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W. VON BEETZ. — Ueher Normalelemente für electromotorische Messungen (Sur des éléments normaux pour des mesures de forces électromotrices); Philoso phical Magazine, 5e série, t. XVIII, p. 13; 1884

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238434

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238434

Submitted on 1 Jan 1885

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W. VON BEETZ. - Ueher Normalelemente für electromotorische Messungen (Sur des éléments normaux pour des mesures de forces électromotrices);

Philoso phical Magazine, 5e série, t. XVIII, p. 13; 1884

Krouchkoll

To cite this version:

Krouchkoll. W. VON BEETZ. - Ueher Normalelemente für electromotorische Messungen (Sur des éléments normaux pour des mesures de forces électromotrices); Philoso phical Magazine, 5e série, t.

XVIII, p. 13; 1884. J. Phys. Theor. Appl., 1885, 4 (1), pp.43-46. �10.1051/jphystap:01885004004301�.

�jpa-00238434�

(2)

43 soumis à

l’expérience

sont le sulfate et le chlorure de

magnésie,

le

perchlorure

de fer, le sulfate de cobalt, l’eau et un

amalgame

de fer. A. LEDUC.

W. VON BEETZ. 2014 Ueher Normalelemente für electromotorische Messungen (Sur des éléments normaux pour des mesures de forces électromotrices); Philoso- phical Magazine, 5e série, t. XVIII, p. 13; 1884.

L’auteur fait la

critique

des éléments actuellement en usage pour les mesures de forces électromotrices. Les éléments Daniell les mieux construits ne restent constants que

pendant

un temps relativement restreint. On ne peut guère compter sur leur con-

stance que pour la durée d’une série

d expériences :

il faut les re-

monter trop souvent. L’élément Lat,imer-Clark présente deux

inconvénients très graves : sa force électromotrice varie

beaucoup

avec la

température,

défaut

qui

n’existe pas dans le daniell; eu

outre, elle baisse d’une manière très considérable à la moindre fermeture de l’élément sur lui-même,

quelque petit

que soit le temps de fermeture. L’auteur a constaté une perte de 2 pour Ion

quand

l’élément était resté fermé sur lui-même

pendant

une demi-

minute.

D’après

l’auteur même, l’élément Latimer-Clark peut être dé- barrassé de ses défauts : il suffit de lui donner une résistance suf - fisamment

grande,

afin que le courant

produit

soit

toujours

très

faible. A cet effet, on

remplit

un tube deux fois recourbé à

angle

droit

(de

01ll,OI de diamètre et de

01ll,75

de

longueur

de

branches)

de la

pâte

composée de sulfate mercureux et de sul- fate de zinc. On fait bouillir la

pâte jusqu’à

ce que, après refroidis-

sement, elle se prenne en une masse solide très dure. Au bout de l’une des branches, on établit le

pôle

zinc, à celui de l’autre le

pôle

mercure, et l’on bouche les deux branches avec de la

paraf-

fine. Cet élément,

qu’on

peut, pour

plus

de commodité, fixer à la

table

d’expérience, possède

une résistance intérieure

de 15700ohms,

et sa force électromotrice est un peu

plus

faible que ne

l’indique

Latimer-Clark. Si l’on admet pour la force électromotrice de

i daniell normal

(avec

l’eau

acidulée)

1 volt,

195,

celle de l’élément

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01885004004301

(3)

à mercure est

1volt,449 ( au

lieu de

1,457).

Si l’on ferme l’élé-

muent sur lui-même, sa force électromotrice baisse, et le Tableau

suivant peut donner une idée de la variation de la force électromo- trice avec la durée de la fermeture :

On voit que la

polarisation

de l’élément était très faible. Le

courant

qui

le traversait n’était, du reste, que de oamp, 000009 l.

Après

48 heures de fermeture,

qu’on

peut facilement éviter, la

force électromotrice n’avait baissé que due 2 pour 100. L’élément,

une fois

affaibli,

revient lentement à sa force électromotrice

pri-

mitive.

Après

24 heures, elle était de

i "lit,

430. L’auteur

applique

le même

principe, qui

consiste à

remplacer

le conducteur

liquide

par un

électrolyte solide,

à l’élémen t Daniell. A cet effet, on mé-

lange

du

plâtre

blanc de Paris avec une dissolution concentrée de sulfate de cuivre et l’on

remplit

l’une des branches d’un tube en U ;

lorsque

la

pâte

a fait

prise,

on

remplit

l’autre branche avec un

mélange analogue

d’albâtre et de sulfate de zinc. De cette manière,

les deux

pôles

se touchent directement. Avant la solidification, on

plante

un fil de cuivre dans la

pâte cuivrique

et un fil de zinc dans la

pâte

à sulfate de zinc. On

dégage, après

la solidification des

pâues,

les deux extrémités du tube et on les bouche avec de la

paraffine.

On a

comparé

trois de ces éléments avec i daniell fait

avec des dissolutions concentrées de sulfates de cuivre et de

zinc, pris

pour unité, et des mesures effectuées à différents

jours

ont

donné les nombres suivants :

(4)

45 La diminution de la force électromotrice avec la

température

est de 0,015 pour i oo par

degré

entre 1 ° et 21 °. Ce coefficient augmente avec la

température.

Pour l’élément III, ce coefficient était de 0,061 entre 32° et 55°, tandis que pour l’élément Latimer-

Clark ce coefficient est 0,08,

d’après1B1M.

Helmholtz et Kittler. Dans

ces limites restreintes de

température,

se font les mesures de

forces électromotrices, l’influence de la

température

est donc né-

gligeable.

L’auteur a encore recherché l’influence de la ferme-

ture des éléments sur eux-mêmes. Une fermeture d’une demi- minute de durée n’a

produit

aucun effet sur les éléments 1 et II;

l’élément II est tombé de 1,000 à 0,997; mais il revient très vite à sa valeur

primitive.

Les variations

produites

par des fermetures

de

plus longues

durées sont

indiquées

dans le Tableau suivant:

Tous les éléments sont revenus à leur force électromotrice

pri-

mitive après 15 minutes d’ouverture. La valeur moyenne de la force électromotrice de i daniell sec est de

Ivolt,05g,

si l’on

prend 1volt,059

comme valeur de la force électromotrice de i daniell à dissolutions concentrées de sulfaues de cuivre et de zinc. La résis-

tance intérieure de l’élément II était 14ohms,600 et celle de l’élé-

ment Il[ 13ohms,500. L’intensité du courant dans l’élément II

(fermé

sur

lui-même)

était de oamp,Ü00072, et dans l’élément III

0amp,000078.

Dans le

premier,

il se

déposait

ainsi 0mgr,08 de cuivre, dans le second, omgr ,og.

Ces éléments secs se recomniandent encore pour la

charge

des

électromètres à

quadrants.

Comme ici la résistance est indiffé- rentre, on peut la faire très

petite.

L’auteur a

disposé

une

pile

de

144 éléments, formée de douze séries de 12 éléments.

Chaque

élément est formé d’un tube de verre de 5mm de diamètre,

rempli

(5)

par moitié de la

pâte cuivrique

et de la

pâte

de sulfate de zinc, et bouché à la

paraffine.

La

pile

donnait aux deux

pôles

une diffé-

rence de

potentiel

de i5a volts. Il aurait

fallu,

pour obtenir la même force électromotrice, une

pile

à eau de 156 éléments frais

ou de 20o éléments affaiblis. Toute la

pile

occupe une

superficie

de 16cq. KROUCHKOLL.

KNUT ÅNGSTRÖM. 2014 Un nouveau géothermomètre; Bihang till K. Svenska vetensk. Akad. Handlingar, t. VIII, 1884.

Le réservoir de ce thermomètre

plonge

dans une cuvette de fer

un peu

plus large, pleine

de mercure. La

tige

en est ouverte et

reçoit un fil

métallique

court, que l’on manoeuvre

depuis

la surface

du sol par l’intermédiaire d’une

tige métallique

à crémaillère T et

d’un

pignon.

Dès que le fil arrive au contact du mercure, un cir- cuit

électrique

comprenant un électro-aiu1ant se trouve

ferme,

et

le

pignon

est arrêté par le contact de l’électro-aimant. Il suffit alors de lire la

position

d’un index

porté

par la

tige

T sur une

échelle

graduée

d’avance par

comparaison,

et l’on obtient la tem-

pérature.

Le détail de la construction est tel que les dilatations des diverses

parties

de l’instrument se compensent à peu

près :

il

n’y

a donc pas à faire de correction de

température.

Le

géothermomètre

de M.

Angström

a été

comparé

par lui à un

géothermomètre disposé,

il y a une

quarantaine

d’années, par Hall-

berg,

à une

profondeur

de 1m. Les deux instruments

placés

dans

le

voisinage

l’un de l’autre ont

indiqué

une différence variable suivant les saisons et dont la valeur moyenne

atteignait

o", 5. Vé-

rification faite, il s’est trouvé que, dans le cours des années, le thermomètre de

Hamberg

était remonté de

lui-même,

sans doute

à la suite d’un

dégel,

et n’étai t

plus qu’à 0m,95

de

profondeur,

ce

qui

rend un compte exact des diflérences observées,. Les deux in-

struments peuvent donc être considérés comme donnant des indica-

tions concordantes. E. BOUTY.

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