommes politiques, d'indus- triels et de commerçants. Comme ceux qui veu- lent fermement quelque chose sont toujours plus fertiles en ruses que la masse amorphe de ceux qui se contentent de ne pas vouloir, il n'est pas dit qu'un beau jour la menace ne se transforme en réalité.

Je ne sais si vous sentez toute l'horreur d'une pareille perspective. Pour qui n'habite pas Paris, une exposition universelle n'est guère autre chose qu'un petit voyage de dix ou quinze jours, plus ou moins amusant à travers l'énorme foire. Pour les Parisiens, voici le bilan certain : six mois d'une existence intolérable, la ville saccagée avant, pendant et après l'exposition, la cherté de la vie augmentée, à titre définitif, d'un, deux ou trois crans.

Il y a d'ailleurs des raisons d'ordre très géné- ral qui déconseillent absolument une telle entre- prise. Il n'est pas douteux que l'Exposition de 1900 a été pour quelque chose dans l'acuité des luttes sociales qui se sont manifestées depuis dix ans. Elle a jeté sur le pavé de Paris un nombre considérable d'ouvriers dont les bras étaient né- cessaires à l'exécution des travaux et qui ont fourni l'aliment le meilleur à la propagande du syndicalisme révolutionnaire. Grâce à l'exécu- tion du métropolitain, grâce aussi aux grands travaux de voirie que la ville de Paris va entre- prendre (pour plus de 900 millions de francs), ces ouvriers seront occupés pendant des années.

Mais une exposition déterminerait un nouvel af- flux qui cause/ait, par la suite, de graves per- turbations économiques et sociales.

Du point de vue extérieur, les inconvénients ne seraient pas moindres. La diplomatie d'un pays qui est en train de préparer une exposition universelle est, pendant des années, sinon para- lysée, du moins considérablement gênée dans la liberté de ses mouvements. Ge n'est peut-être pas précisément le moment de se charger d'un tel poids. Enfin, l'intérieur de Paris ne suffirait plus à une exposition, à moins de se résigner aux pi- res actes de vandalisme. Il faudrait construire la ville éphémère en quelque endroit de la grande banlieue et la pourvoir d'un système de chemins de fer perfectionnés. Gomme s'il n'était pas plus sage de consacrer ces efforts à la réorganisation des chemins de fer de l'Etat et à la réfection d'un outillage économique notoirement insuffisant!

Toutes ces considérations n'ont point empêché un groupe de cent sénateurs d'aller prier le gou- vernement de prendre en mains la cause de l'ex- position universelle. Et ce ne sont pas des séna- teurs quelconques. A leur tète se trouvent M.

Peytral, radical bon teint, ancien ministre des finances, qui représente Marseille, M. Richard Waddington, qui, si je ne m'abuse, est président de la Chambre de commerce de Rouen, M. Tou- ron, modéré, grand industriel de l'Aisne, M. Our- nac, porte-parole des intérêts de Toulouse...

Le gouvernement n'a dit ni oui, ni non. Il a répondu : peut-être. Je crois que s'il ne dépendait que de lui il aurait immédiatement conclu par la négative. Mais il n'a pas voulu faire de peine, même légère, à de tels solliciteurs. Les inconvé- nients d'une exposition sont à longue échéance et d'autres que les ministres actuels en suppor- teraient, le cas échéant, les ennuis. Tandis que les difficultés parlementaires sont quotidiennes et immédiates. Après en avoir délibéré, le Conseil des ministres a donc décidé de faire appel à l'avis des principaux organismes commerciaux et in- dustriels. C'est une sorte de referendum par le- quel le gouvernement se décharge de la respon- sabilité de prendre une décision, car vous imagi- nez bien que, si son résultat est négatif, la ques- tion sera définitivement réglée et que s'il est af- firmatif, les plus fortes raisons d'intérêt général ne nous préserveront pas d'une exposition uni- verselle. Mais pauvre Paris si, par aventure, on lui fait encore une fois ce présent redoutable!

Exposition nationale

La grande commission de l'exposition a tenu à Berne, dans la salle du Grand Conseil, sa se- conde séance ; la première en avril dernier, avait eu lieu uniquement en vue de la constitution du comité central et des sous-commissions.

La question de l'emplacement a été tranchée définitivement, suivant les propositions de la sous-commission. C'est le Neufeld et le Vierer- feld qui a été choisi, soit le terrain où avait eu lieu déjà en 1895 l'Exposition d'agriculture. En

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LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 667

outre le Beundenfeld et le Wanlcdorffeld qui le prolonge peuvent être affectés à des expositions spéciales. Enfin, pour l'exposition des beaux- arts, il est prévu la construction d'un bâtiment au Kirchenfeld. En outre, une partie de la forêt de Bremgarton, attenante au Virerfeld-Neufeld, sera comprise dans le parc de l'exposition.

Le budget de l'exposition a été adopté suivant les propositions de la commission des finances.

Il prévoit aux recettes et aux dépenses une som- me de 8.570.000 fr. Dans les recettes, la subven- tion de la Confédération figure pour 2.500.000 fr., compris 300.000 fr. pour l'exposition agricole.

Enfin, le programme général qui fixe la durée de l'exposition du 15 mai au 15 octobre 1914 est également adopté suivant les propositions de la commission, sans modification. Il prévoit six grandes divisions :

l i La production première, soit la production directe et indirecte du sol (agriculture et ses di- verses branches) et la production des mines ;

2. Les arts et l'industrie;

3. Le commerce et le trafic ;

4. L'économie générale et utilité publique:

5. La défense nationale;

6. Les arts et sciences.

IMPORTATION ET EXPORTATION D'HORLOGERIE pendant le 3"le trimestre igio/oy

Métaux, orfèvrerie et bijouterie Or non ouvré kg netto Argent non ouvré

Or monnayé Argent monnayé

Orfèvrerie et argenterie . . . Bijouterie vraie

Bijouterie fausse Horloges et montres Boîtes de montres, finies, nickel,etc.

— — — argent

— — — or . . Montres nickel, etc

— argent

— or

Chronogr., montres àrépétit., etc.

Total . . . Pièces détachées finies . q netto Boites à musique, finies . . .

Verre

Verre à vitres, Je coul. naturelle 46,019 1,052,915 Verrerie de verre mi-blanc . . 3,650 163,850

— — incolore . . 18,780 940,502

— polie, gravée, e t c . . . 6,767 960,914 Observations : 1° Où l'exportation dépasse l'importation, 2° Les valeurs ne sont communiquées que trimestriellement. — écoulée n'est possible que pour les rubriques comprenant dans le

Importation Quantité

~ïl,646 60,333 5,457 89,786 8,093 5,117 619

Valeur

Pièces

97,723 2.789 1,029 9,652 662 1,143 206 113,195 153 329

39,787,516 5,339,470 16,918,7*8 17,956,915 2,215,291 5,554,570 1.596,360

Quantité im- portée dans la même période 1909

386,254 21,656 36,633 71,931 11,151 123,794 4,638 656,057 1,020,054.

143,951

8,019 56,565 5,190 83,769 8,038 4,546 602

Pièces

72,493 3,062 1,090 6,995 535 1,140 52

Exportation Quantité

714 8,874 5,464 25,528 1,047 2,708 7

Valeur

85,367 64 328 37,596 6,534 17,132 6,075 les chiffres

Pièces

1,559,334 189,120 55,392 4,179,420 1,883,447 621,316 22,779 8,510,808 1,003 782

203 408 91

2,423,143 797,753 16,936,987 5,105,698 347,387 8,825,718 58,712 2,032,357 937,809 2,588,825 22,406,970 22,501,564 35,715,684 1,670,442 87,853,651 5,534,684 650,198

7,229 36,689 53,981

Quantité ex- portée dans la même période 1909

~1,329 16,913 7,372 17,970 796 2,238 10

Pièces

1,017,985 146,836 40,090 3,294,844 1,672,053 504,783 15,598 6,692,189 680 656

90 324 73 sont imprimés en caractères gras. —•

3" Une comparaison avec les résultats de l'année nouveau tarif les mêmes articles que dans l'ancien.

Les grandes divisions sont elles-mêmes sub- divisées en 53 groupes. La question de savoir si l'un ou l'autre de ces groupes présentera un ca- ractère international demeure réservée.

Union des Offices d'apprentissage de la Suisse romande

Nous apprenons que M. Paul Jaccard, inspec leur des Apprentissages du canton de Neuchàtel, a été nommé Président du Groupement des Offi- ces d'apprentissage de la Suisse romande. Nous lui adressons nos vives félicitations pour celte nomination, aussi flatteuse pour notre canton qu'honorable pour le distingué Chef de notre Office cantonal des apprentissages.

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