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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Au singulier et au pluriel « Technologie » en lettres minuscules et majuscules

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Academic year: 2021

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Joël LEBEAUME

Université d'Orléans • I.U.F.M. Orléans-Tours

L.I.R.E.S.T.-G.D.S.T.C., E.N.S. Cachan

AU SINGULIER ET AU PLURIEL

«TECHNOLOGIE»

EN LETTRES MINUSCULES ET MAJUSCULES

1. UNE AFFICHE POUR UN AFFICHAGE

La (ou les) technologie(s) s'affiche(ent) celte année, elle(s) se montre (en!), se présente (ent), se discute (ent), se dévoile (ent)... Que masque un tel affichage? Quelle est la signification scientifique et politique de cette manifestation? S'agit-il d'un acte de naissance pour un nouveau monde? D'une sorte de revue nécrologique en cette fin de siècle?Ou plutôt de l'annonce d'une reconnaissance de son (leur) empirel ou de son (leur) destin2qui impose une réflexion commune sur ses (leurs) enjeux pour la communication, l'éducation et la culture scientifiques et industrielles ? L'affiche de ces journées, si elle interroge d'abord sur le sens des mots, fournit aussi les premiers éléments de réponse.

1.1 Des images

Produit des techniques graphiques, c'est une image contrastée entre avenir et passé. Ainsi s'opposent l'écran et le tableau, ces supports de l'enseignement, de la connaissance transcrite et de l'information communiquée. L'écran vierge comme en attente de signes semble se substituer au tableau griffonné. La leçon en cours d'effacement paraît attendre un nouveau relais et la science disparaître derrière la technologie. Le temps fixé en heures et en minutes évoque aussi l'opposition entre la permanence et la fugacité des savoirs tout autant que la spontanéité des informations et leur mémorisation. Le contraste des couleurs,

à

l'image de l'inversion vidéo, évoque l'opposition du blanc et du noir, du propre et du sale, du dean et du cambouis, du vulgaire et du distingué, du soft et du hard, du ludique et du dur, du plaisir et de la peur... Cette opposition est aussi celle des images du travail dans les manufactureset

les entreprises, de la hiérarchie des cols bleus et des cols blancs, des figures de Germinal et de Gaston Lagaffe, des espoirs des Temps Modernes et d'Alien ...

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1.2

Des mots

En rouge sur fond blanc, «technologie» s'inscrit conune une marque, cette signature que les fillettes apprenaient

à

broder sur le linge de maison dans un temps désonnais révolu. Cene

anention

particulière pleine d'intention de séduction semble vouloir estomper les distinctions culturelles liées aux activités techniques et faire oublier les exclusivités des travaux féminins limités à quelques ind ustries de pointe (!), pour leur exclusion ou leur valorisation. En effet,ily a quelques siècles, les Anglais ont inscrit dans leurs codes que "l'amende

à

payer pour le meurtre d'une fenune sachant filer et tisser les étoffes, serait d'un tiers plus élevée que pour celui d'une femme ignorante"3. Le choix du logiciel de bureautique invite aussi les femmes

à

se reconnaître dans les rôles majeurs qui leur furent attribués bien que l'introduction de ces techniques modernes dans le milieu du travail ait métamorphosé la répartition des tâches, bousculé les qualifications, introduit de nouvelles compétences, installé de nouveaux modèles de production et d'organisation du travail. ..

Obtenus d'un jet d'encre ou d'une impression laser, les caractères parfaitement alignés et centrés rappellent

à

tous les élèves les exercices initiatiques de traçage de ces abécédaires techniques d'abord au crayon de bois, puis

à

la plume et

à

l'encre, mais rarement aidés d'un normographe. Les apprentissages de la norme du tracé et du corps, des règles d'action et de pensée, de l'ordre des choses et des valeurs, sont ainsi définitivement obsolètes, rangés au musée de l'enseignement bien que parfois encore présents dans quelques cahiers d'écolier qui luttent timidement contre le silicium enregistré ou gravé. Signes de la transformation des contenus scolaires, des compétences des élèves, des savoirs socialisés, ces souvenirs posent clairement la question de l'acculturation technique, de l'instrumentation des hommes4et de la prise en charge par les institutions des changements et des mutations, des continuités et des ruptures, des Anciens et des Modernes.

1.3

Des signes

L'affiche montre aussi quelques signes algébriques, formules mathématiques et codes numériques. Leur distinction révèle l'existence de nouveaux langages iconiques ou codés permettant la

manipulation de fichiers GIF ou RTF, la capture de sites HTML ou de pages WEB, le pilotage de sorties SCSI ou PCMIA de type II, l'augmentation de la configuration SGRAM et des chipsets, la

maximisation du buffer de 2 Mo, le boostage du microprocesseuràplus de 400 MHz... Ces micro-langages pour giga-machines qui participent aux conflits de générations des ordinateurs et de leurs clones comme

à

ceux des parents et de leurs enfants, des enseignants et de leurs élèves, ou des médiateurs et de leurs publics, contribuent aux distinctions culturelles et sociales, plus réelles que virtuelles. Ils interpellent les didacticiens et les médiaticiens sur les conditions de diffusion el de partage des nouveaux savoirs intégrés à ces réseaux et ces toiles d'araignées qui se présentent parfois comme des pièges tout autant que les écrans font écran. Il y a sans doute l'urgence, certes paradoxale, d'une assistance souvent téléphonique pour l'usage de tous ces dispositifs PAO, CAO, PréAO, ExAO... censés assister par ordinateur. Convivialité et interactivité sont deux mots qui nous interpellent directement sur les savoirs ou plutôt sur la dispense du savoir technique générant passions

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mais aussi phobies, rumeurs, frayeurs car les T.I.C. et les puces sont à protéger des virus et ne sont pas à l'abri de ce bugg général promis et attendu!

Parmi les signes de l'affiche, sont aussi présents les logotypes commerciaux de la figure emblématique de cette dernière décennie. Symbole de la mondialisation, de la puissance et du pouvoir, cette signature révèle les enjeux économiques que représentent les nouvel1es technologies diffusées grâce aux techniques de marketing dans une concurrence construite à la fois sur l'obsolescence programmée des versions incompatibles ou des standards distincts, et sur la crédulité impuissante des usagers-consommateurs. Les technologies de l'information et de lacommunication tout autant que les bio-technologies révèlent le difficile équilibre entre les usages et les mésusages des moyens disponibles. Les scandales ou les procès dont l'actualité rend compte mettent en évidence le principe de responsabilité qui accompagne les techniques toujours fondamentalement indissociables des questions économiques. Ces signes sont ainsi signes du temps.

2. DES MOTS MASQUÉS

Au centre de l'affiche, il y a bien sûr ces deux mots dont les différentes écritures sautent aux yeux pour interpel1er, pour interroger, pour faire l'article... bien que les mots n'en aient pas, ni définis ni indéfinis,etsans montrer tous ceux, matériels ou immatériels, qu'ils évoquent. Plus nettement, la majuscule s'oppose à la minuscule et le singulier au pluriel. Nom propre sur fond blanc et nom commun sur fond noir, majeur et mineur confondant peut-être la distinction de G. Simondon5,grande technologie et petites technologies à la façon d'Yves Deforge, technologie culturel1e ou technologies pratiques, technologie discipline d'enseignement au col1ège et technologies dans les curricula, éducation technologique ou technologie éducative. Voilà des questions de sens, d'essence et d'existence cachées par cette sorte de masque de saisie, qui masque le mot «technique» pour ne pas le saisir.

2.1 Technologie, technique, technologies, techniques

«Technologie, technologies» "ne doit pas nous cacher les techniques" comme le mentionne J.-P. Séris dans la première phrase de son ouvrage6• Si technologie ne recouvre que le mot anglosaxon «technology», c'est bien l'aveu que chacun des deux mots «technique» et «technologie» n'a aucun sens bien précis comme l'a signalé F. Sigaut7•En revanche accorder une attention au "logos" c'est penser technologie en termes de connaissance des techniques interrogeant alors la nature de cette science, qui ne peut être qu'une science humaine. Technologie en tant que science humaine, s'oppose à technologie au sens de technique scientifique qui ne la conçoit que comme application des sciences dans un rapport de dépendance archaiquement ancré dans une culture qui revendique l'adjectif «technique» seulement depuis une petite quarantaine d'années.

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2.2 Travail

Technologie, aveclaconnotation d'un superlatif de technique, tend aussi àgommer le travail, cette forme socialisée des techniques, qui s'apprend, se communique, se diffuse dans un logos bien particulier et dont le dire pour faire ne se satisfait pas d'un savoir dire pour savoir faire. Heureusement d'ailleurs qu'on n'ait pas attendu de savoir le

dire

pour le faire, car la technique n'aurait pas survécu, faute d'hommes ayant résisté aux forces de la nature. Les techniques sont l'avenir de l'homme, elles lui permettent quotidiennement de survivre, bien que tout le monde sache qu'on ne vit pas pour travailler mais qu'on travaille pour vivre. Comment apprendre aujourd'hui le travail de plus en plus difficileàpanager, comment imaginer aussi ces lieux de travail pour accoucher les nouveaux esprits, comment former

à

l'an du métier, aux arts et métiers, aux sciences et techniques industrielles ou de gestion, à l'ingénierie et aux génies.

2.3 Invention, création, poésie, rêve

Œuvre picturale, l'affiche est un produit, une forme figurative fondée sur des techniques d'expression qui ne montrent pas l'expression technique. Elle est esthétique, c'est une œuvre d'an et un produit techniqueS. De ce point de vue elle rappelle toutes les relations entre les ans et la technique qui se sont manifestés de Marcel Duchamp, Picabia, Xénakis, Tati... aux sculptures de Peter Keynes et aux rythmes teckno des groupes 0 MEGA ou 6669.À la recherche de la technique, J.-C. Beaune déclare "la technologie introuvable1o" et Carelman nous la fait voir dans ses "catalogues d'objets introuvables"ll. Pensons aussi aux poèmes mécaniques, aux rêveries techniciennes, aux inventions géniales et délirantesl2 comme celle de cet anglais qui souhaitait arroser le Sahara avec des canalisations provenant de l'Océan Arctique !Inconcevables, irréalistes, inimaginables comme les premiers voyages de la Terre

à

la Lune, les idées les plus folles deviennent parfois des réalités évidentes dans un contexte nouveau... tout comme le rêve sans doute fou de l'acculturation technique de tous l3 .

2.4 Objets, artefacts, instruments

L'affiche, par ses choix graphiques, n'évoque pas non plus les traces de la technique. Elle ne porte que les symboles d'une rationalité restreinte, d'une pensée dématérialisée, de quelques signes et langages. Le mot technologie réduit-il la technique à cette rationalité épurée et

à

cette seule nouvelle matière d'œuvre,

à

l'intelligence anificielle qui se substituerait

à

la ruse première, aux gestes initiaux et aux contraintes fondamentales. L'intelligence de la techniquel4 ne peut se confondre avec les technologies de l'intelligenceI5 . L'information demeure l'action de donner une forme, donc de former, de transformer et les technologies de l'information ne peuvent se réduire

à

des techniques de désinformation, faisant oublier les actions finalisées, les enginsl6etles matériaux, les organisations socialesl7, la technicité lS, l'efficacité, les objets, les "choses", le milieu technique... dans ses rapports aux hommes.

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2.5 L'homme

«Technologie, technologies» sans visage, sans clavier ni souris, met à distance l'homme pounant présent des deux côtés du tableau et sur les deux faces de l'écran : l'homme qui raisonne sans fabriquer et l'homme qui fabrique avec raison. L'absence de l'homme peut être interprétée comme une forme de déterminisme de la technique laissant croire à son autonomie et à son indépendance dans une sorte de "bluff technologique"19 nourrissant ainsi les discours de tous les détracteurs delatechnique. Mais l'absence de l'homme, même numérique20, peut être aussi interprétée comme une forme de pudeur pour ses créations nocives, ses détournements des moyens et des fins, ses inventions inutiles, ses machines de guerre, ses exploitations de la force de travail et son asservissement délibéré21 • Déshumanisée, dépersonnalisée, décontextualisée, la technique invite seulementàsa contemplation,à

son spectacle, à ses progrès prodigieux, limitant le sens et la portée de toute culture technique. 2.6 La discipline scolaire

Cette culture technique et l'éducation technologique à laquelle elle renvoie, n'est pas non plus présente dans cette image qui fondamentalement, ne montre pas la Technologie comme discipline d'enseignement, comme discipline identifiée, comme discipline d'enseignement général, comme discipline obligatoire pour tous les jeunes. Inexistence comme avant les années 60, inexistence comme ignorance, inexistence comme silence sur une récente naissance ou inexistence comme refus d'existence. Cette absence invite alors à la penser comme dégénérescence de l'enseignement des sciences ou des sciences appliquées confondant alors technologie expérimentale et technologie de la

production ou informatique et technologie de l'information. Or depuis plus de trente ans la technologie, souvent décriée, toujours méprisée, s'est structurée, organisée et stabilisée pour offrir aux élèves des rencontres significatives avec le monde de la technique, des expériences productives, des activités collectives qui fixent le rapport au monde de la technique, sans gommer ni la pensée ni l'action, sans omettre la nature humaine des techniques, sans effacer les dimensions cognitives, matérielles et sociales de ce monde. L'absence de la technologie comme discipline c'est maintenir l'absence d'une partie du monde àl'école et limiter le projet social de l'éducation. En France, les projets techniques sont projets de réalisation et réalisations sur projet, mais aussi projets comme projection de l'enfant dans le monde de la technique en tant que futur adulte à la fois acteur de la conception, de la production et de l'usage du milieu technique. Projet technique et réalisation de soi, projet personnel et construction d'itinéraires scolaires, projet àvenir pour l'avenir des élèves se mêlent ainsi dans les fondements de la technologie avec ses missions éducatives d'acculturation, de socialisation et d'orientation. Seules, ces missions permettent alors de penser fondamentalement les contenus de l'éducation technologique, leur organisation en discipline scolaire et leurs conditions de mise en œuvre.

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3. PROBLÈMES, QUESTIONS, ENJEUX

Celle image d'appel appelle nos images, notre imagination dépendante

de

l'imaginaire collectif sur la

nature de la technique, sur les rapports de la technique àlanature, ce qui fait justement culture, mais ce qui pose problème pour l'enseignement et pour la médiation.

Le

premier enjeu de ces journées n'est-il pas de se mettre au clair sur ces mots récents, à la mode, polysémiques mais susceptibles de faire oublier leur sens premier, originel et fondateur? TI sera alors peut-être plus aisé de penser leurs relations avec les autres domaines d'action et de pensée de l'homme.

Cette technologie ou ses formes plurielles évoquent aussi lanouveauté, parfois dans cette sone de "Bazar des nouveautés22"que le qualificatif "nouvelle" tente régulièrement d'actualiser.

Le

deuxième enjeu de ces journées n'est-il pas de clarifier celle nouveauté perpétuelle, fondamentalement associée à la technique? Quelles sont les missions respectives des institutions d'enseignement et de diffusion pour provoquer, accompagner, mettre en question le changement tout en clarifiant la posture des publics, les défis de leur information et de leur formation? Comment paniciper à l'évolution d'une civilisation, comment faire paniciper à la poursuite de l'aventure humaine, comment inscrire l'avenir dans son passé, comment penser les actions présentes dansla révolution du futur? C'est-à-dire identifier les contradictions que l'innovation met au jour, pour les penser, les problématiser et le cas échéant chercher des solutions.

Ces enjeux premiers mettent en évidence le troisième qui s'exprime en termes de responsabilité des institutions et de leurs acteurs dans ce domaine paniculier de l'information, de la communication et de la culture. Quelles sont les responsabilités des décideurs, des enseignants, des médiateurs dans l'enseignement et la diffusion, pour le monde de la technique dans ses dimensions matérielles, cognitives et sociales?

En ce sens, le dernier enjeu est sans doute le plus fondamental, celui de la défmition de l'éducation technologique, qui ne peut se penser sans une réelle construction intellectuelle afin de ne pas l'inclure dans d'autres actions éducatives permettant alors de l'oublier, en bonne conscience.

Que les séances plénières et les différentes communications permettent de circonscrire ce ou ces problèmes, au singulier et au pluriel, avec une majuscule ou une minuscule.

NOTES

l.SCHEPS R. (dir.),L'empire des techniques, Paris: Seuil, 1994. 2. SALOMONJ.-J., Ledestin technologique, Paris: Gallimard, 1992.

3. COCHERIS P. W., Histoires sérieuses sur une pointe d'aiguille ou les outils de nos mères, Paris: Delagrave, 1886, p.3.

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4. RABARDEL P., Les hommes et les technologies, Paris: Annand Colin, 1995.

5. SIMONOON G., Du mode d'existence des objets techniques, Paris: Aubier-Montaigne, 1958. 6. SÉRIS J.-P., La technique, Paris: Presses Universitaires de France, 1994.

7. SIGAUT F., Les points de vue constitutifs d'une science des techniques - Essai de tableau comparatif, in

J.

Perrin. (coord.) Construire une science des techniques, Limonest : L'Interdisciplinaire, 1991.

8. DEFORGE Y., L'œuvre et le produit, Seyssel: Champ Vallon, 1980. 9. SONY, Virus Teckno, compilation par É. Durieux, 1998.

10. BEAUNE

J.-c.,

Latechnologie introuvable, Paris; Vrin, 1980. Voir aussi SCHWARTZ Y., La technique, in D. Kambouchner (dir) Notions de philosophie, Paris: Gallimard, 1995, vol. II, 223-281, coll. Folio essais.

11. CARELMAN, Catalogue d'objets introuvables, Paris: Balland, 1969,2 tomes.

12. LEBEAUME J., Inventions géniales et délirantes, Paris: Nathan, 1998, col. Mégascope. 13. ROQUEPLO P., Penser la technique, Paris: Seuil, 1983.

14. VÉRIN H., La gloire des ingénieurs - L'intelligence technique au XVIe au XVIIIe siècle, Paris: Albin Michel, 1993.

15. LÉVY P., Les technologies de l'intelligence - L'avenir de lapensée d l'ère informatique, Paris, Seuil, 1990.

16. PARROCHIA D., La conception technologique, Paris; Hennès, 1998. 17. PERRIN J., Comment naissent les techniques. Paris: Publisud, 1988.

18. COMBARNOUS M., Les techniques et la technicité, Paris; Éditions Sociales, 1984. 19. ELLUL J., Le bluff technologique, Paris: Hachette, 1988.

20. NÉGROPONTE N., L'homme numérique, Paris: Robert Laffont, 1995. 21. CASTORIADIS C., Les carrefours du labyrinthe, Paris: Seuil, 1978. 22. POURQUERY D., Le bazar des nouveautés, Paris: Hachette, 1990.

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