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Deuxième Partie

Dans le document Recherches pour un atlas de Constantine (Page 82-92)

INTRODUCTION

Au delà des caractéristiques démographiques précédemment étudiées, il importe de prendre en considération les fonctions qui caractérisent l’agglomération, leur type, leur nombre, leur qualité et par conséquent déterminé leurs interactions. Par définition, la grande ville est le lieu privilégié d’activités de production et de services.

La montée des difficultés de gestion de Constantine nous a conduit à traiter quelques aspects afférents à ces crises multi-fonctionnelles, notamment celles qui ont trait à la vie quotidienne des populations et celles qui concernent l’organisation et l’administration de ce territoire.

La croissance urbaine incontrôlée surtout en périphérie (constructions spontanées, précaires et illicites…) où la part de l’informel dépasse souvent celle du réglementé, les problèmes de l’espace bâti, des logements et des relations centre-périphérie (réhabilitation du centre et réaménagement des espaces péricentraux) incitent à un traitement particulier de l’espace urbain constantinois pour lequel le paramètre physique se présente comme un facteur déterminant dans toute tentative d’intervention.

La vulnérabilité de ce milieu est de surcroît exacerbée par une densification humaine et une centralité accrue des activités spécifiques dans ce pôle. Mais l’extension urbaine n’est pas seulement l’expression physique de l’augmentation de la population, elle concerne également la dynamique économique. En effet, les équipements ont besoin d’espace pour s’agrandir, se moderniser afin de répondre à de nouvelles exigences technologiques tant dans le domaine de l’industrie que ceux du commerce ou des services.

Dans le domaine industriel, la ville a l’avantage de constituer de par son poids démographique, un bassin d’emploi parce qu’elle dispose d’une main d’œuvre importante, diversifiée et qualifiée et elle offre un marché large et varié. Elle constitue également un milieu capable d’attirer des capitaux, de favoriser la création d’entreprises et de posséder des industries performantes qui nécessitent une forte proportion de cadres et un encadrement technique qualifiés. Mais, en dépit des innombrables atouts qu’elle recèle, la ville de Constantine ne semble pas présenter un attrait particulier pour les investisseurs.

Par contre, en matière de commerces et surtout des services, elle en est bien pourvue quantitativement et qualitativement, car les usagers et les consommateurs sont nombreux et appartiennent à toutes les catégories de revenus. En effet, un trait commun caractérise les villes, c’est la concentration de fonctions urbaines de toute nature : d’activités commerciales, de grands équipements de service, de communication, de formation…où la masse d’emplois, de capitaux,

de clientèle joue un rôle attractif et polarisateur. Leurs localisations résultent d’un compromis entre des facteurs attractifs, de relative centralité et des contraintes liées à la dimension, au manque de place, aux problèmes de circulation, au foncier qui poussent au desserrement, à l’émergence de noyaux fonctionnels périphériques, spontanés ou planifiés. Parmi ces fonctions, il convient de distinguer les fonctions banales qui répondent aux besoins habituels des habitants et des entreprises et les fonctions spécifiques, associées à des services plus rares pour des aires d’influence étendues et des clientèles plus élargies.

Cette ville métropole constitue aussi le siège de directions des entreprises, des banques, des services ainsi que les organismes administratif et technique publics locaux ou à compétence territoriale.

Elle se démarque également par bon nombre de services spécialisés : universités, centres de recherche, hôpitaux, maisons d’édition, agences de presse ainsi que les établissements éducatifs, scolaires, culturels, sportifs et de loisirs.

Au sein de cette large gamme d’activités, les services de commandement jouent un rôle principal dans l’organisation de l’espace et dans l’exercice de l’influence à travers le tertiaire directionnel, représenté par l’administratif lié au fonctionnement de la puissance publique. Le secteur du tertiaire supérieur répond aussi aux besoins financiers et en services des entreprises, à cet effet, organismes de gestion, assurances, prestataires de services sont nécessaires à la vie économique d’une ville métropole : capitale administrative, économique et culturelle de la région orientale du pays. Ce rôle régional est matérialisé par un carrefour de voies de communication, provenant de toute la région pour desservir la ville.

Ce secteur des services entraîne des relations avec tous les secteurs économiques ; en effet, les activités de distribution ne se conçoivent pas sans de bonnes liaisons avec les producteurs comme avec les consommateurs et les entreprises réclament par conséquent, la proximité du pouvoir politique et administratif ainsi qu’une localisation proche des sources de financement. C’est pourquoi les moyens de communication sont des éléments fondamentaux de l’économie de la ville et de l’évolution des échanges urbains. Ces fonctions s’inscrivent aussi dans la tertiarisation de l’économie et dans le rôle croissant du capital financier et de l’information. La présence de ces équipements contribue à asseoir l’influence de la ville sur son territoire et incite les populations à y venir et à s’y installer.

Cette diversité de fonctions distingue aussi la ville par de grandes différences entre les populations résidentes, permanentes et les populations diurnes, en raison de l’importance des mouvements pendulaires, liés au travail, à la scolarisation, aux commerces et aux services.

À notre connaissance, aucune étude n’a été réalisée dans le but d’établir une estimation de cette migration quotidienne, mais la forte concentration humaine pendant la journée dans le centre ville en dit beaucoup.

De fait, la croissance démographique et économique suscite des besoins en sol, en infrastructures de transports, en logements et en équipements publics. Le manque de terrain urbanisable dans la ville pousse certaines catégories de population et différents types d`entreprise à rechercher de nouveaux emplacements, situés généralement à la périphérie. La création de nouvelles voies de circulation et l’allongement des réseaux de transport en commun, nécessaires à la desserte de ces espaces contribuent à l’étalement de l’espace urbanisé.

Les difficultés de la circulation mécanique et de stationnement constituent de véritables éléments aggravants pour le développement des transports en commun insuffisant et un transport individuel saturé. Leur soulagement passe nécessairement par une réorganisation des systèmes de circulation et la construction d’ouvrages routiers, même si le coût risque d’être exorbitant.

La distribution de l’eau et la collecte des déchets sont parmi les services urbains les plus déterminants sur l’hygiène et la santé des citadins et constituent un défi pour les autorités locales. Dans ce cadre, les espaces verts peuvent constituer un antidote aux pathologies qui risquent de se développer ; la logique consisterait par conséquent à les multiplier. Néanmoins, les espaces verts ne sont pas en général dans les priorités des responsables. La tonalité générale demeure celle d’un empiétement plus ou moins rapide et insidieux sur les espaces naturels au centre ou à la périphérie de la ville. Les problèmes liés à la pollution et aux risques naturels au niveau de Constantine sont peu ou mal connus, pour la première des mesures sont épisodiquement prises dans certains points de la ville, mais cela reste insuffisant ; pour le deuxième type de risque, beaucoup d’études ont été réalisées, sans que des opérations d’envergure soient entreprises et les glissements continuent de perturber la vie des citadins particulièrement ceux des quartiers situés sur des terrains, soumis à ces mouvements.

On parle souvent de cartes pour qualifier la répartition des phénomènes dans différents domaines de la vie socio-économique, ainsi on utilise carte des risques, carte sanitaire, carte universitaire et j’en passe, mais à quoi correspond cette appellation ? À définir un espace, une organisation ou tout simplement à une actualité où les cartes sont devenues à la mode, faciles à réaliser et agréables à voir ? A-t-elle contribué à mieux comprendre l’organisation spatiale afférente à ces phénomènes et de là à mieux gérer les disparités de cet espace urbain complexe ?

Une cartographie thématique pour analyser les éléments structurants l’espace

Définitions, sources et méthodes

DÉFINITIONS

Dans une ville qui semble revenir à une croissance plutôt lente où les quartiers ne varient que très peu parce que la croissance est canalisée vers les pôles satellites, l’actualité brûlante du chiffre importe moins que la connaissance de la signification des différents indicateurs. En effet, l’ordre de grandeur d’un indicateur, l’importance des écarts qu’il introduit entre les quartiers, le sens et l’intensité de ses relations avec les autres caractéristiques urbaines sont beaucoup plus significatifs et moins périssables que le dernier chiffre connu à la décimale près. Nous insistons par conséquent sur ces liaisons interprétatives qui permettent de comprendre et d’évaluer la place de chaque unité spatiale dans la structure urbaine d’ensemble afin d’essayer d’en déduire des évaluations pertinentes.

Le choix des indicateurs retenus pour cette étude résulte d’un facteur exogène, mais déterminant qui se résume dans la disponibilité de l’information qui a orienté notre décision de traiter les thèmes qui couvrent les principaux champs de la vie citadine et dans lesquels s’exprime la diversité des situations urbaines : support physique, affectations du sol, réseaux et voirie, structuration de la ville, qualité et nuisance du cadre de vie sont les mots- clés qui définissent les chapitres de cette partie.

Dans chacun de ces chapitres, nous avons pris le parti d’illustrer les différents thèmes, soit par une variable significative, soit par plusieurs indicateurs, révélateurs des associations spatiales qui individualisent des situations similaires ou opposées.

Pour ce faire, la représentation thématique offre de puissants moyens d’analyse de données qualitatives ou quantitatives, dans l’espace et dans le temps. Elle met en évidence les contrastes territoriaux que la simple lecture de tableaux ne permet pas de deviner. Elle invite en outre à établir des corrélations avec d’autres phénomènes par associations visuelles.

La lecture de la carte thématique ouvre la voie à l’observation de la structure des phénomènes (topographie, habitat, réseaux...), des typologies et synthèses locales de la dynamique (mutations spatiales et temporelles), des contrastes quantitatifs lorsqu’on dispose de données numériques.

La mise en évidence de la structure des phénomènes se dégager à travers une interprétation raisonnée de la carte ; ce qui oblige à un effort de synthèse du lecteur. L’opération consiste à tenter de déceler les grandes lignes ou les orientations majeures de la répartition des phénomènes, en négligeant les éléments secondaires de cette répartition.

Ceci présente des risques qui peuvent nous amener à sous-estimer des caractères moins apparents sur la carte, mais qui présentent une certaine importance. Dans ce cas, il est pertinent de procéder à une hiérarchisation des phénomènes observés : principaux et secondaires.

SOURCES

Les statistiques qui ont servi à l’élaboration des cartes de cette partie correspondent globalement à la période (2002-2005). Les données de la population, provenant du recensement de 1998 ont été projetées à l’année qui correspond aux statistiques du phénomène traité.

Cette opération permet d’obtenir des données de la même date pour une meilleure harmonie statistique pour pouvoir corréler les différents phénomènes. Parfois, afin de moduler les tendances, la population a été calculée par application de taux annuels propres à chaque unité, en tenant compte des spécificités de chacune d’elle (à titre d’exemple : tendance à la hausse pour les quartiers Sud de l’agglomération et tendance à la baisse au niveau des quartiers centraux).

Dans les commentaires (texte), nous avons essayé dans la mesure du possible, d’actualiser les données afin d’indiquer quelques tendances.

MÉTHODES

Sur le plan méthodologique, plusieurs procédés et méthodes ont été mis en œuvre pour visualiser les différents thèmes traités.

Les cartes thématiques s’attachent en général à la représentation d’une série de données relatives à un seul champ disciplinaire (un phénomène), comme elles peuvent symboliser plusieurs thèmes dans la mesure où persiste une unité entre les données cartographiées et où sont mises en oeuvre des techniques spécifiques de saisie et de traitement de ces données (diagramme triangulaire par exemple). Toute représentation spatiale est tributaire d’une base de données (qualitative, quantitative, ordinale…) dont les composantes sont triées et ordonnées. Après ce traitement, on doit s’attacher à définir le caractère descriptif de chacune d’elles, d’un point de vue qualitatif (notion de différenciation), quantitatif (notion de quantités proportionnelles) ou ordonné (notion de classement). Ces caractéristiques permettent de choisir à bon escient les variables visuelles les plus adaptées à chaque situation.

Ainsi, les modes de représentation utilisés dans cette étape de la recherche (2ème partie) sont assez codifiés, ils s’appuient essentiellement sur des figurés et des symboles : la taille, l’orientation, (la valeur et la texture) des symboles, la couleur, l’ajout de symboles.

Repères cartographiques

Les données à cartographier se présentent habituellement sous deux formes numériques (quantitatives) et non numériques (qualitatives).

Dans les données quantitatives, on distingue d’une part les valeurs absolues qui proviennent généralement d’un dénombrement et d’autre part les valeurs relatives sous forme de taux, résultant de rapport calculé à partir de deux données quantitatives ou de ratios (indice, pourcentage …)

Parmi les données qualitatives, on distingue le niveau différentiel et le niveau associatif. Pour exprimer le premier niveau, il est nécessaire de distinguer visuellement les différents éléments

représentés, à l’opposé, la visualisation du second niveau incite à un regroupement des objets ayant des caractéristiques similaires, par exemple, associer les industries mécaniques dans la répartition des industries .

Le niveau d’organisation des données incite à la recherche d’une précision maximale pour la représentation de l’information qui s’accroît du niveau qualitatif au niveau quantitatif. Il est en effet, inconcevable d’ordonner ou de quantifier des données qualitatives. À partir de là, le choix judicieux de la variable qui exprime le mieux le phénomène s’impose.

Pour ce faire, six variables visuelles (J. Bertin) permettent selon le cas étudié de traduire tous les phénomènes spatiaux. Ce sont des procédés graphiques destinés à mettre en évidence les différences existant entre les données cartographiées.

La cartographie thématique permet la réalisation d’images graphiques particulières qui traduisent les relations spatiales d’un ou plusieurs phénomènes, d’un ou plusieurs thèmes. De fait, elle se présente comme un outil d’analyse, d’aide à la décision et de communication largement utilisé pour représenter une ou plusieurs variables. Qu’on les définisse comme carte d’inventaire, d’analyse, statique ou dynamique, les cartes thématiques ont toutes des points communs :

La carte thématique est un document graphique basé sur la communication par les signes. Elle relève du langage visuel. À ce titre et même si sa construction doit suivre les règles de la sémiologie graphique, elle reste un outil formidable de communication et d’information qui ne restreint pas son champ d’actions aux seuls géographes. Le langage visuel est spécifique, car il est inverse du langage écrit ou parlé : l’oeil perçoit d’abord un ensemble, il généralise puis cherche le détail. Enfin, il s’agit d’un système spatial où 3 variables sont mises en relation : les 2 dimensions orthogonales qui définissent le plan et les phénomènes représentés qui apparaissent comme des « tâches ».

La carte thématique décrit l’espace. Elle localise la nature et l’importance des phénomènes. Le langage des cartes ne réside pas seulement dans la symbolique très limitée des signes utilisés. Il est dans la configuration même des cartes. Ce que la carte exprime est sur la carte et non dans sa légende. Ainsi, interpréter une carte, ce n’est pas déchiffrer sa légende mais les formes sur la carte, l’agencement des signes. Le cartographe met en valeur les formes. La carte thématique n’est pas et ne doit pas être une simple image artistique d’un espace. Elle doit transmettre une information, un message. À ce titre le rôle de la cartographie est triple et se retrouve dans les trois fonctions hiérarchisées, mais indissociables suivantes :

* L’information quantitative ou qualitative doit être collectée sous une forme pratique, de consultation aisée et exhaustive. L’information doit être complète : sans oubli et sans omission dans le

cadre choisi. Cette exhaustivité doit être tout de même relativisée : problème de la multiplicité des signes, leur imbrication peut donner une image d’ensemble difficilement mémorisable, si l’information est trop dense ou non organisée. Par exemple, les cartes d’inventaires font état de tout ce qui existe sur un espace donné, les cartes Michelin donnent toutes les indications nécessaires à l’automobiliste, au touriste pour suivre sa route, pour identifier les lieux et les distances, la lecture se fait au niveau du détail, on ne peut tout mémoriser !. Ces cartes accessibles à tout instant, ce sont des mémoires artificielles où beaucoup d’objets sont localisés spatialement, une vision immédiate d’ensemble, une réponse rapide et directement perceptible sont impossibles lorsque les informations inscrites sur la carte sont trop denses. La question cruciale se joue alors dans la sélection de l’information à représentée : quelles données retenir, pour quel message et pour quel public ?

* Les informations contenues dans un inventaire exhaustif doivent être mises en ordre, découpées en catégories de façon à faire apparaître des classes homogènes. C’est l’opération de discrétisation. Traiter les données, c’est se donner les moyens de découvrir la structure et l’organisation de l’ensemble des données de base. Ces traitements ont pour objet de dégager et de traduire, sous une forme facile à lire et à retenir, les correspondances et les relations qui peuvent exister entre-elles, faire ressortir les idées de différence, d’équivalence ou d’ordre. La perte relative d’informations est compensée par la mise en évidence de concepts plus facilement mémorisantes. La réflexion menée sur le contenu de l’information, amène à rechercher des éléments extérieurs d’explications.

* L’efficacité de la représentation cartographique réside dans le temps nécessaire pour mémoriser correctement l’information qui veut être transmise. Le choix de l’image à transmettre doit donc se faire avant tout en fonction du public visé. Quelque soit ce public, plus l’image est simple, plus le message est facile à mémoriser. Les images doivent résumer sous une forme « immédiatement perceptible » les données essentielles de l’information. J. Bertin affirme que « l’efficacité du message sera d’autant plus grande que le nombre d’images (superposées ou séparées) et leur complexité seront réduites et que la lecture pourra être faite au niveau de l’ensemble ». La question essentielle reste donc de savoir ce qu’il faut communiquer et comment ? La communication par l’image dépend du public auquel la carte s’adresse. Il y a toujours plusieurs synthèses possibles et la réalisation doit s’adapter et ne retenir que ce qui est indispensable au lecteur visé. Sur le plan graphique, le choix doit dépendre du caractère mémorisant du dessin : plus une forme est simple, plus elle sera facile à enregistrer.

En fait, il appartient au cartographe de faire en sorte que l’information perçue soit la plus conforme à celle dont il a chargé la carte. La carte est un instrument performant, elle se doit d’être un document universel, un document visuel et un document immédiat.

Le choix des objets représentés introduit la notion de type de carte et conduit à faire des choix dans l’information géographique en faisant une première distinction entre l’information qualitative et l’information quantitative. On distinguera ainsi deux grands types de cartes produites par des géographes : les cartes quantitatives, qui permettent l’analyse de données chiffrées, et les cartes conceptuelles, qui permettent d’exprimer graphiquement des idées complexes. La carte quantitative consiste à attribuer une valeur, absolue ou relative, à un espace : une surface (une ville, un quartier), une ligne (un réseau, des flux de passagers), ou un point (un hôpital, un lycée). Ce type de carte a un rôle similaire à celui d’un tableau dans la mesure où il permet d’ordonner des données chiffrées qui, sans cela, seraient difficiles à analyser. La différence avec le tableau, c’est que la carte répartit les données dans l’espace. Dans le même ordre d’idées, les S.I.G. (Système d’Information Géographique) se révèlent être aujourd’hui des outils particulièrement puissants pour l’aide à la décision des

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