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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Le corps : quelle approche dans le système éducatif algérien ?

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LE CORPS : QUELLE APPROCHE DANS LE SYSTÈME

ÉDUCATIF ALGÉRIEN ?

Chekib-Arslane BAKI

Faculté des Sciences Biologiques, USTHB, Alger

MOTS-CLÉS : CORPS – SYSTÈME ÉDUCATIF – ALGÉRIE

RÉSUMÉ : Lecorps, en nous reliant à notre environnement, devient, en principe, le miroir où se reflète notre propre culture, avec ses tabous et ses valeurs,ses interdits et ses modèles. Il constitue donc « une imageimpressionnée » par les « spots » culturels de référence à partir desquels se construit notre propre représentation du corps.À travers notre regard de biologiste, nous tenterons de montrer comment, de l’école fondamentale à l’université, certains modèles corporels sont consacrés et légitimés par l’institution éducative algérienne.

ABSTRACT : The body, while joining us to our environment, becomes, in theory, the mirror where our own culture is reflected, with its taboos and its values, its proscriptions and its models. It constitutes therefore « a picture exposed » by the cultural « spots » of reference from which our own perception of the body is shaped. Through our biologist's eye, we will try to show how, from the fundamental school to the university, some models gain acceptance and are legitimised by the Algerian educational institution.

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1. INTRODUCTION

La société algérienne a connu en moins de deux décennies des bouleversements socio-économiques, politiques et culturels dont l’importance sur son devenir, alors insoupçonnée, se révèle aujourd’hui, notamment à travers les transformations qui ont affecté les modèles de référence à partir desquels se sont construits les rapports au corps. Ces bouleversements ont été si rapides et si brutaux qu’il est dès lors extrêmement difficile et hasardeux de tenter une typologie sérieuse de l’ensemble des modèles corporels présents aujourd’hui dans cette société. Loin de toute prétention anthroposociologique mais, à travers notre regard de biologiste, nous tentons de repérer les modèles corporels présents puis de montrer comment certains de ces modèles ont été peu à peu consacrés et légitimés dans l’institution éducative algérienne.

2. LE CORPS DANS LA SOCIÉTÉ 2.1 La division de l'espace social

Dans la société algérienne actuelle, l'espace se divise en deux : un espace féminin et un espace masculin, dans lesquels, comme dans toute société patriarcale traditionnelle, le groupe domine l'individu. Sous peine d’être marginalisé, chacun doit donc agir selon les règles communes qui mettent en place un certain nombre de normes comportementales concernant aussi bien les femmes que les hommes.

2.1.1 L'espace masculin

Le statut de l'homme et celui de son corps ne sauraient être mieux exprimés que par un dicton populaire dont la traduction littérale serait « l’homme est sans défauts ». Il lui suffit d’être un homme mais un homme viril, un homme véritable. La « roujla » (« l’hommité »), ou souci d’apparaître dans la société comme un « homme véritable », lui impose d’avoir du « nif » c'est-à-dire de l'honneur, ce qui suppose la capacité de faire face, souvent violemment, à toute action susceptible de porter atteinte à sa famille ou à son statut d'homme. Cette nécessité de paraître « viril » le conduit à rejeter, dès son jeune âge, tout ce qui est conventionnellement attribué à la femme comme : exprimer en public des sentiments d’amour ou de souffrance ou simplement participer aux tâches ménagères. Le seul fait de « trop » prendre soin de son corps peut lui coûter l’exclusion de l’espace masculin. Pire, si son allure est jugée trop efféminée, il risque de passer pour un homosexuel et, l’homosexualité étant très violemment condamnée, il encourra l'exclusion aussi bien de « l’espace des hommes » que de celui des femmes. On dit ici que « la beauté de l'homme est dans sa roujla ».

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2.1.2 L’espace féminin

À quelques exceptions près, la femme est un être qui ne s'appartient pratiquement pas. Elle ne saurait être autre chose que ce que « l’œil social » lui commande d’être : une mère, une épouse, une fille, une sœur. Son corps appartient aux enfants, au mari, à la famille, à tout le monde en somme, sauf à elle-même. Il reste encore de nos jours tabou dans son entier. Si la beauté de l'homme est dans sa roujla, celle de la femme est dans sa pudeur. Cette pudeur interdit jusqu’à présent que le prénom de l’épouse soit prononcé en public, y compris dans les milieux intellectuels. Quant à son corps, toute femme « sérieuse » doit le rendre indécelable par le port de vêtements assez amples. Le physique se trouve en quelque sorte « effacé » par la force de la pudeur. Seuls les chants traditionnels et andalous osent le décrire, tel ce très audacieux poème d’amour écrit par Ben Guitoun au XIXe siècle, à la mémoire de Hiziya la bédouine, morte selon la légende en 1895 et qui reste à nos jours parmi les plus chantés et les plus appréciés en Algérie : « [...] Ta poitrine telle du

marbre porte deux pommes jumelles parmi les plus parfaites que mes mains aient palpées ». Malgré

toute leur hardiesse, ces chants d’amour sont généralement tolérés par la société, probablement parce que le modèle corporel qu’ils décrivent reste toujours abstrait, irréel. Ils sont le chant du rêve, de l'imaginaire, jamais chant de la réalité, contrairement au genre Raï qui a connu une véritable explosion dans les années 80 (exporté entre autres par Khaled et Mami) et qui déplace les modèles corporels du domaine de l'abstrait pour le concret ; cela explique peut-être pourquoi ce genre nouveau est adopté par une large frange de la société, essentiellement jeune, probablement pour signifier son rejet des modèles traditionnels.

2.2 La division de l'espace géographique

À ce partage « sexuel » de l'espace entre les hommes et les femmes se superpose la distinction entre l'espace « traditionnel » de la campagne et l'espace « moderne » des grandes villes. Encore que dans les grandes villes de la côte, l’afflux des populations fuyant le terrorisme des années 1990 ou le chômage et les importants bouleversements socio-économiques qui en ont résulté semblent imposer des rapports nouveaux entre les différentes composantes de la société. Ces rapports se traduisent par la « coexistence presque pacifique » de modèles corporels empruntés aussi bien au modèle occidental qu’au modèle traditionnel.

2.2.1 Dans l'espace traditionnel

À la campagne, la vie corporelle est assez largement exprimée au dehors, aussi bien pour l’homme dont le corps s’active dans le rude travail de la terre que pour la femme, dont les tâches domestiques ne sont pas moins rudes. La maison, souvent peu confortable, rassemble une large communauté familiale où se côtoient au moins trois générations. « L’exiguïté est dans les cœurs » affirme un

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cause de l’éloignement des écoles et des effets pervers du terrorisme passé. Les conditions de vie sont certes difficiles compte tenu de la faiblesse des revenus mais l’individu s’intègre réellement dans son espace, la maisonnée, la « dechra » ou hameau, bref le noyau social. « Le travail du corps

délivre des peines de l’esprit et c’est ce qui rend les pauvres heureux » disait La Rochefoucaud.

2.2.2 Dans les grandes villes

L'espace est totalement différent. Le corps restreint son horizon et son activité. Si l'appartement, lorsqu’on en trouve, est certes relativement plus propre et plus confortable, il reste dans tous les cas trop exigu pour y faire vivre la famille traditionnelle. La tendance est donc à l'exclusion sociale des plus âgés, contrairement à la socialité patriarcale traditionnelle où le plus vieux, le patriarche, bénéficie d'un ordre prioritaire dans les convenances sociales. Jusqu’aux années soixante dix, il était impensable que la personne âgée vive ailleurs que chez l’un de ses enfants. Les hospices étaient occupés exclusivement par des vieillards démunis ou des malades chroniques. Ils ont aujourd’hui changé de nom pour devenir des « foyers d’accueil pour personnes âgées » dans lesquels vivent côte à côte, parents de cadres et vieillards démunis.

De plus en plus, l’individualisme s’installe et le rapport au corps s'infléchit en copiant le modèle occidental, même si, bien entendu, le regard des autres, cet « œil social », reste toujours très présent. Le « hammam », bain public traditionnel, était non seulement le lieu de rencontre des femmes, comme des hommes, dans toute leur corporéité, mais aussi le lieu privilégié où se glanaient les dernières nouvelles de la cité, là où souvent les mariages s’arrangeaient, où des conflits pouvaient naître ou se régler. Ce lieu si utile a perdu sa fonction sociale car de moins en moins fréquenté. Chacun construit son propre hammam, chez lui. Le « moi-je » devient de plus en plus apparent mais toujours « collé à une normalité dominante », calquée sur les modèles symboliques de la mondialisation (être jeune, dynamique et séduisant, indépendant, familialement décloisonné, etc.). Les panneaux publicitaires géants, apparus ici depuis moins de dix ans, contribuent à cette opération d’identification aux modèles symboliques en vantant des produits de consommation divers allant des pâtes alimentaires à la serviette périodique, exactement comme cela se fait dans n’importe quelle grande ville du monde occidental à la différence près que le corps de la femme n'est jamais déshabillé, du moins pas encore ! Par ailleurs, l'usage des cosmétiques est une pratique de plus en plus habituelle et les instituts de beauté, les centres de « body building » et « fitness » qui ont fait leur apparition à la fin des années 80 à Alger se multiplient de plus en plus, même s’ils n’ont pas encore atteint les villes de l’intérieur où les seuls endroits de gestion du « paraître » restent encore les salons de coiffure.

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3. L'INSTITUTION SCOLAIRE ALGÉRIENNE

L'institution scolaire représente le creuset à partir duquel l'État met en œuvre son projet de société. La mission idéologique de l'école sera par conséquent de maintenir ou de créer un consensus social qui, en théorie, est celui censé représenter effectivement toute la nation algérienne. Le but étant (1) de gagner les diverses catégories sociales au projet de société dominant, et (2) d'apparaître comme le défenseur de la société contre ce qui est appelé « l’invasion culturelle ».

3.1 Le corps dans l’enseignement primaire et moyen

Le premier constat qui peut être précisément fait à ce stade de l’analyse est l’absence quasi-complète de l’éducation physique et sportive en tant que matière d’enseignement.

Il n’en a pourtant pas toujours été ainsi, bien au contraire. Jusqu’au début des années 80, la politique sportive était fortement inspirée de celle des pays du bloc socialiste, en particulier la RDA dont les performances suscitaient une grande admiration. Les Algériens se souviennent qu'en ces années-là, les festivités commémorant la fête de l'indépendance et de la jeunesse (le 5 juillet) étaient dominées par les algériades, mouvements d’ensemble exécutés dans le plus grand stade de la capitale en présence du président de la république en personne et que la chaîne de télévision nationale se chargeait de transmettre dans l'ensemble des foyers. Ces mouvements d’ensemble couronnaient toute une année d’entraînements et d’efforts pour des milliers de jeunes garçons et filles âgés de 10 à 18 ans issus d’établissements scolaires de toutes les régions du pays.

À la fin des années 80 l’émergence de la mouvance islamiste et la victoire de ce courant politique aux élections communales de 1990 signa l’arrêt de mort pour ces « démonstrations corporelles publiques » et, par la terreur, parvint à l’interdiction de facto du sport à l’école pour les filles et sa marginalisation pour les garçons - car le seul fait de porter un short au-dessus des genoux était devenu dangereux.

Malgré les grandes avancées constatées dans les domaines culturel et social depuis quelques années, rien n’a malheureusement changé concernant le sport à l’école. Un article récent (« Le sport à l'école : Serait-ce une matière à la traîne ? » paru le 3 août 2004 dans la presse) pose la question de la place du sport dans l’institution scolaire et constate avec dépit la marginalisation de cette discipline, voire sa condamnation par certains chefs d’établissement malgré l’existence très officielle d’un code de l’EPS. D’ailleurs, le ministère de l’éducation nationale qui avait annoncé en janvier 2004 l’introduction de l’EPS au Baccalauréat comme matière pleine et entière, est revenu sur sa décision quelques jours seulement avant le début des épreuves.

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une place de choix dans l’émergence d’une « culture corporelle », et en constituent même la part la plus représentative. C'est à travers les activités sportives, en effet, que se transmet cette faculté de jouissance du corps qui nous amène à nous surpasser et à relever des défis impossibles. En Algérie, le besoin d’expression corporelle des enfants à travers les activités sportives à l’école est bridé, contrarié ; même si ces activités ne sont pas le seul moyen possible de transmission de la faculté de jouissance du corps ; peut-être cela explique-t-il la violence physique qui s’observe chez eux (filles ou garçons) à la sortie des écoles, de toutes les écoles.

Le second constat concerne la place du corps en classe, dans l’enseignement proprement dit. En théorie, au moins trois matières ont pour mission d’appréhender cet « objet » qui nous intéresse (le corps) : l’instruction civique, l’éducation religieuse et l’étude du milieu.

Il est intéressant de noter que, dans le programme d’instruction civique comme dans celui de l’éducation religieuse, tout est fait pour « dissoudre » le corps concret dans le corps communautaire. Le corps est présenté comme un élément constitutif d’un autre « corps », la famille ou la « oumma » (la nation), au lieu d’être présenté comme un fait social total et réfléchi comme un objet culturel complexe. Il est pratiquement amputé de son rapport constitutif aux modalités concrètes de la vie. Dès lors, l'enfant qui était considéré comme le « nombril du monde » avant son admission à l’école, découvre soudain qu'il n'est plus qu’un « objet social ». L’épreuve est sûrement très douloureuse, surtout pour le garçon que la société algérienne valorise dès sa naissance, et dont elle renforce la

« supériorité » sur la fille, sa sœur.

Tout au long de l'enseignement primaire et moyen, l'élève apprendra à découvrir les relations qui le lient aux éléments constitutifs de son environnement, mais ne saura rien de son propre corps (ou presque rien si nous prenons en compte la leçon sur les dents et l’hygiène corporelle en général). Dans l’avant-propos du livre d'étude du milieu (sciences naturelles) de la 5e année de l’enseignement primaire, il est écrit : « l’objectif est de faire en sorte que l’élève s’ouvre sur le

monde dans lequel il vit, afin de créer un lien permanent et fort entre ses activités scolaires et ce qui se passe dans son milieu, et afin qu’il connaisse son environnement physique, biologique et technologique et que comprenant ainsi les caractères de la nature, il en apprenne à l’aimer et à œuvrer à sa protection »

3.2 Le corps dans l’enseignement de la biologie au lycée et à l’université

Dans l’avant-propos du livre de biologie de la classe de 2e année secondaire (1e des lycées), il est écrit : « le but est de développer chez l’élève la précision dans l’observation et de l’habituer à la

véritable recherche scientifique, ce qui permettra de développer son esprit sur l’analyse et la pensée logique ». Il n’en reste pas moins que tout au long du programme, le corps est appréhendé

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comme support à l’étude de l’homme. Il est d’ailleurs intéressant de noter que le chapitre de la reproduction sexuée est illustré par l’accouplement d’escargots ou de poissons tandis qu’il est donné de la puberté une explication pour le moins alambiquée : « La période de la puberté chez

l’homme est considérée comme une étape particulière dans la vie de l’individu. En ce moment a lieu la maturation des organes génitaux qui deviennent fonctionnels. La différentiation sexuelle est complète et des caractères sexuels secondaires apparaissent tandis que parallèlement à la maturation des organes génitaux apparaît une attirance physique mutuelle naturelle. La différentiation sexuelle est accompagnée de perturbations diverses, cutanées comme l’apparition d’acné sur le visage, des perturbations du sommeil et une grande agitation chez le jeune homme ce qui le met en conflit avec l’adulte. L’âge moyen de la puberté est de 13 ans chez la jeune fille et de 15 ans chez le jeune homme ». Pas un mot sur les « perturbations diverses » chez la jeune fille, ni

sur ses premières règles. Les menstruations de la femme sont très rapidement évoquées à propos de l’ovulation et du cycle utérin de l’ovule. En somme, seules les fonctions du mâle géniteur et de la femelle procréatrice importent. Le corps en tant que tel, celui de la femme en particulier, semble-t-il, reste tabou.

La même démarche est adoptée à l’université où, à quelques exceptions près, les effectifs pléthoriques et l’indigence des moyens pédagogiques « justifient » en quelque sorte que soient éludées les questions embarrassantes et que les stéréotypes sociaux restent saufs. Le corps est « disséqué » en plusieurs unités d’enseignement pour mieux être détaché de l’homme. Dans le module de parasitologie, par exemple, les parasites de l’homme et des animaux sont étudiés « sous tous les angles », (morphologique, biologique, écologique…) mais, être parasité pour un homme se résume à « avoir une parasitose », à héberger un parasite à l’intérieur de son organisme. On enseigne que l’homme peut être un « réservoir » de parasites, un « hôte spécifique » ou une « impasse parasitaire », bref, un agrégat d’organes et de fonctions, sûrement pas un être humain affecté .

Dans l’enseignement de l’immunologie, l’étude du schéma général de « la réaction immunitaire » et de la production d’anticorps est une énumération de réactions biochimiques, une succession de transformations cellulaires, en somme tout sauf une analyse des réactions intimes d’un corps agressé. Le corps humain est appréhendé comme une combinaison de systèmes et d’appareils destinés à réaliser des fonctions biologiques vitales, un « objet vivant », jamais corps subjectivé, ni

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4. CONCLUSION

Il nous apparaît clairement que, parmi les modèles corporels présents dans la société algérienne, seuls sont consacrés et légitimés par l’institution éducative, ceux qui répondent à un consensus social censé représenter effectivement la nation tout entière et permettant que les stéréotypes sociaux soient saufs.

BIBLIOGRAPHIE

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Références

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