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ÉTUDE SUR LA PREMIÈRE ÉPÎTRE À TIMOTHÉE CHAPITRE V

Dans le document Td corrigé 1923 - La Sainte Bible pdf (Page 85-92)

ÉTUDE SUR LA PREMIÈRE ÉPÎTRE À TIMOTHÉE CHAPITRE V

(Suite)

Vers. 22-25. - N'impose: les mains pRécipitamment à perSonne, et ne participe pas aux péchés d'autrui; garde-toi pur toi-même. Ne bois plUs de l'eau seulement, mais use d'un peu

de viN, à cause de ton estomac et dE tes Fréquentes indispositions. Les péchés de quelques hommes sont manifestes d'avance, et vont devant pour le jugement; mais ceux d'autres hommes aussi, les sui-vent après. De même aussi les bonnes œuvres (kala erga) sont manifestes d'avance, et celles qui sont autrement ne peuvent être cachées.

Timothée est exhorté maintenant à n'imposer les mains précipitamment à personne. L'imposi tion des mains, quand elle ne venait pas de l'apôtre lui-même qui avait qualité pour le faire, ne conférait ni un don de grâce, ni le don du SAint86Espri4 ( Timothée I,86 ; Actes VIII,861). AU Chap.86IV

4, les anciens n'aVaiEnt rIen conféré à ᄉ imothée par cet acte. L'imposition de87leuRs maInS exprimait la bénédiction, la sanction, et une identification publique avec ce qui était conféré à Timothée par87l'apôtre. En imposant les mains, probablement, aux anciens, quoique ce ne soit pas dit ici; en tout caS à qui que ce soit, au Sujet d'une mission oU87d'un seRvice quelconque, Timothée se déclarait solidaiRe avec eux, s’identifiait aVec leur service ou leur mission et apposait sa sanction sur leur charge, leur appel ou leur œuvre. S'ils péchaient, il s'exposait ainsi à participer aux péchés qu'ils auraient commis dans l’exercice de leurs fonctions. En évitant ce piège tendu sur ses pas, Timothée se gardait pur lui-même. Il devait ne pas donner la moindre prise à un blâme qu'il aurait mérité par sa précipitation, car il se serait souillé en participant ainsi au péché d'autrui.

La recommandation du vers. 23, d'user d'un peu de vin, me semble se lIer à ce qui précède

en ce que la précipitation pouvait provenir de l'excitAtion de la ChaIr

89TIMothéE89aurait cRu Devoir s'ab3teniR d'autAnt plus de toute boisson excItante. L'apÔtre montre son souCi de la santé de son cher enfant Dans la foi,89mais, de plus, il connaissait combien la conscience délicaTe et peut-être un peu maladive de Timothée (Voyez 2 Timothée I, 6) pouvait s'alarmer facilement des dangers auxquels ses fonctions l'exposaient. Ces petits détails sont très touchants et montrent à la fois la sollicitude de l'apôtre pour son bien-aimé compagnon d'œuvre et la sollicitude du Seigneur pour son cher disciple en la consignant dans l'écrit inspiré de l'apôtre.

Ayant parlé des péchés d'autrui, l'apôtre mentionne deux caractères de ces péchés. Il y en a qui «sont manifestes d'avance, et vont devant pour le jugement ». On les connaît, ils proclament d'avance le jugement de ces hommes, en sorte que personne ne peut les ignorer. D'autres péchés sont cachés maintenant, mais suivront ces hommes ci-Après. Ils leS retrouveront au grand jour du jugement. Ce n'était pas seulemeNt lE faiT de89péchés manifestEs qui devait mettre Timothée Sur ses gardes au sujet de l'imposition des mains, mais aussi le fait de péchés qui ne viendraient en -émoire que plus tard, afin qu'il ne fûT pas «couvert de honTe à Sa venue» (1 Jean II, 28).

Il s'agit donc pour TiMothéE de ne pas impOser les mains à un homme qui pèche secrètement. Le moyen de Reconnaître cet homme, ce sont les bonnes œuvres. Elles sont manifestes d'avance et celles qui ne le sont pas maintenant le seront nécessairement plus tard. De là la nécessité de n'user d'aucune précipitation dans la sanction à donner à un ouvrier du Seigneur.

(À suivre).

………

MÉDITATIONS DE J. N. D. LE REPOS HÉBREUX IV

(Suite)

Si je désire être saint pratiquement, je trouve quelque chose en moi qui veux m'empêcher de l'être.

Le monde m'entoure, cherche à me faire perdre l'équilibre et ce n'est pas difficile, à moins que la puissance de Dieu n'intervienne. Un chrétien vivant voit Christ clairement, jouit de lui, et devant cette jouissance les choses du monde deviennent des ordures. S'il ne voit pas Christ clairement, c'est parce que les choses de chaque jour ont pris pour lui de l'importance. Ce n'est plus: «Christ est mon tout» : beaucoup d'autres choses font partie du tout du chrétien et se le partagent. Si Christ ne le relève, il perdra toujours, plus de sa valeur pour son cœur. Le jugement spirituel étant faussé, on ne trouve plus un discernement suffisant du mal. Peut-être la conscience n'est-elle pas: mauvaise, mais la clarté de la vue spirituelle est perdue et cela ne donne pas le repos.

Tous les objets que le monde contient tendent à cacher Christ. Il en était ainsi pour ces Hébreux auxquels l'apôtre écrivait. Les choses terrestres et visibles qui, dans la pensée de Dieu, représentaient les célestes et les invisibles, comme par exemple les offrandes, la sacrificature et le temple, reprenaient de fa valeur du moment que Christ n'avait plus toute la place devant leurs yeux. L'apôtre appelle cela un «'endurcissement arrivé il Israël» (Romains XI, 25.) En sortant d'Égypte, Canaan était tout pour le peuple. Quel bonheur de se rendre dans le lieu que Dieu leur avait préparé! Mais le chemin était long;

il n'y avait pas d'eau, pas de pain. Alors leur cœur perd de vue la grâce qui les a rachetés ainsi que le pays désirable et la manne même devient à leurs yeux «un pain léger» (Nombres XXI, 5). Leur cœur s'était endurci.

N'est-ce pas aussi un endurcissement de cœur, quand, Dieu nous ayant donné son Fils et toutes choses avec Lui, ces choses n'ont plus la même valeur pour nous, et que nous sommes aveuglés quant à celles qui ont une valeur ineffable aux yeux de Dieu? La toilette, les journaux, les devoirs dé société, toutes les distractions journalières, prouvent que le cœur ne répond pas à l'affection que les bénédictions célestes méritent, qu'il a perdu la conscience de la valeur de son objet. Ce dernier est peu apprécié et nous ne l'aimons pas comme nous devrions l'aimer. La cause de tout cela est la chair en nous. Convoitises de l'esprit ou de la chair, tout se place entre moi et ce que Dieu a fait pour prendre possession de mon cœur, et tend il obscurcir ma vue.

Ce qui nous est présenté ici, c'est le repos de Dieu lui-même. L'apôtre tient à faire comprendre aux Hébreux qu'ils n'avaient pas le repos et qu'il était encore devant eux. S'il s'agit du repos de la con -science, il est atteint et aussi parfait ici-bas que dans le ciel, le sang de Jésus Christ ayant autant de valeur maintenant que dans l'éternité. Je suis aussi bien sans péché quant à la justice de Dieu que je le serai dans le ciel. Le sang de Jésus Christ me purifie de tout péché. J'ai la même justice, le même

Christ que dans le ciel. Le repos est donc parfait, même avec peu d'activité chrétienne et de travail. Il peut y avoir, ce qui est autre chose, un travail pour arriver au repos de la conscience. Ainsi Romains VII me place devant la loi et aboutit à la misère. La conscience dit: «La loi est bonne et je ne l'accomplis pas », aussi ne peut-elle avoir de repos. En Romains VIII c'est autre chose: Je suis aussi agréable à Dieu que Christ lui-même et je n'aurai pas dans le ciel une autre justice que celle que j'ai maintenant. N'ayant aucune conscience de péché, j'ai le repos de la conscience.

L'activité de la vie chrétienne est autre chose. Lorsque le cœur lui-même sera comme le cœur de Dieu quant à ses joies et possèdera son Objet sans qu'il puisse y avoir quoique ce soit pour l'empê cher d'en jouir, ce sera le repos. Le chrétien ne l'a pas encore, mais il a la conscience d'avoir confié son bonheur à Christ. En attendant il travaille pour Lui.

Hélas! Le chrétien ne se repose que trop. Il se contente facilement du désert, tandis que son cœur est en Égypte. Si Canaan ne s'est pas emparé du cœur, le désert ne vaudra rien, puisqu'on y trouve l'occasion de retourner en Égypte. On a souvent à insister là-dessus. Il reste un repos, sans cela on éprouve le besoin d'en trouver un ici-b!S. On se contente de choses qui ne sont pas selon lE cœur de Dieu et de ne posséder que très peu de Christ. Le cœur s'endurcit; on abaisse le niveau de ce qu'oN devrait atteindre; on se Mondanise ; On oublie qu'une promesse nous est laissée d'entrer dans Son repos et qu'il reste un repos pour le Peuple De Dieu.

CoNsidéron3 les traits de ce repos et les moyens que. Dieu emploie pour nous faire aller en avant avec bo. courage.

Dieu veUt que vous compreniez qu'il reste un repos et que vous n'y êtes pas. Christ ne peut pas vous le donner ici-bas où tout est souillé. Si le cœur peut trouver du repos au milieu de la souil lure, il n'aura .jamais de repos avec Dieu. Une pleine confiance dans l'amour de Dieu est un repos pour le cœur, car on sait que Dieu nous aime comme il aime Jésus. En ce sens le cœur s'y repose. Il sait de plus que cet amour aura tout son effet et que Celui qui a commencé en nous une bonne œuvre, l'achèvera jusqu'au jour de Christ.

Considérons maintenant le caractère du travail et de l'absence de repos!

Pourquoi le travail ? Pourquoi ne s5is-je pas dans le repos ? Parce que j'ai les mjmes pensées, les Mêmes goûts que Dieu: sainteté, bonh%ur. Je n'Ai pas de repos, non parce que ma conscience n'est pas en pAix, ni parce que je ne suis pas sûr de l'amour de Di%u, mais parce que j'ai les mjmes pensées, les mêmes affections que Dieu lui-m, me. Je ne puis pas jtre dans le repos, juSqu'à ce qu'Il se repose dans s/n aMOur (Sophonie III, 17.) C'est là un repos satisfait du fruit de Son travail. Le cœur a les mêmes goûts, la même nature que Dieu, et ne peut avoir du repos tant que Dieu ne se repose pas dans un état de choses parfaitement conforme à ses perfections. À ceux qui l'accusaient de ne pas observer le sabbat, Jésus dit: «Mon Père travaille jusqu'à maintenant et moi je travaille. » Pas de repos dans la misère et le péché; telle est la pensée de Christ.

Nous serons dans le repos, et Dieu lui-même y sera, quand nous serons parfaits, selon son cœur.

Comme Église, glorieuse, sans tache90ni ride, posséDant enfin l'Objet de nos cœUrs renouvelés, nous serons daNs le repos, avec les mêmes peNsées que Christ.

90 PoUrquoi est-ce que je travaille maintenant ? Parce que j&ai les mêmes pensées que Dieu. Il verra du fruit du traVail de son âme et se reposera pArce que tout sera bon et parfait (ÉsAoe LIII).

Le travail n'a pas cessé. Il reste que 1uelq5es-uns entreNt dans le repos de Dieu (v. 6.) «Celui qui90est entré dans son repos, celui-là s'Est r%Posé de ses œuvres, comme Dieu s'est reposé des sien-nes propres» (v. 10). Il ne s'agit pas pour nous de nous reposer de nos œuvres mauvaises, mais de nos bonnes œuvres. Ce ne sera plus un effort continuel pour raccommoder ce que le péché gâte toujours.

Qu'est-ce qui nous empêche de jouir de ce repos et de faire des progrès pour l'atteindre? Le péché, la chair, les pensées qui retournent en Égypte, Alors, qu'est-ce que Dieu fait à notre égard? Il a une Parole (v, 12-13) qui pénètre jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit, qui discerne les pensées et leS intentions Du cœur: Il juge, dans le désert, toutes les choses qui tendent à nourrir l'inc2Édulité et ce qui nous obscurcit l'Objet de notre foi. J'insiste beaucoup là-dessus. Si vos cœurs ont goûté d'avance ce repos, c'est en ayant vos pensées, et vos affe#tions conforme au8 pensées de Dieu. Repos de deux amis, bonheur, privilège immense d'être rendus participants de sa sainteté! Tout ce qui nourrit la chair et tend à détourner le cœur de la pureté de Dieu, tend à ôter son importance à Canaan pour en donner à l'Égypte, et à faire de Christ un « pain méprisable.» L'homme apprécie tout selon son Objet. S'il est ambitieux, il juge de la valeur des choses selon le but dé son cœur. Si vous avez goût le bonheur d'être avec Dieu, vous jugerez de tout comme Dieu. Des choses innocentes, un devoir qui cache Christ rie sont ni innocentes, ni un devoir pour le chrétien. Je parle du cœur du principe, du ressort de toute la vie, Si, j'ai vu Christ, si je l'ai contemplé, tout ce qui m'empêche de le voir est une perte. Celui qui ne

hait pas père, mère, et jusqu'à sa propre vie, ne peut être son disciple. Quand je fais un sacrifice, c'est que j'aime la chose que j'abandonne; c'est donc toujours moi-même que je sacrifie. Si un lien avec le monde est rompu, c'est le cœur qui est rompu, brisé, et je souffre ; mais Dieu, fait cela parce qu'il a un but pour nous. Il emploie la Parole, la perfection de la révélation de Christ, Christ lui-même, dans ce but. Cela encourage la vie spirituelle et nous fait voir que tout n'est qu'ordures en comparaison, de Lui.

Mais ce n'est pas tout. Christ m'est présenté et me dit: Tu recherches quelque chose d'aimable ? Ce n'est pas moi, cela ; c'est toi-même. J'aurais voulu garder cela sans en rien dire; filais la Parole est inexorable; elle fait des ravages, mais, ne craignez pas, d'heureux ravages. Si nos cœurs étaient ce qu'ils devraient être, il n'y aurait que du bonheur. Christ ne veut pas conclure la paix avec ce qui est un obstacle ; la Parole de Dieu est vivante et efficace ; c'est Dieu lui-même qui y est. Elle vient à nous comme l'œil de Dieu qui se fixe sur quelque chose que nous aurions voulu nous cacher à nous-mêmes.

Alors il y a lutte dans nos cœurs entre ces choses et Christ et il nous faut savoir si elles sont jugées. La Parole n'épargne rien, pas même la vie, pourvu que l’on gagne Christ.

C'est une joie parfaite pour nos âmes quand notre cœur est purifié, tandis qu'il y a danger d'endurcissement par la séduction du péché. Tel est le remède que l'apôtre applique à l'état religieux des Hébreux. Il emploie la Parole pour le juger. Il ne veut faire la paix avec aucune chose dans nos cœurs, qui les empêcherait d'être heureux avec Dieu. Quand on emploie la Parole pour se juger, on ne trouve que du bonheur et de la joie dans cette fidélité qui ouvre le cœur à la lumière. La volonté est détruite, le but est atteint. Notre volonté se mêle à tout. Prenez l'affection pour un enfant; voilà, une idole dans le cœur. Dieu voit cela et retranche l'enfant. On souffre, mais avec la conscience que Dieu nous aime, et la douceur dans le cœur remplace l'amertume causée par le combat de notre volonté avec celle de Dieu.

Je suppose la volonté brisée par la Parole qui l'a jugée. Je trouve alors le «grand souverain sacrificateur» - «Jésus, le fils de Dieu» (v. 14). Aussitôt qu'il ne s'agit plus de ma volonté, je suis dans sa compagnie. Il sait introduire dans le cœur qui souffre, plus de consolations que s'il n'y avait jamais eu de souffrance. L'affection de Jésus est devenue une force divine pour won cœur; Il a la langue des savants pour soutenir par une parole celui qui est accablé de maux.

Jésus sait par expérience, non parce qu'il avait une volonté, mais parce qu'il avait celle de son Père, comment Dieu consoler un cœur brisé, de quelle manière Sa grâce s applique aux besoins d'un cœur d'homme. Et ainsi il sait consoler nos cœurs et les lier au cœur de Dieu, n'ayant aucune autre volonté que la sienne. S'agit il de notre volonté, il faut l'épée à deux tranchants et ce n'est pas la paix. S'agit-il de nos besoins, nous avons le trône de la grâce qui répondit à tout nous console et nous vient en aide.

Jésus a tout rencontré dans ce monde et sympathise avec nous, sauf avec la volonté mauvaise et les mauvaises convoitises. Même s'il s’agit d'une chute il est là pour nous relever. Il est, miséricordieux pour tous nos besoins, mais la Parole n'épargne rien en nous, afin que nous trouvions, par nos infirmités même, ce qui nous fait jouir de Christ.

Le trône de la grâce (v. 16) nous parle des difficultés du chemin.

Encore un mot: On ne peut être chrétien sans que Christ soit l'objet de nos cœurs, le but de notre vie.

« L'œil simple» n'est pas simplement l'œil, Car si l'homme n'a pas l'œil, la foi, il n'est pas chrétien ; mais Dieu veut que notre œil soit simple, que Christ seul soit au fond du cœur. C'est l'entre-deux qui est la difficulté. Il ne s'agit pas seulement de ne pas déshonorer par une vie mau vaise le nom .que nous portons. Les affaires de toute espèce nous trompent en dominant notre cœur, obscurcissent la vue, et pendant les trois quarts du temps la chair occupe nos pensées. Christ est là, mais c'est un Christ gâté dans la manifestation de notre vie, un mélange qui n'étant ni eau ni terre, devient boue.

Où en êtes-vous, bien-aimés? Votre œil est-il simple? Si vous avez des besoins, tant mieux! Que je serais heureux d'entendre les chrétiens dire : Je suis faible, j'ai besoin de Christ. Cherchez-vous peut-être d'autres choses qui ne sont rien pour Christ? Y gagnez-vous maintenant, et qu'y aurez-vous gagné quand vous le rencontrerez! On n'a pas l'œil simple, on ne voit pas Christ clairement, et ce sont ces choses là qui empêchent de le voir. Plus d'un d'entre vous n'est pas heureux; il cherche en vain à parler de Christ, dont il ne goûte pas l'amour avec des chrétiens plus spirituels que lui. S'il se trouve seul, Christ est éloigné de sa pensée et il n'est occupé que de sa campagne ou de ses affaires. Sans Christ un chrétien mort peut être à son aise!

Si nous voulons être joyeux et avoir les affections heureuses du cœur, comprenons qu'il ne s'agit pour nous que de Christ, que de le gagner, que de croire à son amour, et la Parole qui juge tout en nous est encore l'action de son amour afin que nous puissions le glorifier dans notre marche.

Si nous voulons être joyeux et avoir les affections heureuses du cœur, comprenons qu'il ne s'agit pour nous que de Christ, que de le gagner, que de croire à son amour, et la Parole qui juge tout en nous est encore l'action de son amour afin que nous puissions le glorifier dans notre marche.

Dans le document Td corrigé 1923 - La Sainte Bible pdf (Page 85-92)