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TH. GRAY. — On a new standard sine-galvanometer (Nouvelle boussole des sinus); Philosophical Magazine, 5e série, t. XXII, p. 368; 1886.

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238725

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238725

Submitted on 1 Jan 1887

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TH. GRAY. - On a new standard sine-galvanometer (Nouvelle boussole des sinus); Philosophical Magazine,

5e série, t. XXII, p. 368; 1886.

H. Crevaux

To cite this version:

H. Crevaux. TH. GRAY. - On a new standard sine-galvanometer (Nouvelle boussole des sinus);

Philosophical Magazine, 5e série, t. XXII, p. 368; 1886.. J. Phys. Theor. Appl., 1887, 6 (1), pp.247-248. �10.1051/jphystap:018870060024701�. �jpa-00238725�

(2)

247 rôle assez

important

dans la fabrication des miroirs

magiques.

Sous cette influence, les

parties

minces du miroir deviennent

plus

convexes que les

parties épaisses correspon’dant

aux dessins

en relief tracés sur la

partie postérieure

du miroir. Cet effet

s’ajouterait

alors à l’effet

produit

par la

pression

lors des deux

opérations qui

ont pour but de rendre le miroir convexe et de le

polir.

H. CREVAUX.

TH. GRAY. 2014 On a new standard sine-galvanometer (Nouvelle boussole des

sinus); Philosophical Magazine, 5e série, t. XXII, p. 368; 1886.

La

disposition proposée

par l’auteur consiste

simplement

en

une couche de fil enroulée sur un tube d’environ o-, 1 o de dia- mètre et de

grande longueur.

Au milieu de l’axe du tube se trouve une courte

aiguille.

La force en ce

point,

due à l’unité de courant,

est

l est la

demi-longueur

du

tube,

1 son rayon, et fi le nombre de tours par centimètre de

longueur

du tube.

Dans le cas odi 1 est très

grand

par rapport à 7~ on a

simplement

c’est-à-dire que la force ne

dépend plus

que de ~2. Dans le cas 1 n’est pas très

grand

par rapport à r, la correction due à la lon- gueur du tube s’obtient en

développant

en série

l’expression

ce

qui

donne

Si l’on suppose, par

exemple,

1 = i o i, on aura

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018870060024701

(3)

248

c’est-à-dire

que la

correction est suffisante en prenant le second

terme de la série.

Une

petite

erreur sur la mesure de r sera donc de peu

d’impor-

tance. Le

point capital

sera d’obtenir ~z avec une exacti tude suffi-

sante.

Or,

le nombre total de tours du

fil,

ou nl, pourra être obtenu avec une exactitude absolue, et la

longueur 1

peut être facilement mesurée à

11o

de millimètre

près.

On en déduira II avec

une très

grande approximation

en supposant l’enroulement uni- forme.

Le

grand

avantage de cette

disposition

est de donnner un

champ

bien uniforme autour du

point

central du tube et de ne nécessiter que des mesures

simples

et

susceptibles

d’une exacti-

tude suffisante.

Voici maintenant comment

l’appareil

est

disposé

pour les

expé-

riences :

Le tube est mobile autour d’un axe

vertical,

et son mouvement

de rotation est mesuré par le

déplacement

d’un index le

long

d’une échelle circulaire.

A l’ une des extrémités du tube se trouve une

petite

échelle

éclairée. La lumière issue de cette échelle tombe sur un

petit

miroir fixé à

l’aiguille, puis

de là sur un second miroir

qui

la ren-

voie dans une lunette fixée à l’autre extrémité du tube.

Pour faire une

expérience,

on

déplace

d’abord le tube de

façon

à amener

l’image

du zéro de la

petite

échelle sur le

point

de croi-

sement des fils du réticule de la lunette,

puis

on fait passer le cou-

rant et l’on tourne le tube de façon à rétablir la coïncidence entre

l’image

du zéro et le

point

de croisement des fils du réticule.

Soit 0

l’angle

dont il a fallu tourner le tube, l’intensité du courant est

H. CREVAUX.

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