autres poissons.
Chez
touslesanimaux
également,le sucre hépatique diminue, puis disparaît àmesure que
letissudu
foie s'altère.Or,sous cerapport, le tissudu
foiede
raie est excessivement allérable, et le tissu des foies qu'on trouveàParis, sur lesmarchés
, est tellement modifié, qu'ilestimpossible delecaractériseranatomiquement.
Il s'yestdéveloppé
une
grandequantitéd'ammoniaque,
et les cellules hépa-tiquesy
sontcomplètement
détruites, tandis qu'ellesrestentparfaite-ment
reconnaissables chez les autres poissons demer où
le tissu hépaticjue est encoresucré. J'ajouteraique
je suisd'autant plusfondé àdonner
cette explicationque,
surune
petite raie bouclée [juia clavata. Lin.)que
j'avaisreçue trèsfraîche, et dont le foie n'avait pasétéexposéàl'air,le poissonn'ayant pasété ouvert,j'aitrouvé dansletissuhépatique,quiétait
moins
friableque
chezles raiesprécédem-ment
examinées,du
sucre (glucose)d'unemanière
trèsévidente,quoi-que
enpetite c[uantiîé.Si
nous
récapitulons actuellement toutesnos expériences, qui jus-qu'icise rapportent exclusivement àl'homme
et aux divers ordres d'animauxvertébrés,nous acquéronsladémonstrationqu'àl'état phy-siologiquelamatière sucréesetrouve d'unemanière
constante dansle foiedetous cesanimaux
,quelsque
soientdu
reste leur alimentation;kl
leur âge, leur sexe,etc.Ainsi,!efoiesucréserencontreaussibiencliez lescarnivoresque chezlesherbivores etlesomnivores;aussibienchez les oiseaux, les
mammifères
et lesreptiles,qui viventdans l'airou
surla terre,que
chez \e?,poissons qui habitent les eaux doucesou
salées.
Chez
tous ces animaux,la sécrétionbiliairecoule puredans l'intes-tin, tandisque
la matière sucrée estemportée
directement par le courant sanguindes veines hépatiques. Cette séparation, quis'effectue delasortedanslefoieàl'égarddel'expulsiondu
sucre etdelabile,et quiestfondéesurl'identitédedisposition del'appareil circulatoire hé-patique chezlesvertébrés, peutêtreregardéecomme
caractéristique chez les de cetembranchement
d'animaux, car nous verrons plus tardque
invertébrésilenestautrement.Mais avantd'entrerdansl'étudedecesdiverses variationsou dégra-dations,
comme on
ledit, decettefonction productrice desucre chez lesanimaux,
il importe d'abord dela bienfixer dansses principauxphénomènes. Nous
devronsdonc
tout d'abord dans notredeuxième
chapitrenousattacheràdémontrer
Yorigine decettematière sucrée,que
nous avonstrouvéejusqu'icidanslefoienormalement,
etdansdes proportionsassezpeu
variablesqu'il nesera passans intérêt de réca-pituler dansletableau suivant,pour
saisir leur ensemble d'un seulcoup
d'œil.48
Tableaui-écapiliilatifdes expériencesdupremierchapitre.
—
Présencedu sucredanslefoi^de l'homme et des animaux vertébrés.
ANIMAUX
Petitchatde 8jours.
Chatadulte.
49
Suitedutableau.
AiMUAUX ASANGFROID.
50
corps,etêtrevenusedéposersecondairement dansletissuhépatique,
.quiseraitsonlieudeséjour sans êtresonlieude formation?
2°he
sucrehépatiqneaucontraireseproduit-il surplacedanssonlieu derésidence,parsuitedecertainesmétamorphoses que
subiraientles élémentsdu
sangen traversantle foie,auquellenom
d'organe produc-teurde matière sucrée conviendraitdèslorsparfaitement?Cette dernière proposition
exprime
la réalité; mais avant d'exposer les expériencesquiladémontrent,
ilfaut préalablementdiscuter lesdeux
premièressuppositions,etexaminer
ensuitesicetteorigine inté~Heure
de matière sucrée suffit à l'organisme,indépendamment de
l'origineextérieurede sucre
pouvant
provenir del'alimentation.<^I.Lesucreqis*on rencontredanslefoiene provientpasnécessairementdu
«Sclaors; ilpeastse forEiierdans Forganisnte,car on lerencontre dansle tissuhépatique întlépendanunentde ralîmentatîon sucréeouféculente.
La
réponse àlaproposition qui sertde
titre à ceparagraphe
est déjà implicitement contenue dans le tableau récapitulatifde
la findu
premierchapitre.Nous
avonstrouvé, eneffet, le foie sucréaussi bien chezlesanimaux
carnivoresque
chez lesherbivores etchezles omnivores; mais,pour une
question aussi importante,il nesuffitpas d'unesolution approximative,il fautencoredonner une
démonstra-tion directe etcomplète. C'est dans cebut
qu'ontété instituées les expériences quisuivent:1°
Un
chien detaillemoyenne
et adulte fut nourripendant
trois mois exclusivement avec delachair cuite.Le
chienétait tenuattaché, eton
luidonnaitchaque
jour àmanger une
deces têtesdemouton
cuites àl'eau, tellesque
lesvendent lestripiersdeParis.Après
troismois
de cette alimentation exclusive, l'animal n'avaitaucunement
dépérij et possédait tous lessignes dune
santé parfaite. II fut alors sacrifiéparlasectiondu
bulbe rachidien(i)pendant
la période diges-tive.Son
foie,qui pesait22.3grammes,
futbroyé
entotalitédansun
(1)Lasectiondubulbelacbidienest leprocédé que jepréfèrepoursacrifier les animaux,parcequ'il estbeaucoupplus expéditifetplusexpérimentalquela stran-gulationoul'assonimement.
A
l'aided'unesortedeperforateuraplatiquej'emploie, cettesectiondubulberacbidienest faiteenunclin d'œil.Voici commentj'opère.De
lamainfjauche,jesaisissolidementlenezducliienou del'animalquelconque,51
mortier, aprèsquoi
on
lefitcuiredans4oo grammes
d'eau. Sa décoc-tion opaline etjaunâtre réduisaittrès bienle réactifcupro-potassique.32 centimètres cubes
du
liquide furentemployés
pourledosage,quidonna
l'^^godesucrepour loogrammes
detissudu
foie, et4^',43 pour
la totalitédel'organe.
Le
restedelà
décoction hépatique, mis en con-tactaveclalevure debière,donna
lieu à une fermentationalcoolique très active.Par une
premièredistillation, je séparaidu
liquidetotal, quis'élevaitàun
demi-litreenviron, àpeu
prèsun
tiers,que
jesoumis ensuite àune secondedistillationavecdelachaux
vive.J'obtins ainsi environ i centimètretube
d'un liquide alcoolique incoloreque
je fisbrûlerpour
constaterlescaractèresdel'alcool.Ilest inutiled'ajouter qu'à l'autopsie le canalintestinal de ce chien fut fendu avecbeau-coup
desoins, et qu'on ne rencontraaucune
trace de matière sucrée danssoncontenuexaminé
d'unboutàl'autre.2»
Une
chienne deforte taille etadulte futnourrie pendanthuitmois
exclusivement avecde latripe, c'est-à-direavecdesestomacs debœuf
etde mouton, que
les tripiers vendent après les avoir lavés à l'eauchaude.Aprèshuitmois decette nourriture,dontou
lui donnait àpeu
près à discrétion,cettechienne se portaittrès bien,etprenait toujourssesrepasavec avidité. Elle futsacrifiéependantladigestionparla
sectiondu
bulbe rachidien,etsonfoie,qui pesait652 grammes,
futbouilliavecun peu
d'eaupour
enextrairelesucre.La
décoction hépatique,mise en contact avec delalevure debière,fermenta bien-tôt.Le
lendemainleliquidefutdistillé,et j'euséparaile premiertiers qui passa,pour
le distillerdenouveau
avec delachauxvive.Jerecueil-et je fléchis lemuseauenbas,de manièreàle lapprocliei-ducou,afindefaire saillii-labosse occipitaleexternepar cette flexiondela tête,età rendre,aussi grand quepossible,l'écartement occipito-atloïdien. Alors avecl'indicateurdela main droitearmée duperforateur,je sens labosseoccipitaleexterne,età1ou2 centimè-tres enarrière, jeplongel'instrument acéréviolemmentetobliquement en avant suivantuneligue dirigéeverslenezdel'animal. Je pénètreainsid'emblée dansle crâne, en traversantlespartiesmolles delanuque,eten passant entrel'occipital et l'atlas. Jefaisaveclapointe del'instrumentun mouvementà droite et àgauche pourdilacérerleIjulberachidienetl'animalestmort.
Si l'on abesoin d'avoirlescentresnerveuxintacts, c'estsans douteun procéda impraticable. Alorsj'airecours àlaligaturedelatrachéeouàuneinsulilUiondau' parlaveine jugulaire quiest assezrapidementmortelle, surtoutsil'oninsuBleune grandequantitéd'air.
52
lislespremièresportions quipassèrentàcetteseconde distillation, et j'obtins environ 3 centimètres cubes d'alcool parfaitement incolore
,
dont
jefisbrûlerune
partie,etdontje conserve encorel'autre,pour
lamontrer
dansmes
courscomme
échantillon d'alcool provenantdu
foied'unchien nourripendant
huitmois exclusivement avec dela viande.3°
Un
jeune chien dela i-acedesgrosdogues, appartenantàun
bou-cher,futconstamment
nourriavecde
laviande.Pendant
trois ans, à ceque médit
son maître, l'animal nemangea
jamaisde
pain; ilne
recevaitpour
toutenourritureque
desdébrisde viande crue.Au
bout decetemps,lechienfutempoisonné
par lastrychnine.Son
foie futbroyé comme
à l'ordinaire, et sa décoction, qui réduisaitles selsde cuivre dissousdans lapotasse, futmise en contact aveclalevure de bière.La
fermentations'établit bientôt sous l'influenced'une tempé-ratureconvenable, et pardeux
distillations successives,dont la der-nière futfaitesurlachaux,comme
danslescasprécédents,j'obtinsde
l'alcool
que
jepus reconnaîtreà tous sescaractères. L'animal étaiten digestion;son estomac contenait de la viandenon
encore digérée;mais dans
aucune
partiede
l'intestinon ne
rencontrade
la matière sucrée.Ces
trois expériences, dont lesdeux
premières ont étéscrupuleu-sement
conduites et surveilléespar moi
,montrent que
le sucre se rencontretoujoursdanslefoie,même
danslescas d'une alimentation exclusivementcomposée
de viande, danslaquelle l'analysechimique ne
décèleaucune
tracede
matièresucrée.Chez
lesoiseaux,leschosesse passent, sous cerapport,comme
chez lesmammifères;
car,parmi
lesexpériencesrapportées danslepremier
chapitre de cemémoire
(page[\6),ils'agitdedeux
crécerelles etde deux
chouettes,qui,prisesdansleur nid, avaientété nourriesparmoi
avecdu cœur
debœuf,
c'est-à-dire avecune
substance entièrementdépourvue
desucre.Au bout
d'unmois
etdemi
decette alimentation, cesanimaux
furent sacrifiés, et le tissudu
foie contenait i^'jOÔpour 100 desucrechezles crécerelles,et i^^jôcpourloo chezleschouettes.D'après toutes ces expériences, et d'après
beaucoup
d'autres sem-blables, suiviespendant moins longtemps que
les précédentes, mais variéeset répétéesde
touteslesmanières, ilme
paraît impossiblede
ne
pas admettreque
laprésencedu
sucredans
lefoieestun
phèno-53
mène
entièrementindépendant de la nature sucréeou
féculente de l'alimentation.Ilseraitinsignifiant, devantces expériences,de serejeter sni-
une
alimentationsucréeou
féculenteantérieurepour
expliquerlaprésencedu
sucredans lefoie.Lorsque
deschiens ontéténourrispendanttroisou
huitmois exclusivement avec delaviande,ou même quand
durant toute leur vie des oiseaux n'ont pas eud'autre nourriture,onaurait beau supposerque
lesucres'étaitlocalisédanslefoiecomme
l'arsenic, lemercure
oul'antimoine,ilauraitdû,au moins,disparaîtredanssaplus grandepartie. Or, chez lepremier chien, nourripendant
troismois avecdelaviande,nous avons trouvéque
sonfoiecontenaiti°',90pour
100 de sucre, c'est-à-direune
quantité égale etmême
plus forteque
celle qu'on trouve quelquefoisavec
une
alimentation mixte chez lesmêmes
animaux.Du
reste, toutes ces sortes d'ohjections, qui seraient basées surune
prétendue localisation et conservation de la matière sucrée alimentairedansle foie,tomberont
d'elles-mêmesquand,plus tard,nous verrons avecquelle rapiditésurprenantelesucrese détruit dansl'organisme.Jeciterai
une
dernière expérience quidémontre
plus clairement encoreque
lesuci'c,quidiminue
et finiraitmême
pardisparaître par l'abstinence(i),sereproduitdanslefoiesans l'interventiondes matières alimentaires sucréesou
féculentes.4°
Neuf
surmulotsfurentprisvivantsdansleségoutsdeParis.Trois furent tuésaussitôt etleurfoievolumineux
etjaunâtreétait trèssucré.L'estomac de ces
animaux
contenait des matières assez difficiles à reconnaître, mais quiprobablement
résultaient d'une alimentation mixte. Les six autres surmulots furent conservés dansdes cages sé-paréesetcomplètement
privésdenourriturependant
4 jours.Au
bout decetemps, onen
sacrifia troispar strangulation, et letissunoir et ratatiné deleurfoiene renfermaitque
des traces de matière sucrée, impossibles à doser. Alors je donnai aux trois derniers surmulots restantdela viandede boeuf cruecoupée
enmorceaux,
qu'ils man-gèrenttousavec voracité. Six heures environaprès ce repas, lestrois surmulots furent étranglés, et leur foie, plusvolumineux que
chez ceux tués en abstinence,offraitencorecetteparticularitéimportante,(1)Voyezplusloin,page64,lesexpériences surl'abstineuce.
5/1
cjiic la matière sucrée r était très
abondante (1,73 pour
100).Cette expérience,qui a été répétée plasienrsfois de la
même
ma-nière,avecdesrésultatsanalogues,
prouve
bien nettementque
le sucre troové dansle foiedes troisdernierssurmulots ensi forteproportion sy
étaitformé
sous l'influencedu
dernierrepas,composé cependant
d'aliments(viande) dans lesquels l'analysechimique
n'avaitpu
déceleraucune
tracede matièresucrée.11
me
sembleinutile d'insisterpluslon(>tempssur ces faits, qui par-lentsuffisamment par lanature deleurs résultats, etje pense c{ue la proposition qui sert de titre à ceparagraphe
se trouvepleinement vérifiée, c'est-à-dire qu'il reste parfaitement établi etdémontré que
lesucre qu'on rencontre danslefoie
peut
nepas
provenirdu
dehors, et être exclusivement produit dans Vorganisme.§99.Ï.Csuerchcpatàyincproduitdansl'organîsimc aniniuln'esîlpas acciunolc nidéposedans le foîe,après avoirprisnaissance dans «ne antrepartie
du
corps;ilest formé priniitivementdansleffoie, qui doit«îés lors être considérécoiuone l'orgaBieproifioAcleK&rousécréteurdeianfiatièresucrée*Les
expériences rapportéesprécédemment
ontprouvé que
le sucre qui existe dans le foie desanimaux
nourrisexclusivement avecde
la chair, estformé
dans l'organisme. Il faut actuellement sa-voir sice serait la viande qui, par les modificationsque
lui fout éprouver les fluides digestifs, pourraitfournirdansle canalinlestinal la matière sucréequi irait ensuite selocaliser danslefoie. Cette idée pourrait d'autant plus seprésenter àl'espritdecertaines personnes,que
Schoerer(1)a signalé dans les chairsmusculairesl'existenced'un sucre particulier auquel iladonné
lenom
A'inosite. Il fautnéan-moins
observerque
ce sucre musculairedeSchoerer, ou l'inosite,n'a decommun
avec le vraisucreque
saformulechimique
C*"H*^O*^, maisqu'iln'eupossèdeaucun
des caractères: ilne fermente pas avec lalevuredebière;sadissolution nebrunit paspar lapotasse,ne
ré-duit pas lesliquides cnpro-potassiques, et ilcristallise autrement, L'inosite ne méritedonc
pas lenom
de sucre. C'est en effetune
substancequiestproduite,comme on
ledit, parune métamorphose
(1)Scliœrer, f'crhandl. der physik.mcd. Gesclhchnftinff'iirzl/urg, 1850.
55
régressive, et qui, sous cerapport, offre
une
certaine analogie avec l'urée, lacréatineet la cré;itinine.L'expérience directe
prouve
d'ailleurs qu'iln'y aproduction d'au-cune matièresucrée dansla digestion stomacale ou intestinale de la viande. Snrdes chiensen digestion detripesou
dechairmusculaire, cuite ou crue, provenantde bœuf, mouton
ou veau,j'airecherché avecleplusgrand soindu
sucre danslecontenu deleurestomac etde
leursintestins grêle et gros, et dansaucune
partiedu
canal in-testinal jen'enai jamais rencontrélamoindre
trace.Surdesanimaux
soumisàlamême
alimentation, j'aiencore recherchélaprésencedu
sucre danstouslesorganes qui, situésentrel'intestin et le foie, déver-sent leur sang dansla veine porte. IjCs ganglionslymphatiques, demême
quelechyleetlesangqui sortentdel'intestin,ne
m'ont jamais offertlescaractèresdu
sucre.La
rate etlesang delaveine splénique sontdans lemême
cas.D'aprèscelaonpeut
donc démontrer
expérimentalement quelesang qui arrive dans le foie parlaveine porte, et quiamène
avec lui tousles produits solubles absorbésdansle tube digestif, ne contient jamaisdesucre, dansle cas d'une alimentationcomposée exclusive-ment
deviande, tandisque
cemême
sang, après avoir traverséle tissuhépatique, estfortementchargé de matièresucrée.Nous
devons nousarrêter quelques instants àcette expérience décisivequi, pour êtrebienfaite, réclame certainesprécautions.On
choisira préférablement,pour
cette expérience,un
chien de forte taillequi pourrafournir de plus grandesquantitésde sang,et l'onprocéderaainsi qu'il suit:1°
On
laissera l'animal àjeunpendant i\
heures, après quoion
lui fera faire
un
repas copieux,composé
exclusivement de viande cuiteou
crue.2°
Lorsque
la digestion intestinale est en activité, ce qui alieu 3 heures environaprèsle repas, s'ila étécomposé
de viandecuite, et 4 heuresetdemie
environ après,s'ila étécomposé
de viandecrue,on
sacrifieral'animalpar
un
genrede mort
rapide,comme
la section du bulberachidien, parexemple.3°
Immédiatement
aprèslamort,
on feraune
incision au-dessousdu
rebord des faussescôtes,à droitedel'appendice xiphoïde.Parcette incision étroite etpénétrantdansl'abdomen,
onintroduitle doigtde56
la