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10.3 L’ ANALYSE DES EXEMPLES

10.3.2 Rubrique « Pôle »

10.3.2.4 ALT Soins alternatifs

10.3.2.3 DIV Divers

Sous « Divers » nous trouvons des cours ayant un aspect transversal mais aussi « cours de niches », à première vue des cours peu ciblés.

Quelques commentaires des interviewés :

« Ça n’a pas beaucoup d’attrait. », « C’est pas évident. » (CHUV, 352-356) Et :

Ce thème là il fait partie du module des cliniciennes, parce que dans les compétences des cliniciennes c’est l’ASI qui défini, elles doivent aussi être formées comme agent de changement. […] C’est un cours un peu particulier sur finalement une vision plus globale du monde sanitaire politique qu’on vit localement, « cantonalement », nationalement, voir mondialement. Qu’ils comprennent mieux dans quoi le changement s’insère pour y donner du sens. (CHUV, 360-367)

« C’était une demande, parce que plus et plus dans les soins aigus par exemple il y a beaucoup de…oui ils sont confrontés à des personnes qui viennent de cultures différentes.»

(AsiVS, 645-651).

Commentaire :

Nous constatons qu’un cours cité peut seulement avoir lieu parce qu’il fait partie intégrante des cours obligatoires pour les personnes qui suivent la formation de clinicienne (une formation qui vise une expertise accrue dans les soins infirmiers, spécialiste d’analyse de situations des patients), dont les conditions sont prescrites par l’ASI, mais comme il peut être pris par d’autres infirmières il figure dans le programme « formation continue ».

Le deuxième cours de cette rubrique n’a pas trouvé un public malgré qu’il fût demandé, les raisons ne sont pas connues, et un troisième est dans sa phase d’essai.

10.3.2.4 ALT Soins alternatifs

Ce type de cours a quelque chose à voir avec toutes les approches développées depuis la fin des années 60 qui mettent un contre-point aux médecines classiques, allopathiques et soins traditionnels occidentaux. Depuis, une certaine attirance est constatée tant du côté des

« patients » que des « thérapeutes ». Les soignants peuvent vouloir y chercher un créneau pour subsister à leurs besoins, une façon de donner sens à leur vie, de gagner en indépendance ou une niche professionnelle avec plus d’autonomie.

Ce sont typiquement des cours destinés à un public cible plus large proposés par de multiples autres centres de formation non-spécifiquement « infirmière » type « cours Migros » ou des écoles plus intimistes, sous une forme peut-être légèrement différente. Difficile pour l’infirmière de montrer où est sa plus value après l’accomplissement d’un de ces cours.

Quelques marques venant des interviews :

Alors les massages des pieds et des mains, la réflexologie de confort, on a depuis des années et avant moi un cours de réflexologie qu’on a commencé a appelé thérapeutique. C'est-à-dire c’est de la réflexologie qui permet à des infirmières à avoir une pratique indépendante et d’être reconnue par les assurances maladies. (AsiGE, 304-314)

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Alors : soins infirmiers, pathologies, soins relationnels et la communication et un secteur qu’on appelait « autres », c’est par exemple les massages, des sujets, des thèmes qui intéressent les infirmiers/infirmières mais qui ne font pas vraiment partie des autres domaines. […] Par exemple là il y a le cours « hypnose » c’est la deuxième fois qu’on va le faire, parce que cela revient souvent […] dans les propositions […].

Parce que l’hypnose, oui, ce sont les méthodes alternatives mais qui sont quand même utiles…voir la relaxation…pour les bénéficiaires des soins mais en même temps pour les soignants….(AsiVS, 102-128)

Historiquement les massages, si c’est la réflexologie si c’est le drainage lymphatique […] c’est des approches que les soignants apprécient beaucoup… tout ce qui est approche complémentaire. […] Donc c’était plus finalement pour les professionnelles entre elles…un moyen de se détendre et de…vraiment une ressource personnelle pour pouvoir faire face à toutes leurs difficultés quotidiennes en faite. (AsiNE, 316-324) C’est des offres qui sont toujours apparues alors elles bougent quant à la technique de massage, vous dites le massage minute, on a le massage assis, on a tout sorte de massage… mais c’est une préoccupation qui reste constante et il y a toujours une demande dans ce registre là. (EC, 232-234)

Alors ça je n’ai encore pas saisi pourquoi les professionnelles de la santé sont tellement ouvertes aux médecines alternatives. Est-ce que c’est un contre-pied à une médicalisation très forte qui ne donne pas toujours des résultats souhaités, en tout cas pas sans effets néfastes. Mais je n’ai pas d’interprétation, j’ai jamais trouvé de raisons claires qui expliqueraient pourquoi les professionnelles infirmières apprécient particulièrement ces approches. (AsiNE, 339-346)

C’est une de nous qui a cherché, qui a lu son livre, […] et puis c’était dans un contexte où beaucoup voulait se former en médecine complémentaire, et on commençait déjà à prendre l’option de dire mais on ne va quand même pas former en médecine complémentaire (une formation complète ndlr) […]. Par contre le massage minute on en a toujours besoin. Court et efficace, en fait par la suite c’est parce que ça marchait bien que c’est toujours dans le programme. (AsiFR, 21-35)

Commentaire :

L’attrait pour ces soins complémentaires se confirme, même si les raisons pour cet engouement restent en partie un mystère. Les cours sont renouvelés sur la base d’une demande soutenue. Initié par un centre de formation seulement un cours a de la peine à trouver son public. Intéressant que ces cours soient proposés que par des centres de l’ASI.

Quelques points sont très clairement exprimés comme la visée d’indépendance dans leur travail que se soit dans le cadre du quotidien professionnel que dans une activité en tant qu’infirmière indépendante, mais aussi que ces cours peuvent apporter des bénéfices aux patients et aux soignantes.

69 10.3.2.5 COM Communication, relation

Des cours étant tous en lien, plus ou moins saillants, avec la communication interpersonnelle et qui semblent avoir une place importante de par leur présence en nombre dans la formation continue. Ce sont des thèmes transversaux non spécifiques à un certain type de bénéficiaire de soins.

Les remarques des interviewés qui circonscrivent les fondements de ces thèmes :

L’approche systémique je l’ai introduite au CREP parce que personnellement j’en avais fait, j’ai une formation d’infirmière en psychiatrie et puis j’étais persuadée que c’était une approche qui était très utile dans tous les secteurs de soins. Pour moi c’était une façon de beaucoup mieux pouvoir prendre en compte l’environnement du patient qui est très souvent complètement évacué, et donc je le voyais comme un nouvel outil un outil complémentaire utile au soignant. (EC, 438-443)

Sur la communication on a beaucoup, et c’est des cours qui marchent en général, c’est pour ça qu’on les maintient et je pense que c’est une spécificité qui est vraiment importante sur laquelle…le relationnelle moi j’insiste beaucoup parce que je pense que c’est quelque chose qui manque vraiment dans les soins malgré tout. Malgré toutes les formations et je pense moi je prône ça comme spécificité vraiment. (AsiGE, 340-363) L’enseignante nous avait proposé ce thème parce que c’était quand-même une problématique, bon qu’on a ouverte à tout le monde maintenant, mais qui était plutôt un souci de cadre quand-même, de gérer les conflits d’équipe, mais maintenant c’est ouvert à toutes les professionnelles et qui fonctionne bien, il y a une réelle demande.

(AsiNE, 378-386)

Ça c’est lié à un des modules ou un ensemble de modules qu’on a mis en place il y a trois ou quatre ans où on constatait… la demande est très forte d’apprendre au gens à mieux communiquer. Pourquoi : parce que on a plus en plus de patients qui ont des problèmes de communication lié à des maladies dégénératives cérébrales, des personnes âgées. Les patients […], ils demandent simplement plus d’explication et puis de compréhension, plus d’informations. (CHUV, 405-417)

Commentaire :

Ce qui est surtout souligné par les responsables de formation qui accordent d’ailleurs une grande importance à ces sujets, c’est la forte demande autour de cette thématique. Il y a une sorte de sous-entendu qui considère que la communication est un sujet très proche de l’infirmière mais aurait néanmoins besoin d’être amélioré, une opinion qui peut semble-t-il aller jusqu’à « ordonner » à l’infirmière d’apprendre à mieux communiquer.

Les raisons que les responsables avancent vont de la nécessité de prendre en charge le patient de façon globale dans un contexte de complexification des pathologies, passent par une meilleure communication afin de mieux gérer les équipes jusqu’à pouvoir faire face à un patient plus autonome aujourd’hui.

Une raison de retrouver ces cours constamment dans les programmes c’est que la plupart des échos sont positifs. La seule exception qui n’est probablement pas une est due à l’approche particulière de la thématique.

Ces cours sont à une exception près exclusivement proposés par les centres de formations de l’ASI.

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10.3.2.6 GEST Diagnostique de soins, projet de soins, analyse, transmissions, gestion Ceci est une rubrique qui pourrait abriter des sujets importants, même indispensables pour les soins, mais à une certaine distance du « lit du malade ». Il s’agit d’activités se faisant en grande partie en dehors de la chambre de la personne soignée, au bureau des infirmières.

Il y a un seul cours ici. C’est un cours qui anticipait un développement qui se dessinait dans les hôpitaux, voici une citation :

J’ai fait tout un projet de…pour soutenir en fait ces intégrations de transmissions ciblées et on avait eu un petit peu de succès mais pas tellement. Parce que là aussi…en anticipant sur ce qui se passait sur le terrain et alors les gens, ils n’ont pas encore vu l’intérêt. (AsiNE, 283-311)

Commentaire :

Une rubrique avec un grand potentiel mais qui semble déserte. Pourquoi ? Une raison peut être que les sujets plus « gestion » sont prévus dans les cours spécifiques aux cadres, mais aussi que ces sujets ont probablement un côté trop « technique », mais cette fois non en lien avec des actes pratiques au lit du malade, mais technique dans un sens « managérial ».

Notre exemple montre aussi un problème dû à un « trop tôt ou trop tard » comme la responsable de formation concernée le relève.

10.3.2.7 ETH Ethique

Une thématique transversale et comme on devrait le croire importante, non seulement parce que l’éthique professionnelle constitue une partie du fondement de ce métier mais aussi parce que les situations qui suscitent des questions éthiques en sont le pain quotidien. Ce sujet devrait donc trouver une large place dans la formation continue.

Quelques commentaires des interviewés :

Si vous prenez peut être l’offre de l’ASI comme arrière fond il y a des offres qu’on a mis sur le marché parce qu’on estimait qu’elles devraient être mises pour être dans l’ouverture que les soins devrait avoir. Je pense par exemple à l’éthique. On a mis pendant des années des offres d’éthique même si ça ne marchaient pas avec l’idée qu’il fallait que dans une offre de soins infirmiers l’éthique en fasse partie. Même si finalement la population n’y est pas. (EC, 88-93)

Une responsable de formation cite le cours éthique comme apport possible à une meilleure qualité de soins et parle même d’un « idéal de la profession ». Mais :

Oui alors ça en général se sont des cours qui ne fonctionnent pas très bien parce que…je pense particulièrement des cours liés à l’éthique…qui sont des cours très importants et aident au positionnement professionnel, mais qui n’ont pas un succès très grand au niveau des professionnels, parce que le lien avec la pratique n’est pas toujours très évident. (AsiNE, 201-209)

Et cite aussi une cause :

Alors soit il y a une implication personnelle qui est très importante et qui peut être difficile à supporter… quand on vient aux cours on n’a pas toujours envie de s’impliquer, on le fait toute l’année…s’impliquer différemment…en tout cas personnellement… dans un cours d’éthique on va en général se positionner, on va s’appliquer dans sa personnalité, dans sa manière de voir la profession. (AsiNE, 201-209)

71 Commentaire :

Il y a quelques offres sur l’initiative des centres de formations de l’ASI, mais leurs destins semblent montrer un important fossé entre l’opinion des responsables de formation qui trouvent ce sujet indispensable et celui de potentiels participants montrant que très peu d’intérêt.

Une explication mise en avant ou possible est, que le professionnel vient dans une formation continue avec une attitude consumériste et n’a pas la disponibilité de s’engager.

10.3.2.8 ENC Encadrement

Un sujet qui est peut-être, dû au travail en équipe presque omniprésent, transversal dans les soins. En effet la présence d’apprenants un peu partout dans les établissements et le roulement prononcé ou important des soignants dans les établissements de soins nécessitent beaucoup de démarches d’introduction et d’accompagnement de la part de l’équipe en place.

Cette omniprésence est aussi soulignée par un ajout aux cinq fonctions de l’infirmière concernant l’encadrement des élèves (cité à la page 74).

Il y a peu d’offres, mais néanmoins deux commentaires qui mettent quelques points en lumière :

Alors à cause de… justement tous ces changements, toute cette entrée avec Bologne et puis les positions de chaque…de l’infirmière diplômée de Bologne et puis de la

« vieille » infirmière entre guillemets de la croix rouge, l’infirmière N1, N2…donc tout ce passage. […] Parce qu’on trouve avec toutes ces compétences qui viennent sur le marché…il faudra bien qu’on puisse y voir clair. Quelles sont les compétences des uns et quelles sont les compétences des autres…. (AsiVS, 687-714)

Oui beaucoup, beaucoup…. Maintenant on va le plus remettre sous cette forme là parce qu’avec les HES on a des praticiens formateurs qui étaient anciennement ces personnes de référence. […] Nous on leur donnait toujours des formations pédagogiques avant qu’elles ont des stagiaires. (HôpNE, 673-678)

Alors là il y avait les infirmières qui disaient je dois accompagner des stagiaires, mais je suis quand-même pas toujours à la hauteur ou alors il y a parfois des cours je ne veux pas prendre des élèves parce que je n’ai pas de formation et je ne sais comment faire. C’étaient des demandes des infirmières, effectivement. (HôpNE, 689-692) Commentaire :

D’une part nous constatons une incertitude initiée par l’apparition des nouvelles professions sur le marché, en particulier les infirmières HES et les ASSC, ce qui demande une réflexion quant à l’encadrement approprié (par exemple est-ce qu’une « simple » infirmière peut encadrer une étudiante HES ?...) et d’autre part un déplacement de l’encadrement depuis l’infirmière sans formation pédagogique vers les praticiennes-formatrices ayant une formation pédagogique de courte durée dispensée par les HES. Ceci dit le rôle traditionnel des centres de formation continue dans la formation de l’encadrement a fortement diminué ce qui explique l’absence de ce type de cours.

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10.3.2.9 RECH Recherche

Un autre domaine peu représenté par des cours, mais suscitant des remarques.

En effet la recherche construit habituellement une base sur laquelle un métier peut se développer trouvant écho dans les démarches de recherche stipulées dans les cinq fonctions de l’infirmière et qui font partie du cahier des compétences des HES.

Ainsi des cours de formation continue en recherche se justifieraient certainement et devraient susciter l’intérêt des soignantes.

Voici des bouts de citations des interviews s’y référant :

Le sujet recherche pour moi c’est comme l’éthique, c’est la même chose, on est dans la même logique, c’est terrible, vous y croyez, vous voulez promouvoir, alors on a contourné la difficulté en mettant, et la recherche et l’éthique, dans les longs cycles de formation où là il n’y avait pas le choix. Mais quand on l’offre, quand les gens l’ont pas choisi et qu’ils l’on, en général ils sont très contents, mais ils ne choisiraient pas eux-mêmes. (EC, 618-622)

Une section de l’ASI projette de proposer un cours en lien avec la recherche (AsiNE, 594-597) et ceci malgré le fait qu’elle a constaté que « la notion de compétence nécessaire en matière de recherche est la plus petite compétence demandée qui est perçue » (AsiNE, 548-550). Les infirmières sur le terrain considèrent donc la recherche comme peu importante.

Alors là c’est quelque chose qu’on n’a pas été confronté… », « Ca ça les excite pas ! », « Il y a jamais eu quelconque mots qui va dans ce sens là les seuls qui éventuellement seraient intéressées à ce genre de choses se sont les cliniciennes.

[…] Sur la pratique c’est très intéressant, mais il faut avoir des moyens pour le faire.

Et puis en ce moment il y a tellement d’autres priorités et d’autres choses beaucoup plus importantes que ça à mon avis sur le terrain, notamment sur la qualité des soins.

[…] Et puis je trouve que les recherches qui ont été faites n’ont pas révolutionné la planète. Et puis je trouve qu’on ne prend pas forcément mieux en charge les patients après ça ! HôpNE, 535-623)

Celui là il existe aussi en fonction du fait que les cliniciennes doivent avoir un certain nombre de compétences de recherche, pas tellement pour en faire elles-mêmes, parce que c’est encore un autre niveau qu’on a pas nous, mais c’est les gens qui leur font participer à des recherches […] et puis de pouvoir collaborer, quand il y a des étudiants HES dans les services qui laissent faire des bouts d’enquête pour leur recherche à eux qu’ils puissent les aider dans ce domaine, donc c’est à ce niveau là plutôt. (CHUV, 471-479)

Nous on a quelque chose sur la recherche depuis très longtemps, depuis qu’on parle des HES et qu’on dit que c’est le pôle recherche qui est important. Moi j’ai mis quelque chose sur la recherche mais ça ne marche pas du tout. (AsiGE, 605-607) Commentaire :

Il règne une unanimité, à une voix critique près, que des cours sur la recherche sont utiles, mais aussi grand est l’unanimité que ceci n’intéresse pas du tout les soignants. Il ne semble pas être très clair jusqu’où l’approfondissement du sujet « recherche » devrait aller.

Dans le seul centre où un cours sur ce thème peut avoir lieu, il est quasi « obligatoire ».

C’est une des seules thématiques, avec le cours de gestion, qui est en lien avec la fonction cinq de l’infirmière.

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10.3.2.10 DEV Développement personnel

Nous sommes ici en présence de cours qui ne sont souvent pas spécifiquement destinés aux

« infirmières » et qui ne sont pas centrés sur le bénéficiaire de soins ou seulement de façon indirecte, mais sur la personne soignante.

Les responsables de formation nous en disent plus :

« Cela fait longtemps qu’on l’a, sur la gestion du stress parce que cela vient des demandes individuelles des gens à qui ont fait l’évaluation annuelle et à qui on dit vous devriez apprendre à gérer votre stress » (HôpNE, 334-338).

Pour moi il y a deux…deux temps dans le développement personnel. Au début quand j’ai commencé dans ce poste il me semble on a fait beaucoup plus de développement personnel dans un sens élargi, c'est-à-dire les infirmières venaient volontiers dans les offres de formation qui étaient vraiment un peu tout azimuts pour développement dans un sens large. Et je pense qu’il y avait au fil des années un changement chez les employeurs qui ont moins financé ce type d’offres […]. Peu à peu on a renoncé à tout un nombre d’offres qui étaient de type développement pour venir à des choses beaucoup plus professionnelles. Et puis il est venu un temps où il y a eu des questions de saturation, de frustration, de burn out, de stress…. De gestion de conflit qu’on peut aussi voir dans ce registre là. (EC, 512-523)

« Réussir son argumentation » c’est aussi quelque chose que moi je connais chez des

« Réussir son argumentation » c’est aussi quelque chose que moi je connais chez des