HAL Id: jpa-00241855
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Submitted on 1 Jan 1913
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Annalen der Physik;T. XLI, nos 6 et 7; 1913
Marcel Boll, R. Jouaust
To cite this version:
Marcel Boll, R. Jouaust. Annalen der Physik;T. XLI, nos 6 et 7; 1913. J. Phys. Theor. Appl., 1913,
3 (1), pp.684-689. �10.1051/jphystap:019130030068401�. �jpa-00241855�
684
E.-F. FATH. - Spectre intégré de la voie lactée.
-P. 362-368.
L’étude faite à Harvard College de la distribution dans l’espace de plus de 32.000 étoiles dont on connaît les spectres a montré que 52 0/0 des étoiles sont du type A (étoiles à hydrogène), que le rapport du nombre des étoiles du type A à celui des étoiles d’autres
type s’accroît quand l’éclat diminue et que dans la voie lactée lest
des étoiles étudiées sont du type A. De cette étude on pourrait con-
clure que le spectre intégré de notre système stellaire, et en parti-
culier de la voie lactée, serait approximativement du type A.
M. Fath a étudié le spectre intégré de la voie lactée en braquant
directement un spectrographe sur sa région la plus brillante dans le
Sagittaire. La surface étudiée avait donc un diamètre angulaire égal à l’ouverture angulaire du collimateur ou même un peu plus grande par suite des irrégularités du mouvement de l’appareil. Les spectres obtenus avec des poses de soixante-cinq heures sont nette- ment du type solaire. La conclusion tirée des observations d’Harvard n’est donc pas vérifiée. Les étoiles étudiées par Harvard sont presque toutes plus brillantes que la huitième grandeur; celles qui donnent le spectre intégré de la voie lactée sont beaucoup plus faibles. Il est
probable qu’à partir d’une certaine grandeur les étoiles du type so- laire prédominent.
JULES BAILLAUD.
ANNALEN DER PHYSIK;
T. XLI, nos 6 et 7; 1913.
KARL-F. HERZFELD. - Sur la théorie électronique des métaux. - P. 27-52.
Signification des notations employées :
T, température absolue ; E, énergie d’un électron ;
e, charge d’un électron ;
m, masse d’un électron ;
n, nombre d’électrons dans 1 centimètre cube de métal;
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019130030068401
685
N, nombre d’atomes dans une molécule-gramme ;
R
=kN = 5,955, constante des gaz ;
X, libre parcours des électrons dans le métal ;
a, conductivité électrique ;
7, conductivité thermique.
,Résultats :
1° Dans les métaux bons conducteurs, on a la formule :
1où
,On n’obtient pas les mêmes valeurs qu’à partir des chaleurs spé- cifiques.
2° A partir de E et de a, on peut tirer le produit :
où cc est un facteur voisin de l’unité.
3° En partant de l’effet Thomson, on peut déduire les variations de
n en fonction de T :
Pour Cu : Pour Al :
2
La constante A est évaluée à . 3
686
4° On a calculé les variations de ~ en fonction de T, et on a
montré que la formule de Lindemann :
(B et C, constantes), ne s’applique pas.
MARCEL BOLL.
WITOLD
VONRYBCZYNSKL 2013 Propagation des ondes de télégraphie
sansfil
à la surface du globe terrestre.
-P. 191-208.
Cette question a été étudiée récemment au point de vue mathéma- tique par Marcha mais les résultats différaient notablement de
ceux obtenus par Nicholson et Poincaré, et ce dernier signala (4),
dans les calculs de March, une approximation incorrecte. L’au- teur a repris par une méthode identique l’étude de la question et
arrive à montrer que la loi de décroissance de l’amplitude de l’onde
le long d’un grand cercle est non pas :
comme l’avait écrit March, mais
avec
a étant le rayon terrestre, À la longueur d’onde des oscillations en-
visagées, 8 la distance angulaire sur la sphère terrestre entre le
poste d’émission et le poste de réception.
L’introduction de ce facteur d’atténuation exponentiel montre que le mode de calcul de March peut conduire à des résultats identiques
à ceux de Poincaré et de Nicholson. Ce dernier, dans le cas où la
conductivité du sol terrestre est considérée comme infinie, attribuait
(1) J. de Phys., 5e série, t. II, p. 143 ; 1912.
(~) C. R., t. CLIV, p. 795; 1912.
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