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Preuve : Etude d'appartenance et de completude.

4.3.2 Les nouveaux resultats

4.3.2.4 La conditionnalisation faible

Rappelons que la propriete de conditionnalisation faible se de nit par j j !

Theoreme 4.3.7

8p 2 fUni,Exi,Argg, 8m 2 fBo,Incl,Lex, E



g, la relation d'inference

non-monotone G-p-m, de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30, veri e la propriete de conditionnalisation faible.

Preuve :

Pour G-Uni-m : voir theoreme 2.6.1 page 43 et pour m =Bo,InclouLex, voir

aussi section 4.3.1 page 153. Pour G-Exi-m : 8m, j 9;m )8m, 9Y 0 sous-base m-preferee de E telle que Y0

` ; par de nition (voir section 2.2 page 7) les Y

0 ne peuvent avoir que

deux formes possibles : soit Y0=

f g[Y avec Y sous-base m-preferee de E ; alors on peut appliquer

le theoreme de la deduction et on obtient : 9Y sous-base m-preferee de E

telle que Y ` ! ;

soit Y0 =

f g[S avec S sous-ensemble de E qui n'est pas une sous-base

m-preferee de E ; S est donc issu d'une sous-base Y m-preferee de E incon- sistante avec )il existe Y sous-base m-preferee de E telle que Y `(: ) )il existe Y sous-base m-preferee de E telle que Y `(: )_ )il existe

Y sous-base m-preferee de E telle que Y `( ! ).

Pour G-Arg-m :8m, jA;m )8m,9Y

0sous-base m-preferee de E telle que Y0 ` et8Y 0sous-base m-preferee de E, Y 0 6`(: ) ; gr^ace a la demonstration

de la propriete de conditionnalisation faible pour les relations d'inference G-Exi-

m, on sait deja que \9Y

0sous-base m-preferee de

E telle que Y 0

` )9Y

sous-base m-preferee de E telle que Y `( ! )" ; raisonnons par l'absurde en

supposant que:(8Y sous-base m-preferee de E, Y 6`:( ! )) ; ceci implique

que 9Y sous-base preferee de E telle que Y ` :( ! ) ) 9Y sous-base m-

preferee de E consistante avec telle que Y [f g ` : ) 9Y

0 sous-base m-

preferee de E telle que Y 0

` : ) contradiction avec l'hypothese \8Y 0 sous-base m-preferee de E Y 0 6`(: )". 2

4.3.2.5 Le OU

Rappelons que la propriete du OU se de nit par j ; j

_ j

Rappel 4.3.1

Pourp =Uni,8m2fBo,Incl,Lex,E



g, la relation d'inference non-monotone

G-p-m, de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30, veri e la propriete du OU.

Preuve :

Voir section 4.3.1 page 153. 2

Theoreme 4.3.8

8p 2 fExi,Argg, 8m 2 fBo,Incl,Lex, E



g, la relation d'inference non-

monotone G-p-m, de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30,ne veri e pas la propriete du OU.

Pour G-Exi-m : Il sut de prendre un contre-exemple ; soit la base E suivante

(strati ee en deux strates) :

x; ! ! ;x

!x x!

Le calcul des sous-bases m-preferees de E fournit les resultats suivants :

8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de E sont :

Y1 =fx; ! ; ! ;x ;!xget

Y2 =fx; ! ; ! ;x ; x!g;

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de E, on trouve37 :

Y1 =fx; ! ; ! ;x ;!xg,

Y2 =fx; ! ; ! ;x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de E sont :

Y1 = Cn(fx; ! ; ! ;x ;!xg) et

Y2 = Cn(fx; ! ; ! ;x ; x!g) ;

pour E, on obtient :

8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de E sont :

Y0

1 =f! ; x; ! ; ! ;x ;!xget

Y0

2 =f! ; x; ! ; ! ;x ; x!g;

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de E, on trouve :

Y0

1 =f! ; x; ! ; ! ;x ;!xg,

Y0

2 =f! ; x; ! ; ! ;x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de

E sont : Y0 1 = Cn(f! ; x; ! ; ! ;x ;!xg) et Y0 2 = Cn(f! ; x; ! ; ! ;x ; x!g) ; pour E, on obtient :

8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de E sont :

Y00

1 =f! ; x; ! ; ! ;x ;!xget

Y00

2 =f! ; x; ! ; ! ;x ; x!g;

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de E, on trouve :

Y00

1 =f! ; x; ! ; ! ;x ;!xg,

Y00

2 =f! ; x; ! ; ! ;x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de

E sont : Y00 1 = Cn(f! ; x; ! ; ! ;x ;!xg) et Y00 2 = Cn(f! ; x; ! ; ! ;x ; x!g) ; pour ( _ )E, on obtient :

8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de ( _ )E sont :

Y000

1 =f! ; ; x; ! ; ! ;x ;!xget

Y000

2 =f! ; ; x; ! ; ! ;x ; x!g;

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de ( _ )E, on trouve :

Y000

1 =f! ; ; x; ! ; ! ;x ;!xg,

Y000

2 =f! ; ; x; ! ; ! ;x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de (

_ )E sont :

Y000

1 = Cn(f! ; ; x; ! ; ! ;x ;!xg) et

37Je cite ici, parmi les sous-basesBo-prefereesdeE, les sous-bases maximalesconsistantes (voir la propriete2.6.3

page 37). Remarquonsalors que si ces sous-basesn'inferentpas une formulealors aucuneautre sous-baseBo-preferee

n'inferera cette formule. Cette remarque s'applique tres souvent dans les contre-exemples concernant le mecanisme

Y000 2 = Cn(f! ; ; x; ! ; ! ;x ; x!g) ; 8m, on constate que : 9Y 0 sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` (les Y 0 1) ; 9Y 00 sous-base m-preferee de E telle que Y 00 ` (les Y 00 2 ) ; 69Y 000sous-base m-preferee de ( _ )E telle que Y 000 ` .

Pour G-Arg-m : le contre-exemple applique au cas G-Exi-m s'applique ici aussi

et,8m, on constate que : 9Y 0sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` (les Y 0 1) et8Y 0sous-base m-preferee de E, Y 0 6`(: ) ; 9Y 00sous-base m-preferee de E telle que Y 00 ` (les Y 00 2) et8Y 00sous-base m-preferee de E, Y 00 6`(: ) ; 69Y 000sous-base m-preferee de ( _ )E telle que Y 000 ` et8Y 000sous-base m-preferee de ( _ )E, Y 000 6`(: ). 2

4.3.2.6 La monotonie rationnelle

Rappelons que la propriete de monotonie rationnelle se de nit par j ; j6:

^ j

Rappel 4.3.2

Quel que soit m 2 fIncl,E



g, la relation d'inference non-monotone G-Uni-m,

de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30,ne veri e pas la propriete de mono- tonie rationnelle.

Preuve :

Voir section 4.3.1 page 153. 2

Rappel 4.3.3

Quel que soit m 2 fBo,Lexg, la relation d'inference non-monotone G-Uni-m,

de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30, veri e la propriete de monotonie rationnelle.

Preuve :

Voir section 4.3.1 page 153. 2

Theoreme 4.3.9

Pour p =Exi, quel que soitm2fBo,Incl,Lex,E



g, la relation d'inference

non-monotone G-p-m, de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30, veri e la propriete de monotonie rationnelle.

Preuve :

Elle utilise le lemme suivant :

Lemme 4.3.1

8m2fBo,Incl,Lex,E



gun mecanisme de selection, soient et

deux formules, soit Y une sous-base m-preferee de E qui est -consistante alors

Y [f gest une sous-base m-preferee de ( ^ )E.

Preuve :

Pour m = InclouLex, d'apres les theoremes de caracterisation 2.6.3

page 33 et 2.6.7 page 40, on sait que Y =f g[S avec S sous-ensemble

de E, S -consistant et S m-prefere parmi les sous-bases de E - consistantes ; sachant que Y est -consistante, on obtient que S est ^ -consistant, donc S est m-prefere parmi les sous-bases de E ^ -

consistantes ; en e et, si ne n'etait pas le cas, on aurait un sous-ensemble S0 m-prefere a S qui serait

^ -consistant, donc -consistant et donc

Pour m = Bo, d'apres le theoreme de caracterisation 2.6.4 page 37, on

sait que Y = f g[S avec S E, S -consistant et N( E)S ;

sachant que Y est -consistante, on obtient que S est ^ -consistant

et que N( E) est ^ -consistant ; donc N(( ^ )E) = N( E)

et Y [f gest une sous-base preferee de ( ^ )E.

Pour m =E, comme je me restreins au cas des defauts super-normaux,

je peux utiliser la propriete donnee dans [Bre89b] qui prouve, dans ce cas la, qu'il est toujours possible de trouver une strati cation de la base permettant d'obtenir les m^emes resultats avec le mecanisme Inclque

ceux obtenus avec le mecanisme E ; je pose ainsi E la base strati ee

composee des deux strates E0 et E1 avec E0 = W consistant et E1 =

fles consequents de chaque defaut de Dg; a chaque Y sous-base incl-

preferee de E correspond une extension YEde (W[f g;D) telle que

YE = Cn(Y ) ; donc si YE est -consistante alors Y est -consistante ;

sachant que la propriete est vraie pour Incl, on obtient que Y [f g

est incl-preferee de ( ^ )E, donc YE[f g est une extension de

( ^ )(W;D). 2 8m2fBo, Incl,Lex,E  g, j et j6(: ))9Y 0sous-base m-preferee de E telle que Y ` et 8Y 0 sous-base m-preferee de E, Y 0

6` (: ), donc toutes les

sous-bases m-preferees de E sont -consistantes ) 9Y

0sous-base m-preferee de

E telle que Y 0

[f g` ; or par le lemme 4.3.1 page precedente, Y 0 [f gest une sous-base m-preferee de ( ^ )E)9Y 00sous-base m-preferee de ( ^ )E telle que Y00 ` )( ^ )j 2

Theoreme 4.3.10

Pour p = Arg, quel que soit m2 fBo,Incl,Lex,E



g, la relation d'infe-

rence non-monotone G-p-m, de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30, ne veri e pas la propriete de monotonie rationnelle.

Preuve :

Il sut de prendre un contre-exemple ; soit la base E strati ee en deux

strates suivante :

x; ! ; !x

!x x!

8m, le calcul des sous-bases m-preferees de E fournit les resultats suivants : 8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de E sont :

Y1=fx; ! ; ; !x ;!xget

Y2=fx; ! ; ; !x ; x!g;

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de E, on trouve :

Y1=fx; ! ; ; !x ;!xg,

Y2=fx; ! ; ; !x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de E sont :

Y1= Cn(fx; ! ; ; !x ;!xg) et

Y2= Cn(fx; ! ; ; !x ; x!g) ;

pour E, on obtient :

8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de E sont :

Y0

1 =f! ; x; ! ; ; !x ;!xget

Y0

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de E, on trouve :

Y0

1 =f! ; x; ! ; ; !x ;!xg,

Y0

2 =f! ; x; ! ; ; !x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de

E sont : Y0 1 = Cn(f! ; x; ! ; ; !x ;!xg) et Y0 2 = Cn(f! ; x; ! ; ; !x ; x!g) ; pour ( ^ )E38, on obtient :

8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de ( ^ )E sont :

Y00

1 =f! ;! ; x; ! ; ; !x ;!xget

Y00

2 =f! ;! ; x; ! ; ; !x ; x!g;

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de ( ^ )E, on trouve :

Y00

1 =f! ;! ; x; ! ; ; !x ;!xg,

Y00

2 =f! ;! ; x; ! ; ; !x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de (

^ )E sont : Y00 1 = Cn(f! ;! ; x; ! ; ; !x ;!xg) et Y00 2 = Cn(f! ;! ; x; ! ; ; !x ; x!g) ; 8m, on constate que : 9Y 0 sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` (les Y 0 1) et 8Y 0 sous-base m-preferee de E, Y 0 6`(: ) ; 8Y 0 sous-base m-preferee de E, Y 0 6`(: ) ; 9Y 00sous-base m-preferee de ( ^ )E telle que Y 00 ` (les Y 00 1 ) et9Y 00sous-base

m-preferee de ( ^ )E telle que Y 00

`(: ) (les Y 00

2).

2

4.3.2.7 L'equivalence logique gauche

Rappelons que la propriete d'equivalence logique gauche se de nit par j= $ ; j

j

Theoreme 4.3.11

8p2 fUni,Exi,Argg,8m 2fBo,Incl,Lex,E



g, la relation d'inference

non-monotone G-p-m, de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30, veri e la propriete d'equivalence logique gauche.

Preuve :

Pour G-Uni-m : voir section 4.3.1 page 153.

Pour G-Exi-m : (pour G-Exi-E, voir aussi section 4.3.1 page 153) on sait que

j ,9Y 0sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` ; or,8m Y 0est de la forme S

[f gavec S un sous-ensemble de E m-prefere parmi

les sous-ensembles -consistants ;

d'autre part, on sait que est equivalent a , donc 8S sous-ensemble de E m-

prefere parmi les sous-ensembles -consistants, S est aussi un sous-ensemble de E m-prefere parmi les sous-ensembles -consistants, donc S[f gest une sous-base

m-preferee de E ; donc 9Y 0 sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` ) 9S sous-ensemble

de E m-prefere parmi les sous-ensembles -consistants tel que S[f g` ; or,

38Rappelons que je me situe dans un cadre syntaxique. Ceci implique que la formule ^ est un tout indivisible,

est equivalent a , donc S[f get S[f gont exactement les m^emes conse-

quences logiques ) 9S sous-ensemble de E m-prefere parmi les sous-ensembles

-consistants tel que S[f g` )9Y

00sous-base m-preferee de

E telle que

Y00 ` .

Pour G-Arg-m : on applique le m^eme raisonnement que pour G-Exi-m ;

on sait que, etant equivalent a , 8S, S[f get S[f g ont exactement les

m^emes consequences logiques, on obtient que :

9Y 0 sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` et8Y 0sous-base m-preferee de E, Y 0 6`: )9Y 00sous-base m-preferee de E telle que Y 00 ` et8Y 00 sous-base m-preferee de E, Y 00 6`: . 2

4.3.2.8 L'a aiblissement droit

Rappelons que la propriete d'a aiblissement droit se de nit par j= ! ; j

j

Theoreme 4.3.12

8p2 fUni,Exi,Argg,8m 2fBo,Incl,Lex,E



g, la relation d'inference

non-monotone G-p-m, de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30, veri e la propriete d'a aiblissement droit.

Preuve :

Pour G-Uni-m : voir section 4.3.1 page 153.

Pour G-Exi-m : (pour G-Exi-E, voir aussi section 4.3.1 page 153) on sait que j= ! , ` ! ; on sait aussi que j , 9Y

0 sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` ; donc9Y 0sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` .

Pour G-Arg-m : on sait que j= ! , ` ! ; on sait aussi que j , 9Y 0 sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` et8Y 0sous-base m-preferee de E, Y 0 6`(: ) ; donc9Y 0sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` et 8Y 0 sous-base m-preferee de E, Y 0

6`(: ) (ce dernier point se prouve en

raisonnant par l'absurde car s'il existe Y0sous-base m-preferee de

E telle que

Y0

`: alors il existe aussi Y

0sous-base m-preferee de E telle que Y 0 `: , puisque j= ! ,j=: !: ). 2

4.3.2.9 La coupure

Rappelons que la propriete de la coupure se de nit par j ; ^ j

j

Rappel 4.3.4

Pourp =Uni,8m2fBo,Incl,Lex,E



g, la relation d'inference non-monotone

G-p-m, de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30, veri e la propriete de la coupure.

Preuve :

voir section 4.3.1 page 153. 2

Theoreme 4.3.13

8p2 fExi,Argg, 8m2 fBo,Incl,Lex,E



g, la relation d'inference non-

monotone G-p-m, de nie a l'aide des de nitions 2.6.1 page 30 et 2.6.2 page 30,ne veri e pas la propriete de la coupure.

Pour G-Exi-m : il sut de prendre un contre-exemple ; posons la base E strati ee

en deux strates suivante :

x; ! ; ! ;x

!x x!

8m, le calcul des sous-bases m-preferees de E fournit les resultats suivants : 8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de E sont :

Y1 =fx; ! ; ; ! ;x ;!xget

Y2 =fx; ! ; ; ! ;x ; x!g;

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de E, on trouve : Y1 =fx; ! ; ; ! ;x ;!xg,

Y2 =fx; ! ; ; ! ;x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de E sont :

Y1 = Cn(fx; ! ; ; ! ;x ;!xg) et

Y2 = Cn(fx; ! ; ; ! ;x ; x!g) ;

pour E, on obtient :

8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de E sont :

Y0

1 =f! ; x; ! ; ; ! ;x ;!xget

Y0

2 =f! ; x; ! ; ; ! ;x ; x!g;

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de E, on trouve :

Y0

1 =f! ; x; ! ; ; ! ;x ;!xg,

Y0

2 =f! ; x; ! ; ; ! ;x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de

E sont : Y0 1 = Cn(f! ; x; ! ; ; ! ;x ;!xg) et Y0 2 = Cn(f! ; x; ! ; ; ! ;x ; x!g) ; pour ( ^ )E, on obtient :

8m2fIncl,Lexgles sous-bases m-preferees de ( ^ )E sont :

Y00

1 =f! ;! ; x; ! ; ; ! ;x ;!xget

Y00

2 =f! ;! ; x; ! ; ; ! ;x ; x!g;

pour m =Bo, parmi les sous-bases m-preferees de ( ^ )E, on trouve :

Y00

1 =f! ;! ; x; ! ; ; ! ;x ;!xg,

Y00

2 =f! ;! ; x; ! ; ; ! ;x ; x!g;

pour m =E, les sous-bases m-preferees de (

^ )E sont : Y00 1 = Cn(f! ;! ; x; ! ; ; ! ;x ;!xg) et Y00 2 = Cn(f! ;! ; x; ! ; ; ! ;x ; x!g) ; 8m, on constate que : 9Y 0 sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` (les Y 0 1) ; 9Y 00 sous-base m-preferee de ( ^ )E telle que Y 00 ` (les Y 00 2) ; 69Y 0sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` .

Pour G-Arg-m : le contre-exemple applique au cas G-Exi-m s'applique ici aussi

et,8m, on constate que : 9Y 0sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` (les Y 0 1) et8Y 0sous-base m-preferee de E, Y 0 6`(: ) ; 9Y 00 sous-base m-preferee de ( ^ )E telle que Y 00 ` (les Y 00 2) et 8Y 00 sous-base m-preferee de ( ^ )E, Y 00 6`(: ) ; 6 9Y 0 sous-base m-preferee de E telle que Y 0 ` et 8Y 0 sous-base m- preferee de E, Y 0 6`(: ). 2