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QUELQUES PENSÉES SUR ROMAINS VIII

Dans le document Td corrigé 1923 - La Sainte Bible pdf (Page 101-106)

MÉDITATIONS de J. N. D N° 223

Lausanne, 4 juillet 1850.

QUELQUES PENSÉES SUR ROMAINS VIII

Nous trouvons dans ce chapitre, si riche sur tant de points, deux bénédictions spéciales que la présence du Saint Esprit nous apporte: 1° une intimité avec Dieu telle qu'on ne peut souvent démêler si l'apôtre parle du Saint Esprit ou de l'état de notre cœur. 2° La force de Dieu lui-même, et dans ce cas le Saint Esprit est distingué de notre état intérieur.

S'agit-il de communion, le Saint Esprit est nous-mêmes, en un certain sens, mais nous avons tout autant besoin de la puissance de Dieu agissant en Jésus et opérant indépendamment de nous.

Ce qui distingue le chrétien, c'est la conscience de ses rapports avec Dieu. L'Esprit produit en lui des affections qui montent vers Dieu comme les prémices du cœur: l'amour, la joie, la paix. En parlant ainsi, je suppose un chrétien qui a compris sa position en Christ.

Rappelons-nous toujours que l'œuvre de Christ n’est pas seulement de nous sauver, mais de nous placer dans une position où nous jouissions de la présence de Dieu lui-même: «Christ a souffert, lui juste pour les injustes, afin de nous amener à Dieu. »Dès lors nous sommes en Sa présence, non dans la servitude, ni pour trembler devant Lui, mais avec des affections découlant de la grâce infinie qui nous a amenés en cette présence. Nous connaissons Dieu comme Celui qui nous a amenés à Lui; le Saint Esprit, qui nous est donné agit en nous et y habite. C'est lui qui produit dans nos cœurs les affections convenables à la position où l'amour de Dieu nous a placés.

Le Saint Esprit nous donne non pas seulement l'assurance que nous pouvons y être, mais que nous y sommes. À cela se rattache nécessairement la jouissance de cette position. Dieu est pour moi un ami, non plus un juge ; je vais à lui, je suis avec lui, et par conséquent je jouis de sa pré sence, Il ne s’agit pas ici de la valeur du sang de Christ, base invariable de nos relations avec Dieu, mais de l'état où nous sommes, en vertu de l'œuvre de Christ,

«Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus.» Son œuvre en a détruit la possibilité, Il n'y a pas de condamnation, non pas parce que Christ est mort, mais parce que je suis en lui. C'est une position dans laquelle je me trouve. Le pécheur a besoin d'être introduit devant Dieu par le sang de Christ, mais dans ce passage, les croyants ont leur place devant Dieu en Christ, tel qu'il est. L'apôtre ne dit pas: Il n'y a aucune condamnation parce que Christ est mort, mais

parce que «la loi de l'Esprit de vie, dans le Christ Jésus m'a affranchi de la loi du péché et de la mort. » Si Dieu satisfait son cœur en nous amenant à Lui, est-ce pour nous condamner ? Ces deux choses sont incompatibles et s'excluent l'une l'autre,

C'est là le secret de l'assurance, de la tranquillité d'esprit, de la joie que le chrétien devrait avoir, même au milieu des combats. La foi fait cela: elle juge comme Dieu juge, d'après ses pensées et ses affections; et voici comment il juge: «Voyez de quel amour le Père, nous a fait don, que nous soyons appelés des enfants de Dieu! » Il y a des conséquences pratiques à tirer de ce fait: Si nous sommes en Christ, la vie de Christ, son caractère, se trouvent là. La pensée de la chair et la pensée de l'Esprit sont antagonistes. La chair ne peut point plaire à Dieu, mais dès que vous êtes venus à Lui, vous trouvez une telle intimité entre l'Esprit et notre état, que ce dernier est à la fois moi et l'Esprit. On ne peut séparer la vie en moi, d'avec l'Esprit qui agit dans cette vie. J'aime Dieu ; le Saint Esprit produit ces affections en moi. Les choses que l'Esprit révèle sont la sphère de ces affections. La chair a ses convoitises; c'est le monde et les choses qui s'y trouvent, mais il y a les pensées de l'Esprit qui sont vie et paix et les choses de l'Esprit qui sont un monde entièrement à part de ce monde-ci.

L'opération vitale du Saint Esprit produit ces affections qui sont à la fois miennes et siennes. Nous avons les pensées de l'Esprit; nous pouvons jouir de Dieu et nous glorifier en Lui, trouver notre plaisir et nos affections en Christ dans lequel Dieu a son plaisir et ses affections.

Aux vers. 9-11, nous trouvons trois caractères des opérations de l'Esprit en nous. 1° Vous n'êtes pas dans la chair, mais dans l'Esprit. L'Esprit de Dieu est mis en contraste avec la chair; il produit ce qui plaît à Dieu, ses affections et ses pensées. Christ est le modèle de ces affections : « Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, celui-là, n'est point de Lui.» L'Esprit de Christ est la forme que prend la manifestation de l'Esprit de Dieu. Nous avons en Christ lui-même cet Esprit, comme forme et affections de l'homme en Christ. 2° Si Christ est en nous, le corps est bien mort à cause du péché, mais l'Esprit est vie à cause de la justice. 3° Si l'Esprit de Celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en nous, Dieu vivifiera aussi nos corps mortels à cause de son Esprit qui habite en nous.

Vers. 12-14. La grande, la seule pensée de Dieu quant à nous, est toujours Christ. Dieu a fait toutes choses pour Christ. Quand sa pensée est une pensée de grâce elle est de nous rendre conformes à l'image de son Fils pour qu'il soit premier-né entre plusieurs frères. Cette pensée est-elle trop élevée pour vous ? Rappelez-vous que Dieu ne peut penser autre chose. Si... Christ a ses délices dans les fils des hommes, Dieu ne peut les vouloir moindres que l'image de son Fils. Il opère déjà en nous pour nous rendre conformes à Christ; il veut que nous jouissions de Lui, et que nous lui donnions gloire comme ayant cette jouissance. Cela nous encourage, nous humilie, nous donne de la force, nous inspire de la confiance en l'amour infini de Dieu.

« Car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu, ceux-là sont fils de Dieu.» Telle est notre place, notre position; nous sommes fils et filles du Dieu Tout Puissant qui nous conduit ainsi sur les traces de Jésus.

Vers. 15-16. L'effet nécessaire de la présence du Saint Esprit est de nous donner conscience de notre adoption et de nous placer, quant à nos cœurs, dans cette relation. Ce n'est pas seulement une doctrine, que l'on pourrait posséder avec un cœur très froid, mais, sans cette assurance, point de joie. Dieu ne veut pas nous sauver tout juste pour que nous entrions dans le ciel; il a des intentions en vue de sa propre gloire. L'Esprit, agissant dans nos cœurs, devient en nous un Esprit d'adoption, l'esprit des enfants. Il n'est pas seulement un Esprit d'amour, mais nous donne conscience et jouissance de la relation dans laquelle Dieu nous a placés. S'il n'en est pas ainsi, c'est que vous avez contristé le Saint Esprit. Il ne peut être témoin d'autre chose que des conseils de Dieu; il ne peut, comme habitant dans un enfant de Dieu, produire autre chose que les affections qui découlent de cette relation. L'âme peut en jouir à tel autre, comme un enfant jouit de son père, mais il a le sentiment d'être enfant: «L'Esprit lui-même rend témoignage avec notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.» C'est le Saint Esprit lui-même; il ne varie pas, ne rend pas deux témoignages ; il est toujours là, constamment le même, source de nos pensées, puissance qui rend témoignage que nous sommes enfants de Dieu. Il est impossible de le changer; cet Esprit est Dieu lui-même.

Au vers. 17, l'apôtre tire les conséquences de l'adoption, sur lesquelles je ne m'étendrai pas. Aux vers. 18-29, ayant par le Saint Esprit conscience de la gloire qui nous attend, connaissant parfaitement la bonté de Dieu, jouissant du bonheur de ceux qui l'entourent et mesurant l'étendue du malheur de ceux qui sont loin de Lui, nous soupirons, non de la peine dont nous souffrons, mais en sympathie et avec la pensée que nous nous trouvons au milieu de ces choses. Ce n'est pas de l'égoïsme. Ayant l'Esprit, je connais la misère de ce qui m'entoure, je soupire sur le malheur, parce que j'ai le bonheur.

Mais je ne suis pas dans la condition où Dieu me veut. Les misères, l'angoisse, les maladies, la mort ne

sont pas ce que Dieu veut, sa pensée définitive pour moi. Dieu s'entoure de bonheur. Je vois Christ dans cette gloire; tout reluit dans la splendeur de cette béatitude. Je soupire, parce que je traverse dans un corps mortel, un monde qui est sous le joug de la mort. Je soupire, parce que j'ai l'Esprit de vie qui m'a fait comprendre ce que Dieu veut pour moi. Je parle en tant que chrétien. Mes souffrances même découlent de la certitude que ce qui est loin de Dieu doit souffrir. Christ avait ta conscience infinie du bonheur qui entourait Dieu, la jouissance de l'amour de son Père, mais il était l'homme de douleur; il souffrait, et dans quelle mesure ? De la misère de l'homme. Telle est aussi notre position selon l'Esprit.

Nous soupirons en nous-mêmes, attendant l'adoption, la délivrance de notre corps. L'Esprit nous est en aide dans notre infirmité (v. 26). Il intercède lui-même par des soupirs inexprimables; il prend connaissance de ces choses. Celui qui sonde les cœurs connaît la pensée de l'Esprit; il mélange ma pensée avec celle de l'Esprit qui intercède pour les saints selon Dieu. Quelle pensée! Ces soupirs sont ce que le Saint Esprit produit et non l’expression de la misère qui est en nous. Seulement nous ne savons pas demander comme il convient, et quoi qu'il en soit l'Esprit intercède.

Tout le reste du chapitre (v. 29-39) se passe en dehors de nous: «préconnus, prédestinés, appe lés, justifiés, glorifiés ». Il ne dit pas: «sanctifiés» parce qu'il parle de ce que Dieu fait hors de nous; c'est entièrement l'aide de Dieu. Qui sera plus fort que Lui Qui nous séparera de son amour ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Impossible que ce qu'il a voulu manque jamais, et c'est pourquoi la sanctification est laissée de côté.

Dieu nous ayant placés dans la relation d'enfants pour nous rendre conformes à l'image de son Fils, le Saint Esprit devient la puissance de ces affections et cette puissance est telle, qu'elle va jusqu'à la résurrection de nos corps.

Que Dieu nous donne de savoir que nous possédons une telle grâce, mais demeurons avec Dieu, dans la douce et paisible conscience de la position dans laquelle nous sommes par l'Esprit de Dieu qui habite en nous.

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PENSÉE

Un cœur divin qui reflète l'entière certitude d'un amour dont la perfection n'est nullement en question: C'est la paix.

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ÉTUDE SUR LA PREMIÈRE ÉPÎTRE À TIMOTHÉE CHAPITRE VI

(Suite et fin)

Vers. 13-16. - Je t'ordonne devant Dieu qui appelle toutes choses à l'existence, et devant le Christ Jésus qui a fait la belle confession devant Ponce Pilate, que tu gardes ce commandement, sans tache et irrépréhensible, Jusqu'à l'apparition de notre Seigneur Jésus Christ, laquelle le bienheureux et seul Souverain, roi des rois et Seigneur des seigneurs, montrera au temps propre, Lui qui seul possède l'immortalité, qui habite la lumière inaccessible, lequel aucun des hommes n'a vu, ni ne peut voir, auquel soit honneur et force éternelle. Amen!

Ces versets sont comme un résumé du but de toute l'épître. «Je t'ordonne» dit l'apôtre. Timothée avait reçu une ordonnance de sa part et devait s'y conformer. Étant établi pour représenter l'apôtre en son absence, il avait à ordonner lui-même. (I, 3, 5, 18 ; IV, 11; V, 7 ; VI, 17,) Ce que Paul ordonnait à Timothée, il le faisait des plus solennellement devant le Dieu Créateur, qu'il invoquait comme Celui qui a tout amené à l'existence quand il n'y avait encore aucune de ses œuvres, et qui s'est fait connaître à des êtres infimes comme nous par un acte qui dénote tout son bon plaisir dans les hommes. N'est-ce pas un motif souverain pour obéir? Mais, ce que l'apôtre ordonne, il le fait aussi « devant le Christ Jésus » devenu homme, «qui a fait la belle confession devant Ponce Pilate ». Il pouvait être indifférent au gouverneur romain que Jésus fût roi des Juifs .et il le prouve d'un côté en disant: « Suis-je Juif, moi ? » De l'autre en écrivant: «Jésus, le Nazaréen, le Roi des Juifs» sur l'écriteau de la croix. Par

contre, il n'est pas indifférent à Pilate, ami de César, qu'à côté de l'empereur un autre homme ait des prétentions à la royauté. Rejeté des Juifs, comme roi, le Seigneur attribue, devant Pilate, une toute autre extension à son royaume quand il dit: « Mon royaume n'est pas de ce monde », c'est-à-dire qu'il a pour domaine exclusif une sphère entièrement céleste. Mais il ajoute: «Maintenant mon royaume n'est point d'ici.» Il parle de revendiquer plus tard ici-bas une royauté plus vaste que celle de roi des Juifs et c'est ce qui inquiète Pilate 'et lui fait dire : «Tu es donc roi » À cette question Jésus répond: «tu le sais;

que je suis roi.» C'était rendre témoignage à la vérité, coûte que coûte, en maintenant à tout prix le caractère de sa royauté, car il ajoute: « Moi, je suis né pour ceci. Et c'est pour ceci que je suis venu dans le monde afin de rendre témoignage à la vérité. » Devait déclarer sa royauté par naissance (Matthieu II, 1-2) devant Pilate, ami de César, mais une royauté qui dépassait de beaucoup les limites juives, s'était signer lui-même son arrêt de mort. Cette confession était la «belle confession devant Ponce Pilate» dans notre passage. Cette belle confession, nous l'avons vu, le Seigneur ne pouvait pas ne pas la faire sans être infidèle à la vérité à laquelle il était venu rendre témoignage dans ce monde, Lui qui était venu ici-bas pour la faire connaître. Sa royauté en faisait partie et s'il avait hésité un instant devant cette confession, il n'aurait plus pu ajouter: «Quiconque est de la vérité écoute ma voix.

» La confession qu'il était roi se liait donc intimement au tait qu'il était venu dans le monde afin de rendre témoignage à la vérité.

La belle confession de Timothée devant beaucoup de témoins chrétiens qui pouvaient la certifier ne mettait pas sa vie en danger. Elle n’était pas non plus le témoignage à la vérité, à la vérité toute entière. Elle était la belle confession des bénédictions immenses de la fidélité, bénédictions saisies par Timothée dans le témoignage chrétien auquel il vouait désormais sa carrière. La belle confession de Christ devant Ponce Pilate était le témoignage à la vérité dont la royauté actuel1e et future de Christ, bien plus importante que la royauté juive, faisait partie, car «la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ ». Rien ne pouvait détourner le Seigneur de la confession de la vérité tout entière, pas même la mort.

Mais quel immense privilège pour Timothée d'être associé comme Confesseur avec le Seigneur Jésus, l'un confessant avoir saisi un but que rien ne pouvait lui arracher, l'autre confessant la vérité tout entière que la mort même ne pouvait lui faire abandonner!

Au v. 14 l'apôtre ordonne à Timothée de «garder, ce commandement» c'est-à-dire ce qu'il venait de lui commander: «Fuis, poursuis, combats, saisis.» Il était placé comme réalisant ces choses devant des témoins fidèles et devant le monde. Il devait les garder « ans tache et irrépréhensible». Par contre l'apôtre dit au v. 20 : «O Timothée, garde ce qui t'a été confié. » C'est le résumé du contenu de toute l'épître. L'apôtre avait déjà dit, mais au sujet d'une partie restreinte de la mission de Timothée, c'est-à-dire de sa conduite à l'égard des anciens: «Garde ces choses sans préférence» (V, 21.)

Quant au commandement, Timothée devait le garder «sans tache», sans aucune altération ; et

«irrépréhensible», sans que personne eût occasion de le reprendre ou de l’accuser de ne pas garder le dépôt qui lui était confié; mais avant tout dans le but de recevoir «l’approbation de notre Seigneur Jésus Christ à son apparition ». Il est toujours parlé de l'apparition et non de la venue du Seigneur, quand il est question de la responsabilité dans le service. C'est pourquoi il peut être parlé « d'aimer son apparition» qui est cependant toujours accompagnée de « l'exercice de la vengeance» sur le monde (2 Thessaloniciens I, 8). La raison en est que, si la «venue» du Seigneur est le «jour de grâce », son apparition est le jour des couronnes, la récompense dé la fidélité pour les serviteurs de Christ.

Cette apparition sera montrée au temps propre par le bienheureux et seul Souverain, déjà appelé le

«Dieu bienheureux» au chap. I, 11. Alors le seul Souverain, Roi des rois et Seigneur des seigneurs manifestera cette gloire. De qui l'apôtre parle-t-il ? De Dieu, sans aucun doute, mais im possible de séparer une des seigneuries divines de l'autre. Dieu est tout cela quand il« montre» l'apparition de Christ; Christ sera tout cela, quand il paraîtra comme Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Voici la seconde fois dans cette épître (cf. I, 17) que la louange suprême s'élance devant Dieu dans les 1ieux éternels. Dans le premier cas, à la suite de la venue dans ce monde de Christ homme comme Sauveur;

dans le deuxième cas, à la suite de son apparition comme Seigneur et homme victorieux. «À celui qui seul a l'immortalité en Lui-même, qui habite la lumière inaccessible, lequel aucun des hommes n'a vu ni ne peut voir, soit honneur et force éternelle, Amen!» C'est bien le Dieu personnel, éternel, inabordable, invisible, dont il est question ici, mais nous le connaissons dans son Fils Jésus Christ: «lui est le Dieu véritable et la vie éternelle ».

V ers. 17-19. - Ordonne à ceux qui sont riches dans ce présent siècle, qu ils ne soient pas hautains et qu'ils ne mettent pas leur confiance dans l'incertitude des richesses, mais dans le Dieu. qui nous

donne toutes choses richement pour en jouir, qu'ils fassent du bien; qu'ils soient riches en bonnes œuvres; qu'ils soient prompts à donner, libéraux, s'amassant comme trésor un bon fondement pour l'avenir, afin qu'ils saisissent ce qui est vraiment la vie.

Il reste encore une ordonnance à ajouter au sujet de ceux que, parmi les siens, Dieu favorise des biens de ce monde. Il s'agit ici de leur position, (dans ce présent siècle », position qui n'a rien a faire,

Il reste encore une ordonnance à ajouter au sujet de ceux que, parmi les siens, Dieu favorise des biens de ce monde. Il s'agit ici de leur position, (dans ce présent siècle », position qui n'a rien a faire,

Dans le document Td corrigé 1923 - La Sainte Bible pdf (Page 101-106)