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Annales de chimie et de physique [Suite (3)]. 5e série. — Tome XXVIII; 1883

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(1)

HAL Id: jpa-00238289

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238289

Submitted on 1 Jan 1884

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Annales de chimie et de physique [Suite (3)]. 5e série. - Tome XXVIII; 1883

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. Annales de chimie et de physique [Suite (3)]. 5e série. - Tome XXVIII; 1883. J. Phys.

Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.500-524. �10.1051/jphystap:018840030050001�. �jpa-00238289�

(2)

500

tube. La fermeture du

circuit pendant

de si faibles intervalles de

temps,

était réalisée à l’aide de

l’interrupteur

de

Felici (1).

En

présentant

à l’Académie dei Lincei le Mémoire que nous ve- nons

d’analyser,

M. Blaserna a fait observer que la coïncidence des courbes

expérimentales

obtenues par L%’1 . Bazzi avec les courbes déduites de la formule d’Helmholtz ne prouve pas nécessairement l’exactitude de cette dernière. Dans ses recherches sur l’état va-

riable des courants

(2),

M. Blaserna est arrivé à cette

conclusion,

que les extracourants manifestent de véritables oscillations. La courbe

représentant

la fonction

qui

lie l’intensité au

temps,

au

lieu d’étre

régulièrement croissante, présente

des ondulations.

Ces ondulations sont faibles et presque nulles dans les circui ts

rectilignes,

et, au

contraire,

elles sont très

marquées

dans les cir- cuits contenant des

spirales capables

de

produire

de forts extra-

courants. Il résulte de là due, tant

du’il s’agit

d’effets

galvanon1é- triques

ou autres,

représentés

par des

in tégrales

conme

la théorie d’Helmholtz

peut

être considérée comme une

première approximation;

on substitue à une courbe

légèrement

ondulée une

courbe

plus simple qui

passe dans la

partie

moyenne de la

région

ondulée. Cette

approximation

est bien souvent suffisante. C’est

ce

qui

a lieu dans le cas des recherches de M.

Bazzi,

il n"est

question toujours

que d’effets mesurés par des

intégrales.

Il

n’y

a

donc pas lieu de s’étonner que ce

physicien

trouve ses

expériences

d’accord avec la théorie d’Heln1hollz. J . PIONCHON.

ANNALES DE CHIMIE ET DE PHYSIQUE

[Suite (3)].

5e série. 2014 Tome XXVIII; 1883.

E.-H. AMAGAT. - Mémoire sur la comprcssihilité de l’air, de l’hyclrogène eL de

l’acide carbonique raréfiés, p. 480-499.

L’appareil employé

par M.

Amagat

est un baromètre

A,

a cuve

(1) Voir Nuovo Ciineitto, série 11, t. XII et XIII, et série III, t. IV.

( 2 ) Giornale di Scienze nat. ed econ., vol. VI, 1870. Palermo.

(3) Voir p. 367-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030050001

(3)

profonde;

la

partie supérieure

du tube

barométrique

renferme le gaz sur

lequel

on

opère ;

elle

présente

deux boules

B,

B’ de

capacités

sensiblement

égales, séparées

par un

petit

espace

cylindrique

ou

es t tracé un trai de

repère

rn’ : un au tre trai t m es t

placé

au-des-

sous de la deuxième

boule.

Un

support

à crémaillère

permet

d’éle-

ver ou d’abaisser à volonté le tube

A,

de manière à faire affleurer le lnercure à l’un ou l’autre

trait,

et, par

conséquent,

réduire à

moitié le volume du gaz enfermé d’abord dans

l’appareil.

La

partie supérieure

du baromètre A

plonge

dans une cuve conte-

nant de l’eau que l’on maintient à une

température

constante : elle

communique

avec la

partie supérieure

d’un baromètre différentiel

S, S’,

S" de construction

spéciale, qui

sert à déterminer la

pression

du gaz dans A.

Ce baromètre est formé d’un tube étroit

bifurqué

à sa

partie supérieure

et dont les deux

branches,

d’un diamètre intérieur

égal

à

Om,02,

sont munies de robinets servant

principalement

à intro-

duire le mercure et à purger

l’appareil;

cette

disposition

a pour but d’éviter l’erreur

qui,

dans le manomètre différentiel

ordinaire,

peut provenir

de la différence de

température

de deux colonnes mercurielles.

Afin de réduire autant que

possible

les erreurs de

réfraction,

les deux branches

larges

on t été rodées

intérieurement,

de ma-

nière à en faire des

cylindres parfaits parallèlement

aux

génératrices desquels

on a taillé des f’aces

planes extérieures,

maintenues ri-

goureusement

dans le même

plan vertical; enfin,

un robinet

S", placé

sur la branche

unique, permet,

en le

fermant,

d’obtenir un

baromètre

tronqué

ordinaire et d’éviter ainsi les errenrs

apportées

par les variations de la

pression atmosphérique.

On mesure la différence de niveau du mercure dans les deux branches du manomètre à l’aide d’un cathétomètré très sensible

et dont la course est peu étendue.

Les

expériences

ont

porté sur l’air, l’llydrogène

et l’acide car-

bonique :

leur résultat est

purement négatif.

Les écarts constatés par

rapport

à la loi de Mariette sont tantôt dans un sens e t tantôt dans l’autre et ne

dépassent

pas la limi te des erreurs

possibles.

Les

pressions

initiales ont varié de

0mm, 3 à 12mm.

M.

Ainagau

ne pense pas que les

expérimentateurs qui

sc sont

occupés

avant lui de cette

question

aient pu obtenir dans leurs

(4)

502

(5)

mesures un

degré

de

précision supérieur

à celui

qu’il

est certain

d’avoir atteint. Il en conclut que la

compressibilité

des gaz ne

pré-

sente aucune discontinuité pour des

pressions supérieures

à

1mm,

et que la loi de MariotUe

peut

être couramment

appliquée

aux

pressions qui

ne descendent pas au-dessous de cette limite.

51 série. - Tome XXIX; 1883.

J.-B. BAILLE. - Mesure des potentiels explosifs dans différents milieux, p. 181-193.

Dans un

précédent

travail

(1)

L’auteur a

exposé

la mesure des

potentiels

des corps électrisés

capables

de fournir une étincelle de

longueur

déterminée dans l’air

ordinaire,

aux conditions ambiantes de

température,

de

pression

et d’humidité : il a en outre étudié l’influence de la courbure de l’électrode sur le

potentiel explosif.

Actuellement M. Baille se propose d’étudier les variations de ce

potentiel

avec la

température,

la

pression

ou la nature du milieu

traversé par l’étincelle.

La méthode de mesure demeure la

même.,

mais l’étincelle

jailli t

à l’intérieur d’un

cylindre

de laiton de

om, T 0

de diamètre et de

om, 2o

de

hauteur, hermétiquement

fermé par deux bases

planes métalliques

et muni de

glaces

revêtues intérieurement d’un

gril- lage métallique.

Les électrodes étaient des

sphères

de

0m,03

de

diamètre,

l’une

fixe,

isolée du

bâti,

que l’on

électrisait,

l’autre

communiquant

au sol et

susceptible

de se

déplacer

par une vis de

rappel.

La

présence

de

l’enveloppe métallique augmente beaucoup

la

valeur du

potentiel explosif correspondant

à une distance fixe des

boules,

d’une

part

parce

qu’il

est

possible

de dessécher l’air

plus complètement

à l’intérieur de

l’enveloppe métallique,

de l’autre

par suite de l’influence

électrique

exercée sur les

parois.

Dans

l’air,

pour une même distance

explosive,

le

rapport V H

du

(1) Annales de Chimie et de Physique) Sa série, t. XXV, et Journal de Phy- sique, 26 série, t. 1, p. 16g; 1882.

(6)

504

potentiel

à la

pression

demeure sensiblement constant. M. 1-larris avait cru

pouvoir

affirmer que, pour une

pression

fixe et des tem-

pératures variables,

la variation du

potentiel,

observée avec une

distance

explosive fixe,

n’était fonction que de la masse de gaz

traversée,

c’est-à-dire clue le

potentiel

variait en raison inverse du

binôme de dilatation.

D’après

M.

Baille,

la variation de

potentiel

est

plus rapide

que ne

l’indiquerait

cette loi. Le

produit V (I

+ a

t)2 paraît

sensiblement constant.

Le Tableau

ci-joint

se

rapporte

aux

expériences

faites avec

différents gaz. Pour les gaz autres que

l’air,

la deuxième colonne

indique

le

rapport

du

potentiel explosif

dans le gaz au

potentiel

explosif

dans l’air à une même distance 8. Pour certains gaz, le

(7)

chlore par

exemple,

ce

rapport

est constant,

quelle

que soit la valeur de

6,

et

peut

servir de mesure au

pouvoir

isolant du gaz.

Mais avec l’acide

carbonique

ce résultat est très loin d’avoir été

.atteint,

et il est difficile d’attribuer un sens

précis

aux mesures.

M. Baille pense que la variation du

rapport

est liée à la

décompo-

sition

plus

ou moins

complète

du gaz,

produite

par les étincelles.

Tome XXX; 1883.

H. BECQUEREL. - Mémoire sur l’étude des radiations infra-rouges au moyen des phénomènes de phosphorescence, p. 5-68.

Après

un résumé

historique

très

complet

des travaux

auxquels

l’étude du

spectre infra-rouge

a donné naissance

depuis

la décou-

verte de William

Herschel,

M. H.

Becquerel

expose les résultats

qu’il

a lui-même obtenus en

utilisant,

à

l’exemple

et à la suite de

son

père,

les curieuses

propriétés

des substances

phosphorescentes,

si bien étudiées par M. Ed.

Becquerel.

On sait que les radiations les

plus réfrangibles

du

spectre

sont les

plus

actives pour

développer

la

phosphorescence,

tandis que les moins

réfrangibles agissent

comme le ferait une élévation de

température,

activant d’abord et

épuisant

bientôt

après

la

phospho-

rescence

précédemment développée

par d’autres radiations. Il résulte de là que, si un écran

phosphorescent

a d’abord été illu-

miné,

et

qu’on

y

projette

ensuite la

portion infra-rouge

d’un

spectre

très pur, on pourra observer

pendant

les

premiers

instants

une

image

directe de ce

spectre, qui

s’affaiblira

progressivement,

et enfin fera

place

à une

image négative,

dans

laquelle

les bandes

froides

apparaîtront

lumineuses sur un fond obscur.

En

1873,

M. Ed.

Becquerel (1)

a donné à

l’expérience

une dis-

position qui permet

d’obtenir d’une manière continue

l’image négative

du

spectre.

La méthode consiste à provoquer la

phospho-

rescence de la substance

impressionnahle, pendant qu’elle

est

soumise à l’influence d’extinction du

spectre infra-rouge.

S’il

arrive que l’extinction est

plus rapide

que l’excitation

phospho- rogénique,

les

régions frappées

par les radiations du

spectre

infra-

(1) Annales de Chirnie et de Physique, 4e série, t. X, et Journal de Physique,

le série, t. VI, pu 137.

(8)

506

rouge resteront

noires,

alors que les

portions

non

impressionnées

par celui-ci deviendront vivement lumineuses. Ce cas

remarquable

est

présenté

par la blende

hexagonale phosphorescente.

Cette sub-

stance, réduite en

poudre fine,

avait été fixée d’une manière très

homogène

sur une bande de carton, au moyen de gomme

arabique.

La lumière solaire était reçue sur deux fentes

parallèles,

l’une

très

étroite,

l’autre

large;

et l’on

s’arrangeait

pour obtenir deux

spectres,

le

premier

très net, le second rendu très diffus tant par la

largeur

de la fente d’où il émane que par l’absence de lentille de

projection

sur le

trajet

des rayons

qui

le

composent.

On super- pose, sur le carton, le

spectre

diffus à la

partie infra-rouge

du

spectre

pur.

M. H.

Becquerel

a utilisé la méthode

précédente, qui

donne un

spectre renversé ;

mais il a aussi observé le

spectre direct,

pen- dant la

première phase

de l’action des rayons

infra-rouges

sur

une substance

phosphorescente

antérieurement illuminée. Pour donner à cette dernière observation la

précision nécessaire,

il est

indispensable

d’avoir une matière

phosphorescente

très active et

surtout

parfaitement homogène;

on l’obtient en tassant la sub-

stance, réduite en

poudre itnpalpable,

dans des tubes en verre

plats,

scellés à la

lampe

ou dans une

petite

cuve en verre à faces

planes.

Dans ce dernier cas la

glace

an térieure est très mince : elle

porte

sur sa face interne une division en millimètres

qui s’applique

ainsi sur la surface

phosphorescente

elle-même et

apparaît

en noir

sur le fond lumineux constitué par cette surface ; elle fournit à l’ob-

servateur des

repères

pour

relever,

dans

l’obscurité,

la

position occupée

par les raies

spectrales.

En outre de la blende

hexagonale, employée

surtout pour l’observation des

spectres inverses,

les substances

phospho-

rescentes

employées

sont diverses variétés très brillantes de sul- fures de

baryum,

de strontium et de

calcium, préparées jadis

par M. Ed.

Becquerel.

Pour déterminer le

plus

exactement

possihle

les

longueurs

d’onde

correspondant

aux diverses

raies,

on

projetait

sur les suh-

stances

phosphorescentes

les

spectres

fournis par des réseaux. En raison de la

grande dispersion qu’ils présentent

dans la

partie

infra-rouge,

ces

spectres

sont très favorables pour l’observation des raies dans le

voisinage

de

A;

mais l’observation ne

peut

t

(9)

507

s’étendre bien

lnin,

car la

partie infra-rouge

du

premier spectre

est

partiellement

recouverte par la

partie

ultra-violette et brillante du

secona,

et cet effet (!si surtout sensihle sur un écran

phospho-

rescent, l’action

phosphorogénique

du second

spectre

se super- pose à l’effet de

la rég i o n

ronge d u

premier.

Il est donc

indispen-

sable d’élimimer du faisceau de lumière incidente les ravons violets

et ultra-violets et même la

plus grande partie

des rayons lumineux

du

spectre,

à l’aide d’un verre rouge au

protoxyde

de cuivre. Les observations sont limitées aux rayons dont la

longueur

d’onde est

double des

plus réfrangibles

des rayons

qui

sont transmis au

travers de l’écran

coloré,

car au delà

apparaît l’image

active du

second

spectre. Pratiquement

cette méthode n’a pas

permis

d’ob-

server directement et de mesurer la

longueur

d’onde des raies au

delà de la raie

1042.

L’inconvénient

qui

résulte de la

superposition

du second

spectre

lumineux avec le

premier spectre infra-rouge

est

largement

com-

pensé

par

l’emploi

que l’on

pcu

faire de cette

superposition

pour déterminer les

longueurs

d’onde avec une

grande précision. Après

avoir relevé la

position

des raies

infra-rouges qui apparaissent

sur

la surface

phosphorescence,

on

supprime

le verre rouge : le second

spectre

lumineux

apparaît

et l’on

relève,

sur le même

dessin,

la

position

des raies

principales

de Fraunhofer. En ces

points,

la

déviation des rayons obscurs

correspond

à une

longueur

d’onde

double de celle des raies de

Fraunhofer., lesquelles

sont connues

avec

beaucoup

d’exactitude. Par une

interpolation graphique,

on

trouve ensuite la

longueur

d’onde de toutes les raies

infra-rouges.

M. Ed.

Becquerel,

par une méthode

ditlérente,

avait construit la courbe

qui

donne les

longueurs

d’onde dans le

spectre jusqu’à

1300. Cette courbe coïncide avec celle de M. H.

Becquerel

dans

la

partie

commune, c’est-à-dire

jusqu’à x o40 ;

il est donc naturel d’admettre que la coïncidence

persisterait

au

delà,

et même on

peut,

avec

vraisemblance, prolonger

la courbe

jusqu’aux longueurs

d’onde de

1400

à 1500.

Les résultats obtenus par M. H.

Becquerel

se

rapportent :

10 an

spectre

solaire

infra-rouge;

aux

spectres d’absorption

des métaux

de la famille du

didyme,

enfin aux

spectres

d’émission de divers métaux.

1 °

Spectre

solaire

inJ’ra-rollge.

- Le

spectre supérieur

de la

(10)

508

fi Et.

1

ci-jointe

se

rapporte

au

spectre

solaire. On y remarque

spécialement

trois bandes

A’, A",

A’" situées dans

l’infra-roug.e, d’origine

certainement

tellurique

et attribuables à la vapeur

d’eau,

et dans l’intervalle en tre A et A’ une raie Y attribuabie au sodium . Au delà de A’" on observe encore deux bandes

plus faihles,

non

Fig. i.

figurées

dans notre dessin. Le Tableau suivant donne les

longueurs

d’onde

correspondant

aux diverses

portions

du

spectre

infra-

rouge

d après

M.

H. Becquerel :

Longueurs

d’onde des

principales

raies obscures de la

région infra-

rouge du spectre solaire.

exprlnzées

en millionièmes de millimètre.

(11)

509

Les nombres

imprimés

en

petits

caractères se

rapportent

à dcw raies que M.

Becquerel

n’a pu discerner et

qui

ont été vues direc-

tement par 1B11B1. Brewster et Gladstone

(’ ),

en lavant l’oeil ai

moment

d’observer,

et en Farinant d’un verre bleu de cobalt

(2).

9."

Spectrps d’absorption. -

Les

expériences

de M. H. Bec-

querel

ont été faites sur des

produits préparés

par M.

Lecoq

de

Boisbaudran

(didyme, samarium, erbium, thulium ).

Leurs solu-

tions étaient

placées

en avant de la

fente,

de telle sorte que si l’on

projetait

le

spectre

solaire sur

l’écran,

successivement avec ou sans

interposition

de la substance

absorbante,

le

spectre occupait

la

méme

position,

et les

lignes

du

spectre

solaire servaient de

repères

pour fixer la

position

des bandes

d’absorption.

(’ ) Phil. Trans., t. CL, p, Il7; i86o.

( 2 ) On trouvera dans le :Mémoire original une belle planche représentant le spectre infra-rouge prismatique, et le spectre infra-rouge normal.

(12)

510

30

Spectres

d’émission. - Ils ont été observés en

plaçant

la

substance à volatiliser dans un creuset de charbon an-dessous d’une

pointe

de

charbon,

et en faisant

jaillir

entre la

pointe

et le

creuset l’arc

voltaïque

de 5o éléments Bunsen. Ce

système

était ,

placé

dans une lanterne de

projection,

et

l’image

de l’arc était concentrée sur la fente au moyen du

système

de lentilles

employé

.

pour éclairer les

objets

dans le

microscope

solaire. On observe le

spectre positif qui précède l’extinction ;

mais il est

indispensable d’employer,

pour former l’écran

phosphorescent,

une substance

assez sensible pour manifester nettement

l’excitation,

mais

qui

n’arrive pas

trop rapidement

à l’extinction. Le sulfure de calcium lumineux vert de M. Ed.

Becquerel

réalise suffisamment ces con-

ditions.

La fig.

I montre les

principaux

résultats obtenus avec le so-

ditim,

le

potassium,

le

calcium,

le

magnésium,

le thallium et l’ar-

gent ;

mais l’auteur se propose de

perfectionner

encore ses méthodes d’observation et d’étendre ces résultats à

plusieurs

autres métaux.

Les

spectres

d’émission

infra-rouges

n’avaient

jamais

été observés

avant les travaux de QI. H.

Becquerel.

Nous renverrons le lecteur au Mémoire

original

pour une mul- titude de détails intéressants

qui

ne sauraient trouver

place

dans

une

analyse rapide,

et aussi pour les curieuses observations consi-

gnées

dans une deuxième Partie du

Mémoire,

relative à divers

phénomènes

de

phosphorescence

sous l’influence des radiations

calorifiques. Signalons

en

particulier

ce fait que les diverses sub-

stances

phosphorescentes

ont des manières de se

comporter

diffé-

rentes suivant la durée de

l’exposition

et suivant les

parties

du

spectre infra-rouge qu’elles reçoivent.

Il en résulte que des obser- vations

incomplètes pourraient

faire croire à l’existence de bandes

qui n’appartiennent

réellement pas au

spectre infra-rouge,

et

dont la

production

sur l’écran tient aux

propriétés particulières

de

la substance

phosphorescente,

a la

rapidité plus

ou moins

grande

de l’extinction dans les diverses

parties

du rouge et de l’infra- rouge.

(13)

511

CORNU. - Rapport sur les machines électrodynamiques appliquées à la trans-

mission du travail mécanique de M. Marcel Deprez, p. 214-238.

Ce

rapport

a pour

objet

les

expériences

exécutées le 4 mars 1883 aux ateliers du Chemin de fer du

Nord,

pour

l’application

des machines

dynamo-électriques

de M.

Deprez

au

transport

de la

force,

par l’intermédiaire d’un fil

télégraphique.

La machine

génératrice (type

NI.

Deprez, n 20)

était reliée à la machine

réceptrice (machine Gramme, type

D

transformé)

d’un

côté par un fil court et peu

résistant,

de l’autre par un fil télé-

graphique

en fer

galvanisé

de

4mm

de

diamètre, passant

par la station du

Bourget

et

présentant

un

développement

total de

17km.

Ces

conditions,

bien due n’étant

point identiques à

celles Oll l’on

se trouve d’ordinaire pour le

transport

de la

force,

n’ont

point

paru à la Commission de nature à altérer la valeur des

expériences,

étant donné

qu’on

ne faisait usage que de courants continus et non de couiants alternatifs.

Les résultats des mesures sont de deux sortes : les uns,

dynamo- métriques,

se

rapportent

au travail

transmis ;

les autres,

électriques,

aux forces électromotrices

développées

dans les deux machines

génératrice

et

réceptrice.

lls sont résumés dans les deux Tableaux suivan ts :

Résultats

dynamonaétriques.

(14)

512

Résultats

électriques.

Voici les

principales

conclusions

qui

se déduisent

de l’inspection

de ces Tableaux :

Le travail absorbé par la

génératrice

et transmis à la

réceptrice

a

augmenté

avec la vitesse de la

génératrice :

il a atteint

chevaux,

pour une vitesse de

1024

tours, à travers une résistance effective de 160 ohms

représentant

une double

ligne télegraphique

de

8km, J

de

longueur.

l,e rendement brut a pu monter

jusqu’à 37-’

pour i oo du travail

dépensé;

et, si l’on fait abstraction du moteur

mécanique,

pour s’attacher au résultat

produit

par les transfur- mations successives de

l’énergie,

le rendement

dynamométrique

a

même

atteint 48

pour I 00.

Le Tableau des résultats

électriques

montre que la

ligne

télé-

graphique

a sensiblement

présenté, pendant

le

transport

de la

force,

c’est-à-dire avec un courant de

2amp,5,

la résistance de 160 ohms

qu’on

lui trouve avec un courant de

oamp,

o 1

pendant

les essais

préalables;

cette observation

paraît

établir suffisamment l’accord entre la théorie et

l’expériencc

pour

l’analyse

des

phéno-

111ènes de transformation de

l’énergie

dans le circuit.

La derniére colonne du Tableau donne le

rapport i

des forces

électromotrices totales

développées

dans

chaque

machine : on sait

(15)

que ce

rapport représente

le rendement

dynamométrique,

lors-

qu’on néglige

les

phénomènes

d’induction

qui accompagnent

toujours

la

production

du courant

principal

dans les machines

dynamo-électriques.

Or

l’expérience

montre que le rendement

électrique

est notablement

plus

élevé que le rendement

dynamo- métrique.

Pour

analyser

de

plus près

ce

désaccord,

il vaut mieux

calculer

séparément

les deux termes dont le rendement

électrique

n’est que le

rapport. L’énergie électrique développée respective-

ment dans la

génératrice

et dans la

réceptrice

a pour valeur

EI 75g,

eI 75g;

et 1e

rapport e E

de ces deux

quantités

est

précisément

le rem-

dement

électrique

que nous considérons. Le Tableau suivant

permet

de comparer

l’énergie électrique développée

dans les deux machines au travail

mécanique

cédé à la

génératrice

et recueilli

sur la

réceptrice :

On reconnaît que, dans chacune des deux

machines, 1 énergie

créée est inférieure à

l’énergie dépensée,

tandis clue le raisonne-

ment

ordinaire,

fondé sur le

principe

de la conservation de

l’énergie,

les suppose

égales.

Aux

équations théoriques

il faut donc

pratiquement,

substituer des

équations

dans

lesquelles

H et li sont des coefficients

plus petits

que 1, et

(16)

514

dont les valeurs pour les deux machines étudiées ont été de

0,87

et.

0,81,

soit

o, 84

en moyenne.

A. MUNTZ et E. AUBIN. - Détermination de l’acide carbonique de l’air dans les stations du passage de Vénus, p. 238-248.

Voici les résultats moyens des

expériences :

Il ressort de

l’inspection

de ce Tableau que les

proportions

d’acide

carbonique

contenu dans l’air de ces stations très

éloignées

ne diffèrent pas

beaucoup

de celles que l’on a trouvées dans notre

climat. La moyenne

générale 2,78

est un peu inférieure à celle trouvée par M. Reiset dans le nord de la France

(2,962)

et à

celle que les auteurs du Mémoire ont trouvée dans la

plaine

de

Vincennes

(2,84)

et au sommet du Pic du Midi

(2,86).

Il

paraî-

trait donc que la

grande

moyenne doive être un peu inférieure à celle

qui

serait établie

d’après

les observations faites en

Europe.

La moyenne des

prises

de nuit est, dans toutes les

stations,

inférieure à celle des

prises

de

jour.

La

légère

infériorité de la

proportion

d’acide

carbonique,

dans

l’hémisphère sud,

est

égale-

ment

digne

de remarque.

(17)

AIMÉ WITL. - Étude sur les moteurs a gaz tonnani, p. a8g-3a8.

Ce Mémoire se divise en deux

parties :

l’une

théorique,

l’autre

ex périm en tale.

Dans la

première,

l’auteur définit les

cycles,

calcule les coeffi-

cients

économiques

et les constan tes des machines à gaz tonnant;

dans la

seconde,

il compare les

cycles théoriques

aux

cycles

réels

et il donne les résul tats de ses

expériences

sur les

explosions

sui-

vies de détente.

I. M. Vlitz divise les moteurs à gaz en

quatre

groupes.

a. Moteurs à

explosion

sans

compression; type,

rnotellr Le- noir. - Le

piston aspire

le

mélange

tonnant sous la

pression

constante de

l’atmosphère :

la communication avec l’extérieur étant

interceptée,

le gaz est enflammé et il détone. On

admet,

d’une manière un peu

arbitraire, qu’au

moment de

l’explosion

le

volume reste constant et que la

pression

seule

augmente.

Les gaz de la combustion se détendent ensuite suivant une

adiabatique

en

produisant

du

travail,

et ils sont enfin refroidis sous

pression

constante avant d’être

rejetés

dans

l’atmosphère,

durant la

période

de retour du

piston.

Le

cycle

ainsi

engendré

est

reproduit

dans

la

partie supérieure

de la

ftg.

i .

1 ’b.

Moteurs cz

explosions

avec

comhresszon: tyye,

rnoteur Otto.- Le

mélange

est

aspiré

par une pompe auxiliaire sous la

pression

constante de

l’atmosphère, puis

il est

comprimé

suivant une adia-

batique,

soit dans un réservoir

intermédiaire,

soit dans le

cylindre

de travail. L’inflammation

ayant lieu,

le gaz s’échauffe sous volume

constant et la

pression

atteint son

maximum;

les gaz de la com- bustion se détendent suivant une

adiabatique,

et,

après

détente

complète,

sont refroidis et

expulsés

sous

pression

constante

(fig. 2).

c. Moteurs à combustion avec

compression: type,

lnoteur Si-

m2on. - Le

cycle

ne diffère du

précédent

que par le mode d’échauf- fement du gaz,

qui

se

produit

non

plus

à volume constant, mais à

pression

constante

(fig. 3).

d.

Moteurs atmosphériques: t)/pe,

moteur Otto et

Langen. -

Dans ces

appareils,

le travail moteur est effectué par

l’atmosphère.

Le

mélange

tonnant, introduit dans le

cylindre

sous la

pression

de

(18)

516

l’atmosphère,

fait

explosion,

eu le

piston, qui

est

libre,

est vive-

ment retôulé : en vertu de sa vitesse

acquise,

il détend les pro- , 1.

duits de la combustion

jusc.lu’à

une

pression

moindre que Ja

pression initiale ;

leur force

élastique

diminue encore par refroi-

dissement,

à volume constant au contact d’un

réfrigérant; puis,

Fig. 2.

la

pression atmosphérique agissant

sur la face

supérieure

du

pis-

ton Je ramène en

arrière,

en

développant

un travail utilisable et

en

comprimant

les

gaz jusqu’à

la

pression

extérieure sous

laquelle

ils sont

expulsés.

Libre dans la

première période

du

cycle,

le

(19)

517

piston

est rendu solidaire de Farbre de couche moteur dans sa

marche

rétrograde

par l’intermédiaire d’un mécanisme

particulier.

Le

cycle

de ces mo teurs est

représente

par

la jl’g’. 4.

Avant

d’appliquer

aux moteurs à gaz tonnant les

principes

de

Fig. 3.

la

Thermodynamique,

il est nécessaire de se convaincre que l’on

peut appliquer

aux

cycles

réalisés dans ces machines la

qualifica-

tion de

cycles fermés;

en

réalité,

on admet dans le

cylindre

un

mélange d’hydrogéne, d’oxyde

de

carbone,

de carbures divers et

d’air ;

on renvoie dans

l’atmosphère

de l’acide

carbonique

et de

Fig. 1.

la vapeur d’eau presque entièrement

condensée,

et, par consé-

quent,

l’état final de la masse gazeuse n’est pas

identique

à son

état initial. Mais il suffit de remarquer que la nature des gaz in- troduits dans le

cylindre

est indifférente : il reviendrait au même d’introduire le

mélange nnal,

s’il était

possible d’y

faire passer, d’une source de chaleur

extérieure,

la

quantité

de chaleur

dévelop-

(20)

518

pée

par la combustion. Les moteurs à gaz tonnant ne diffèrent donc des nioueurs à gaz ordinaires que par la manière dont s’in- troduit la

chaleur,

et les calculs de la

Thermodynamique

ne ces-

sent pas de leur être

applicables.

Les divers

cycles neprésentés

par

lesftg.

i , 2,

3? 4

sont formés

d’adiabatiques

et de

lignes parallèles

aux axes des volumes et des

pressions :

il est, par

suite,

facile de calculer le coefficient écono-

mique théorique caractéristique

de chacun

d’eux,

en admettant

que, dans toutes les

transformations,

le

mélange

gazeux se com-

porte

comme un gaz

parfait.

Il

n’y

a, en

effet,

aucun motif de re-

pousser cette

hypothèse,

dans les limites où la vapeur d’eau pro-

venant de la combustion

échappe

à la condensation.

Désignons

par

t la

température

initiale du

mélange

gazeux,

T la

température

maximum

d’explosion

ou de

combustion,

q la

température

des gaz à la fin de la

compression adiabatique,

t’ la

température

à la fin de la détente

adiabatique,

e pour les machines

atmosphériques,

la

température

à

laquelle

on

abaisse

les gaz avant que

1 atmosphère

commence la compres- sion

adiabatique.

Toutes ces

températures

sont

comptées

à par- tir du zéro absolu.

03B3 est

le

rapport C c

des chaleurs

spécifiques

à

pression

constante et à volume constant des

produits

de la combustion.

Des calculs bien connus

donnent,

pour les coefficients écono-

miques

p des

quatre

groupes de

machines,

les valeurs

à l’aide

desquelles

on pourra discuter les mérites

théoriques

des

divers moteurs. Pour passer à

l’application,

il est nécessaire de connaître les

températures

et les

pressions développées

dans la

combustion des

mélanges

tonnants, ainsi que les valeurs des cha-

(21)

519 leurs

spécifiques

des

produits

de la

conibustiun,

d’où l’on déduira la valeur de y. Considérant

uniquement

des moteurs alimentes par

un

mélange

d’un gaz

d’éclairage

connu et

d’air,

M. Witz

suppute

sur les recherches antérieures de divers

expérimentateurs,

et, en

particulier,

sur celles de MM. Maliard et Le

ChâLelier, poul’

mener

à bien ces

calculs,

d’un intérêt

pratique,

dans le détail

desquels

nous ne le suivrons pas.

Nous nous bornerons à

reproduire

le Tableau suivant

qui

en

résume les résultats :

TT est la

pression

de

compression,

P la

pression explosive nlaximum,

p le coefficient

économique,

p’

le rendement

générique,

c"’est-à-dire le

rapport qui

existe entre

le coefficient

économique théorique p

et le coefficient écono-

mique

du

cycle

de

,Carnot,

entre les mêmes limites de

tempéra-

ture.

II. Nous passerons aussi très

rapidement

sur la

partie expéri.-

mentale du Mémoire. Les

cycles pratiques

dii’èrent évidemment

beaucoup

des

cycles réels,

car on a admis :

il

Que

la détonation est instantanée et que réchauffement des

produits

de la combustion

s’opère

à volume constant;

Que

la détente est

complète, qu’elle

s’effectue suivant une

adiabatique,

sans

perte

ni

gain

de

chaleur ;

30

Qu’il

ne s’exerce pas de

contrepression

sur le

piston

dans

la

période

de retour vers sa

position primitive ;

4° Que

la combustion est

complète:

Que

les lois des gaz

parfaits

sont

applicables

aux

produits

de

la combustion dans toute l’étendue du

cycle qu’ils parcourent,

ce

qui

ne

peut

ètre

complètement

exact à cause de la vapeur d’eau.

Il est intéressant de savoir dans

quelle

mesure la forme des

cycles

est altérée par la réalisation

imparfaite

de ces nombreuse-,

(22)

520

conditions,

eu, a ce

titre,

nous

reproduisons

dans la

partie

infé-

ricure

des

i , 2,

3, 4,

en

regard

des

cycles tliéoriclues,

les dia-

grammes relevés directement sur Je

cylindre

des divers mo-

teurs

( 1).

BERTHELOT et OGIER. 2013 Sur la chaleur spécifique du gaz hypoazotique,

p. 382-400.

1-,’étuide de la chaleur

spécifique

du gaz

hypoazotique

et de ses

variations avec la

température emprunte

un

grand

intérêt à la

singularité

que ce gaz

présente

sous le

rapport

de sa densité de vapeur. On sait

qu’il

n’atteint sa densité

théorique

que vers

150°,

et que celle-ci est sensiblement la moitié de celle

qu’il possède

à 27°.

Les auteurs ont mesuré la chaleur totale cédée par le gaz

hypo- azotique

à un calorimètre chauffé

préalablement

vers 28° à 30°.

Le gaz lui-même était

porté

à des

températures graduellement croissantes,

par intervalles successifs de

4oo

à 50°

environ, depuis 30" j usdu’ à

300°. Les

appareils

étaient en

principe les, mêmes

que

ceux de

Regnault,

c’est-à-dire

du’ils

étaient constitués par deux

serpentins :

l’un

placé

dans une étuve où le gaz atteint une

tempé-

rature

déterminée,

l’autre dans un calorimètre oû le gaz abandonne la chaleur

acquise;

mais ces

serpewtins

étaient en verre très

mince,

rodés à l’émeri et assemblés par le frottement. Les détails de

l’ap- pareil

étaient combinés en vue d’assurer l’identité de

température

du gaz et de l’étuve et son refroidissement

complet

dans le ser-

pentin

du

calorimètre,

et aussi pour éviter toute condensation de

gouttes liquides

dans ce dernier

serpentin.

Voici les résultats obtenus :

(1) Nous l’enverrons le lecteur au original lit description de l’ap-

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