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Section 1. Les facteurs de déplacements

B. Les trois éléments en interaction

Si l'importance de l'accessibilité et des attractions nous sont apparues facilement au travers des différentes observations, les fonctions les définissant nécessitent de poser des hypothèses relativement fortes sur les variables.

Le principal problème de recherche auquel nous sommes confrontés est de poser une formalisation qui doit intégrer les différentes composantes des interactions de notre système gérées par des relations asymétriques entre les différents éléments composant le système de déplacement récréatif d'un espace naturel.

Les trois éléments composant le système de déplacement, que nous avons identifiés en première partie, interagissent de façon dissymétrique.

Interactions sur

Visiteurs Lieux Réseaux

Visiteurs Sous système visiteurComportement Typologie des visiteurs

Offre spatiale naturelle relative Attractivité

Accessibilité Contraintes de déplacements Lieux Aire de diffusionImpacts

radioconcentrique

Sous système lieux Equipement et Patrimoine

naturel Offre spatiale absolue

Voisinage Sous espace de déplacement

Réseaux Axe de déplacementCircuit

Origine destination Structure spatiale hiérarchisée

Sous système réseau Connectivité et connexité du

réseau

Morphologie (taille et forme)

Tableau 26 : Nature des interactions entre les différents éléments du système déplacement/ visite sur les espaces naturels entrant dans le second mécanisme de choix218

Les principales hypothèses de la construction du modèle FRED concernant la définition de

notre système porteront sur la définition des sous-systèmes qui structurent les processus de déplacement sur les espaces naturels.

Notre thèse porte sur l'affirmation que l'espace va orienter et définir des formes de répartition. Il est donc important de dire que l'approche est axée sur la simulation de la répartition des flux de visiteurs sur un espace d'accueil organisé en réseau, donc de savoir si l'offre de l'espace d'accueil est susceptible de définir des formes de diffusion. En fonction d'hypothèses déduites à partir des observations sur la structure de l'espace et les comportements de visiteurs, nous allons émettre des hypothèses d'un second ordre qui portent sur les relations qui gèrent les interactions entre les différents éléments de notre système.

L’objectif de la formalisation est de donner une valeur relative de l’espace en fonction d’un type de pratique récréative que traduit un comportement de répartition. Nous allons donc considérer que la valeur de l’espace naturel diffère en fonction de l’activité que pratiquent les visiteurs. Que l’on soit contemplatif, promeneur ou randonneur, l’attractivité du site est déterminée par les types d'activités récréatives spatiales des visiteurs, une "valeur d’usage récréative" du site. C’est-à-dire que l’attractivité d’un lieu va dépendre non seulement de la structure de l’espace mais aussi du type de comportement récréatif du visiteur - à un type de visiteur, une attractivité relative.

Toutes les hypothèses exposées ci-dessous et l’originalité du modèle reposent sur le fait qu’il n’existe pas de valeur absolue de l’espace, il y a comparaison des sites pour un usage spécifique. L'espace est soumis à des filtres qui seront différents en fonction des types de pratiques récréatives spatiales. On ne voit pas l’espace de la même façon que l’on soit tour à tour contemplatif, promeneur ou randonneur.

1). Le visiteur

Le visiteur est, sans nul doute, l'élément le plus difficile à identifier. Doit-on le considérer comme un élément rationnel ou non rationnel (dans la mesure où l'on ne peut pas être sûr de ses comportements).

a). Un agent spatial qui possède un comportement de diffusion

Nous avons donc posé que la population est segmentée en trois types de visiteurs, les contemplatifs, les promeneurs et les randonneurs. Ils possèdent chacun un comportement de diffusion sur les milieux naturels défini en fonction d'une pratique récréative de l'espace qui

utilise l'espace naturel en le différenciant par des aires de diffusion de 500, 1000 et 3 000 mètres de rayon.

Type de visiteurs Aire de diffusion Longueur du déplacement

Contemplatifs R < 500 mètres De moins de 1 km en aller et retourà 2 à 4 km en boucle Promeneurs R < 1000 mètres De 2 à 4 km en aller et retour à 6 et 8 km en boucle Randonneurs R < 3000 mètres De 6 à 8 km en aller et retour10 à 20 km en boucle

20 km et plus

Tableau 27 : Typologie des visiteurs et aires radioconcentriques de diffusion pédestre

Cette hypothèse correspond au fait que lorsque les visiteurs ont décidé de se déplacer (processus de décision issu du premier mécanisme de choix, la décision de se déplacer), ils savent "à peu près ce qu'ils veulent faire", mais savent très bien ce qu'ils ne feront pas. Une randonnée d'une journée se prépare (circuit, pique-nique...) comme la pratique bien spéciale d'une activité, le VTT doit être transporté sur le lieu de départ, le matériel pour la varappe d'un rocher ou d'une paroi.

Le visiteur possède des contraintes physiques, de temps et de distance, et est animé par la motivation de pratiquer des activités de loisirs. On définit alors le visiteur comme un agent spatial, c'est-à-dire comme un individu qui possède des pratiques régulières sur l'espace et dans le temps.

b). Un agent qui possède une perception de l'espace

Généralement les comportements spatiaux du consommateur sont basés sur des théories qui minimisent des contraintes de coûts ou maximalisent des valeurs d'usage.

Il existe un rapport entre deux distances, cognitive et kilométrique219, qui donne une légère

sous évaluation des grandes distances kilométriques et une sur évaluation des petites distances kilométriques, comme un déplacement en fin de journée apparaît plus long qu'un déplacement le matin. Ces perceptions vont ainsi jouer sur "l'organisation mentale du déplacement, faisant presque

toujours appel à des référentiels égocentrés"220.

Ces remarques sont importantes, car elles peuvent donner des éléments de réponse sur des

219 Bailly (A.), "Distances et espaces. Vingt ans de géographie des représentations", L'Espace géographique, n°3, 1985. pp

197-205.

comportements de visites que l'on peut observer entre différentes heures de la journée.

Il apparaît dans les études menées sur ce thème que les hommes se situent à partir de point de repère221 et segmentent ainsi la distance totale en segments qui relient chacun des points de

repère, plus il existe de segments, plus la distance totale paraît longue222. A. Bailly223 définit un

espace mental organisé en fonction de trois aspects : le structurel correspondant à l'organisation du réseau (axe et repère de déplacement), le fonctionnel associé à une pratique de l'espace (déplacement, activités...) et le symbolique qui répond à une interaction entre la représentation de l'espace et l'expérience de l'individu.

Pour A. Bailly, l'espace apparaît donc relatif et anthropocentré et ne peut être réduit à un espace absolu (type de Newton) de points indépendants.

c). Un agent qui intègre l'espace dans sa globalité

En reprenant A. Bailly, on trouve ici, une explication de la différenciation des déplacements voitures et pédestres s'opérant sur le réseau d'accueil d'un espace naturel en fonction de la perception qu'ont les individus sur l'espace, un espace structurel de déplacement lié à l'accessibilité, un espace fonctionnel ouvrant sur des pratiques récréatives et un espace symbolique inférant une représentation causée par la notoriété du site.

Il paraît alors plausible que les formes de fréquentations sur les espaces naturels soient la résultante des interactions s'opérant entre les trois représentations que se font les visiteurs entre l'aspect fonctionnel, structurel et symbolique.

L'aspect structurel de l'espace sera donné par la topologie du réseau d'accueil donc par l'organisation spatiale des sites et les seuils psychologiques de déplacement (temps "à moins de..."). L'aspect fonctionnel sera déterminé par des formes particulières de pratiques récréatives de diffusion spatiale (types de cheminement en boucle ou en aller et retour) s'opérant dans les différentes aires de diffusion pédestre. La dimension symbolique de l'espace sera sa capacité à offrir l'activité récréative que les individus sont venus chercher sur l'espace, cette dimension prendra en compte l'offre spatiale (curiosités naturelles, équipements touristiques, services...) existante dans les différentes aires et la notoriété des sites et sera

221 Lynch (K.), "L'image de la cité", coll. Aspects de l'Urbanisme, Dunod, 1976.

222 L'exemple des transports en commun du métro parisien est intéressant, un déplacement de 20 minutes avec

changement est considéré comme aussi long voire plus long qu'un déplacement de 30 minutes sans changement.

différente pour chacune des trois populations de visiteurs en fonction des pratiques récréatives de diffusion.

Ces affirmations nous obligent alors à définir les deux autres éléments de notre système, le lieu et le réseau d'accueil comme étant, eux aussi, des agents définissant et orientant des formes de répartition sur l'espace.

d). Un agent qui segmente le temps

Nous voulons montrer que le temps ne donne pas obligatoirement une distance parcourue, mais une distance parcourue (ou une pratique ponctuelle) donne dans tous les cas une variation du temps donc un temps de présence. Il existe un rapport non symétrique entre le temps et la distance. La distance de promenade, entre un point 1 et un point 2, ou la pratique d'une autre activité implique toujours un temps de présence minimal. Or un temps de présence ne nous fournira aucune information sur les pratiques des visiteurs et les impacts des visiteurs sur les espaces naturels.

Nous pensons que le temps n'est pas une unité commune partagée par tous les visiteurs. Il semble qu'ils associent le temps comme une donnée limitant par défaut le déplacement et l'assimilent comme un capital de temps qui leur permet de se déplacer et d'atteindre des sites. Rien ne présuppose qu'il existe une optimisation de la variable temporelle. Un déplacement récréatif se fait souvent en fonction de temps psychologiques qui donnent une valeur maximale de déplacement un peu floue très bien exprimée, dans le cas de l'accessibilité, par l'expression "à moins d'une demie heure" qui veut dire un déplacement borné entre un quart et trois quarts d'heure en fonction des aléas routiers.

Dès lors l'intégration du temps dans les processus est irrémédiablement liée à l'espace et au comportement des individus. Dans les modèles dynamiques développés en analyse spatiale224

pour appréhender des diffusions, le temps apparaît comme une variable continue sur l'espace et donne la troisième dimension au processus de diffusion s'opérant sur un espace. Il représente une variable fondamentale des processus d'interactions spatiales sur l'espace225.

Si l'on s'interroge sur la définition de dt, on peut faire remarquer que ce concept n'est valable que si l'on considère le dt comme une grandeur invariable qui va déterminer un temps continu

224 Forrester (J.W.), "Princpes des sytèmes", Presses Universitaires de Lyon, troisième édition, Lyon, 1984. 225 Sanders (L.), "Le temps dans l'analyse spatiale" in Démarches et pratiques en analyse spatiale, Actes de l'école

(∫ dt=continu). Mais si on pense que le dt peut être appréhendé de façon différente par les individus, alors la variation dt n'est plus constante sur un intervalle de temps (par exemple une journée) car elle est perçue différemment. La valeur de la perception du temps fait que chaque individu possède un référentiel qui lui est propre et qui rend le temps plus ou moins discret sur un intervalle, donc non continu. Une variation dt peut ne pas avoir la même signification pour les différents visiteurs.

Si le temps d'une journée est continu, les différentes phases liées aux pratiques quotidiennes font que les individus segmentent leur journée en activités qui peuvent être analysées en "budget espaces-temps"226. Ces "budgets espaces-temps" sont des séquences de durée de

temps d'une journée réservées à des activités bien spécifiques. S. Chardonnel227 montre bien

que cette méthode peut s'appliquer à l'emploi du temps des touristes. Les pratiques récréatives segmentent le temps d'une journée en activités, le temps devient alors une grandeur discrète dépendant des comportements touristiques des visiteurs.

Si le visiteur se déplace à la journée, à la demie journée, ou à l'heure, les seuils psychologiques sur les temps de déplacements maximum (choix d'un site "à moins de...") sont variables et induisent des temps de visite qui dépendent de l'horaire de départ. Il devient alors évident que le temps dépend d'une unité qui ne possède pas une valeur égale pour tous les visiteurs. On peut même admettre qu'il existe deux temps différents celui du déplacement dt(voiture) et celui de la visite dt(promenade), ce qui veut dire qu'un déplacement récréatif est géré par deux variables temps bien distinctes dont les dt ne représentent pas les mêmes variations de temps.

De plus, ces écarts sont susceptibles d'être amplifiées par les perceptions que les individus possèdent sur les notions de temps : les "temps psychologiques". Ces temps recouvrent des notions de seuils liées aux rythmes de vies segmentés sur une journée : on part pour la journée, la matinée ou l'après-midi, on se déplace à moins d'un quart d'heure, d'une heure, etc. Dans l'absolu, ces seuils apparaissent variables et, suivant les individus, relatifs les uns par rapport aux autres, par exemple, la durée d'une matinée peut osciller entre 2 et 5 heures en fonction de l'heure du réveil et du déjeuner.

En partant du principe que le visiteur ne fait pas le déplacement voiture "à moitié" (si le

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thématique, Géoppoint, Avignon, 1996. p. 57-63.

226 Hagestrand (T.), "The domain of human geography", ed. Chorley, Direction in human geography, Methuen,

Londres, 1973.

déplacement n'est pas fait en totalité, il ne peut y avoir de visite), et qu'il existe des temps de déplacement maximum ou minimum, on peut supposer que le déplacement d'accès au site est indivisible et qu'en fonction de l'heure de départ de sa résidence, il existe un dt(voiture) qui représente l'unité insécable de déplacement voiture pour un visiteur, symbolisée par "l'effet tunnel"228.

Si un visiteur peut ne pas posséder les mêmes seuils de temps de déplacement, on peut supposer que le dt(voiture) peut avoir des valeurs différentes en fonction de l'heure de départ et du type de pratiques récréatives. Le temps de déplacement apparaît alors comme une variable discrète et non plus comme un référentiel continu partagé par l'ensemble de la population de visiteurs. Par analogie avec le "budget temps", le temps discret est donné par la durée nécessaire à la consommation d'un "budget déplacement" propre à chaque visiteur.

Un raisonnement similaire peut être fait pour le temps de promenade sur le site. On peut très bien admettre que le dt(promenade) est le temps de présence minimum pour faire un déplacement dans les aires de diffusion correspondant aux différentes pratiques spatiales des visiteurs. L'unité de temps, qui fait référence lors d'un déplacement, est alors un temps minimum de visite. On obtient donc trois dt(promenade) différents, un temps de présence minimum pour qu'un contemplatif, un promeneur ou un randonneur fasse son déplacement pédestre dans son aire respective . Comme pour le dt(voiture), le dt(promenade) est variable en fonction des visiteurs, ce qui fait que le temps apparaît plus comme un paramètre aux valeurs discrètes que comme une variable continue sur l'espace.

Dès lors, pour chaque type de visiteurs nous aurons pour tous les sites un temps de présence déduit. En fonction de l'heure de départ de la résidence, il sera possible pour le visiteur de visiter un certain nombre de sites. Cette conception différente de l'intégration du temps met alors plus l'accent sur la forme du réseau, la topologie du graphe, définie par la connexité, la connectivité et la distance des arcs. La topologie détermine alors des facteurs limitant par défaut des déplacements dus au fait que le temps est borné par une heure de départ (le matin) et une heure de retour (le soir). Les sites seront ou ne seront pas accessibles (temps minimaux) en fonction de certains types de circulation (cf. tableau : Morphologie des réseaux d'accueil, page 172).

228 Sur un tronçon (A;B), tout déplacement partant de A arrive en B et il ne peut y avoir de bifurcation entre ces

deux points. Le déplacement traverse un territoire dans des conditions de temps et de coûts bien inférieures à ce que devrait être un simple déplacement qui devrait traverser tout l'espace (Metro, TGV..). Voir aussi à ce sujet Plassard (F.), "Le train à grande vitesse et le réseau de villes", Transport, n°345, 1991, p. 19.

2). Le lieu

Le lieu, que nous appellerons aussi site, représente, à l'évidence, l'élément le plus déterminant dans les répartitions des visiteurs sur un espace naturel. Il représente ce pourquoi les visiteurs se déplacent. C'est l'interface entre le réseau routier et le site naturel (le réseau sentier). Le site sera alors représenté par ce nœud de rupture de charge qui est le point de fixation ou le point de stationnement : le parking.

L'organisation des déplacements sur un territoire touristique semble être dépendante des pratiques spatiales sur des sites qui constituent l'unité élémentaire de la structure spatiale d'un territoire touristique et de la structure du réseau.

Il possède des caractéristiques propres qui vont lui donner une offre spatiale absolue, ce que l'on peut dénombrer (nombre d'équipements et leur diversité, offre du milieu naturel c'est-à- dire le nombre de curiosités naturelles existant à proximité des parkings). Cette offre spatiale deviendra relative en fonction du niveau d'aménagement du site et de la répartition des curiosités naturelles contenues dans les différentes aires de diffusion du site susceptibles d'être accessibles des parkings par nos trois populations de visiteurs. Donc chaque site possédera des caractéristiques absolues internes qui seront plus ou moins attractives pour chacune des populations de visiteurs.

C'est à ce niveau que se produit l'interaction entre le lieu et le visiteur, cette interaction résulte de la capacité du site à offrir un potentiel relatif d'activité en fonction d'une population de visiteurs. Nous aurons donc, pour chacun des sites, trois attractivités différentes correspondant chacune à l'une des trois populations.

a). La masse, une offre spatiale absolue

On rejoint ici, l'un des problèmes les plus aigus pour les modèles d'interactions spatiales, la massification de nos sites. Si la distance est une variable relativement facile à quantifier, la masse d'un site est beaucoup plus difficile à définir.

La qualité de l'espace est dépendante de ce qu'il contient et de celui qui le voit. On pourrait aussi ajouter, de celui qui le conçoit, l'aménageur qui tente de faire le lien entre les deux. Qu'il soit plus "bétonneur" que "naturaliste", il n'aura pas la même conception de l'espace de loisir. Nous n'allons pas tenir compte de l'artefact que produit l'image que se fait l'aménageur, nous allons le considérer, en dehors de toute prétention, neutre.

La valeur du site regroupe plusieurs notions. Pour nous, elle est liée aux comportements des individus qui apparaissent variés dans le choix des sites naturels à visiter, mais se font presque toujours selon trois principales caractéristiques du milieu naturel (cf. Des pratiques régulières sur l'espace, page 34):

• une nature protégée qui offre un dépaysement, • une nature aménagée qui offre une sécurité, • une nature accessible qui offre une découverte.

On va donc considérer que le site offre des "ressources naturelles", qui sont les curiosités naturelles. Elles sont liées généralement à la géomorphologie des lieux (sommets, points panoramiques, lacs, plans d'eau, éperons rocheux, etc.) et à la combinaison du milieu par rapport à un paysage plus ou moins ouvert ou fermé.

Cette ressource naturelle est accompagnée par des équipements qui la mettent en valeur. Ces équipements sont multiples. Le premier est le point de fixation qu'est le parking. S'il n'existe pas de point d'accessibilité, il ne peut y avoir de fréquentation. Nous pouvons aussi différencier des boutiques et des équipements de services aux visiteurs comme la restauration,