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Submitted on 1 Jan 1881
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G. KIRCHHOFF. - Ueber stehende Schwingungen einer schweren Flüssigkeit (Sur les vibrations permanentes d’un liquide pesant): Annalen der Physik und Chemie,
nouvelle série, t. X, p. 36; 1880. G. KIRCHHOFF ET G. HANSEMANN. - Versuche über stehende
Schwingungen des Wassers (Expériences relatives aux vibrations permanentes de l’eau); Annalen der Physik
und Chemie, t. X, p. 338; 1880
E. Gripon
To cite this version:
E. Gripon. G. KIRCHHOFF. - Ueber stehende Schwingungen einer schweren Flüssigkeit (Sur les vibra- tions permanentes d’un liquide pesant): Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. X, p. 36;
1880. G. KIRCHHOFF ET G. HANSEMANN. - Versuche über stehende Schwingungen des Wassers (Expériences relatives aux vibrations permanentes de l’eau); Annalen der Physik und Chemie, t. X, p. 338; 1880. J. Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.270-271. �10.1051/jphystap:0188100100027000�.
�jpa-00237786�
270
G. KIRCHHOFF. 2014 Ueber stehende Schwingungen einer schweren Flüssigkeit (Sur
les vibrations permanentes d’un liquide pesant): Annalen der Physik und Chemie,
nouvelle série, t. X, p. 36; 1880.
G. KIRCHHOFF ET G. HANSEMANN. 2014 Versuche über stehende Schwingungen des
Wassers (Expériences relatives aux vibrations permanentes de l’eau); Annalen der Physik und Chemie, t. X, p. 338; 1880.
Le
premier
Mémoire estpurement théorique.
31. Ilirchhofl’ y dé- termine le mouvement d’unliquide qui
vibre dans un vasepris- matique
dont deux faces sont t verticales etparallèles,
les deuxautres formant un
angle droit,
dont 1"arête est en bas. Dans le casoù la
longueur
d’onde est infinimentpetite,
on trouveplusieurs
états de vibration. Dans
l’un,
la surface libre resteplane ;
la du-rée de la vibration est celle de l’oscillation d’un
pendule simple qui
a pourlongueur
laplus grande profondeur
duliquide.
En re-présentant
par i le nombre de vibrations dans ce cas, les autres sont :1,5243
si la surfaceprésente
deuxnoeuds ;
1 ,
982£
s’il y en atrois ; 2 ,3448
pourquatre n0153uds;
2,6585
pourcinq.
La
place
des noeuds ,et des ventres est de même déterminée par les calculs de M. Kirchhoff.Pour vérifier cette théorie par
1"expérience,
M. Kirchhoff consi- dère la masse de l’eau comme unpendule
surlequel agit
une forceamortissante
(le frottement),
maisqui
conserve,malgré cela,
unmouvement
périodique,
parce que son axe estporté
par un secondpendule (le vase)
dont le mouvement est entretenu par une forceparticulière.
Il détermine une relation entre lerapport d’ampli-
tude des deux
pendules
et la durée de la vibration. Si l’on déter- mine parexpérience
les constantesqui
y entrent, onpeut
calculer la durée de la vibration dans le cas où lepremier pendule
a sonaxe fixe et n’est pas soumis à une force amortissante.
Le vase
prismatique
oscille sur deux couteaux d’acier. Il estfixé à une
tige
verticale delaiton,
convenablementlestée,
etqui
porte
des contacts de ferdoux, placés
entre deux électro-aimants.Le mouvement
pendulaire
decettetigeest
entretenupar l’attractiom
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100027000
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des électro-aimants dans
lesquels
le courant d unepile
est alterna-tivement
dirigé.
Le même courant, lancé àchaque
vibration dansun
chronographe
deSiemens,
permet de mesurer la durée de lavibration. Le vase
porte
uneplaque percée
d’une fente éclairée que l’on observe avec unmicroscope,.
Sesdéplacements
donnentl’amplitude
du mouvement du vase.On
projette
sur la surface libre duliquide
la lumière d’une flammequi
traverse un collimateur incliné. On observe avec unelunette
également
inclinée lesdéplacements
del’image
de la fenteobtenue
parréflexion;
on a ainsil’amplitude
du mouvement duliquide.
Onpeut
de même observer laposition
des noeuds en dé-plaçant
la lunette et le collimateur. Les résultats del’expérience
s’accordent
pleinement
avec ceux ducalcul,
surtout si l’on tientcompte
de l’effet de lacapillarité
sur le mouvement des ondes.E. GRIPON.
WALTHÈRE SPRING. 2014 Recherches sur la propriété que possèdent les corps de se souder sous l’action de la pression; Annales de Chimie et de Physique, 5e série,
1. XXII, p. 170; 1881.
M.
Spring
a soumis différents corpspulvérulents
à despressions
pouvant
allerjusque
10000atm et a montré quebeaucoup
d’entreeux se soudaient
complètement,
de manière à constituer des massesaussi
compactes
que celles obtenues par fusion. Un des faits lesplus
intéressantsqu’il
aitconstatés,
c’est ledéveloppement
de lastructure
cristalline;
ce fait s"est rencontré avec des substances denatures très différentes.
Parmi les
métaux,
on obtient la cassure cristalline avec le bis- muth sous lapression
de6oooatm,
le zinc à 5000atm et à latempé-
rature de 130°. Le soufre
octaédrique
se soude facilement à 3000atmet devient
cristallin;
le soufreprismatique
et le soufre mou setransforment
rapidement
par lapression
en soufreoctaédrique.
Le
peroxyde
demanganèse,
à5ooo’t’l’,
donne un blocnoir,
dont latexture cristalline est
identique
à celle de la p) t-oliisitenaturelle;
le sulfure de zinc à la même
pression prend
unaspect saccharoïde,
comme