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Bureaux : R u e de la Serre, 27.

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Septième Année. — N° 84.

Prix du numéro 10 centimes.

Jeudi 19 Octobre 1833.

Bureaux : R u e de la Serre, 27.

A B O N N E M E N T S

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

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Organe de la Société intercantonale des Industries du Jura, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

L'Exposition de Chicago

par Charles Houriet

Horloger-Technicien, à C O U V E T (Suisse) Délégué officiel à Fez-position de Chicago.

H o r l o g e r i e . (Suite)

Expositions é t r a n g è r e s . Allemagne.

J'ai passé plusieurs fois devant deux grandes vitrines d'une maison de Dresde, mais n'y a y a n t vu que des pièces dont la provenance est reconnue par les genres ou les formes, je ne me suis pas arrêté à en faire le dépouille- m e n t ; par contre, une petite vitrine de Glas- lu'itte, très mal placée, sous une galerie au fond do la section allemande, lors de ma visite a tout particulièrement attiré mon atten- tion.

J'ai déjà parlé des g r a m es pièces que font Lange & Fils en 19 et 20 lignes avec un calibre spécial dont nous imitons la façon sans mettre les mêmes soins aux détails.

Cette vitrine contient en outre, des pièces simples avec échappement à ancre depuis 12 lignes et il s'en construit même de 10 lignes;

puis des pièces compliquées : Répétitions ά quarts, ά minutes et chronographes compteurs, pièces faites entièrement à Glashulle avec des mécanismes spéciaux et accompagees de bul- letins de l'observatoire de Leipzig.

J'en relève par exemple la marche sui- vante :

Marche au plat, tempéra- \

turc ambiante av 8» 1 .

d i f f é r e n c e ]s 3 Marche au pendu, tempe-

rature ambiante av. Is 8 J

Marche moyenne pendant 8 jours, portée le jour et portée à plat la nuit, la température variant de 12 à 30 degrés ls 4.

Variation moyenne dans les différentes po- sitions et au porté 0» 33.

Cette manière d'observer avec des positions et des conditions variables en 24 heures, con- vient parfaitement à une montre de poche et oblige à des soins spéciaux pour le réglage aux positions et aux températures, aussi je ne pouvais passer sous silence cette fabrication qui nous fait, en Allemagne, une concurrence sérieuse, sinon par la quantité du moins par les soins qu'elle prend à faire une bonne qua- lité, avec une plus grande variété de grandeurs (pie les Américains et les pièces compliquées en plus.

France.

A côté d'une vitrine de Moynet.de Paris, qui contient un assortiment de fournitures et d'ou- tils de toutes provenances et d'une autre de Villon, a St-Xicolas, qui expose des pendules de voyage, avec porte échappements qui me paraissent faits en Suisse ; je trouve, en fait de montres, sous le nom de B. H a a s jeune, à côté d'un choix varié dont je ne puis avoir le détail, une collection de montres courantes dont à la forme et à la décoration des boites argent et mêlai je reconnais Ja production de la fabrique de Morteau.

Dans la vitrine de Drocourt, de Paris, qui ex- pose des pendules de voyage avec mêmes porte- échappements que ceux dont je viens de parler je vois un assortiment de petites montres de

luxe, pierreries ou peintures sur émail et parmi lesquelles il y a : une répétition 13 lignes a quarts et une 12 lignes à minutes, dont la ressemblance comme dimensions avec celles exposées dans les vitrines de Genève, me fe- rait supposer la même provenance des mou- vements, si elles n'étaient accompagees d'une pièce 13 lignes chronographe, seule de son espèce dans toute l'exposition.

Du reste cette complication dans une mon- tre de dame, me semble plutôt l'exé; ution d'une fantaisie (pie colle d'une application utile.

Quelques montres boules do 8 à 10 lignes avec châtelaine ά décors assortis se voient encore dans celle vitrine.

Ecole d'horlogerie de Besançon.

C'est la seule que je trouve dans toute l'ex- position, et il est compréhensible qu'on ne peut pas se désaisir pondant un temps si long de modèles, d'objets de démonstration ou de pièces en ouvrage.

Elle fait partie d'un groupe d'écoles profes- sionnelles de l'Etat, ou qu'il subventionne et qui sont très bien représentées.

A côté d'appareils do démonstration: grands modèles de répétitions, d'échappements à cy- lindre, ancres levées visibles de côté (disposi- tion qu'on ne voit plus), ancre anglais et res- sort, il y a relativement une grande quantité de mouvements à divers points d'avancement, parmi lesquels jo citerai :

Des ébauches et finissages en laiton et nickel pour pièces à remontoir on calibres à ponts droits. Ceux de grande moyenne, seconde et échappement parallèles, avec le coq en biais, genre Lecoultre; d'autre, imitation Jurgcnsen et revolver, en verre et savonnette renver- sés.

Des ébauches pour chronographe imitation de la Vallée, en verre et en savonnette dans le même sens.

60 mouvements dont quelques-uns terminés en pièces à clef, calibre Vacheron ou P a r i s en remontoir, calibres ponts parallèles divers et, chose curieuse, des imita'ions de celui de Glashûtte avec la raquette mécanisée (colima- çon à carré).

P a r m i ces mouvements pkisieurs sont em- pierrés ù. cliàtous.

En fait de pièces compliquées:· des-répéti- tions à quarts, des chronographes et des se- condes indépendantes avec remontoir simple dans un sens ou remontoir Sylvain-Mairet et une répétition à quarts, seconde indépendante démontée, qui représente un beau travail.

Une pièce démontée où à côté des ponts on a placé des morceaux de laiton servant à les faire, ne dénote pas une méthode bien pra- tique de s'y prendre pour leur dégrossissage;

j'en dirai de même pour des balanciers à di- vers points d'avancement. LTne plaque épaisse d'acier avec laiton fondu dans une rainure circulaire servant de base à leur exécu- tion.

Je trouve aussi dans une des vitrines, des taillages bien faits et des fraises do différents genres, parmi lesquelles des fraises à a r r o n - dir avec guide et des fraises à forme, d'un genre différent de celui américain, mais rem- plissant le même but de pouvoir les affûter sans changer la forme de la coupe.

(A suivre.)

Une appréciation autorisée, de la valeur de l'exposition horlogère suisse,

à Chicago.

Une revue spéciale, consacrée au com- merce et à l'industrie de la bijouterie et de rhorlogcrie, paraissant mensuellement à Chicago et qui fait autorité en Améri- que dans ces matières, le « American Jeiveler » consacre, dans son numéro de septembre dernier, les lignes suivantes à l'exposition des horlogers suisses à Chicago.

Au début de la période de préparation

à l'exposition colombienne, nous avons

signalé aux fabriques américaines de

(2)

' .

366 LA FEDERATION HORLOuERE SUISSE

montres, la nécessité d'exposer brillam- ment dans cette branche de nos industries nationales.

Nous disions que les Suisses avaient fait de merveilleux progrès depuis Phi- ladelphie et qu'ils arriveraient à Chicago préparés à regagner le terrain perdu.

Une seule compagnie américaine'répon- dit à cet appel, les autres agirent comme si elles avaient barre sur le mar- ché américain et n'eussent pas besoin de disputer aux Suisses la considération publique.

Les Suisses vinrent da;is les conditions où nous étions avisés qu'ils viendraient.

De suite ils attirèrent et retinrent l'atten- tion du public, à un degré plus considé- rable encore qu'on s'y serait attendu et, lorsque des spécialistes exprimaient le désir d'examiner de plus près les produits exposés, ils leur donnaient tomes les fa- cilités possibles de le faire et cela pour chacun, car si un curieux faisait preuve de connaissances spéciales, les représen- tants suisses l'invitaient à entrer dans l'intérieur du pavillon, le faisaient asseoir l'installaient à une table, lui donnaient un microscope et, de toutes manières, lui permettaient d'examiner soigneusement et confortablement les produits expo- sés.

Plus cette personne était connaisseuse, plus de peine on prenait avec elle. Les Suisses allaient même au-devant des critiques les plus méticuleuses et, en plusieurs cas, ils eurent à faire à des spécialistes qui examinèrent les choses bien à fond.

Or, voici le premier rapport public, constatant les résultats" de ces exa- mens.

« En 1876, le visiteur revenant de

« l'exposition de Philadelphie, disait

« que les fabricants de montres suisses,

« étaient complètement consternés de ce

« qu'ils avaient constaté, quant aux pro-

« grès réalisés par le système américain

« de fabrication de la montre.

« Or, dernièrement plusieurs experts

« et mécaniciens, envoyés par la " Uni-

« ted States company „ de Waltham, pour

« visiter l'exposition et faire rapport,

« ont communiqué à leur compagnie, que

« les progrès réalisés par les Suisses dans

« Fart horloger, sont absolument renver-

« sants. (startling).

« Les Suisses ont fait des efforts inouïs

« durant les 17 dernières années et bien

« qu'il n'y ait pas lieu de s'en alarmer,

« le fait doit être reconnu tôt ou tard,

« que la période de l'exclusivisme en

« horlogerie est passée et, nous le crai-

« gnons, ne reviendra jamais, pour les

« opérateurs américains.

« Prenant cette vue de la situation,

« on nous permettra de suggérer à la

« sagesse du congrès de Washington,

« qu'un tarif plutôt basé sur la protec-

« tion que sur le libre-échange, sera le

« plus apte à conserver les intérêts du

« plus grand centre industriel horloger

« du monde, (le centre de Waltham). »

(Cet extrait a été publié dans un journal périodique de W a l t h a m , les " W a l t h a m

News J .

Ceci veut dire en bon anglais, que les Suisses sont maintenant engagés dans une active et heureuse campagne pour obtenir la faveur du public américain et qu'ils ont obtenu cette faveur à un degré qui va être ressenti par nos compagnies américaines.

Cela ne jouera plus, comme du passé de l'aire des plaisanteries sur la " Swiss Avatch

u

(sur la montre suisse) et par ce moyen d'opérer la vente de la montre américaine.

Le public a maintenant vu les mon- tres suisses et il va en acheter en grande quantité.

Les Suisses ont conquis le marché, que les Américains leur ont laissé libre, en faisant défaut, sauf une honorable ex- ception, à l'exposition de Chicago.

Incidontellcment cela veut dire que les Américains auront de nouveaux progrès à faire pour tenir ou regagner leur terrain durant les cinq prochaines années et ces progrès devront s'effectuer primairement sinon entièrement dans le fini et le réglage, les parties les plus coûteuses de la fabrication. Lorsque cela sera fait, ii faudra avoir les observatoires et les certificats de marche délivrés d'après des règles déterminées, de sorte qu'on peut dire qu'actuellement les Suis- ses forcent les Américains à améliorer leurs produits horlogers.

Traduit textuellement du " The American Jeweller l(

Fascicule de septembre 1893·

Nous avons communiqué cet article à M. J.

Pcrrenoud, commissaire suisse à l'exposition de Chicago, qui nous a donné les renseigne- ments complémentaires suivants :

« Il convient de dire que les représentants d'exposants horlogers, qui ont pris à c œ u r les intérêts industriels généraux et se sont donné tant de peine pour faire examiner et apprécier au point de vue technique les produits suisses, sans n'être occupés uniquement que de la vente de ces produits, sont :

« MM. Jules Jeanneret et A d a m s dans le pavillon neuchàtelojs, bernois et vaudois, et M. Stein dans le pavillon Patek Philippe & C0

Iiour la première partie de l'exposition

« Dans la seconde période, soit celle posté- rieure au renvoi du sieur Nemitz, les produits exposés dans le pavillon genevois, ont de même été soumis aux inspections techniques des intéressés, parce que M. A d a m s , précé- demment au pavillon ncuchàtelois a pris charge du pavillon genevois, très bien secondé par M. Bandelier, de L a Chaux-de-Fonds, tandis que M. Jeanneret, secondé fort bien également par M. Fallet, de St-Imier, continu- ait, au pavillon neuchàtelois, les intelligentes démonstrations qui ont fait le succès de notre exposition horlogère et dont il partage avec M. Stein, déjà nommé, l'honneur de l'initiative et du sentiment de ses devoirs vis-à-vis de l'industrie horlogère suisse. *

Le protectionnisme en France.

De la Lanterne :

« Si, comme il n'y a que trop lieu de le croire, les protectionnistes se sont proposé de ruiner le commerce français au profit d'un petit nombre de propriétaires, ils ont tout lieu d'être satisfaits des résultats qu'ils viennent d'obtenir.

« En effet, alors que nos échanges extérieurs atteignaient 709,556,000 fr., pendant le mois de septembre 1891, ils sont tombés à 550,740,000 fr.

pendant la période correspondante de l'exer- cice en cours.

«κ Ce qui Tait la bagatelle de 152,816,000 fr.

de diminution dans le mouvement de notre commerce extérieur!

« Voilà ce que la France doit payer pour enrichir, par un système prohibitif qui lui ferme successivement tous les marchés du monde, une poignée de gros capitalistes qui accroissent leur fortune de tout ce qu'ils font perdre à notre commerce et à noire indus- trie.

c Voilà ce qu'ont déjà produit les tarifs dou- aniers votés par la dernière Chambre, et nous ne sommes encore qu'au commencement de cette funeste expérience. 3-

D'autre pari, on lit dans le liadical:

« Voilà comment le nouveau régime écono- mique enrichit le pays.

« Nous ne saurions trop appeler l'attention de la nouvelle Chambre sur une aussi na- vrante constatation ; l'erreur commise par les protectionnistes est trop visible, trop indé- niable, pour que l'on hésite à la réprer au plus tôt. ·»

Les travaux de la conférence monétaire.

De ['Economiste européen :

La formule de l'échange et de la livraison des monnaies italiennes se rapprochera pro- bablement de celle de 1878: à cette époque, la Banque de France fut chargée pour le compte du Trésor français de centraliser les pièces italiennes retirées de la circulation des autres Etats de l'Union et de les restituer au gouver- nement italien. KIIe reçut, en compensation, une somme de 250,000 fr., payée à forfait par l'Italie pour les frais de l'opération et les in- térêts des avances faites sous forme de livrai- sons successives à cet Etat.

L a somme des monnaies divisionnaires ainsi livrées s'éleva à 78,877,000 francs; celle qu'il faudra lui expédier, si, comme tout le l'ait prévoir, la conférence actuelle aboutit, sera probablement supérieure. Kn effet, d'a- près les derniers résultats connus au minis- tère des finances — fourni par le recensement ordonné par M. Peytral — les monnaies ita- liennes formeraient presque 30 On de la cir- culation française, 49 0/Q de la circulation suisse, 17 (i/o de la circulation belge, ce qui en chiffres absolus, équivaudrait au moins : pour la France, à 71 millions de francs ; pour la Suisse, à 22 millions ; pour la Bel- gique, se.it millions ; total : 100 millions de francs.

Kn ce ιριί concerne la France, le retrait des monnaies divisionnaires italiennes ne peu!

apporter aucun trouble dans nos échanges intérieurs, parce que l'encaisse de l'argent de la Baniiue de France (1,265 millions de francs) comprend environ 50 millions de francs de monnaies divisionnaires françaises, qui ne demandent qu'à circuler, et ensuite, parce qu'il reste à la France 15 millions de francs à frapper en monnaies divisionnaires sur le con- tingent qui lui a été alloué par la convention de 1885.

Monnaie divisionnaire.

La conférence monétaire de Paris vient de s'ajourner à huitaine après une semaine de

(3)

>'

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 367

délibération. Il parait certain qu'on est u n a - nime à accorder à l'Italie le remboursement de ses monnaies divisionnaires, mais, ce p r e - mier point établi, les délégués, avant d'aller plus loin, vont conférer avec leurs gouverne- ments au sujet des conditions dans lesquelles ce remboursement sera effectué.

On publie quelques chiffres intéressants sur la quantité de monnaies divisionnaires ita- liennes circulant à l'étranger. D'après des renseignements fournis par le ministère des finances français, il y aurait en France pour 71 millions de monnaies divisionnaires ita- liennes, soit 30 O/o de la circulation totale en France ; en Suisse, 22 millions, soit 49 O/o ; et en Belgique sept millions, soit 17 0/0.

Nouvelles diverses

L e T e c h n i c u u i d e B i e n n e est toujours en bonne voie de prospérité. Le recrutement des élèves se fait sans peine et à l'ouverture du semestre d'hiver, quarante-cinq nouveaux élè- ves étaient inscrits, ce qui porte à 300 le chiffre des étudiants.

E x p o s i t i o n n a t i o n a l e . — Le comité central de l'exposition a adressé ces jours derniers des lettres aux autorités muni- cipales de toutes les communes du canton pour leur demander de prendre part à la souscription des subventions à fonds perdus pour l'exposition nationale, la part du canton de Genève étant fixée à 500,000 francs. Quelques communes ont déjà promis des subventions et il est à désirer que toutes nos communes rurales et suburbaines contribuent dans la me- sure de leurs forces à la réussite de cette

grande entreprise. Toutes trouveront plus ou moins directement leur profit dans cette exposition ; nos campagnards, par exemple, le trouveront dans une vente plus facile des produits du sol.

Journal de Genève.

C o n s u l a t . — Le Conseil fédéral a accordé l'exécutur à M. John Gignoux, vice-consul de Belgique à Genève.

N é g o c i a t i o n s e n p e r s p e c t i v e . — Le Rappel croit savoir que dès les premiers jours de la session des Chambres fran-

çaises, la question économique sera por- tée à la tribune de la Chambre à propos des relations commerciales de la France avec la Suisse et l'Espagne.

B r u x e l l e s , p o r t d e m e r . — Le gouver- nement belge vient d'approuver le plan des travaux destinés à faire de Bruxelles un port de mer et fournira lui-môme de larges s u b - sides. L a création de Bruxelles port de. mer peut donc être considérée comme chose dé- cidée . Les 23,300,000 francs nécessaires à l'exécution des travaux sont souscrits par l'Etat, la ville de Bruxelles et les faubourgs.

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P ^ A V I S 4 ^

2151

MM. D n t i a i l , "Ίon n i n . F r o s s a r d * C"3, d e Porrentruy avisent MM. les fabricants qu'ils livrent dès maintenant leurs mouvements finissages 19'" Glashûtte et 18, 19"' à ponts avec mécanisme d'emboi- boitage tout fixé, s p é c i a l e m e n t d e s t i n é pour la Boîte i m p e r m é a b l e et é c o n o m i q u e à vis Borgel.

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La F a b r i q u e d© F o n t a i n e m e l o n avise MM. les fabricants qu'elle livre dès maintenant ses finissages 18 et 19'" avec mécanisme d'emboîtage tout préparé, s p é c i a l e m e n t d e s t i n é p o u r la Boîte é c o - n o m i q u e e t i m p e r m é a b l e à vis Borgel.

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