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Étude de la réaction D(d, n)3He à 27,5 MeV par une méthode de temps de vol

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00206760

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206760

Submitted on 1 Jan 1969

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

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Étude de la réaction D(d, n)3He à 27,5 MeV par une méthode de temps de vol

M. Chemarin, L. Feuvrais, M. Gouanère, Marie-Claude Lemaire, J.-L. Vidal

To cite this version:

M. Chemarin, L. Feuvrais, M. Gouanère, Marie-Claude Lemaire, J.-L. Vidal. Étude de la réaction D(d, n)3He à 27,5 MeV par une méthode de temps de vol. Journal de Physique, 1969, 30 (1), pp.29-34.

�10.1051/jphys:0196900300102900�. �jpa-00206760�

(2)

ÉTUDE

DE LA

RÉACTION D(d, n)3He

A

27,5

MeV

PAR UNE

MÉTHODE

DE TEMPS DE VOL

Par M.

CHEMARIN,

L.

FEUVRAIS,

M.

GOUANÈRE,

MARIE-CLAUDE LEMAIRE et

J.-L. VIDAL,

Institut de Physique Nucléaire, Université de Lyon (France).

(Reçu

le 5 août

1968.)

Résumé. - La réaction

D (d, n)3He

a été étudiée à 28 MeV au

synchrocyclotron

de l’Institut

de

Physique

Nucléaire de Lyon par une méthode de temps de vol utilisant la

pulsation

naturelle

du faisceau. La résolution en

énergie (3 MeV)

est suffisante pour

permettre

la

séparation

des

neutrons

monoénergétiques

du fond continu.

La distribution

angulaire

obtenue a été

comparée

à la théorie de

stripping

de Owen et

Madansky

et a conduit à un rayon d’interaction de 4,5 fermi. La section efficace différentielle à 0°,

après

calcul de l’efficacité du détecteur, a été estimée à 77 ± 20 mb.

Abstract. 2014 The

D (d, n)3He

reaction has been studied at 28 MeV with the

synchrocyclotron

of the Institute of Nuclear

Physics

at Lyon

by

a time of

flight

method

using

the natural

pulsation

of the beam.

The energy resolution

(3 MeV)

is

enough

to allow the

séparation

between

monoenergetic

and

break-up

neutrons. The

angular

distribution is

compared

with the

stripping theory

of

Owen and

Madansky

and

gives

an interaction radius of 4.5 fermi. The differential cross-section at

laboratory angle,

after detection

efficiency

calculations, is estimed at 77 ± 20 mb.

Introduction. - La r6action

D (d, n)3He

est fr6-

quemment

utilis6e pour

produire

des neutrons mono-

cin6tiques.

Aux

energies

de deutons

sup6rieures

à

10

MeV,

elle a une section efficace environ 5 fois

plus importante

que la reaction

T(d, n)4He.

Pour une

energie

de deutons de

27,5 MeV,

les neutrons mono-

cin6tiques

6mis a 00 ont une

energie

de

28,8

MeV et

sont

s6par6s

des neutrons de

break-up

par une

energie

de

7,4

MeV. Dans le but d’utiliser ces neutrons pour etudier la reaction n + d --* n +

d,

nous avons 6tu- di6 la section efficace differentielle de la reaction

D(d, n)3He

par une m6thode de temps de vol.

La

figure

1 montre

1’energie

des neutrons obtenus

à

partir

de la reaction

D(d, n)3He

en fonction de

1’angle

d’observation dans le laboratoire pour une

energie

de deutons de

27,5

MeV. Sont

egalement indiqu6s

le

temps

de vol pour une distance de 5 m et

1’energie

maximale des neutrons de

désintégration.

Pour etudier cette

reaction,

on peut detecter soit le neutron, soit la

particule charg6e

3He. La detection

de celle-ci necessite une m6thode d’identification et

ne permet pas de couvrir les

angles

avant et arriere de

la distribution

angulaire

a cause de la

presence

du

faisceau de

particules

incidentes. La detection des

neutrons permet

d’explorer

ce

domaine,

mais 1’effica-

cite 6tant faible la

precision

est moins bonne.

Peu

d’expériences

ont ete r6alis6es au-dessus de 5 MeV.

Brolley et

al.

[1]

ont donne des distributions

angulaires

en 3He pour des deutons de 6 a 14 MeV.

FIG. 1. -

Energie

des neutrons D-D a 27,5 MeV et

temps

de vol

correspondant,

pour une distance de 5 m.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:0196900300102900

(3)

30

Daenick et Fowler

[2],

a

8,4 MeV,

et

Goldberg,

Leblanc

[3],

pour des

energies

de 5 a 12

MeV,

ont

realise 1’etude en neutrons. En

1963,

Van Oers et

Brockman

[4],

par une m6thode d’identification des 3He et des

protons,

ont 6tudi6 les reactions

D(d, n)3He

et

D(d, p)T

a

25,3

MeV.

I.

Dispositif expérimental

de

temps

de vol. - Une

vue

sch6matique

de

1’exp6rience

est donnee

figure

2.

Les neutrons 6mis sont d6tect6s par un scintillateur

FIG. 2. -

Disposition g6n6rale

de

1’exp6rience.

liquide

au bout d’une base de temps de vol

pouvant

atteindre 6 m. Le d6tecteur

pivote

autour du centre

de la cible de - 240 à + 50° de

part

et d’autre de la direction incidente.

Le

dispositif

d’obtention de

temps

zero est decrit ailleurs

[11].

Le

paquet

616mentaire de deutons d6livr6 par le

synchrocyclotron

est

represente

sur la

figure

3.

La

largeur

a mi-hauteur est de

2,8

ns et l’on constate

la

presence

a la base du

pic

d’un fond d’une

largeur

de 40 ns

representant

environ 32

%

des

particules

extraites.

Pour

rep6rer

l’instant d’6mission du neutron

qui

est

aussi l’instant d’arrivée du

deuton,

le

paquet

616men-

taire de

particules

incidentes est

completement

absorbé

dans une

plaque

de

plomb apres

travers6e de la cible.

L’impulsion 6lectrique produite

est utilis6e pour définir le

temps

« zero »

(le

courant total reçu par cette feuille sert

egalement

de

monitorage,

voir

plus loin).

FIG. 3. - Image du

pic

616mentaire de deutons.

La cible gazeuse a une

largeur

utile de 10 cm, la

pression

d’utilisation est de 3

atmospheres.

La perte

d’6nergie

des deutons dans les fenetres est de 250 keV

et

l’énergie

moyenne des deutons au centre de la cible

est de

27,5

MeV.

Le

monitorage

est assure de deux

façons

distinctes

employees

simultanément :

- Avant d’atteindre la cible gazeuse, les deutons incidents traversent une mince cible d’or. Un scintil- lateur

plastique

associe a un

photomultiplicateur reçoit

les deutons diffuses a 10°.

- La

plaque

de

plomb

isol6e du reste absorbe les

paquets

de deutons incidents. Elle est reli6e direc-

tement par cable coaxial a un

int6grateur

de courant

constitue par un convertisseur

tension-fréquence

fonc-

tionnant avec une

impedance

d’entr6e a 20 MQ. Les

essais ont montre que les deux moniteurs etaient en accord a moins de 1

%.

L’ensemble

6lectronique

de

1’exp6rience

est

repre-

sent6 sur le schema de la

figure

4.

L’impulsion

due

a I’arriv6e du

paquet

de deutons sur le

plomb

est le

signal

« start » de notre

dispositif

11 est

envoy6

à

l’entrée du convertisseur

temps-amplitude.

Sur la

deuxieme

voie,

le neutron detecte

apres

son temps de vol donne une

impulsion

transmise a la deuxieme entrée du convertisseur : c’est le

signal

« stop ».

Pour éviter la saturation a l’ entrée du convertisseur

(les paquets

de deutons arrivent au

rythme

de la

haute

frequence

11 MHz sur la voie

faisceau),

celui-ci

ne

reçoit d’impulsion

« start »

qu’en presence

d’une

(4)

FIG. 4. - Schema du

dispositif 6lectronique.

impulsion

«

stop »

d6clenchant l’ouverture d’une

porte de 65 ns.

Sur la voie neutron, la detection se fait a l’aide de scintillateurs

liquides organiques.

Nous avons utilise

FIG. 5.

Exemple

de

spectres experimentaux

obtenus a 0°.

un scintillateur NE 211 de diametre 3" et

d’6pais-

seur 4" et un scintillateur NE 218 3" X 2".

L’impul-

sion est transmise par cable coaxial a un discriminateur

qui

determine le seuil en

energie

des neutrons d6tect6s

(de

10 a 15 MeV dans

1’experience).

II. Rdsultats

expérimentaux.

- La

figure

5 donne

un

spectre

obtenu a 00. L’interaction des deutons avec

le deuterium se traduit par un

pic

de neutrons centre

autour de

28,8

MeV et par un fond continu du aux neutrons issus des reactions

parasites D(d, d)np

et

D(d, np)np, d’énergie comprise

entre 0 et 22 MeV.

On peut remarquer

qu’il n’y

a pas

separation complete

entre les neutrons

monocin6tiques

et le fond

continu des neutrons de

désintégration.

Cela est du

d’une part a la forme du

paquet

616mentaire de deu-

tons incidents

( fig. 3),

d’autre

part

a l’incertitude sur

1’energie

du neutron. Par

exemple,

a

00,

pour une distance de temps de vol de

5,45

m :

a)

La

largeur

naturelle en

energie

du faisceau asso-

ciee a la

dispersion

introduite par les fenetres et la cible conduit a une resolution

partielle :

b )

La

largeur

du paquet 616mentaire de deutons donne :

DE"jE

=

7,5 %;

c)

Les fluctuations du

temps

de vol dues a

1’epais-

seur de la cible et du d6tecteur donnent :

soit au total une resolution de

(5)

32

FiG. 6.

Distribution

angulaire experimentale D(d, n)3He.

La

figure

6 montre la distribution

angulaire

obtenue

pour les neutrons de la reaction

D(d, n)3He.

III. Efficacitd de detection et calcul de la section efficace en valeur absolue. - L’efficacite de detection de notre d6tecteur a etc 6tudi6e par un calcul

analy- tique.

Pour des

energies

de seuil

sup6rieures

all

MeV,

utilis6es dans nos

experiences,

la contribution a 1’effi- cacité des diverses reactions des neutrons sur le carbone

est

n6gligeable.

Seules ont ete

prises

en consideration les interactions avec

I’hydrog6ne.

Le calcul tient

compte

des corrections d’effet de

bord,

de

l’anisotropie

dans la diffusion

neutron-proton

et de la double diffusion. Le d6tecteur est

cylindrique

de rayon r et de hauteur h. Sans ces

corrections,

l’efficacité

peut

s’6crire

[9] :

avec : ng : le nombre d’atomes

d’hydrogene par cm3,

n, : le nombre d’atomes de carbone par

cm3,

6H(Eo) :

la section efficace totale n-p a 1’6ner-

gie Eo

(lab.) du neutron,

aNE : la section efficace totale non

elastique

sur le carbone a

1’6nergie Eo,

B :

1’energie

de seuil.

1. CORRECTIONS. - La perte relative d’efficacité due aux effets de bords a ete calcul6e

d’apres

Staub

et Rossi

[5]

pour une

géométrie cylindrique.

La cor-

rection est faible et de l’ordre de 5

%.

Au-dessus de 10

MeV,

la section efficace diff6ren- tielle dans le centre de masse n’est

plus isotrope,

mais

peut

etre mise sous la forme :

ou T est

l’angle

de diffusion du neutron dans le centre

de masse,

dcT (7r/2)

la section efficace differentielle dQ

( I )

a T =

-rcl2.

Le facteur

d’anisotropie

C a ete deduit

des resultats r6unis par Hess

[10].

Les effets d’aniso-

tropie,

calcul6s

d’apres [8],

interviennent sous la forme d’une correction de

quelques % :

2

%

par

exemple

pour un

rapport BIEO -- 0,4.

Apres

une double diffusion du neutron

incident, 1’energie

additionn6e des deux protons de recul peut

d6passer

le seuil

B,

bien que

chaque

proton ait une

energie

inferieure a ce seuil. La double diffusion aug-

mente donc 1’efficacite du compteur.

Rybakov

et

Sidorov

[8]

ont donne un calcul

approche

de ce

phenomene.

Dans notre cas, ces effets sont de 1’ordre

de 5 %.

2. RESULTATS DES CALCULS. - Nous avons calcul6 1’efficacite en fonction du seuil a deux

energies

d6ter-

min6es

(28,8

MeV et

24,6 MeV)

et 1’efficacite pour differents seuils en

energie.

Les

figures

7 et 8 donnent

les resultats obtenus dans le cas des scintillateurs 4" NE 211 et 2" NE 218.

On remarque sur la

figure

7

(cas

du scintillateur 4" NE

211)

que pour un seuil de 14 MeV l’efficacité

est

identique

aux deux

energies

consid6r6es. De meme

sur la

figure

8

(cas

du scintillateur 2" NE

218),

pour

un seuil de

12,8 MeV,

1’efficacit6 est

ind6pendante

de

1’energie

entre 22 et 30 MeV. 11 existe donc dans

chaque

cas un seuil pour

lequel

il

n’y

a

plus

de correc-

tion d’efficacite pour une variation

angulaire

im-

portante.

3. SECTION EFFICACE ABSOLUE. - Le calcul de 1’effi- cacité du d6tecteur

permet

d’obtenir la section efficace absolue a

partir

des mesures

expérimentales

du taux

de comptage, de l’intensit6 du courant des deutons

incidents,

du nombre de noyaux cibles et de

1’angle

solide.

(6)

FIG. 7. - Variation de l’efficacité en fonction du seuil pour un scintillateur NE 211 4".

Les resultats

obtenus,

a

partir

d’une dizaine de

mesures

ind6pendantes

pour la section efficace diffé- rentielle a 0° dans le

laboratoire,

nous ont donne une

valeur moyenne de 77 mb. La variance

exp6rimentale

relative est de 27

%.

Nous avons

egalement

estim6

FIG. 8. - Variation de l’efficacité en fonction du seuil pour un scintillateur NF, 218 2".

la section efficace differentielle a 0° en normalisant

notre distribution

angulaire

avec celle obtenue par Van Oers et al.

[4]

a

25,3

MeV.

La

correspondance angulaire

est alors

critique

et

l’incertitude relative est de l’ordre de 30

%.

La valeur

ainsi obtenue est de 70 mb en accord avec le calcul

precedent.

Une

compilation

des divers resultats obtenus pour la section efficace differentielle a 0° se trouve sur la

figure

9.

IV.

Interprdtation théorique.

- La theorie de

stripping d’6change

de Owen et

Madansky [7]

a 6t6

FIG. 9. - Section efficace diff6rentielle a Qo de la reaction

D(d, n)3He :

D : Preston, Shaw et Young,

A : Smith et Perry,

o : Wilson,

ú :

Goldberg

et Le Blanc,

o : Cochran, Smith et Henkel,

-Ft-I: : Daenick et Fowler,

8 : Notre resultat

experimental.

(7)

34

appliqu6e

par Van Oers

[4]

a la reaction

D(d, n)3He

pour des deutons de

25,3

MeV et a conduit a un

rayon d’interaction de

4,5

F.

Nos resultats

experimentaux completent

ceux de

Van Oers en etendant la distribution

angulaire jus- qu’a

0°. La meme theorie nous a conduits a un rayon d’interaction de

4,22 :::f::: 0,02

F. La

precision

de

0,02

donnee reflete la sensibilite de

l’ajustage

a

l’avant,

aux

changements

du rayon de coupure

Ro.

Sur la

figure 10,

on a

represente

les

points experimentaux

dans le sys- t6me du centre de masse et les courbes

th6oriques

W G. 10. - Meilleur accord de la theorie de

stripping d’6change

avec la distribution

angulaire experimentale

obtenue. La normalisation a ete faite a 24 o sur la courbe

experimentale.

obtenues pour divers rayons d’interaction. La valeur obtenue pour celui-ci est en accord avec la d6crois-

sance observ6e a

1’6gard

de

1’energie (fig. 11). ho

est de

l’ordre du rayon conventionnel du

deuton,

c’est-à-

dire

4,3

F.

FIG. 11. - Variation du

parametre

Ro avec

1’energie.

Remerciements. - Nous remercions M. le Profes-

seur A.

Sarazin,

directeur de l’Institut de

Physique

Nucl6aire de

Lyon,

pour son soutien constant. Nous

sommes reconnaissants a M. le Professeur

J. Depraz

pour l’int6r6t

qu’il

nous a

porte.

La realisation de 1’ex-

p6rience

n’a 6t6

possible qu’avec

l’aide de M. G. Ha-

dinger

et de son

6quipe

pour la bonne marche du

synchrocyclotron.

Nous leur

exprimons

ici toute notre

gratitude.

BIBLIOGRAPHIE

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CHEMARIN, FEUVRAIS, GOUANÈRE, PIGNERET et VIDAL, Nucl. Instr. Meth.

(à paraître).

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