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7. Résultats et analyses

7.1 Résultats et analyses des cas

7.1.6 L’enseignant no 6

Cet enseignant a trois ans d’expérience en éducation, dont un an au deuxième cycle du primaire. Il n’a aucune formation particulière en art plastique, autre que les cours donnés

au baccalauréat. L’enseignant a uniquement un intérêt scolaire pour les arts. En une année, il ne fait aucune visite dans les musées d’art, personnelle ou organisée par l’école.

7.1.6.1 Conception de l’art

Nous présentons ici l’analyse du discours du sujet 6 sur l’art (voir tableau 29). Celui-ci sera commenté dans ses différents aspects. D’une part, de manière horizontale ; entre les thèmes et d’autre part, de manière verticale ; entre les œuvres.

Tableau 29 : Analyse du discours du sujet no 6, la conception de l’art

Sujet 6

Œuvres d’art

Axe

ART

Conception sociale Iconologie Mode de la pensée

Cl Mo Ct Icô Ind Sym Any Ano

Réalisme 1 1 0 1 1 0 1 0 Figurative 1 0 0 1 0 0 1 0 Surréalisme 0 1 0 1 1 0 1 0 Expressionnisme abstrait 0 1 0 0 1 0 1 0 Art conceptuel 0 0 2 0 1 2 1 1

Notes : Conception sociale

évolutive Iconologie évolutive

Mode de la pensée analytique, mais

évolution vers analogique

7.1.6.1.1 Analyse horizontale

Pour le sujet no 6, on constate qu’une conception moderne amène l’enseignant à cibler son interprétation sur l’icône, ainsi que sur les indices de l’œuvre : « Je trouve qu’elle a l’air calme ! Elle a l’air bien, soit dans la mer ou en train de se baigner ! On voit de l’eau en arrière d’elle là ! C’est sûr qu’elle doit flotter » (VS6, l. 6). Pour ce qui est d’une conception classique, on voit que ce sujet ne s’attarde qu’uniquement à l’icône : « Euh [silence] bien je la trouve magnifique, je trouve que ça fait heureux ! Le paysage il fait sourire ! C’est beau là » (VS6, l. 32). Bref, lorsqu’il adopte une conception contemporaine, celle-ci

s’accorde également avec un regard sur la symbolique de l’œuvre, le sujet tente d’en découvrir le sens ou ce qu’elle signifie :

Euh [silence] je sais pas trop là ! Ça me fait penser à la philosophie et je sais pas trop pourquoi ... Ça semble être une photo ! Est-ce que c’est juste une chaise devant un mur et une photo de la chaise ? ... c’est sûr que je trouve que c’est intrigant. Ça m’intrigue comme œuvre. (VS6, l. 99, 106 et 104)

Cette conception amène donc le sujet à regarder les indices de l’œuvre pour parvenir à comprendre sa symbolique, c’est pourquoi il raisonne de manière analytique, mais on peut voir qu’il raisonne également de manière analogique.

7.1.6.1.2 Analyse verticale

On voit une évolution autant de la conception, que de l’iconologie, et finalement du mode de pensée, en fonction du niveau d’abstraction des œuvres présentées. D’une part, le sujet a davantage une conception moderne et classique en regard aux quatre premières œuvres, ainsi il s’attarde soit à sa beauté et à la renommée de l’artiste : « Je la trouve belle cette toile-là ...  bien je la trouve magnifique ... C’est beau là » (VS6, l. 8 et 32) ou soit à son ressenti, à une critique plus esthétique de l’œuvre : « Je la trouve bizarre ! On dirait vraiment un morceau de face, t’sais comme dans les films quand un personnage enlève son masque là ! Ça ressemble à ça ! Ça fait un petit peu macabre » (VS6, l. 53). D’autre part, on constate que le sujet s’attarde plus à l’icône, c’est-à-dire que, dans son discours, il met l’accent sur les qualités de l’œuvre, ses propres émotions et sentiments, ainsi que sur beauté de l’œuvre ou le plaisir du regard, et ce, pour les trois premières. Toutefois, il s’attarde uniquement aux indices pour l’expressionnisme abstrait, puis à la symbolique de l’œuvre pour l’art conceptuel. Bref, alors que le sujet raisonne majoritairement de manière analytique, on voit qu’il raisonne aussi de manière analogique pour l’art conceptuel : « Euh [silence] je sais pas trop là ! Ça me fait penser à la philosophie et je sais pas trop pourquoi » (VS6, l. 99).

7.1.6.2 Conception du potentiel créatif

Nous présentons ici l’analyse du discours du sujet 6 sur la créativité (voir tableau 30). Celui-ci sera commenté dans ses différents aspects. D’une part, de manière horizontale ; entre les thèmes et d’autre part, de manière verticale ; entre les œuvres.

Tableau 30 : Analyse du discours du sujet no 6, la conception du potentiel créatif

7.1.6.2.1 Analyse horizontale

Le sujet accorde un potentiel créatif à toutes les œuvres présentées. Il considère que l’art amènerait les enfants à être créatifs, puisqu’il s’agirait d’une nouveauté ou d’un nouvel apprentissage pour eux : « Ça serait autre chose à faire, ça serait nouveau pour eux ... Ça ferait changement des habitudes ... Parce que ça leur ferait voir un peu d’une autre manière le dessin, les traits, la perspective, ça serait différent pour eux » (VS6, l. 28, 30 et 70). Il considère également la créativité dans la capacité de l’élève à communiquer ses émotions :

[C]’est vraiment comment tu te sens et c’est ça qui est dévoilé. Si un enfant mettait beaucoup de rouge et beaucoup de noir, je pense que je me poserais des questions ! Si les

Sujet 6

Œuvres d’art

Axe

CRÉATIVITÉ

Descriptif Potentiel

Ima Émo Lib Imp/

rest Cap /perfo Nouv /app Uni /diff Pot/cré Aucun pot/cré Réalisme 0 0 0 0 0 2 0 2 0 Figurative 0 0 0 0 0 1 0 1 0 Surréalisme 0 0 0 0 0 1 0 1 0 Expressionnisme abstrait 0 1 0 0 0 0 1 1 0 Art conceptuel 0 0 2 0 0 1 1 2 0

Notes : Conçoit la créativité majoritairement comme un nouvel apprentissage ou de la nouveauté pour l’élève

Potentiel créatif à toutes les œuvres

couleurs sont plus vives, on dirait que quand c’est plus vif, t’es plus heureux ! Avec les couleurs, je serais capable de voir qu’est-ce qu’eux ressentent. (VS6, l. 91)

Et aussi en fonction de la liberté que ça leur permettrait de vivre :

[I] ls pourraient prendre n’importe quel objet et faire la photo qu’ils veulent ! Il faudrait qu’ils trouvent eux-mêmes une façon ! Oui je pense que ça les rendrait créatifs ! Je donnerais quand même des consignes, mais pas trop pour que ce soit vraiment représentatif et un peu libre. (VS6, l. 125)

Bref, selon l’enseignant, les élèves seraient créatifs, puisqu’il y aurait place à la différence, ils créeraient de manière unique : « Bien je pense que c’est vraiment toi. C’est vraiment comment tu te sens et c’est ça qui est dévoilé » (VS6, l. 91).

7.1.6.2.2 Analyse verticale

On ne remarque pas d’évolution particulière en fonction du niveau d’abstraction de l’œuvre présentée au sujet.

7.1.6.3 Représentation du potentiel éducatif de l’art chez l’enfant

Nous présentons ici l’analyse du discours du sujet 6 sur le potentiel éducatif de l’art chez l’enfant (voir tableau 31). Celui-ci sera commenté dans ses différents aspects. D’une part, de manière horizontale ; entre les thèmes et d’autre part, de manière verticale ; entre les œuvres.

Tableau 31 : Analyse du discours du sujet no 6, la représentation du potentiel éducatif de l’art chez l’enfant

Sujet 6

Œuvres d’art

Axe

POTENTIEL ÉDUCATIF DE L’ART

Mode de représentation du savoir Niveau d’abstraction Mode Ena Mode Icon Mode Symb Aucun mode C+ C- A+ A-

Réalisme 1 3 0 0 Non abordé

Figurative 1 3 0 0 Non abordé

Surréalisme 1 0 0 0 Non abordé

Expressionnisme

abstrait 1 1 0 0 0 0 0 2

Art conceptuel 2 2 0 0 Non abordé

Notes : Mode de représentation uniquement enactif et iconique

Le sujet considère qu’une œuvre abstraite n’offre aucun repère à

l’élève

7.1.6.3.1 Analyse horizontale

Pour ce qui est du potentiel éducatif de l’art, le sujet no 6 y voit un potentiel presque toujours enactif, c’est-à-dire qu’il propose des idées d’activités concrètes pour l’élève, des activités où il a à créer un objet artistique quelconque : « Bien peut-être comme une œuvre collective là ! Une grosse œuvre collective, une œuvre abstraite comme ça là ! Ça se ferait ... Pour un visage, ils le font toujours de face là, mais ils pourraient faire de côté » (VS6, l. 78 et 65). Il considère aussi qu’il existe un potentiel iconique aux œuvres, donc que l’élève développerait sa compréhension du monde via cet outil visuel :

Ce serait surement une appréciation, comme je disais tantôt là ! Eux comment qu’ils la trouvent, eux s’ils voient des détails nouveaux ou eux qu’est-ce qui les marque dans cette œuvre-là ... Ça leur apprendrait surement une nouvelle facette des arts plastiques. (VS6, l. 35 et 44)

On voit d’ailleurs que, pour l’œuvre expressionniste abstraite, le sujet conçoit son niveau d’abstraction comme une difficulté, une limite. Ainsi, c’est en fonction de ça qu’il

considère un potentiel iconique, comme une nouvelle forme d’art, quelque chose que les enfants ne sont pas habitués de faire :

Parce que c’est rare qu’à l’école on fait des arts abstraits comme ça là ! Eux, d’habitude, ça amène un résultat qu’on voit c’est quoi. On dirait que j’ai un pot de fleurs dans la tête, mais à la fin, on va voir le pot de fleurs là ...  ça c’est très abstrait là ! Bien à la fin ça ressemble à [silence] pas que ça ne ressemble à rien là. (VS6, l. 82 et 87)

De cette façon, on comprend que le sujet n’accorde pas de potentiel à la symbolique de l’œuvre, puisqu’il le considère davantage dans une réalisation concrète.

7.1.6.3.2 Analyse verticale

On ne remarque pas d’évolution particulière en fonction du niveau d’abstraction de l’œuvre présentée au sujet.

7.1.6.4 Représentation de l’utilisation pédagogique de l’art dans sa pratique d’enseignement

Nous présentons ici l’analyse du discours du sujet 6 sur l’utilisation pédagogique de l’art dans sa pratique (voir tableau 32). Celui-ci sera commenté dans ses différents aspects. D’une part, de manière horizontale ; entre les thèmes et d’autre part, de manière verticale ; entre les œuvres.

Tableau 32 : Analyse du discours du sujet no 6, la représentation de l’utilisation pédagogique de l’art dans sa pratique d’enseignement

7.1.6.4.1 Analyse horizontale

Le sujet propose une utilisation, le plus souvent, très technique : « ça serait au niveau du visage là ! Des détails des visages ou au niveau de la forme là ...  il y a les couleurs primaires, je pourrais donc travailler ça un petit peu avec eux » (VS6, l. 61 et 74), mais estime également l’utilisation de l’art pour amener l’élève à développer des connaissances au niveau de l’histoire, de la société ou encore sur la culture artistique :

Bien c’est sûr qu’ils pourraient voir une nouvelle forme d’art ! Parce que c’est rare qu’à l’école on fait des arts abstraits comme ça là ...  ils n’ont surement jamais fait de la photo à l’école ! Donc, ça serait une nouvelle forme d’art pour eux. (VS6, l. 82 et 119)

Il n’accorde aucune utilité à l’art pour l’œuvre réaliste, ainsi que pour l’œuvre surréaliste, selon la limite Niveau scolaire des élèves. En effet, il considère qu’il ne les utiliserait pas à cause du niveau scolaire trop bas des élèves :

[P] eut-être pas ! ... bien ils sont peut-être petits moi mes élèves personnellement ! ... Parce que si je leur demandais d’en faire une appréciation, je sais pas ce qu’ils pourraient

Sujet 6

Œuvres d’art

Axe

PRATIQUES D’ENSEIGNEMENT DES ARTS

Utilité Limites Tech Émo /sensi H/C/S Sémio Aucune util Arg/ mat Conn /cpt Niv scol Réalisme 0 0 2 0 1 0 0 1 Figurative 0 0 1 0 0 0 0 1 Surréalisme 2 0 0 0 1 0 0 1 Expressionnisme abstrait 1 2 1 0 0 0 1 1 Art conceptuel 2 0 1 0 0 0 1 0

dire ... Celle-là, je sais pas. Si moi je la trouve [silence] pas bizarre, mais je sais pas si je l’utiliserais au deuxième cycle. (VS6, l. 12 et 57)

7.1.6.4.2 Analyse verticale

On remarque une légère évolution des limites d’utilisation de l’art pour les deux dernières œuvres. Celles-ci présentant un niveau d’abstraction plus grand, on pourrait relier le manque de connaissances ou de compétences en art selon un niveau d’abstraction plus grand, qui est plus difficile à comprendre pour le sujet.

7.1.6.5 Analyse interaxes

D’une manière générale, on remarque que le sujet n’accorde aucunement de potentiel éducatif à la symbolique de l’œuvre et, par le fait même, ne voit en aucun cas l’utilité de la sémiotique dans l’art (voir tableau 33). Il conçoit toutefois qu’il existe un potentiel créatif, et ce, pour toutes les œuvres présentées, malgré que certaines formes d’art présentent des limites d’utilisation dans sa pratique d’enseignement.

Comme le potentiel créatif est souvent vu comme une nouveauté à l’élève et qu’il l’amènera à développer de nouveaux apprentissages, ainsi que d’adopter une nouvelle vision sur l’art, on pourrait relier ceci à la conception du potentiel éducatif, qu’il conçoit très souvent iconique. En d’autres mots, l’art est le plus souvent utile comme outil visuel pour amener l’enfant à développer sa compréhension du monde et à découvrir de nouvelles facettes de la culture, de la société. On peut également voir une similarité pour son utilité, puisque pour les mêmes œuvres, il leur conçoit aussi une utilisation historique, sociale et culturelle, donc une utilisation pour amener l’enfant à découvrir le monde qui l’entoure.

Finalement, on constate que, bien que le sujet conçoive une limite à ses connaissances et à sa compétence professionnelle pour les deux dernières œuvres présentées : « moi je ne serais pas capable d’inventer une activité en lien avec cette œuvre-là ...  moi et les arts là » (VS6, l. 102 et 73), il accorde à l’art conceptuel un potentiel créatif important, ainsi qu’une utilisation à la fois technique, historico-culturelle et sociale. Cependant, sa

conception contemporaine et une interprétation au niveau de la symbolique de l’œuvre, ne lui permettent pas de concevoir une utilisation de la sémiotique de l’œuvre ni un potentiel éducatif relié à la symbolique de l’œuvre. Il n’y a donc pas nécessairement de liaison entre sa conception de l’art conceptuel et sa représentation du potentiel.

Tableau 33 : Tableau synthèse du discours du sujet no 6, pour l’analyse interaxes

Œuvres d’art

Axes

ART CRÉATIVITÉ POTENTIEL ÉDUCATIF PRATIQUE ENSEIGNANTE

Conception

sociale Iconologie

Mode

pensée Descriptif Potentiel

Mode de représentation du

savoir

Niveau

d’abstraction Utilité Limites

Cl Mo Ct Icô Ind Sym An

y

An

o

Ima Émo Lib

Imp/Rest Cap/perfo Nouv/app Uni/Diff Pot

/cré Aucun pot /cré Mode Ena Mode Icon Mode Sym Aucun mode C+ C- A+ A- Tech Émo/Sens i H/C/S Sémio Aucune A rg /Mat Conn/Cpt Niv scol

Réalisme 0 1 0 1 1 0 1 0 0 0 0 0 0 2 0 2 0 1 3 0 0 Non abordé 0 0 2 0 1 0 0 1

Figurative 1 0 0 1 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 1 0 1 3 0 0 Non abordé 0 0 1 0 0 0 0 1

Surréalisme 0 1 0 1 1 1 0 0 0 0 0 0 1 0 1 0 1 0 0 0 Non abordé 2 0 0 0 1 0 0 1

Expressionnisme

abstrait 0 1 0 0 1 0 1 0 0 1 0 0 0 0 1 1 0 1 1 0 0 0 0 0 2 1 2 1 0 0 0 1 1

7.1.6.6 Conclusion partielle de l’analyse du sujet no 6

En guise de conclusion partielle, nous répondrons aux quatre questions spécifiques, selon l’analyse faite sur le discours du sujet no 6.

7.1.6.6.1 Quelle conception le sujet no 6 a-t-il de l’art, notamment de l’art conceptuel ? On peut clairement voir une évolution de la conception de l’art chez le sujet no 6, et ce, autant pour sa conception sociale, qui devient peu à peu contemporaine, que pour l’iconologie, puisqu’il s’attarde de moins en moins à l’icône, pour se rapprocher de plus en plus de la symbolique de l’œuvre. On remarque aussi qu’il raisonne toujours de manière analytique, mais également de manière analogique pour la dernière œuvre.

7.1.6.6.2 Quelle est sa conception de la créativité ?

Ce sujet considère qu’il existe un potentiel créatif chez l’élève, et ce, pour toutes les œuvres présentées. Il conçoit, le plus souvent, que la créativité amène l’élève à réaliser de nouveaux apprentissages et à faire de nouvelles découvertes.

7.1.6.6.3 Quelle est sa représentation du potentiel éducatif de l’art pour l’élève ?

Le sujet a une représentation du potentiel éducatif enactif et iconique. Ce serait donc dans la réalisation et la manipulation, ainsi que d’user d’œuvres comme outil visuel, que le sujet conçoit un potentiel pour l’élève. Il ne parle aucunement du potentiel symbolique pour toutes les œuvres présentées.

7.1.6.6.4 Quelle représentation a-t-il du potentiel pédagogique de l’art dans sa pratique d’enseignement ?

En ce qui concerne l’utilisation de l’art dans sa pratique, le sujet utiliserait l’art pour faire découvrir l’histoire, la culture et la société à l’élève. S’agençant avec sa représentation de la créativité, comme moyen de faire découvrir des nouveautés aux élèves de sa classe, il s’attarde le plus souvent à user des œuvres comme moyen d’explorer le domaine culturel des arts. Aussi, il considère plusieurs œuvres intéressantes pour faire développer des techniques en art plastique. Néanmoins, on peut remarquer que le sujet conçoit

différemment les limites dans sa pratique d’enseignement selon le niveau d’abstraction des œuvres présentées. Il s’attarde d’abord à la limite du niveau scolaire des élèves, les considérant trop jeunes à certains moments et ensuite au manque de connaissances et de compétences professionnelles vers les deux dernières œuvres.