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Soit f ∈L(E) o`u E est un espace vectoriel de dimension finie sur un corps K

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(1)

Mai 2018 L3

Math´ematiques

Alg`ebre lin´eaire et bilin´eaire. Sujet A.

Aucun document autoris´e, calculatrice interdite.

Pour les exercices une r´eponse non justifi´ee n’est pas prise en compte T ´EL ´EPHONE SORTI DU SAC = EXCLUSION DE L’ ´EPREUVE

SUJET POS ´E SUR LE C ˆOT ´E, C ˆOT ´E QCM = EXCLUSION DE L’ ´EPREUVE Exercice 1. Soit f ∈L(E) o`u E est un espace vectoriel de dimension finie sur un corps K. Soit p(x) = p1(x)p2(x) ∈ K[x] avec p1(x) et p2(x) premiers entre eux et de degr´e positif. D´emontrer que

Ker(p(f)) = Ker(p1(f))⊕Ker(p2(f)).

Exercice 2.

a) Sin≥2 et λest un nombre complexe fix´e, d´emontrer qu’il existe un nombre infini de matrices B ∈Mn(C) telles queB2 =λIn.

b) Supposons Adiagonalisable, donc

E =Cn=⊕ri=1Eλi(A) ni:=dimCEλi(A).

D´emontrer que siB ∈Mn(C) est telle queB2 =A alorsB(Eλ(A))⊆Eλ(A).En d´eduire que dans ce cas il existe une matrice inversibleP ∈GLn(C) telle que:

P−1BP est une matrice diagonale par blocs avec blocs diagonaux de taille ni

P−1AP est une matrice diagonale par blocs avec blocs diagonaux λ1In1, ..., λrInr.

c) D´emontrer que si χA(x) a racines simples alors tout B ∈Mn(C) tel queB2 =A est diagonalis- able.

d) D´emontrer que si χA(x) a racines simples il y a un nombre fini non nul de matricesB ∈Mn(C) telles queB2=A.

e) Si n = 2, trouver une matrice A ∈ M2(C) pour laquelle l’´equation B2 = A n’admet pas de solution.

f )Soitλ >0 un nombre r´eel. Demontrer qu’il existe une unique matrice sym´etrique d´efinie positive B ∈Sn(R)++ telle que B2 =λI.

g) Soit A∈Sn(R)++.D´emonter qu’il existe une unique matriceB ∈Sn(R)++ telle que B2=A.

TOURNER SVP

(2)

QCM. ENTOURER la bonne r´eponse.

Bonne r´eponse = +1,25. Mauvaise r´eponse = -0,25 (sauf question k) h) Les matricesA, B∈M3(C)

A=

0 −1 1

1

2 2 −12

0 1 1

, B =

1 2 0 12 0 1 0

12 0 32

sont

´

equivalentes et semblables ni ´equivalentes ni semblables ´equivalentes mais pas semblables i) Les matricesA, B∈M3(R), A=2 1 2

1−1 3 2 3 2

, B =0 1 1

1 0 1 1 1 0

sont congruentes.

VRAI FAUX

j) Les matricesA, B ∈M3(Z/5Z) A=

¯1 ¯0 ¯1

¯0 ¯1 ¯2

¯1 ¯2 ¯2

, B=

¯1 ¯0 ¯2

¯0 ¯1 ¯3

¯2 ¯3 ¯1

sont congruentes.

VRAI FAUX

k) SoitA=

1 0 0 0

0 1 0 0

−2−2 0 1

−2 0−1−2

.Une base de Jordanisation deA est:

µA(x) =

l)SoitEunC-espace vectoriel de dimension 6 et soitf ∈L(E). Lequel de deux cas est-il possible?

µf(x) = (x−2)5 et dim(E2(f)) = 3 µf(x) = (x−2)(x−3)2 et dim(E2(f)) = 3

m) La base B= (v1 =1

01

, v2 =−1

−1 0

, v3 =0

10

) de C3 est une base de Jordanisation pour la matrice

A=

1−1 0

1 0−1

−1 0 2

∈M3(C).

VRAI FAUX

n) Soit A∈Sn(R) telle que il existep∈NetAp= 0. Alors A= 0.

VRAI FAUX

o)SoitEunC-espace vectoriel de dimension 8 et soitf ∈L(E). Lequel de deux cas est-il possible?

E peut s’´ecrire comme la somme directe de deux sous-espacesf-stables de dimension 4 mais aucun bloc de la r´eduite de Jordan de f a taille plus grande que 3.

E peut s’´ecrire comme la somme directe de deux sous-espaces f-stables de dimension 4 et dans la r´eduite de Jordan de f il y a un bloc de taille 5.

p)Toute matrice sym´etrique r´eelle peut s’´ecrire comme la diff´erence de deux matrices sym´etriques r´eelles d´efinies positives.

VRAI FAUX

q) Soit a∈C,3 ≤n∈N. Le nombre de sous-espaces Jn(a)-stables de Cn diff´erents de {0} et Cn est

0 1 n−1

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