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T ableau des statistiques

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est généraliste et regroupe des onversations de type  Chat  que l'on retrouve habituellement sur esserveurs (notationsurle gra- phique :Chat).

3. Le

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salonsesitue dansun mondevirtuel où les parti ipants doivent se oordonneretmanipulerdesobjetsvirtuelsensemblepouratteindre un obje tif (notationsurle graphique:MV ollaboratif).

4. Le

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salonest unmondepeu ollaboratif oùlesdialogues nesont pas de première importan e pour l'a omplissement des obje tifs du

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(notation surlegraphique :MVpeu ollaboratif).

L'étude a été d'estimer lalongueur des phrases utilisées par les utilisa- teurs.Le orpusutiliséreprésente inqé hantillons de100000phrasesprises auhasarddanslabasedesmessagessto késrespe tivementsurlesserveurs: ir .u-psud.fr et gameboy.eming.u-psud.fr

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. Pour haque salon, nous avons analysé automatiquement à l'aide de s ripts PERL les messages transmis entre les utilisateurs. L'analyse omporte un traitement sur le nombre de mots utilisés par les usagers. Après ette analyse, Les résultats

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obtenus sont présentés Figure4.1.

longueur Bot Chat MV1 MV 2 <5 mots 25% 67% 81% 87% 5 à 10mots 40% 23% 16% 11% >10 mots 29% 10% 3% 2%

Tab.4.1 Tableau desstatistiques 2

Tous les droitsd'a ès à es messagesappartiennent respe tivement à l'asso iation AuroreetFlemnet.Lesdroitsa ordésontétéseulementdepouvoira éderà esmessages etdelan er less riptssansdroitsde itations desmessages.Prote tionparlesdroitsde vieprivée.

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Fig. 4.1Histogramme sur la longueur des phrases

Analyse

Nous remarquons que les messages longs (plus de 15-20 mots) sont in- e a es ( f. Tremblay [98 ℄). Les messagesde plus de 15 mots sont presque inexistants. Lorsquel'utilisateur a ons ien e delaprésen edubot,ilee - tue un eort pour être ompris du bot et utilise des phrases longues pour que elui- i puisse omprendre. Sur le tableau,on voit queprès de 30%des messagesdépassentles10mots.Maislorsquelesutilisateursdialoguent sans assistant virtuel, ils emploient des phrases souvent ourtes quel que soit le ontexte. Sur les résultats, 90% des messages de type Chat général ont une longueur inférieure à 10 mots. Dans les

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, la proportion des mes- sages inférieurs à 5 mots est importante, elle atteint 81% pour les mondes ollaboratifset87%pour lesmondes non- ollaboratifs.

Onen déduit quelesdis ussions sont limitées etserésument àquelques mots dansles mondes ollaboratifsetpeu ollaboratifs. C'estunfaitauquel nous nous attendions pour le monde peu ollaboratif mais moins pour le monde ollaboratif. Lesutilisateurs de e monde ollaboratif utilisent aussi desphrases ourtes.Lorsquel'onanalyseen détailslesjeuxdedialogues, on observe bien des phrases ourtes mais elles ont la parti ularité d'être très pertinente. Pour se oordonneretagir,lesutilisateursemploient unsystème proprede motsqui,pla és dansle ontextedu mondevirtuel,ne présentent pasd'ambiguïtés. Lorsquel'on étudieles messagesendétails, onnotequ'ils sont omposésenmajeurpartiesdesujets,verbes,objetsouen oredepetites informations omplémentaires.

Con lusion

Cette analyse nous informe sur un point important : les utilisateurs de mondesvirtuelsemploientpeudephraseslongues(deplusde10mots).Nous pouvonsalors on lurequelamajeurepartiedesa tesde ommuni ationest omposée desphrases ourtes(moins de 5 mots). Dès lors, le message peut êtredé omposéen élementssimplesave une limitepourla dé omposition.

La polysémie

OnpeutliredanslesproposdeJ.F.Dortier[24℄ on ernantla ommuni a- tionqu'ellenepourrajamaisêtretotalementobje tiveetsansambiguïté.Il resteratoujours dansuna tede ommuni ationunepartd'ambiguïté.Nous aborderons dans ette partieune desdi ultéssoulevées par le ontenu des messages:lapolysémie.

Une deslimitesrésidedansladi ulté àformulerdesmessages lairset expli ites. La polysémie des termes ontribue à rendre ambiguës ertaines ommuni ations. L'usage de termes à sens multiples et signi ations impli- ites fait partie de notre  jeu  de ommuni ation usuel. Cette pluralité dessigni ations est undesobsta lesà l'amélioration dela ommuni ation. Selon, J.F. Dortier, elle est miseen éviden e par Charles S. Pier e, Roland Barthes, Umberto E o. Dans le as d'une phrase à ara tère polysémique, quel sens devons-nous hoisir? Existe-il des dominan es permettant de dé- terminerlesens?Existe-ildes asspé iquesquitenderaientàréduirenotre hamp d'a tion?Ces questionsrestent en suspens.

L'in ommuni abilité? C'estpas qu'onne ommunique pas assez.On ommunique trop etmal.[RobertLalonde℄ - Labelle épouvante

Le médium

Notre se onde étude s'est portée sur le ontenant. Lors de l'analyse des ommuni ations des mondes virtuels( f. Se tion 3.4.1page 55), nousavons étudiélesdiérents asd'a tesde ommuni ationave lesdiérentssupports utilisés. Pour les ommuni ations inter-utilisateurs, nousobservonsque ob- servé que la majorité des mondes virtuels emploient le support textuel et dansune moindremesurelesupport déi tique. Nousallonsétudier es sup- ports an de onnaitre le médium de la ommuni ation et en dénir leurs ara téristiques.

Le support textuel

Le support textuel possède ses spé i ités, ses avantages et ses limita- tions.Lessystèmes Ulysse[7℄etWordsEye[23℄peuventutiliser l'interfa e au lavier pour saisir les informations sur les objets. Dans lepremier système, nouspouvonsdis ourirave unagentetobtenirdesindi ationssurunobjet ou son point de vue. Nous pouvons alors a éder à des informations sans quel'objetnesoit visible.Danslese ondsystème, nouspouvonsagen er les objetslesunsenfon tiondesautresave desimplemots.C'estundesavan- tagesdusupporttextuelle:a éder etmanipulerrapidement unobjet.Mais nousvoyonsapparaîtredes limitations:lepremier nepermetpasd'a éder à des zones in onnues (dont la dénomination est in onnue) etle se ond ne permetpaslepla ement àdespositionsimpré ises (dont lepla ement n'est pas di table) ( f. expli ation plus détaillée par J. Caelen [17℄). De même, lorsque les ara téristiques distin tives entre les objets ne permettent pas unediéren iation pertinente,ilest impossibleave unemploidu lavierde désigner un objet. On peut iter le as de la séle tion d'un galet sur une plage de galets Dans une telle situation, l'emploi de la modalité textuelle requiert des mots pour désigner un galet pré is. C'est une des faiblesses dusupport textuel[14 ℄.

Le support déi tique

Unse ondsupportditdéi tique,pourladésignation,estsouventemployé danslesmondesvirtuels.Ilpermetdepointerunezoned'intérêt ouunobjet visible. Ce support déi tique permet une intera tion intuitive (l'intera tion àl'aidedelasourisaétéétudiéparStrommen[97℄). Onremarquedans ette étude qu'elle permet une adaptation rapide. C'est l'une des raisons de sa présen e dans la plupart des interfa es des

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. L'utilisation de la souris est importante si nous souhaitons une manipulation dire te et rapide. Elle onstitue un avantage par rapport au support textuel qui requiert plus de temps.Par ontre,ellepossèdeaussiseslimites.Unede eslimitations, itée par Fraser[34 ℄, est liée au hamp de vision. Le support déi tique né essite unevision delazoned'intérêt. Pour allerau-delà de ette limite,lesupport textuel apparaît omme omplémentaire.

Vers un système bimodal

De esproposdé oulel'idéed'employer esdeuxmodalités( f.dénition d'unemodalité se tion4.2.2 page 104 )de façon omplémentaire. Lesavan- tages de l'une nous apparaissent ompenser les limitations de l'autres. La ommuni ation dansles

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utilise es modalités maisil reste des ommu-

ni ations seulement textuelles ou seulement déi tiques. Cette pluralité des modalitésaméliorel'expressivitédel'émetteur.La ommuni ationquirestait di iledans ertaines onditions s'entrouve fa ilités.Ainsilamiseenpla e d'une fusion bimodale (ou multimodale de manière plus générique) élargit nos hamps d'a tions.

L'ajout du support déi tique dans les a tes de ommuni ation est une amélioration déjà utilisée dans de nombreux travaux. On peut distinguer dans e ontexte plusieurs types d'utilisations multimodales dans les envi- ronnementsvirtuels.Lesunsutilisentunefusionmultimodalepourdépla er, manipuler,observer les objets[22 , 96 , 27 ℄. Lesautres utilisent esmodalités demanièreindépendante f.Croquet 3D[94 ℄.Enn, d'autresen ore onsi- dèrent lesupportdéi tique ommesimple outil d'annotation oude désigna- tion f.VREng[5 ℄ou

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[36 ℄.

Dansle adrede la ommuni ation inter-utilisateurs, nousavonslapos- sibilitéd'élargirl'expressivité de l'émetteur durant les a tesde ommuni a- tions. Cefait onstitue à nosyeux une amélioration du support etdon de la ommuni ation.

E rire est une forme demensonge. C'est-à-dire de tion,de hâblerie, de mysti ation. Simplementpar e qu'onne peut pas toutdire. [Robert Lalonde℄ Labelle épouvante

4.1.3 Exemples d'améliorations

Après avoir déninos hamps d'a tionau niveau du ontenu et dumé- dium,nous présentons notre obje tif global qui est d'assister les ommuni- ations entre utilisateurs. Nous voulons intervenir au moment des a tes de ommuni ation. Par améliorations, nousentendonstrois a tions:

1. étayerlesinformations disponibles; 2. prévenir lesambiguïtés;

3. répondre auxattentes.

Nousallonsexpliquernossouhaitsenmatièred'améliorationdans ha un de es as.

Étayer les informations

Lorsque les utilisateurs ommuniquent entre eux, le message présenté sousuneformeapportedesinformationsàl'utilisateur.Lebutdela ommu- ni ationétant unemiseen ommundesinformations,l'émetteurva her her àfournir desinformations pour yparvenir.

Sinous reprenonsles idées de la ommuni ation suivant lepoint de vue de T.M.New omb,nousavonsretenu quela ommuni ation avait pour ob- je tif d'atteindre une situation ommune ( f. Chapitre 2.4.4 page 37). C'est lerledesinformations ontenuesdansles a tesde ommuni ation. Fournir plus d'informations permet une onvergen e plus rapide vers une situation ommune.La ommuni ationdevient alors plus e a e d'oùune ommuni- ation améliorée. Si nous reprenons le s énario, nous souhaitons ajouter à ertains messagesplusd'informations.

Exemple : Je préfère Chez-Pierre.. Nous voulons pouvoir fournir des informationssur etobjet:Chez-Pierre.

Comment y parvenir?

Notre souhait est d'augmenterles informations disponibles danslemes- sage. Pour y parvenir, nous avons hoisi d'analyser l'objet on erné par le messageetde fournir diérentes informationssur elui- i.

Qu'est- e qui ara térise un objet?

Un objet possède de nombreuses ara téristiques : une forme, des ou- leurs,uneposition,uneorientationetmêmeunehistoire.Dansleréel,lorsque l'on a èdeà un objet, ona ède à une partie de ses ara téristiques. Dans levirtuel, ilest possible d'a éderà toutes es informations.

Audelàdeses propres ara téristiques, unobjetpeutaussiêtre ara té- risé par sarelation auxautres entités virtuelles. Ainsiles informationsrela- tivesauxautresobjetsestuneautresour ed'informationsquenouspouvons exploiter.

Nousessayeronsalors de omprendrel'objetdel'a tede ommuni ation (Chez-Pierre dansnotreexemple)etfournirdesinformations sur elui- i. Ces informations se situent aussi bien au niveau du ontenu (informations textuelles)qu'au niveau du médium(informations déi tiques/visuelles).

Prévenir les ambiguïtés

Lors des a tes de ommuni ations, il n'est pas rare d'omettre des dé- tails. Ces omissions peuvent aboutir à des onséquen esgraves qui peuvent éloigner la ommuni ationde sonpoint de onvergen e.Il est possible dans ertains asdeprévenir etéloignement.Unese ondepossibilitéd'améliora- tion on erne les moyensd'éviter lesambiguïtés possibles.

Les onnaissan es sont ontextuelles àun utilisateurou un groupe. L'émetteurgénèresonmessagedans e ontexteavant deletransmettre. M.

andJ.WhiteRileyetG. Gerbnerontpré isé l'existen edetel ontexte ( f. Chapitre2.4.6et2.4.3).Parailleurs, esauteurspré isentquel'existen ed'un ontexte ommunpermetunemeilleure ompréhension.Dansnotre as,nous avons e ontexte ommun : l'environnement virtuel. Il nous reste à savoir l'utiliser orre tement pour arriverà nosns.

Par exemple, dansles énariod'introdu tion aumanus rit, nousvoyons AindiqueràE: Je t'attends au afé..Ondevraitêtreenmesure de omprendre que e message a he une ambiguïté et intervenir pour prévenir l'émetteur despossiblesin ompréhensions.

Comment y parvenir?

Noussouhaitons aiderla ommuni ation en révélant lesambiguïtés. Lorsquelesa tes de ommuni ation on ernent unobjetdel'environnement virtuel, nous voulons omprendre le message et analyser le

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pour sa- voirsi lemessagene ontient pasdesambiguïtés. Noussouhaitons analyser les informations géographiques et visuelles du monde virtuel par rapport à l'émetteuretau ré epteurpour évaluerl'ambiguïté dumessage.

Répondre aux attentes

La dernière amélioration que nous souhaitons apporter onsiste à ré- pondre aux a tionsde l'émetteur. Toujours en suivant les théories de T.M. New omb,noussouhaitonsaiderla onvergen eversunesituation ommune ( f.page96),enfournissantdire tement uneréponseauxattentesdel'émet- teur.

Certainsmessagesde l'émetteur peuvent seprésentersuivantdeux as:  desquestions

 desordres

Ces attentes requièrent une intervention, soit informelle en réponseà une question, soit intera tionnelle par une manipulation. Nous souhaitons intervenir pour répondreà es attentes.

Toujoursen reprenant les énario initial,nousvoyonsEposer uneques- tion:Où est le afé Chez-Pierre?. Nous omprenonsquel'émet- teursouhaite onnaîtresaposition géographiqueetnousen onnaissons laréponse. Noussommes apteàrépondreà ette attente.

Comment y parvenir?

Les messages peuvent ontenir une question ou une requête. Nous sou- haitons analyser le message pour onnaître son ontenu sémantique. Nous voulons vérierlesattentes de l'émetteuretluiorirlapossibilitéd'obtenir laréponseà sesattentes.

4.1.4 Con lusion

Les améliorations que nous souhaitons ee tuer sont orientées vers le traitementdesinformations.Lesenvironnementsvirtuelsnousorentlapos- sibilité d'ee tuer es traitements. Ils possèdent en toutes les informations utiles. Il nous faut trouverun moyen de les extraireet de les exploiter. Ces traitements et es souhaits sont à l'origine du on ept de  ommuni ation améliorée.

4.2 Mise en ÷uvre des améliorations

Après avoir expliquéla notion de ommuni ation améliorée et nos sou- haits, nous allons nous appliquer à trouver des méthodes pour la mise en ÷uvrede es améliorations.

Cette mise en pla e s'est ee tué en plusieurs étapes. La première a été l'élaboration d'un agent onversationnel pour analyser et omprendre les messages. Nousavons par la suite étudié les as possiblesd'intera tions entreleslo uteurs.De es asd'utilisation,nousavonsdénilesinterventions possiblesde l'agent.Enn, Nousprésenterons lesaméliorations retenues.

4.2.1 L'agent

Lesbesoinsde traitement desmessagesnousont onduit àl'élaboration d'unagent onversationnel.Cedernierapourrlederé upéreretd'analyser lesmessagesetd'agiren onséquen e.Pour omprendresonrleetson hamp d'a tion,nousallonsprésenterlanotiond'agent.Nouspourrons parlasuite analyserlaportéedenotreagent etdénirlesa tionsde elui- ienfon tion dumessage.

La notion d'agent

La dénitiondeJa quesFerber[29 ℄est ellequia retenu notreattention et qui semble être la plus à même de répondre à nos exigen es. J. Ferber ara tériseun agent ommeuneentité physiqueou virtuelle :

1. qui a la apa itéd'agirdansun environnement;

2. qui a la apa itéde ommuniquerdire tement ave d'autresagents; 3. qui est mue par un ensemble de tendan es;

4. qui possède desressour espropres;

5. qui ala apa itédeper evoirsonenvironnement etquine disposeque d'une représentation partiellede etenvironnement;

6. qui possède des ompéten es; 7. qui ore desservi es;

8. qui peutéventuellement sereproduire.

Cette dénition dière de notre on eption d'un agent dont voi i nos ara téristiquessuivant e point devue :

1. Nous souhaitons qu'il agisse sur l'environnement notamment lorsque l'émetteur est dansl'attented'une a tion.

2. Nousn'avonspastraiténotreappro hedansun ontextemulti-agents. 3. Nous l'avons mue d'un ensemble de rle où l'agent tend à orir des

possibilités d'intera tions.

4. Nous avons souhaité qu'il possède des propres ressour es notamment on ernant le traitement linguistique.

5. Nousavonssouhaitéutilisertoute laper eption possible de l'agent de sonenvironnement sansjamaislelimiter danssavision.

6. Notre agent possède des ompéten esde traitements. 7. Il orelapossibilitéd'étayerlesinformations disponibles. 8. Nousn'avonspasre her hé ette possibilité.

Agent de re her he d'informations

Parletermed'agent dere her he d'informations,nousqualieronstoute la gamme de logi iels intermédiaires entre les moteurs de re her he et les agents intelligents, onsa rés à la re her he d'informations. Leur intérêt résidedansleur apa itéàrempliretà automatiserdestâ hes.Ilssuivent,à lalettre,ladénitiondu termeagent :entitéagissantpourle ompte d'un béné iaire [85, 87 ℄.

Cette dénition, quelque peu vague au premier abord, est admise dans de nombreuses re her hes[85, 87℄. Les agents de re her he d'informations sontd'unegrandediversitéetneremplissentpas,pourlaplupart,lesmêmes tâ hes.Nouspouvons,malgré ela,lesdistinguerparlesfon tionnalitésqu'ils possèdent.Gardonsentêteque esdistin tions tendentàs'estomperdevant lesavan éeste hnologiquesquiintègrent desfon tionnalités de plusen plus omplexesdansun même ensemble.

Ondistingue quatrefon tionsprin ipales qui ara térisentles agentsin- telligents:

1. La re her he d'informations : elle- i peut se faire de manière in- telligente par l'utilisation de moteurs préexistants et perfe tionnés (ex :Xpath, XQuery pour lare her he dans des hiers XML), d'ou- tils d'analyse linguistique des requêtes (ex : Lex et Ya pour la re- onnaissan elexi aleetsyntaxique)oupar inféren esdesinformations engendréesà partird'autres informationsa essibles ( f. moteur d'in- féren es,analyse géographique);

2. L'analyse des informations ré upérées : indexation des résultats, ré- suméautomatique;

3. Le ltrage,l'édition, l'ar hivage, lamiseà jour derésultats; 4. La visualisationdesrésultats.

Leste hnologies utilisées sont variées, intégrant parfois deste hnologies issuesdel'intelligen earti ielle.Cesfon tionssontàlabasedenotreagent maislàen ore lespossibilitéssont nombreuses.Dans ledomaine desagents dere her he, esagents intelligents ont attirénotreattention etnousavons dé idéd'en approfondir lesspé i ités.

Les agents intelligents

Qu'est- e qu'un agent intelligent? : Objet utilisant les outils et te hniques de l'intelligen e arti ielle : il adapte son omportement à son environnement en mémorisant ses expérien es et se omporte omme un sous-système apable d'apprentissage : il enri hit le système qui l'utilise en ajoutant, au ours du temps, des fon tions automatiques de traitement, de ontrle,demémorisationoudetransfertd'information.AFNORAsso ia-