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CHAPITRE 6 : PISTES DES ENSEIGNANTS

6.7 Documents officiels

En plus des pistes proposées par les enseignants interrogés, nous trouvions pertinent de nous tourner vers les documents officiels à disposition des enseignants, en vue d’établir les attentes institutionnelles sur le sujet de la place des émotions en classe. Cependant nous

avons dû interpréter ces écrits car rien d’explicite n’y figure. Nous sommes conscientes que plusieurs interprétations sont plausibles mais nous nous sommes basées sur nos propres interprétations.

« Cahier des charges de l’enseignant »

Dans le cahier des charges il est stipulé qu’un enseignant a pour mission de privilégier « le développement global de l’enfant » (point 1.b). Nous interprétons ceci comme un encouragement à entrer dans le chemin des émotions des enfants ainsi que de leur enseignant afin de favoriser le développement des élèves.

De plus, nous y trouvons un autre point stipulant qu’un enseignant « présente une attitude ouverte qui favorise les dimensions sociales, culturelles et civiques auprès des enfants dont il a la charge » (point 1.c). De par cette attitude, un enseignant est accessible sous tous les aspects, même l’aspect émotionnel, afin de s’ouvrir aux élèves et de leur apporter une base pour leur construction personnelle. De ce fait, leur enseignant les aide dans l’expression de leurs émotions et dans leur propre ouverture aux autres.

Pour conclure sur le cahier des charges, les émotions d’un enseignant ne sont pas à bannir. Nous pensons qu’elles aident les élèves à s’ouvrir aux autres et les poussent à communiquer ce qu’ils ressentent au plus profond d’eux-mêmes.

« Code déontologique »

Nous avons été surprises de voir qu’il n’y a aucune indication précise dans le « Code déontologique » proposé par le SER (2004). Nous pensions que si quelque chose existait quant à notre problématique nous le trouverions dans ce document de référence. C’est en effet, un problème éthique apparemment non traité explicitement dans ce document.

Toutefois, nous y trouvons certains points similaires à la « Convention Internationale des droits de l’enfant », mais nous préférons les développer dans le sous-chapitre s’y référant car ces points y sont traités de manière plus généreuse.

« Comment devenir enseignant primaire demain ? »

L’université de Genève propose un document à tous les futurs enseignants :

« Comment devenir enseignant primaire demain ? » (novembre 2005, p.6-7). Dans celui-ci sont décrites toutes les compétences attendues d’un enseignant :

« a) maîtriser et exercer la profession d'enseignant

b) réfléchir sur sa pratique, innover, se former;

c) maîtriser les disciplines à enseigner et leurs didactiques;

d) se servir des sciences humaines et sociales comme base d'analyse des situations éducatives complexes;

e) assumer la dimension éducative de l'enseignement;

f) concevoir, construire et gérer des situations d'apprentissage et d'enseignement;

g) prendre en compte la diversité des élèves;

h) assumer les dimensions relationnelles de l'enseignement;

i) intégrer une composante éthique à la pratique quotidienne;

j) travailler en équipe et coopérer avec d'autres professionnels;

k) se servir à bon escient des technologies;

l) entretenir un rapport critique et autonome aux savoirs. » (Université de Genève, 2005)

Cette liste de compétences aborde notre problématique dans le point h en tenant les propos suivant :

« Œuvrer dans le champ éducatif, c’est apprendre à travailler sur ses émotions et affects. La formation rendra les étudiants attentifs à leurs mécanismes de défense, au poids de leur éducation et de leur histoire dans leurs attitudes et réactions, afin qu’ils prennent en compte cette dimension dans leur développement personnel. En les aidant à renforcer leur identité, à conquérir solidité et stabilité, la formation devrait permettre d’affronter la complexité, l’incertitude, les conflits, l’échec, de comprendre les dynamiques de groupes, le fonctionnement des organisations » (Université de Genève, 2005).

Voici la seule indication explicite trouvée sur notre sujet dans les documents officiels disponibles aux enseignants pendant ou après leur formation. Cette citation illustre parfaitement certains points que nous avons abordés tout au long de notre mémoire. En effet, les émotions faisant partie de notre développement personnel, il est important d’y être attentif au sein même d’une classe. De plus, les émotions ont une influence sur nos réactions et nos attitudes. Elles sont liées à notre éducation.

Cependant, des interprétations peuvent être faites, sur la place des émotions en classe dans les différentes compétences proposées au-dessus. Certaines vont à l’encontre de l’expression des émotions au sein même de la classe, pour des raisons éthiques. En effet, ce sujet peut atteindre la sphère privée de l’élève ainsi que de ses proches, ceci dépasse le cadre de notre profession. Il est conseillé de ne pas entrer dans une relation trop intime avec nos élèves et leur famille.

En conclusion, selon la liste des compétences, les émotions ont une certaine place dans la classe. Cependant, la limite de la sphère privée ne doit pas être dépassée, afin de garder des relations professionnelles. Une question persiste : est-ce vraiment possible de prendre une telle distance au niveau de la relation « enseignant-famille » ? En effet, nous pensons qu’afin de dispenser un enseignement adapté aux besoins des élèves, il est important de connaître leur état d’esprit et ceci passe par la compréhension de leur situation familiale.

De ce fait, notre gestion de classe ainsi que toutes nos responsabilités s’en verront modifiées.

« Convention Internationale des Droits de l’Enfant »

Nous sommes ensuite sorties du contexte affilié au métier d’enseignant, pour nous référer à un document ayant une portée plus large. Nous avons donc pris connaissance de la

« Convention Internationale des Droits de l’Enfant » sur les buts de l’éducation » qui stipule:

« Article 29-1 : Les États parties conviennent que l'éducation de l'enfant doit viser à :

a) Favoriser l'épanouissement de la personnalité de l'enfant et le développement de ses dons et des ses aptitudes mentales et physiques, dans toute la mesure de leurs potentialités ;

b) Inculquer à l'enfant le respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales, et des principes consacrés dans la Charte des Nations Unies ;

c) Inculquer à l'enfant le respect de ses parents, de son identité, de sa langue et de ses valeurs culturelles, ainsi que le respect des valeurs nationales du pays dans lequel il vit, du pays duquel il peut être originaire et des civilisations différentes de la sienne ;

d) Préparer l'enfant à assumer les responsabilités de la vie dans une société libre, dans un esprit de compréhension, de paix, de tolérance, d'égalité entre les sexes et d'amitié entre tous les peuples et groupes ethniques, nationaux et religieux, et avec les personnes d'origine autochtone ;

e) Inculquer à l'enfant le respect du milieu naturel ».(1989)

Cette Convention peut être interprétée selon différents points de vue. Dans tous les points présentés ci-dessus, nous déduisons que l’émotion d’un enseignant vis-à-vis de ses élèves apparaît implicitement. Nous pensons que l’expression de nos émotions est nécessaire dans tous les moments de la vie.

En effet, nous déduisons du point d) qu’un enseignant participe à l’élaboration de la compréhension des élèves face à leur propre ressenti ainsi qu’à celui d’autrui. Ceci rejoint l’aspect empathique des émotions développé précédemment. Les élèves acquièrent donc l’« esprit de compréhension » nommé dans la Convention. Lors des discussions sur nos émotions, nous aboutissons parfois sur nos propres valeurs. Lorsque nous éprouvons un

ressenti en classe, une de nos valeurs s’avère de temps en temps touchée. Nous pouvons donc nous exprimer au lieu de « punir » un élève afin que toute la classe comprenne l’importance de nos convictions. L’une d’entre elles étant le respect que la Convention demande de transmettre, aussi bien, dans le contexte scolaire que familial.

De plus, un enseignant contribue à favoriser l’épanouissement et le développement de l’enfant comme le dit le point a). Nous associons ce rôle à la dimension émotionnelle.

Selon nous, l’épanouissement ainsi que le développement de l’enfant passent par les émotions et leurs expressions. Pour y parvenir, un enseignant incarne un exemple pour l’élève. Il leur indique en s’exprimant sur ses ressentis, comment faire pour ne pas dépasser les limites fixées par la société.

En conclusion, notre avis est que nos émotions peuvent aider dans le respect de chacun et dans l’apprentissage de certaines valeurs. De plus, cela aidera l’élève à devenir un citoyen, conscient des règles, et respectueux envers autrui

CONCLUSION

Tout au long de notre analyse, nous avons voulu mettre en évidence la place des émotions d’un enseignant dans la classe. Nous désirions faire un travail sur notre personnalité, nous sommes très affectées par nos ressentis. Comme nous l’avons déjà dit, nous n’espérions pas trouver des solutions toutes faites. Notre but était de découvrir de multiples pistes d’actions pour entamer notre première année d’enseignement plus sereinement. Notre étude nous a amenées aux conclusions suivantes.

Tout d’abord, nous sommes conscientes de la distinction entre les termes « émotion » et « sentiment ». Cependant, leur utilisation dans un contexte spontané reste encore confuse.

Puis, nous sommes convaincues que les émotions et leurs expressions font partie intégrante du développement personnel. C’est pourquoi, nous sommes de plus en plus persuadées qu’elles ont une place dans la classe. Cependant, nous ne différencions pas l’expression des émotions selon leur caractère négatif ou positif.

L’expression des émotions d’un enseignant prend une place dans la classe afin que les divers protagonistes s’y trouvant le comprennent. En effet, Tcherkassof (2008) développe l’idée suivante :

« Communiquer son émotion c’est chercher, et si possible trouver, du sens, c’est faire sens. C’est pourquoi il faut trouver les mots justes. » (2008, p 109)

Cette phrase illustre l’importance de donner du sens à nos ressentis. Elle aborde également la question que nous avons développée sur la mise en mots d’une émotion.

Comme nous le pensions, il est judicieux et indispensable de dévoiler nos émotions à l’aide de mots appropriés, afin d’apporter du sens aux diverses réactions qu’elles occasionnent et éviter tout malentendu possible. L’apport de sens se situe dans un bénéfice cognitif.

L’avantage dans cette communication est de maintenir une relation basée sur la compréhension d’autrui. C’est le but de la communication émotionnelle que développe Tcherkassof (2008, p.112) qui est de « produire, maintenir et négocier les relations entre les individus et la société dans laquelle ils vivent. ». L’expression des émotions est nécessaire pour développer la sociabilité de chacun. Cette communication a néanmoins ses limites, il s’agit d’en être conscient et en tenir compte. Nous espérons réussir à les identifier et à ne pas

les franchir. En effet, la frontière entre l’acceptable et l’inacceptable est si étroite et tellement personnelle qu’il est conseillé de bien réfléchir au niveau des actions que nous allons réaliser sous le coup d’une émotion. La réflexion est une piste que nous tenterons d’appliquer dans notre future pratique. En effet, avant de nous prononcer face à une situation, nous appliquerons les proverbes « la nuit porte conseil » ou « il faut tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler ». Ils illustrent la nécessité de méditer avant de réagir à un événement afin que notre réaction soit appropriée. De plus, sachant qu’un état émotionnel se transmet à travers une attitude ou une posture physique, il semble logique de le verbaliser afin que l’expression corporelle soit clairement comprise. Les élèves perçoivent tout, il est donc utopique de penser que nous pouvons dissimuler nos émotions et il est préférable de les expliciter afin d’éviter tout danger.

Nous prenons en compte l’influence des émotions sur notre travail. Tant au niveau de la planification, de la transmission de savoirs, de la gestion de classe ou encore des diverses relations existantes dans un contexte scolaire. En effet, des changements peuvent survenir lors d’une leçon où nous sentons que notre état émotionnel prend le dessus sur la tâche à effectuer. Nous devrons, de ce fait, nous autoriser à modifier le programme d’une journée, afin que notre enseignement soit le plus bénéfique et le plus efficace possible pour les élèves. Un de nos rôles est effectivement de mettre en place un climat optimal pour les apprentissages et c’est dans cette optique que nous nous laisserons la liberté d’une possible modification.

Au niveau subjectif, les émotions d’un enseignant trouvent leur place en classe comme à l’extérieur car leurs expressions apportent différents nouveaux ressentis comme :

« réconfort, affection, soulagement d’avoir été écouté compris et reconnu dans son expérience » (Tcherkassof, 2008, p 109-110). Ces derniers l’amènent à adopter une autre position, d’être plus serein ce qui est bénéfique aussi bien pour lui-même que pour ses élèves. Par là, nous dévoilons de l’empathie. Celle-ci offre la possibilité à la personne lésée d’être considérée et reconnue malgré son état. En effet, nous voyons bien trop d’individus dans notre société percevant l’expression des émotions comme une faiblesse. Cette reconnaissance leur permet d’aborder cette situation sous un autre angle afin d’y voir une force et non une honte. C’est pourquoi, un enseignant a l’occasion de s’exprimer en classe, puisque ses émotions sont accueillies par son interlocuteur qui se trouve troublé par celles-ci.

En effet, les émotions ont une dimension contagieuse. Les élèves se trouvent donc parfois

envahis alors que ces ressentis ne leur sont pas propres. C’est ce qu’on appelle le transfert des émotions sur autrui. De plus, l’élève qui est une réelle éponge a tendance à établir un lien émotionnel plus fort avec son enseignant que nous qualifions de transfert affectif. De ce fait, un enseignant est tenu de fixer des barrières à ne pas franchir afin de ne pas déstabiliser la personnalité ainsi que le développement de ses élèves.

Nous avons identifié diverses pistes émanant des entretiens que nous souhaitons partiellement mobiliser dans notre future pratique professionnelle. Nous gardons à l’esprit que l’application de ces pistes est dépendante de la personnalité de chacun d’entre nous. En effet, une adaptation est effectuée quant à la réalisation de celles-ci, puisque nous réagissons tous différemment. De plus, le but est de rester fidèle à nos valeurs. Les multiples discussions possibles sont à exploiter en vue d’une collaboration quant à une éventuelle régulation. Cette communication est nécessaire selon Tcherkassof (2008, p106) pour établir le contact social. Nous avons aussi conscience que de différer l’expression de nos émotions, nous permet de réfléchir sur la réaction adéquate. Cependant, l’exclusion d’un élève afin de rompre le contact visuel n’est pas dépourvue de risques. C’est pourquoi, une explication est nécessaire. Les pistes que nous avons dégagées sont à prendre avec du recul et à adapter selon les propres besoins de chacun.

En conclusion, nous sortons de ce mémoire avec diverses pistes, mais également de nombreuses questions citées tout au long de notre analyse. Nous avons pris conscience de nombreux enjeux provenant de l’expression des émotions d’un enseignant dans sa classe.

Néanmoins, ces enjeux sont loin d’être exhaustifs. Nous restons lucides quant à l’étendue de la dimension émotionnelle. Nous conclurons notre mémoire avec les propos de Tisseron (2005) :

« Le problème est que plus un traumatisme a été grave, et plus celui qui l’a vécu se trouve entre deux désirs : se taire pour l’oublier totalement ou tout raconter pour s’en débarrasser au plus vite. Or les deux s’avèrent également impossibles.

Parler ne libère pas du désir de continuer à le faire, bien au contraire, et aucun oubli n’est jamais définitif. En outre, dans les deux cas, les émotions risquent à tout moment de nous envahir… » (Tisseron, 2005, p.111)

De cette citation, nous déduisons que les émotions sont incontrôlables. Nous pouvons nous trouver à n’importe quel moment envahi par elles et notre réaction s’en trouvera affectée, nos désirs se partageant entre se taire et en parler. Il est possible d’être chamboulé

par une montée émotionnelle. Ainsi les émotions enfouies finissent, la plupart du temps, par refaire surface et celles que nous avons exprimées ne débouchent pas sur une «résolution du problème » et peuvent revenir nous hanter. La particularité des émotions est leur caractère complexe et délicat.

Pour finir, nous proposons différents questionnements : Pourquoi les émotions sont-elles encore, de nos jours, tabou ? Comment les émotions d’un enseignant sont-sont-elles réellement perçues par les élèves et quelles en sont les conséquences ?

REMERCIEMENTS

Nous tenons à remercier les nombreuses personnes qui nous ont aidées dans l’élaboration de notre mémoire. Ce dernier n’aurait pas pu se faire sans leur participation :

Premièrement, nous remercions notre commission composée de notre directrice Mme Mireille Cifali, ainsi que M. Jean-Marie Cassagne et M. Mario Castiglione, pour le temps qu’ils nous ont accordé ainsi que pour les précieux conseils apportés.

Deuxièmement, merci aux huit personnes interviewées ; Natacha, Sylvie, Laurène, Eric, Valérie, Stéphanie, Liu et Maurice, qui nous ont gentiment et agréablement reçues sur leur lieu de travail ou chez eux et qui ont accepté cette étroite collaboration en dévoilant une partie de leur sphère privée.

Troisièmement, toutes les personnes qui nous ont aidées d’une manière ou d’une autre, merci à Josiane et M. Claude Laplace pour leurs conseils avisés et également à nos chers correcteurs : Laure, Rachel, Amandine et Alain.

Quatrièmement, nous remercions tous ceux qui nous ont soutenues durant l’écriture de ce mémoire : la famille Maillard, Ian et sa famille, la famille Bargués Sans, Arnaud, Amandine, Magali, Mathilde et tous nos amis qui ont été présents tout au long de cette aventure.

Pour finir, nous nous remercions mutuellement pour tout le travail accompli ainsi que les différentes discussions qui nous ont permis d’évoluer.

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