HAL Id: jpa-00237963
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Submitted on 1 Jan 1882
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F. KOLACEK. - Ueber die Beziehung des Gefrierpunktes von Salzlösungen zu deren Spannkraftsgesetze (Relation entre le point de congélation des solutions salines et la loi de leurs tensions de vapeur); Ann. der Physik und Chemie, 5e
série, t. XV, p. 38 ; 1882
Ch. Gomien
To cite this version:
Ch. Gomien. F. KOLACEK. - Ueber die Beziehung des Gefrierpunktes von Salzlösungen zu deren Spannkraftsgesetze (Relation entre le point de congélation des solutions salines et la loi de leurs tensions de vapeur); Ann. der Physik und Chemie, 5e série, t. XV, p. 38 ; 1882. J. Phys. Theor.
Appl., 1882, 1 (1), pp.336-337. �10.1051/jphystap:018820010033602�. �jpa-00237963�
336
(F-LG
etG),
lerapport
se trouverenverser
c’est-à-dire que lacomposante polarisée
dans leplan perpendiculaire
amplan
d’inci-dence est la
plus
intense. Dans certains cas, et pour certainescouleurs,
ce rapportcroît jusqu’à
unmaximum,
pour diminuerensuite. Pour d’autres
couleurs,
au contraire(C
et D pour lepla- tinocyanure
demagnésium),
il y aanalogie complète
entre les pro-priétés
de la substance et celles des corps transparents.J. MACÉ DE LÉPINAY.
SZILAGYL. 2014 Ueber Simultancontrast (Sur le contraste simultané); Central- blatt für die medicinischen Wissenschaften, 19 novembre 1881.
Pour démontrer que le
phénomène
de contras Le simultané estbien un
phénomène
d’ordre purement cérébral(erreur
dejugement d’après Helmholtz),
Fauteurparvient
à leproduire
en combinantdes
impressions produites séparément
sur les deux yeux. Dans un descompartiments
d’unstéréoscope
à réfraction est introduite unefeuille translucide de
papier coloré,
au milieu delaquelle
est fixéun morceau de carton noir opaque. Dans l’autre
compartiment,
onintroduit des feuilles de
papier
de soie enplusieurs
doubles. Enregardant
au moyen des deux yeux, àl’impression
colorée pro- duite dans l’und’eux,
sejuxtapose l’impression
dugris produit
dans l’autre 0153il. Le
phénomène
de contraste seproduit, quoique faiblement,
etdisparaît lorsqu’on
vient à fermer l’oeilqui regarde
la surface blanche. J. MACÉ DE LÉPINAY.
F. KOLACEK. 2014 Ueber die Beziehung des Gefrierpunktes von Salzlösungen zu deren Spannkraftsgesetze (Relation entre le point de congélation des solutions salines et la loi de leurs tensions de vapeur); Ann. der Physik und Chemie, 5e série, t. XV, p. 38 ; 1882.
Quand
une solution saline secongèle,
laglace
est formée d’eau pure. Laglace
et la solution doivent donc avoir à ce moment la même tension de vapeur. Onpeut
déterminer lepoint
decongé-
lation par l’intersection des courbes de tension
correspondant
à laArticle published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010033602
337
glace
et à la solution. Cepoint
sera inférieur à 0°. L’auteur decette Note calcule la relation entre la tension et la
température pour la solution,
connaissant la chaleur latente devaporisation
à o°et les chaleurs
spécifiques
de la solution et dela sapeur
au-des-sous de o-. La
position
dupoint
decongélation pourrait
se calcu-ler si l’on connaissait la relation
correspondante
pour laglace.
M. Kolacek
applique
le calcul au cas des solutions très éten-dues,
et peut alors le pousserjusqu’au
bout. Ses résultats nepré-
sentent
qu’un
accord très médiocre avec ceux quel’expérience
avait fournis à Rudorff
(’ ).
Du reste, les valeurs données par différents observateurs pour l’abaissement 8 du
point
decongélation
neprésentent générale-
ment aucun accord. Mais M. Raoult
(2)
a trouvéemhiritluerment
larelation
suin,ante, 0 =A 7,6, A étant la différence à 100° entre les ten-
sions de vapeur de l’eau pure et de la solution. Les résultats s’ac- cordent assez bien avec ceux que Fauteur tire de ses calculs.
M. Kolacek terinine sa Note en
remarquant
que,lorsque
le seldissous
éprouve
unedissociation,
la valeur 8 calculée par sa mé- thode estplus grande
que la valeurréelle ;
le contraire a lieu dansle cas d’une combinaison. CH. GOMIEN.
A.-G. GREENHILL. - Determination of the greatest height consistent with stabi-
lity that a vertical pole or mast can be made, and of the greatest height to which
a tree of given proportions can grow (Hauteur maxima compatible avec la stabi-
lité d’une tige verticale ou d’un mât. Hauteur à laquelle peut croître un arbre de proportions connues); Proc. of Camb. phil. Soc., vol. IV, Part II, 1881.
Si E
représente
le coefficientd’élasticité,
1 le moment d’inertied’une section de rayon r de la
tige supposée
derévolution,
W son
poids depuis
cette section de coordonnéesx’, )1’1 jusqu’au
sommet
pris
pourorigine,
l’axe des x étantverticale
la courbe de(’ ) MOUSSON, Physique, t. II, p. 99.
(2) Comptes rendus des séances de l’Académie cles Sciences, t. LXXXVII,
p. 167-169; 1878.