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20 projets (soit 13,8% des projets approuves dans le sous-secteur des telecommunications et 17,1% de ceux qui ont fait l'objet d'un suivi), d'un cout de

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656,55 millions de dollars et ayant beneficie soit d'un financement global, ou partiel n'ont pas encore demarre. Parmi ces projets 12, d'un cout de 581,61 millions de dollars EU ont beneficie d'un financement global tandis que les 8 autres n'ont

beneficie que d'un financement partiel.

• 23 projets (soit 15,9% des projets approuves dans le sous-secteur des telecommunications et 19,7% de ceux qui ont fait 1'objet d'un suivi), necessitant un

montant de 485,77 millions de dollars EU n'ont encore attire aucun financement

Plusieurs institutions donatrices et de financement auraient ete approchees par les pays

ou organisations ayant initie ces projets.

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12 projets (soit 8,3% des projets approuves dans le sous-secteur des telecommunications et 10,3% de ceux qui ont fait l'objet d'un suivi), d'un cout de 55,13 millions de dollars EU, sont soit en train d'etre reexamines, soit totalement abandonnes.

Aucune information n'est disponible sur l'6tat d'execution de 28 projets depuis leur inscription au programme.

Tableau 4.8

Etat d'execution des projets approuves dans le secteur des telecommunications sur la base d'un eroupement sous-regional

Localisation EF= entierement fmanc6, PF = partiellement finance

278. Ainsi, il ressort du tableau 4.8 ci-dessus qui illustre I'etat d'execution des projets de telecommunications, qu'avec seulement quelques annees restant au programme de la Decennie et le rythme auquel les projets sont executes, il est bien clair que seuls 46 projets, sur les 145, pourraient etre acheves a la fin du programme. II s'agit des 21 projets qui ont ete deja acheves plus les 25 autres projets qui ont beneficie d'un financement total et sont en cours d'execution.

Pour ce qui est des projets restants, leur execution devrait se poursuivre bien au dela de la periode du programme.

B. Analyse de la densite telephonique sur une base sous regionale

279. Un examen de la situation de la densite telephonique sur une base sous-r6gionale sera entrepris en vue d'etablir une comparison avec les objectifs-cibles de la Decennie. Cependant, il conviendrait de noter que les projets achev6s du programme n'ont pas eu un impact significatif sur l'amelioration de la densite telephonique. Ceci s'explique par le fait que seul un petit nombre de projets de commutation a ete jusque-la execute dans le cadre du programme de la Decennie. Quelles que soient les ameliorations enregistrees au niveau de la densite telephonique des pays ainsi que sur une base sous-r6gionale, elles ont ete probablement engendrees par les projets de reseau de commutation national executes par les pays mais qui n'apparaissent pas au programme de la Decennie. La situation par sous-regions et pour toute l'Afrique se presente comme suit:

(a) Afrique de l'Est et Australe: En 1994 et 1995 le taux de penetration a 6te le meme a savoir 0,55. Ainsi, si la tendance observee continue, le taux de croissance atteindra difficilement 1'objectif-cible de la D6cennie de 0,70 a la fin du programme. En 1995, sur les vingt pays 6tudi6s dans la sous-region, huit ont enregistre une densite tetephonique inf6rieure a 0,5; cinq sont dans la seconde categorie avec une densite comprise entre 0,5 et 1 et sept se trouvent dans le groupe ayant une densite telephonique superieure a 1.

(b) Afrique de 1'Quest: Les chiffres pour la sous-region sont de 0,38 et 0,41 en 1994 et 1995 respectivement; ce qui permet d'espe>er la realisation de l'objectif-cible de 0,48 a la fin de la pe*riode du programme. A la fin de 1995, dix pays sur les 16 que compte la sous-region ont enregistre* une densite* teiephonique inferieure a 0,5 tandis que quatre ont une densite comprise entre 0,5 et 1, et deux pays ont enregistre une densite* telephonique superieure a 1.

(c) Afrique Centrale: En 1994 et 1995 le taux de penetration n'a pas change, il etait de 0,23, ce qui rend assez difficile, pour la sous-region, la realisation de l'objectif cible de 0,52 a la fin de la periode du programme. A la fin de 1995, sept sur les dix pays de la sous-region ont enregistre une densite telephonique inferieure a 0,5 tandis qu'un seul pays a enregistre une densite comprise entre 0,5 et 1 et un seul autre une densite superieure a 1.

(d) Afrique du Nord: A la fin de 1994 et 1995, les chiffres etaient de 3,45 et 3,82 respectivement. Ce qui permet d'envisager la realisation de l'objectif cible de 3,84 a la fin de la periode du programme. Alors que cinq parmi les six pays de la sous-region ont une densite teiephonique superieure a 3,75 en fin 95, le sixieme pays, a savoir le Soudan, a une densite telephonique inferieure a 0,5.

(e) Afrique: Un objectif-cible de densite telephonique de 0,72 a ete fixe" pour toute 1'Afrique pendant la periode du programme. Les chiffres atteints pour 1994 et 1995 sont de 1,13 et 1,21 a I'exclusion de 1*Afrique du Sud. Autrement, ils s'61event a 1,61 et 1,67 respectivement. L'Afrique du Sud n'a pas ete prise en compte pendant la phase d'initiation du programme de la deuxieme Decennie des Nations Unies pour les transports et les communications en Afrique (UNTACDAII) a cause des circonstances qui prevalaient a l'epoque dans le pays.

La tendance de croissance est assez encourageante en Afrique de facon generate, bien qu'on ne devrait pas perdre de vue le fait que plusieurs pays sont encore bien loin des objectifs cibles definis pour leurs regions respectives.

En conclusion, la density des printipales ugnes telephouiques (LD par 100 hbts), en taut qu'imucateur fondamentat de dgveloppement global des rfseaux de telecommunications, a

£t£ etabBe sur la base des taux de croissance et la capadte des systemes de commutation en operation dans les diflereats pays. L'objectif cible pour ce qui est de la densite telephonique pour les di£f£rentes sous-regions a la fin de la periode du programme est de 0,48 a 3,84. U est evident que la nuyorite' des pays africains ne pourrait etre en ntesure d'atteindre les objectifs cibles regjonaux respectifs a la fin de la periode du programme, fl conviendrait d'in&quer que, le nombre limfte* de projets nationaux de commutation inscrits ao programme nraui!ait pas permis de garantir la r&Ksation des objeclifs cibles meme s'il y avait la possibilite de les ex^cuter tous en meme temps.

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280 La mise en oeuvre de la deuxieme Dtannie des Nations Unies pour les transports et les communications en Afrique (UNTACDA II) a lieu dans un environnement des telecommunications en pleine mutation. Par consequent, pour pouvoir reahser les objectrfs cibles du programme, il serait necessaire d'accorder une grande attention aux reTormes de politiques requises dans les services de telecommunications. Et cela, en tenant dument compte du rdle du secteur prive dans raccroissement des capacites de developpement et la satisfaction

des besoins de service.

C. Execution de projets majeurs approuves dans le secteur des telecommunications 281. Les projets majeurs sont ceux-la qui exercent une influence sur le reseau regional et qui disposent de systemes permettant au reseau africain d'etre beaucoup plus integre, reduisant ainsi, au minimum, le recours aux systemes extra-africains pour communiquer au sein du continent africain. Les types de projets ayant une telle influence sont surtout constitues de commutations internationales par satellite et des liaisons de transmission en fibres optiques. Dans le choix de projets d6signes pour 1'integration du reseau regional, le systeme de commutation, choisi pour developper et ameliorer les services, utilise la technologie numerique et la technique IDR/DCME pour le satellite. Les projets qui eompletent les maillons manquants du reseau PANAFTEL ont ete egalement identifies comme projets majeurs.

282. Sur t'ensemble des 35 projets regionaux, 26 ont une influence sur les reseaux regionaux et sont d'un cout de 484 millions de dollars EU lors de leur inscription au programme. II conviendrait de noter que des modifications ont ete apportees aux couts de quelques projets. La situation de ces projets est donnee au tableau 4.9 ci-apres.

Tableau 4.9

Situation des projets maieurs approuves sur la base d'un groupement sous-regional

Localisation

Situation Acheve"s

En cours d'ex6cution (EF)*

En cours d' execution (PF)*

Non demands (EF)

EF = Entierement finance, PF = Partiellenient finance1

283. Sur les 26 projets majeurs, seuls 3, et tous du secteur de commutation telephonique, d'un

cout total de 114,08 millions de dollars EU, sont acheves: 5 projets, essentiellement du secteur de transmission et d'un cout de 57,8 millions de dollars EU, sont entierement finances et sont en cours d'execution; lprojet du secteur de transmission est partiellement finance et est en cours d'execution; 6 projets, essentiellement des secteurs de transmission et de commutation, sont entierement ou partieHement finances, mais leur demarrage n'a pas encore 6te lance. Des fonds sont entrain d'etre recherches en faveur de 5 projets portant, surtout, sur le deveioppement des telecommunications. Les projets pour lesquels on ne dispose d'aucune information sont au

nombre de 6.

284. Sur les 26 projets identifies par le programme de la Decennie comme ayant un impact regional et pouvant ainsi contribuer a 1'integration du reseau africain, on ne peut prevoir que la realisation de 8 a la fin de la Decennie, au regard du temps ecoule et de ce qui en reste. II s'agit des 3 projets acheves et de 5 autres qui sont entierement finances et sont en cours d'execution.

Les raisons pour lesquelles des projets disposant de financement n'ont pas encore demarre restent encore a determiner. Le meme phenomene a ete constate dans bien des cas depuis un certain temps et peut durer encore.

D. Situation des projets thematiques approuves dans le secteur des telecommunications 285. Les projets qui sont d' importance capitale par rapport a leur impact thematique sont ceux de deveioppement des ressources humaines et de deveioppement institutionnel (HRID). Six projets de deveioppement des ressources humaines et deux de deveioppement institutionnel d'un cout de 39,67 millions de dollars ont ete inscrits au programme de la Decennie dans le sous-secteur des telecommunications. Trois projets de deveioppement des ressources humaines, d'un cout de 16,25 millions de dollars EU, n'ont pas encore r6ussi a attirer des fonds. Deux projets de deveioppement institutionnel, d'un cout de 10,2 millions de dollars, n'ont pas egalement

encore reussi a attirer des fonds.

En depit du fait que rimpact des projets HRID peut etre d'une importance significative s'ifc etaient executes avec opportunity, la mise en oeuvre des projets HRID de la Decennie estffun niveau assez faiWe et serait de loin inferieure a 50% a la fin de la Decennie.

E. Questions-cles

286. Le sous-secteur des telecommunications est marque par certains faits et caracteristiques qui exigent de la part des acteurs du secteur un degre d'adaptabilite et de flexibility constantes afin d'assurer la survie et la viabilite continues de leurs entreprises. Ces caracteristiques sont les

suivantes:

(a) Le grand rythme auquel se d6veloppent les reseaux et services qui est un facteur contribuant aux changements qui interviennent dans 1' environnement d'exploitation des services de telecommunications. En effet, 1'enviromiement d'exploitation a une grande influence sur la competition a laquelle les services de telecommunications sont confrontees.

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(b) l'apparition continuelle de nouvelles technologies et de nouveaux services dans le sous-secteur, resultant des progres sans cesse accomplis par I1 Industrie en reponse aux demandes des utilisateurs, entraine a son tour le probleme de taux eleve de Tobsolescence des equipements, des capacites d'exploitation et des techniques de gestion.

287. Les questions cles, en ce qui concerne l'execution des projets et du programme de la deuxieme Decennie des Nations Unies pour les transports et les communications en Afrique (UNTACDAII), devraient etre pergues dans la perspective de l'environnement general d'exploitation susmentionne. Ces questions concernent:

(a) Les reformes sectorielles: Si dans le passe le niveau d'engagement des Etats dans les reformes de politique etait considere significatif, cet engagement est encore plus une realite car les reformes sont devenues de nos jours des normes a respecter. En effet, il existe actuellement une prise de conscience generale sur le fait que le systeme traditionnel dans lequel l'Etat possedait le monopole d'exploitation, de gestion et de reglementation n'est plus efficace dans le cadre 6volutif du secteur. A cet egard, et comme il a ete indique dans le programme de la Decennie, une reforme du secteur a ete entreprise dans plusieurs pays africains.

(b) Le financement; Plusieurs projets de la deuxieme Decennie sont toujours en attente d'un financement. En depit du fait que la responsabilite des projets nationaux repose sur chaque gouvernement, les pays comptaient aussi sur 1'assistance de 1'organisme chef de file et du comite de mobilisation des ressources devenu comite consultatif de promotion du programme.

(c) La validite des proiets et programmes de la Decennie: Les objectifs globaux et sectoriels du programme d'UNTACDA II sont universels et par consequent valables. Us demeureront pertinents pour pas mal de temps et bien au dela de la periode du programme. En ce qui concerne les projets, la situation sans cesse changeante du secteur ainsi que la duree de la Decennie pourraient avoir un impact sur la validite et 1'opportunite de certains projets. Au niveau national, a cause de certaines reformes dans le sous-secteur, des projets definis au debut des annees 90 peuvent ne plus etre valables en termes de choix de technologie ou comme projets prioritaires dans la perspective de nouveaux groupes de gestion.

Ceci s'applique egalement aux projets ayant beneficie' d'un financement mais qui n'ont pas pu demarrer a temps. Une allocation et un reamenagement de ressources pourraient s'averer necessaires. II en est de meme pour les projets sous-regionaux et regionaux qui necessiteraient une redefinition d'objets et un reamenagement de ressources. En fait, les titres et couts de quelques projets regionaux ont ete modifies.

(d) La capacite d'execution des projets: L'execution des projets ayant beneficie d'un financement est une question qui necessite d'etre examinee si Ton doit s'attendre a des resultats significatifs du programme de la Decennie. Les projets nationaux de la Decennie beneficiant de financement avancent tres lentement et, dans certains cas, n'ont meme pas encore demarre.

(e) Le suivi et l'appui aux projets: M&ne si la complexue en termes de quantite, qualite et localisation des projets de la Decennie est assez importante du point de vue de l'aspect suivi, la preoccupation et rengagement:que devraient manifester les differents groupes de travail est une question qui a un impact sur la reussite du programme dans le laps de temps qui reste a la Decennie.

F. Problemes mjyeurs du spus-secteur

288. Le programme de la deuxieme Decennie des Nations Unies pour les transports et les communications en Afrique (UNTACDA II) a etabli des indications sur les contraintes au developpement des reseaux et services des telecommunications en Afrique. Le programme a egalement defini des strategies sous-sectorielles pour le developpement des telecommunications.

Quelques-unes d'entre elles sont mentionn^es ici en vue de mettre I'accent sur la nature des problemes rencontres (Jans ces domaines afin de concentrer les efforts futurs a leur resolution.

En bref, quoique les problemes, d'ordre general, entravant le developpement du sous-secteur aient et6 mentionnes ca et la, le fait que 1'accent n'ait pas 6te suffisamment mis sur ces aspects et que des calendriers d'actions clairement definis n'aient pas et£ 6tablis, entratne que certains des problemes restent en suspens et invite a degager des solutions futures dans un plan graduel et parcellaire. Une tentative d'identification de ces problemes est faite ci-dessous comme suit:

a) ReYorme institutionnelle: Tandis que quelques mesures de reforme sectorielle sont entrain d'etre prises dans certains pays, les problemes majeurs qui entravent la mise en oeuvre acceieree et complete des actions de restructuration sont: (i) 1'absence de politiques claires et definitives et de dispositions reglementaires et

legislatives qui repondent au nouvel environnement d'exploitation des telecommunications; (ii) le refus des gouvernements a renoncer a leur r61e passe d'organes de r£glementation et a mettre en place des autorites de reglementation entierement autonomes; (iii) les difficultes de revision des dispositions relatives au droit de propriete des entreprises existantes de telecommunication monopolisers par l'Etat et la repugnance a permettre une certaine forme de participation du secteur priv6; (iv) le refus des gouvernements a appr6cier les avantages que presentent la transformation en societes anonymes et la commercialisation des organisations des telecommunications et la mise en place d'entreprises autonomes liberees de 1' interference du gouvernement dans 1'exploitation courante, (v) le manque d'initiative pour favoriser des regroupements sous-regionaux d'exploitation des services.

b) Gestion: De nombreuses administrations des telecommunications, qu'elles soient des organes autonomes, des soci6t6s ou des services continuent toujours d'etre influencees par le gouvernement, seul proprietaire, exergant par consequent une grande influence, a travers la nomination des administrateurs aux qualifications et competences douteuses. Les insuffisances de recouvrement des recettes et d'appui logistique ainsi que 1'absence de motivation du personnel et le gaspillage des ressources sont en effet, les consequences d'une gestion inefficace et inefficiente.

Au niveau de 1'exploitation, l'incapacite de mettre en place une gestion financiere solide et un systeme de comptabilite adequat, ainsi que Tabsence d'une budgetisation, d'un controle budgetaire et d'audit de gestion efficaces contribuent pour une grande part aux problemes de gestion des entreprises de telecommunications,

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(c) Investissement: Le programme de la Decennie a reconnu le fait que les limitations des ressources financieres constituent une contrainte dans la determination du montant de T investissement a consacrer au developpement du secteur des telecommunications. Selon les dernieres estimations de 1'UIT, I1 Afrique aurait besoin d'au moins 14,8 milliards de dollars EU en investissements entre 1995 - 2000 afin de pouvoir rendre ses telecommunications a un niveau qui pourrait permettre de soutenir un developpement durable. Les

sources traditionnelles de fmancement de reseaux semblent etre a cours de

ressources leur permettant de repondre aux exigences massives de developpement du secteur des communications. Bien que d'autres pays soient entrain de tirer avantage des resultats positifc des nouvelles formes de fmancement des telecommunications, plus particulierement, le secteur prive, la plupart des pays africains hesitent encore a s'embarquer dans cette voie. Ceci est, particulierement, du a la mauvaise volonte des gouvernements a desserrer leur emprise sur le sous-secteur ou a l'absence d'un cadre legal approprie pour

reglementer le sous-secteur.

(d) Developpement des ressources humaines: La qualite, le volume et le rythme des actions du HRID menees par rapport a 1'evolution rapide du sous-secteur des telecommunications ne sont pas du tout adequats et, par consequent, constituent un domaine de preoccupation. A moins que des actions urgentes ne soient entreprises pour debloquer la situation, l'exploitation et la maintenance des facilities de la nouvelle technologie du sous-secteur pourraient &re confrontes a de

serieux problemes.

(e) Developpement rural: La fourniture des services de telecommunications dans les zones rurales constitue l'un des objectifs sous-sectoriels du programme de la Decennie. En depit de ceci, des resultats significatifs n'ont pas ete jusqu'ici observes en ce qui concerne la reduction de 1'ecart entre les zones urbaines et rurales des pays africains. En terme de nombre de projets inities au cours de la Decennie, la part accordee aux projets ruraux est assez infime. En effet, les problemes des zones rurales et eloignees necessitent bien d'etre examines et des actions reelles doivent etre entreprises en vue de leur solution.

(f) Reseaux et services: Des etudes recentes menees par l'UIT ont indique que, alors que la situation en Afrique du Sud et en Afrique du Nord, pour ce qui est du developpement des telecommunications, est assez positive, Vabsence de progres dans les autres pays de 1'Afrique Subsaharienne, par rapport a I1 acces au telephone est assez remarquable. La capacite du reseau installe n'est pas exploitie

(f) Reseaux et services: Des etudes recentes menees par l'UIT ont indique que, alors que la situation en Afrique du Sud et en Afrique du Nord, pour ce qui est du developpement des telecommunications, est assez positive, Vabsence de progres dans les autres pays de 1'Afrique Subsaharienne, par rapport a I1 acces au telephone est assez remarquable. La capacite du reseau installe n'est pas exploitie

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