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(1) Calculer la matrice A3−A

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Ann´ee universitaire 2019-2020 Semestre 2 - SMIA

Alg`ebre 3 (SMIA).

Corrig´e-S´erie III.

Exercice 1. Soit A=

1 0 2

0 −1 1 1 −2 0

.

(1) Calculer la matrice A3−A.

(2) En d´eduire que A est inversible et d´eterminer A−1. Correction On trouve

A2 =

3 −4 2 1 −1 −1

1 2 0

 et A3 =

5 0 2

0 3 1

1 −2 4

.

Un calcul donne A3 −A = 4I. En factorisant par A on obtient A ×(A2 −I) = 4I. Donc A× 14(A2−I) = I, ainsi A est inversible et

A−1 = 1

4(A2−I) = 1 4

2 −4 2 1 −2 −1

1 2 −1

.

Exercice 2. Soit f l’endomorphisme de R3 dont la matrice dans la base canonique de R3 est : M =

0 1 0

0 0 1

1 −3 3

.

(1) Montrer que f est un automorphisme de R3 et d´eterminer f−1.

(2) D´eterminer une base(e1, e2, e3)deR3 telle quef(e1) = e1, f(e2) = e1+e2 etf(e3) = e2+e3. (3) D´eterminer P la matrice de passage de (i, j, k) `a (e1, e2, e3) ainsi que P−1.

(4) En d´eduire fn(i), fn(j) et fn(k) pour n entier relatif.

Correction

1) M´ethode 1: rgf = dim Imf = rg(f(i), f(j), f(k)) = dimvect(f(j), f(k), f(i)) = 3, car la famille {f(j), f(k), f(i)} est g´en´eratrice Donc, rgf = 3 = dimR3 et f est bien un automorphisme deR3.

M´ethode 2: un calcul simple montre que det(M)6= 0 donc la matrice M est inversible ce qui impliquef est inversible.

D´eterminons maintenant l’application inverse f−1: Posons e1 = f(i), e2 = f(j) et e3 = f(k).

e1 =k e2 =i−3k e3 =j+ 3k

k=e1 i= 3e1+e2 j =−3e1+e3

f−1(k) = i f−1(i) = 3i+j f−1(j) =−3i+k et

(2)

A−1 = MatB(f−1) =

3 −3 1

1 0 0

0 1 0

.

(1) (Questions 2) et 3)). Posonse1 =xi+yj+zk (e1,e2 ete3 d´esignent d’autres vecteurs que ceux du 1)).

f(e1) =e1 ⇔(f−Id)(e1) = 0⇔

−1 1 0 0 −1 1 1 −3 2

 x y z

=

 0 0 0

⇔

−x+y= 0

−y+z = 0 x−3y+ 2z = 0

⇔x=y=z.

On prend e1 =i+j+k.

Posonse2 =xi+yj+zk.

f(e2) = e1+e2 ⇔(f −Id)(e2) = e1

−x+y= 1

−y+z = 1 x−3y+ 2z = 1

⇔y=x+ 1 etz =x+ 2.

On prend e2 =j + 2k.

Posonse3 =xi+yj+zk.

f(e3) = e2+e3 ⇔(f−Id)(e3) = e2

−x+y= 0

−y+z = 1 x−3y+ 2z= 2

⇔y=xetz =x+ 1.

On prend e3 =k.

La matrice de la famille (e1, e2, e3) dans la base (i, j, k) est P =

1 0 0 1 1 0 1 2 1

. Cette

matrice est de rang 3 et est donc inversible. Par suite (e1, e2, e3) est une base deR3. Enfin,

e1 =i+j+k e2 =j+ 2k e3 =k

k =e3 j =e2−2e3 i=e1−e2+e3

, et

P−1 =

1 0 0

−1 1 0 1 −2 1

. (2) Voir question pr´ec´edente.

(3) Soit T est la matrice de u dans la base (e1, e2, e3). T =

1 1 0 0 1 1 0 0 1

. Les formules de

changement de bases s’´ecrivent T = P−1AP ou encore A =P T P−1. Par suite, pour tout relatif n, An =P TnP−1.

PosonsN =

0 1 0 0 0 1 0 0 0

. On a N2 =

0 0 1 0 0 0 0 0 0

 puis N3 = 0.

Donc, pour n entier naturel sup´erieur ou ´egal `a 2 donn´e, puisque I et N commutent, la formule du binˆome deNewton fournit

(3)

Tn= (I+N)n =I+nN +n(n−1) 2 N2 =

1 n n(n−1)/2

0 1 n

0 0 1

.

Cette formule reste claire pour n = 0 et n = 1. Pour n =−1, (I+N)(I−N +N2) = I+N3 =I et donc

T−1 = (I+N)−1 =I−N +N2 =

1 −1 1

0 1 −1

0 0 1

=

1 −1 (−1)(−1−1)2

0 1 −1

0 0 1

,

et la formule reste vraie pour n = −1. Enfin, pour n entier naturel non nul donn´e, T−n = (I +nN + n(n−1)2 N2)−1 mais (I+nN + n(n−1)2 N2)(I −nN + −n(−n−1)2 N2) = I et donc T−n =I−nN +−n(−n−1)2 N2. Finalement,

∀n∈Z, Tn=I+nN +n(n−1) 2 N2 =

1 n n(n−1)/2

0 1 n

0 0 1

.

Puis

An =P TnP−1 =

1 0 0 1 1 0 1 2 1

1 n n(n−1)/2

0 1 n

0 0 1

1 0 0

−1 1 0 1 −2 1

=

1 n n(n−1)/2

1 n+ 1 n(n+ 1)/2 1 n+ 2 (n+ 1)(n+ 2)/2

1 0 0

−1 1 0 1 −2 1

=

(n−1)(n−2)/2 −n(n−2) n(n−1)/2 n(n−1)/2 −(n−1)(n+ 1) n(n+ 1)/2 n(n+ 1)/2 −n(n+ 2) (n+ 1)(n+ 2)/2

ce qui fournit un(i), un(j) et un(k).

Exercice 3. Soient trois vecteurse1, e2, e3formant une base deR3. On noteφl’application lin´eaire d´efinie par φ(e1) =e3, φ(e2) = −e1+e2+e3 et φ(e3) =e3.

(1) Ecrire la matrice´ A de φ dans la base(e1, e2, e3). D´eterminer le noyau de cette application.

(2) On pose f1 = e1−e3, f2 =e1 −e2, f3 = −e1+e2 +e3. Calculer e1, e2, e3 en fonction de f1, f2, f3. Les vecteurs f1, f2, f3 forment-ils une base de R3 ?

(3) Calculer φ(f1), φ(f2), φ(f3)en fonction de f1, f2, f3. ´Ecrire la matrice B de φ dans la base (f1, f2, f3) et trouver la nature de l’application φ.

(4) On pose P =

1 1 −1

0 −1 1

−1 0 1

. V´erifier que P est inversible et calculer P−1. Quelle relation lie A, B, P et P−1 ?

Correction:

(4)

(1) On note la baseB= (e1, e2, e3) etX =

 x y z

B

=xe1+ye2+ze3. La matrice A= MatB(f) est compos´ee des vecteurs colonnes φ(ei), on sait

φ(e1) = e3 =

 0 0 1

B

φ(e2) = −e1+e2+e3 =

−1 1 1

B

φ(e3) =e3 =

 0 0 1

B

donc A=

0 −1 0

0 1 0

1 1 1

Le noyau de φ (ou celui de A) est l’ensemble de X =

 x y z

 tel que AX = 0.

AX = 0 ⇐⇒

0 −1 0

0 1 0

1 1 1

×

 x y z

=

 0 0 0

 ⇐⇒

−y = 0 y = 0 x+y+z = 0

Donc Kerφ=

 x 0

−x

B

∈R3 |x∈R = Vect

 1 0

−1

B

= Vect(e1−e3). Le noyau est donc de dimension 1.

(2) On applique le pivot de Gauss comme si c’´etait un syst`eme lin´eaire :

e1 − e3 = f1 L1

e1 − e2 = f2 L2

−e1 + e2 + e3 = f3 L3

⇐⇒

e1 − e3 = f1

− e2 + e3 = f2−f1 L2−L1 e2 = f3+f1 L3+L1 On en d´eduit

e1 = f1+f2+f3 e2 = f1+f3 e3 = f2+f3

Donc tous les vecteurs de la base B = (e1, e2, e3) s’expriment en fonction de (f1, f2, f3), ainsi la famille (f1, f2, f3) est g´en´eratrice. Comme elle a exactement 3 ´el´ements dans l’espace vectoriel R3 de dimension 3 alors B0 = (f1, f2, f3) est une base.

(3)

φ(f1) =φ(e1−e3) =φ(e1)−φ(e3) =e3−e3 = 0

φ(f2) =φ(e1 −e2) =φ(e1)−φ(e2) =e3−(−e1+e2+e3) = e1−e2 =f2

φ(f3) = φ(−e1+e2+e3) = −φ(e1) +φ(e2) +φ(e3) =−e1+e2+e3 =f3 Donc, dans la base B0 = (f1, f2, f3), nous avons

φ(f1) = 0 =

 0 0 0

B0

φ(f2) = f2 =

 0 1 0

B0

φ(f3) = f3 =

 0 0 1

B0

(5)

Donc la matrice de φ dans la baseB0 est

B =

0 0 0 0 1 0 0 0 1

φ est la projection sur Vect(f2, f3) parall`element `a Vect(f1) (autrement dit c’est la pro- jection sur le plan d’´equation (x0 = 0), parall`element `a l’axe des x0, ceci dans la base B0).

(4) P est la matrice de passage de B vers B0. En effet la matrice de passage contient -en colonnes- les coordonn´ees des vecteurs de la nouvelle baseB0 exprim´es dans l’ancienne base B.

Si un vecteur a pour coordonn´eesX dans la baseB etX0 dans la baseB0 alorsP X0 =X (attention `a l’ordre). Et si A est la matrice de φ dans la base B et B est la matrice de φ dans la baseB0 alors

B =P−1AP

(Une matrice de passage entre deux bases est inversible.) Ici on calcule l’inverse de P :

P−1 =

1 1 0 1 0 1 1 1 1

 donc B =P−1AP =

0 0 0 0 1 0 0 0 1

On retrouve donc bien les mˆemes r´esultats que pr´ec´edemment.

Exercice 4. Soit f l’application de R3[X] dans R[X] d´efinie par: f(P(X)) =P(X+ 1) +P(X− 1)−2P(X).

(1) Montrer que f est lin´eaire et que son image est incluse dans R3[X].

(2) Donner la matrice de f dans la base 1, X, X2, X3. L’application f est-elle inversible?

(3) D´eterminer le noyau et l’image de f. Calculer leur dimension respective.

(4) Soit Q un ´el´ement de l’image de f. Montrer qu’il existe un unique P ∈ R3[X] tel que : f(P) =Q et P(0) =P0(0) = 0.

Correction

(1) Il est facile de voir quef(λP+µQ) = λf(P) +µf(Q) doncf est lin´eaire, de plus,P ´etant un polynˆome de degr´e≤n alors f(P) aussi.

(2) Pourn = 3 on calcule l’image de chacun des ´el´ements de la base : f(1) = 1 + 1−2 = 0, f(X) = (X+ 1) + (X−1)−2X = 0,

f(X2) = (X+ 1)2+ (X−1)2−2X2 = 2, f(X3) = (X+ 1)3+ (X−1)3−2X3 = 6X.

Donc la matrice de f dans la base (1, X, X2, X3) est

A=

0 0 2 0 0 0 0 6 0 0 0 0 0 0 0 0

On a det(A) = 0 donc f n’est pas inversible

(6)

(3) Nous savons que f(1) = 0 etf(X) = 0 donc 1 et X sont dans le noyau Kerf. Il est aussi clair que les colonnes de la matrices f(X2), f(X3) sont lin´eairement ind´ependantes. Donc Imf = Vect{f(X2), f(X3)} et dim Imf = 2.

Par la formule du rang dim Kerf + dim Imf = dimR3[X] donc dim Kerf = 2. Comme nous avons d´ej`a deux vecteurs du noyau alors Kerf = Vect{1, X}.

(4) (a) Soit Q∈ Imf. Il existe donc R ∈R3[X] tel que f(R) = Q. On pose ensuiteP(X) = R(X)−R(0)−R0(0)X. On a tout fait pour que P(0) = 0 et P0(0) = 0. De plus par la lin´earit´e de f et son noyau alors

f(P) =f R(X)−R(0)−R0(0)X

=f R(X)

−R(0)f(1)−R0(0)f(X) =f(R) =Q.

Donc notre polynˆome P convient.

(b) Montrons l’unicit´e. Soient P et ˜P tels que f(P) = f( ˜P) = Q avec P(0) = P0(0) = 0 = ˜P(0) = ˜P0(0). Alors f(P −P˜) = Q−Q= 0 donc P −P˜ ∈Kerf = Vect{1, X}.

Ainsi P −P˜ s’´ecrit P −P˜ = aX +b. Mais comme (P −P˜)(0) = 0 alors b = 0, et comme (P −P˜)0(0) = 0 alors a= 0. Ce qui prouve P = ˜P.

Exercice 5. Soient A =

1 2 1 3 4 1 5 6 1 7 8 1

, B =

2 2 −1 7

4 3 −1 11

0 −1 2 −4

3 3 −2 11

. Calculer rg(A) et rg(B).

D´eterminer une base du noyau et une base de l’image pour chacune des applications lin´eaires associ´ees fA et fB.

Correction

(1) (a) Commen¸cons par des remarques ´el´ementaires : la matrice est non nulle donc rg(A)≥1 et comme il y a p= 4 lignes etn = 3 colonnes alors rg(A)≤min(n, p) = 3.

(b) Ensuite on va montrer rg(A) ≥ 2 en effet le sous-d´eterminant 2×2 (extrait du coin en haut `a gauche) :

1 2 3 4

=−2 est non nul.

(c) Montrons que rg(A) = 2. Avec les d´eterminants il faudrait v´erifier que pour toutes les sous-matrices 3×3 les d´eterminants sont nuls. Pour ´eviter de nombreux calculs on remarque ici que les colonnes sont li´ees par la relation v2 =v1 +v3. Donc rg(A) = 2.

(d) L’application lin´eaire associ´ee `a la matrice A est l’application fA : R3 → R4. Et le th´eor`eme du rang dim KerfA+ dim ImfA = dimR3 donne ici dim KerfA = 3−rg(A) = 1.

Mais la relationv2 =v1+v3 donne imm´ediatement un ´el´ement du noyau : en ´ecrivant v1−v2 +v3 = 0 alors A

 1

−1 1

 =

 0 0 0

 Donc

 1

−1 1

 ∈ KerfA. Et comme le noyau est de dimension 1 alors

KerfA= Vect

 1

−1 1

(7)

(e) Pour un base de l’image, qui est de dimension 2, il suffit par exemple de prendre les deux premiers vecteurs colonnes de la matrice A (ils sont clairement non colin´eaires) :

ImfA= Vect{v1, v2}= Vect





 1 3 5 7

 ,

 1 1 1 1





 (2) On fait le mˆeme travail avec B et fB.

(a) Matrice non nulle avec 4 lignes et 4 colonnes donc 1≤rg(B)≤4.

(b) Comme le sous-d´eterminant (du coin sup´erieur gauche)

2 2 4 3

=−2 est non nul alors rg(B)≥2.

(c) Et pareil avec le sous-d´eterminant 3×3 :

2 2 −1

4 3 −1

0 −1 2

=−2 qui est non nul donc rg(B)≥3.

(d) Maintenant on calcule le d´eterminant de la matrice B et on trouve detB = 0, donc rg(B)<4. Conclusion rg(B) = 3. Par le th´eor`eme du rang alors dim KerfB= 1.

(e) Cela signifie que les colonnes (et aussi les lignes) sont li´ees, comme il n’est pas clair de trouver la relation `a la main on r´esout le syst`eme BX = 0 pour trouver cette relation

; autrement dit :

2 2 −1 7

4 3 −1 11

0 −1 2 −4

3 3 −2 11

·

 x y z t

=

 0 0 0 0

ou encore





2x+ 2y−z+ 7t = 0 4x+ 3y−z+ 11t = 0

−y+ 2z−4t = 0 3x+ 3y−2z+ 11t = 0

Apr`es r´esolution de ce syst`eme on trouve que les solutions s’´ecrivent (x, y, z, t) = (−λ,−2λ, λ, λ). Et ainsi

KerfB= Vect

−1

−2 1 1

Et pour une base de l’image il suffit, par exemple, de prendre les 3 premiers vecteurs colonnes v1, v2, v3 de la matrice B, car ils sont lin´eairement ind´ependants :

ImfB = Vect{v1, v2, v3}= Vect





 2 4 0 3

 ,

 2 3

−1 3

 ,

−1

−1 2

−2





 Exercice 6. Soit a ∈R et A la matrice suivante

A=

1 0 a 0 a 1 a 1 0

(1) Calculer le d´eterminant de A et d´eterminer pour quelles valeurs de a la matrice est in- versible.

(2) Calculer A−1 lorsque A est inversible.

(8)

Correction

Soit a∈R et A la matrice suivante

A=

1 0 a 0 a 1 a 1 0

(1) Calculons le d´eterminant de A et d´eterminons pour quelles valeurs de a la matrice est inversible.

detA=

1 0 a 0 a 1 a 1 0

=

a 1 1 0

+a

0 a a 1

=−1−a3.

La matriceAest inversible si et seulement si son d´eterminant est non nul, c’est-`a-dire si et seulement si 1 +a3 6= 0, ce qui ´equivaut `a a6=−1 cara ∈R.

(2) CalculonsA−1lorsqueAest inversible, c’est-`a-direa 6=−1. Pour cela nous allons d´eterminer la comatrice ˜A de A. On a

A˜=

−1 a −a2 a −a2 −1

−a2 −1 a

,

on remarque que ˜A=tA˜et on a bien AtA˜=tAA˜ = (−1−a3)I3 d’o`u A−1 = 1

(−1−a3)

A˜= 1

−1−a3

−1 a −a2 a −a2 −1

−a2 −1 a

.

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