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Academic year: 2022

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Compte-Rendu

Raid Bombis VTT'O

A St-Victor-sur-Ouche (21)

Raideurs: Greg et Hélène (GO78) Date: les 27 et 28/06/09

Temps: 10H 35' 04''

Résultat: 6èmes/11 au scratch – 2èmes/3 en Mixte

«Du VTT, oui, mais raid(e)!»

1er vrai raid'orientation pour moi, et j'ai choisi de le faire en VTT. Hélène, coéquipière du GO78, m'accompagnera pour cette expérience, qui, j'en suis sûr sera enrichissante! En ce samedi ensoleillé, je retrouve Hélène à son domicile, pour un départ groupé, en compagnie de Michel et Sylvie, qui eux vont effectuer le raid à pied. A 08h00, nous voilà partis pour la Bourgogne et sa belle vallée de l'Ouche. Nous arrivons vers 10h45, ce qui nous laisse largement le temps de retirer les dossards, prendre des forces, et vérifier les sacs. Au petit jeu du sac le plus léger, nous battons (mais de peu) les pédestres, avec des sacs avoisinnant les 7-8kgs. Il faut dire que pour nous vététistes, l'organisation se charge de monter au bivouac nos tentes et duvets. Un luxe bien appréciable!

Il est bientôt l'heure du départ des orienteurs à pied (départ à prévu à 13h00). Mais avant cela, ont lieu les vérifications des sacs, la distribution des cartes (sans les postes) et le briefing:

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Puis Hélène et moi nous dirigeons vers les hauteurs, pour mieux apprécier le départ des concurrents et surtout les regarder lors du report de postes, qui s'effectue 800 après le départ. Là, nous voyons les premiers concurrents arriver à vive allure, s'emparer des définitions et coordonnées des postes et s'atteler par terre au placement des balises sur la carte. Quelques dizaines de secondes plus tard, Michel arrive et prend possession des coordonnées des postes, puis commence le report, bientôt rejoint par Sylvie...

Dix minutes plus tard, nous les voyons s'éloigner vers une course qui, pour eux, va durer pas loin de 5 heures... Hélène et moi récupérons nos VTT et retournons au parking pour attendre patiemment le départ de la course VTT. A 14h30, nous commençons à nous rapprocher de l'accueil pour, à notre tour, une vérification des sacs à dos, la distribution des cartes et un court briefing sur la ligne de départ. Ligne assez peu fournie, c'est le cas de le dire, puisque seulement 16 équipes de 2 sont présentes pour cette 2ème édition VTT'O! Ca fait mince sur la ligne... A 15h00, les fauves sont lâchés! Hélène et moi nous plaçons bien, et arrivons au report de postes en 3ème position. On pose nos sacs pour être plus à l'aise, et c'est parti: concentration maximale. Je dicte à Hélène les abscisses et les ordonnées et elle se charge de placer les balises sur la (très grande) carte. Moins de 10 minutes nous sont nécessaires pour placer les 21 postes, mais déjà, beaucoup d'équipes sont reparties... On met donc le turbo d'entrée pour reprendre 2 équipes. Je me charge de l'orientation, ce qui est loin d'être facile sur une carte aussi grande, et pas prévue pour du VTT'O. Je m'aperçois donc vite qu'il est impossible d'orienter tout en pédalant, et qu'il me faudra m'arrêter à chaque lecture de carte. Ma mémoire visuelle va être mise à rude épreuve durant ces 2 jours... A la balise 1, nous retrouvons 2 équipes parties devant, ce qui nous facilite la tâche. De même pour repartir du

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poste. La 2 est prise sans difficulté, tandis que la 3 nous oblige à plus de reflexion quant au chemin à prendre. Mais là encore, pas de souci. Nous revenons alors sur un couple mixte, que nous doublons sans trop de problème. A l'approche du poste, je m'y colle pour aller chercher le poste sans le vélo, et je ne regrette pas: la balise située sur un belvédère, c'est une magnifique vue qui s'offre à moi!

Nous continuons la route sans trop de soucis, même si de nombreux arrêts me sont nécessaires pour me recaler sur cette carte peu évidente, au 1/20000e. Nous marquons une hésitation sur la 5 qu'Hélène préfèrerait aller chercher à vélo. Mais à nouveau, je m'y colle pour aller la chercher à pied, avant de remonter sur le chemin, ce qui nous évite une remontée délicate à vélo. La 6 s'offre à nous après une belle descente, mais qui dit descente dit montée, et nous devons pousser les vélos pour rejoindre la route nous amenant vers le Sud de la carte. Secteur super agréable ici, certes sous la chaleur, mais dans un coin magnifique sur des chemins roulants. Nous trouvons la balise suivante dans un petit patelin, avant de retourner dans la forêt. 8 et 9 sont récupérées sans dégât, et sur la balise 10, nous rejoignons l'équipe ESR (MSO), ce qui tend à nous faire croire que nous sommes plutôt bien placés. Nous repartons même devant eux de ce poste, en direction de la balise 11,.... qui sera la pire du week-end! Alors même que nous commencions à bien tourner... 1ère erreur quand je suis embarqué sur un mauvais chemin par l'équipe MSO. Demi-tour, et nous pensons prendre le bon chemin, nous conduisant à une balise encadrée de vert. Mais là, gros jardinage, on croise une équipe aussi pommée que nous. Le pire, c'est que nous nous situons au bon endroit sur la carte. Mais l'incompréhension est totale. Nous revenons à une position plus sûre, pour ensuite attaquer le poste autrement, et re-jardinage! Là, Hélène se pose la bonne question de savoir si la balise est bien placée sur la carte, et bingo! Nous avons mal placée la balise (2cm au-dessus!).

Pas de chance, d'autant que la définition correspondait parfaitement. On se remet sur de bons rails, mais nouvelle erreur: on dépasse la balise et on s'oblige à y revenir à pieds. Enorme(s) erreur(s) qui nous coute(nt) cher puisque nous réalisons le poste en 46 minutes (!) au lieu de 16 environ pour ce type de poste.

Dur à ce moment de la course de se remotiver, d'autant que je fais le mauvais choix de nous faire passer à travers une zone rocheuse. Résultat: 200m à effectuer le vélo sur l'épaule.

Heureusement, les balises 12, 13, 14 et 15 nous remettent bien dedans, et l'arrivée est proche....

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Mais avant cela, nous devons effectuer une boucle, en fait super agréable. Le terrain est certes parfois encombré de branches, mais c'est roulant dans l'ensemble, et nous prenons beaucoup de plaisir à y évoluer. La balise 18 est très peu évidente à prendre en vélo. Et il nous faut poser les vélos pour aller la chercher 50m plus haut, à pieds.

De nouveau sur nos vélos, nous nous amusons avec Hélène à nous tirer la bourre style

« Péraud-Absalon »: je la double en montée, elle me rattrape en descente,... C'est ainsi que nous arrivons à une belle montée, qui à ce moment de la course, fait très mal! Mais j'en profite tout de même pour immortaliser l'instant... tout en roulant:

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Ca sent l'arrivée: la décontraction est là. Il faut dire que nous rencontrons très peu de concurrents, encore moins à vélo, si bien qu'on a un peu l'impression d'être en rando ou en entraînement. Dernière petite côte après la balise 20, puis c'est la descente finale, très agréable et plutôt roulante. Hélène poinçonne ce que je pense être la dernière balise...

Mais j'avais oublié qu'en CO, il faut suivre le balisage jusqu'à la balise 99. Nous finissons cette 1ère journée en 4H 47', sans avoir eu l'impression de traîner, mais avec une belle erreur (qui nous coûte 30 minutes) et surtout un beau sourire tant on a pris du plaisir à évoluer sur ce terrain de jeu.

Le bivouac est déjà bien fourni, et les tentes sont déjà toutes montées par les pédestres.

Hélène et moi retrouvons Michel et Sylvie qui ont mis 30' de plus que nous: ils sont donc arrivés il y a 1h30. La bière fait du bien, ainsi que le bon repas que l'on se confectionne avec Hélène: noix de cajous, soupe, pâtes et compote. Nous installons ensuite notre tente pour la nuit, au moment où la lumière s'éteint. Un petit coup d'oeil au classement avant de nous coucher, pour constater que les écarts sont faits (surtout avec l'arrière) et qu'aller chercher les 1ers mixte sera trop difficile (48 minutes de retard). Nous terminons 6èmes de cette 1ère journée, pas réellement déçus.

Pour m'endormir, Hélène est sympa: elle me compte une berceuse: ses 4 tentatives pour gravir le Mont-Blanc... Je m'endors comme un bébé...

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Réveil aux aurores, à 06h00 du matin, au son des coureurs qui se préparent pour partir. La nuit a été somme toute assez confortable (7h de sommeil) et réparatrice. Quand nous sortons de la tente, Michel et Sylvie sont presque prêts pour leur départ prévu à 07h00. Nous allons donc assister à ce dernier, dans la brume matinale...

Hélène et moi allons ensuite nous préparer à manger (biscuits et nourriture lyophilisée) avant de plier la tente et d'attendre le départ.

Celui-ci s'effectue à 08h00, un peu plus bas que les pédestres. Pour rejoindre le report, contrairement à la veille, il faut cette fois-ci emprunter une grande descente. Et également contrairement à la veille, nous arrivons pour prendre les définitions dans les dernières positions du maigre peloton. Comme la veille, Hélène se colle au report de postes:

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Quand nous repartons, il ne reste au maximum que 5 équipes en place, mais encore une fois, la 1ère côte nous permet de rattraper deux ou trois équipes. Comme la veille, j'ai de super sensations, si bien que je laisse parfois Hélène loin derrière, mais celle-ci a le mérite de ne pas s'affoler et de monter à son train. Ces avances que je prends régulièrement me permettent de m'arrêter l'attendre, et ainsi regarder la carte pour m'orienter sans perdre trop de temps. La balise 1 est trouvée, mais je m'interroge pour aller jusqu'à la 2. Hésitant tellement, je vais me contenter de prendre « au cap », en suivant de loin une équipe Homme. Cette tactique nous réussit finalement puisque nous retombons sur nos pattes. A la balise 3, nous revenons en vue de 3 autres équipes.

Retour vers le secteur de la 1 pour aller vers la 4, en poussant le vélo (déjà!), le terrain étant trop cassant (pierres) pour rester sur le vélo sans risquer de tomber. J'ai ensuite droit à une belle gamelle de la part d'Hélène, ou devrais-je dire un bain de boue (sur la seule partie boueuse du raid!).

Plus de peur que de mal heureusement, et nous repartons. La balise 6 arrive après une belle descente, et nous permet là encore de profiter d'un beau belvédère. Et la visite culturelle se poursuit puisque nous longeons ensuite le canal de Bourgogne, avant d'entamer LA montée du raid. D'entrée, j'avertis Hélène, car même sur la carte, elle semble interminable... Et ce sera le cas! Près de 20 minutes à pousser le vélo, sur une pente de plus en plus dure et de plus en plus encombrée par les branches ou les troncs d'arbres...

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Bref, une grosse galère, où nous perdons beaucoup de forces... D'autant qu'en haut, il faut encore progresser à travers une forêt dense, en poussant le vélo. La balise apparaît alors comme une délivrance! Mais la balise 10 vient vite refroidir mon enthousiasme: le trajet ne se prête pas du tout à du VTT (aucun chemin et des parcelles de champs, d'herbes hautes, de pierres et de bois à traverser), et je sens poindre une galère... Qui a lieu! Je cherche désespérément un chemin entre 2 clotures, et nous tournons 10 bonnes minutes à le chercher, tout en poussant le vélo dans cette forêt encombrée. Petit moment de panique, que nous corrigeons heureusement sans trop de dégâts en trouvant le bon sentier. Nous ressortons passablement énervés de cette balise, car le parcours s'annonce de plus en plus physique!!! Les balises 11 et 12 sont heureusement plus roulantes. Pour aller chercher la balise 13, nous faisons le choix de poser les vélos et de rejoindre les « bunkers » à pieds, en courant et en suivant des coureurs pédestres, les premiers que nous rencontrons de la journée.

Ce choix de poser les vélos se révèle judicieux puisque nous réalisons le meilleur temps sur la balise 14! Mais nous en sommes déjà à 3h30 de course, et il reste un bon bout de chemin à parcourir! « On n'est pas arrivés », je répète sans cesse... Plus loin, Hélène m'annonce un problème!

Aîe! Je crains le pire, mais ça va: ce n'est qu'une crevaison. Nous mettons moins de 5 minutes pour réparer, et poursuivons pour arriver à la balise 15 située devant une grotte. Nous comprenons vite en quoi consistent les 3 balises surprises: il faut aller les chercher à pied, dans une grotte, en s'aidant au passage d'une carte-dessin de la grotte. 3 enfants nous accompagnent pour ce petit intermède très sympa que nous réalisons assez vite, avec une belle gamelle pour ma part.

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Quand nous ressortons de la grotte, l'air nous paraît bien chaud! Il est vrai que cet épisode jouissif nous a permis d'éviter un temps la chaleur extérieure. Nous reprenons ensuite nos montures pour revenir en sens inverse afin de contourner la bosse et prendre la 19 à revers. La balise 20 va s'avérer un véritable petit calvaire. Nous empruntons un chemin pierreux qui nous oblige vite à poursuivre à pieds, voire à porter le vélo. Je commence à râler (ma spécialité), alors que je cherche désespérement un chemin entre 2 murs qui n'existe apparemment pas. Résultat, nous arrivons à une clotûre et constatons que nous sommes allés trop loin. Retour en arrière et traversée de bois très pénible, pour tomber sur la balise un peu plus loin. C'est à ce moment précis que nous commençons à trouver le parcours très dur (trop dur!), ressemblant plus à du raid qu'à du VTT! A cet endroit, nous sommes rejoints par une équipe Homme (Nancy), constituée d'un père et de son fils. Ce dernier semble être en réelle difficulté... Nous reprenons notre chemin, en priant pour que celui-ci soit « enfin » roulant. De la balise 21 à la balise 22 (située très loin sur la carte), nous pouvons enfin lâcher les chevaux, sur cette longue piste forestière. La moyenne horaire, qui en avait pris un sacré coup dans l'aile jusque là, retrouve quelques couleurs. L'équipe de Nancy trouve le moyen de nous redoubler, mais à la faveur d'un meilleur choix pour gravir la côte suivante, nous leur passons devant. Comme la veille, je profite d'un tracé en faux-plat pour prendre mes dernières photos:

Nous arrivons en vue de la balise 22, croisons au passage une équipe Homme, et descendons vers la mare où se situe la balise. Sur le chemin du retour, nous croisons l'équipe avec qui on se tire la bourre (Nancy), mais seul le père semble avoir décidé de faire l'effort... On retrouve le fils quelques 500m plus loin, en train d'attendre son paternel... On ne dit rien...

On entame ensuite la longue descente qui doit nous conduire à l'avant-dernière balise.

D'abord roulante, la descente se révèle ensuite assez technique, et sur ce terrain, nous avons la mauvaise surprise de voir nous rattraper l'équipe de Nancy! Nous leur indiquons même la position de la balise 23, avant que ceux-ci nous doublent comme des furies dans la fin de la descente: pas très sport! Hélène me rejoint pour tenter ensemble de reprendre notre « dû », mais rien à faire: nous franchissons la rivière qui nous conduit à l'arrivée derrière le duo familial! Au bout de 5H48 d'efforts intenses, nous en finissons de cette deuxième journée. Hélène aura quelques mots envers le duo nancéen, en leur expliquant que la sportivité (et la règle), c'est de pointer toutes les balises à 2, ou au pire, de jouer de fair-play envers une équipe qui a montré 3 balises (20, 21 et 23) et de ne pas doubler comme des barjes, sans prévenir, dans une descente dangereuse.... Sans autre commentaire...

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Nous retrouvons ensuite Michel et Sylvie, frais comme des gardons, à table, pour un repas pris en commun. Nous avons la tristesse d'apprendre alors la mort d'un concurrent, qui plus est une personne licenciée au club organisateur. Nous comprenons alors l'ambiance quelque peu pesante qui règne. La cérémonie de remise des récompenses sera de ce fait annulée, ce qui est bien normal dans pareille situation...

Nous reprenons ensuite la route qui doit nous ramener en région parisienne en nous racontant nos péripéties respectives, tout en nous satisfaisant de ce très beau week-end passé en Bourgogne.

Bilan: Un bilan plus que positif pour cette belle épreuve qu'est le raid Bombis.

Un terrain de jeu formidable, vallonné à souhait et parfaitement adapté à ce type d'épreuve

Une organisation parfaitement rôdée, sans aucun souci particulier, et même quelques bons points (le bivouac, le souci du respect environnemental -gobelets-, les toilettes,...)

Une carte somptueuse, certes pas vraiment adaptée au VTT'O, mais quel régal: vivement les championnats de France de CO de cet été!

Une ambiance très bonne enfant, peut-être due au faible nombre d'équipes; mais ce dernier point peut aussi être très regrettable. Incompréhension qu'une telle épreuve n'attire pas plus de personnes...!

Un bémol toutefois quant à la difficulté de l'épreuve (VTT): une 2ème journée très éprouvante avec beaucoup trop de poussages (+ de 60% du temps passé à côté du vélo), alors que la 1ère journée était parfaitement équilibrée; et des tracés parfois très limite pour du VTT...

Mais un très bon bilan dans l'ensemble, pour une épreuve à refaire.... à pieds!

Parcours ☺☺☺☺

Organisation ☺☺☺☺☺

Ambiance ☺☺☺☺☺

Intérêt ☺☺☺☺

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