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Recherches sur le champ démagnétisant structural des ferromagnétiques

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Recherches sur le champ démagnétisant structural des

ferromagnétiques

T.H. Kahan

To cite this version:

(2)

RECHERCHES

SUR LE

CHAMP DÉMAGNÉTISANT

STRUCTURAL

DES

FERROMAGNÉTIQUES

(*)

Par TH. KAHAN.

Faculté des

Sciences, Strasbourg.

Sommaire. 2014 Une nouvelle méthode pour l’étude du facteur démagnétisant structural d’éprouvettes

filiformes est indiquée (détermination de l’inclinaison du tronçon initial de la courbe d’aimantation dite idéale obtenue par désaimantation en courant alternatif).

On étudie pour cette méthode la variation thermique du facteur démagnétisant structural de différents échantillons de nickel et de cobalt. On constate dans la plupart des cas (sauf un) une forte décroissance de

ce facteur quand la température s’élève, ce qui confirme une fois de plus l’existence de celui-ci, puisque le facteur démagnétisant géométrique, par sa nature même, est indépendant de la température.

Introduction. - Au cours de mes recherches sur

l’aimantation initiale des substances

ferromagné-tiques

(i)

j’ai

été amené à

m’occuper plus

particuliè-rement de la détermination

expérimentale

du facteur

démagnétisant d’éprouvettes cylindriques.

Pour la clarté de

l’exposé, je rappelle

brièvement

l’origine

et

la

signification

de ce facteur.

Considérons un

ellipsoïde

de rotation

allongé

tourné dans une substance

ferromagnétique

et

placé

dans un

champ

extérieur uniforme

ffe.

La théorie

classique

montre

qu’il

se

développe

dans

l’ellipsoïde

un

champ

antagoniste

uniforme dû à l’ensemble des

dipôles

élémentaires constituant le corps

ferromagnétique

et dont l’axe coïncide avec l’axe de

l’ellipsoïde.

A l’intérieur de

l’ellipsoïde,

ce

champ

antagoniste appelé champ

démagnétisant

est

partout

le même et

proportionnel

à

l’intensité d’aimantation I

(aimantation

rapportée

à

l’unité de

volume).

Dans

l’ellipsoïde

le

champ

résultant

~r

sera la somme

algébrique

de

He

et

H,.

Le facteur de

proportionnalité

~9

porte

le nom de facteur

démagnétisant

de forme. Comme il ne

dépend

que des dimensions

géométriques

de

l’ellipsoïde,

nous

l’appellerons

par la suite facteur

démagnétisant géométrique.

On

peut

étendre la notion de facteur

démagnétisant

géométrique

au cas

d’éprouvettes cylindriques ;

mais

cette fois-ci

IV 9

variera de

point

en

point

et atteindra sa valeur minima au milieu du

cylindre.

Il en résulte

que le

champ

résultant interne

ne sera

plus

constant à l’intérieur du

cylindre

mais décroîtra du milieu vers les extrémités de celui-ci. Il

s’ensuit que l’aimantation ne saurait être uniforme et

qu’elle

aussi décroîtra du milieu vers les extrémités.

Ce

qu’on

mesure donc

lorsqu’on

détermine le facteur

démagnétisant géométrique,

ce n’est en

quelque

sorte (r) A paraître prochainement.

qu’une

valeur moyenne du facteur

géométrique

étendue à tout le volume de

l’éprouvette

cylindrique.

Les données des différents auteurs s’écartent du reste assez

notablement les unes des autres

quant

aux valeurs

numériques

de

N,.

Indépendamment

de la

question

du

champ

démagné-tisant

géométrique,

Forrer

etMartak

(1 )

ont été

amenés,

à la suite de l’étude de l’inclinaison des

cycles

d’hysté-rèse,

à découvrir un

champ démagnétisant

structural dans le fer et le

nickel, champ

dû à la structure intime

du corps

envisagé

et

indépendant

de sa forme

géomé-trique.

Un tel

champ

structural a été mis en évi-dence pour la

première

fois par P. Weiss dans la

pyrrho-tine

(~).

Ce

champ démagnétisant

structural étant propor-tionnel à

l’aimantation,

on

peut

lui faire

correspondre

un facteur

démagnétisant

structural

LYs

Il faut par

conséquent

tenir

compte,

lors de l’étude des

éprouvettes

filiformes,

de son

existence,

et déterminer

chaque

fois sa valeur

numérique

précise.

Méthode

expérimentale. -

Pour me procurer par mesure directe les valeurs

expérimentales

du facteur

démagnétisant

total,

géométrique plzcs

structural

N,

je

suis

parti

du fait

expérimentalement

bien établi que le

tronçon

initial de la courbe d’aimantation dite idéale

coïncide,

en l’absence de

champ démagnétisant

interne,

avec l’axe des aimantations. Cette courbe d’aimantation

idéale se définit et s’obtient de la

façon

suivante. On sait que pour

parvenir

à la désaimantation

complète

d’un corps

ferromagnétique

dans un

champ

extérieur

nul,

on lui fait subir un

champ magnétique

alternatif

d’amplitude

suffisante pour atteindre la

région

de

saturation,

champ

dont on fait ensuite décroître

l’intensité d’une

façon

continue

jusqu’à

la valeur nulle.

(*) T. KAHAN. C. I~. de l’Acad. Sc., 1934, t. 199, p. 349.

Physique, 193i, 6, p. 198-‘?04.

(2) Journal de

Physique,

1905, 4, p. 489; cf. et FOEX, Le

magnétisme p. 4 36.

(3)

464

On fait ainsi décrire à la substance des

cycles

d’ai-mantation de

plus

en

plus

faibles

jusqu’à

ce

qu’on

atteigne

le

point

zéro

(figure 1).

On reconnaît que la

désaimantation est

parfaite

à ce que

l’équipage

du

magnétomètre

reprend

la même

position qu’il occupait

avant l’introduction de

l’éprouvette.

Fig. 1.

On

peut

ainsi débarrasser en

l’absence

du

champ

extérieur une substance

ferromagnétique

de son histoire antérieure. Or rien

n’empêche

de l’en débar-rasser de la même manière pour

n’importe quelle

valeur du

champ

extérieur. Si l’on fait par

conséquent

subir à la substance soumise à l’action d’un

champ

magnétique

extérieur stationnaire une désaimantation

complète

l’on obtient

toujours

pour l’aimantation

une valeur bien déterminée et

unique, indépendante

de l’histoire

antérieure,

que cette substance se trouve

initialement sur la courbe de

première

aimantation,

sur la branche ascendante ou descendante du

cycle

d’aimantation.

La courbe ainsi obtenue pour différents

champs

stationnaires est la courbe d’aimantation idéale ou

courbe d’aimantation

dépourvue d’hystérèse (courbe

anhystérétique).

L’on a

trouvé,

comme nous l’avons

déjà

dit,

que cette

courbe d’aimantation idéale se confond dans sa

partie

initiale avec l’axe des aimantations en l’absence de

champ démagnétisant

et

qu’elle présente

par suite

l’aspect

suivant

(fig.

2).

Par

contre,

en

présence

d’un tel

champ,

la courbe d’aimantation

anhystérétique présente

une tout autre allure

(fig. 3).

On

peut

y

distinguer

deux

parties

nettement

diffé-rentes : une

partie

initiale

rectiligne

et une

partie

incurvée.

L’angle

a est tel que :

N étant le facleur

démagnétisant

total. Autrement dit :

ou encore :

En d’autres

termes,

je

suppose que la

partie

initiale

rectiligne

de la courbe d’aimantation idéale

correspond

à un

champ

intérieur total nul.

Si,

par

conséquent,

on relève

expérimentalement

la

portion rectiligne

initiale de la courbe d’aimantation

idéale,

on se trouve par là

en

possession

d’un moyen direct et commode pour la

détermination du facteur

démagnétisant

total. C’est de cette méthode que

je

me suis servi pour me procurer les valeurs

numériques

du facteur

démagnétisant

à diverses

températures.

Les moyens

expérimentaux

mis en oeuvre sont les suivants :

l’éprouvette

à étudier de 10 cm de

long

et de diamètre variant autour de 1 mm est

placée

dans une

bobine

magnétisante

de 27 cm de

long qui produit

le

(4)

parcourue par le même

courant;

cette bobine

magnéti-sante est entourée d’une seconde bobine parcourue par le courant alternatif servant à la désaimantation.

L’&mplitude

maxima du

champ

alternatif

produit

par ce courant de désaimantation doit être

supérieure

à l’intensité du

champ

stationnaire continu

(1).

Fig. 2.

Pour obtenir une désaimantation

complète,

il est

indispensable

que le courant alternatif de désaiman-tation décroisse tout à fait

graduellemeut puisque

tout saut de courant amène une aimantation rémanente considérable. Nous avons

essayé plusieurs dispositifs

de désaimantation avant de nous arrêter aux deux

solutions suivantes : Le

premier

appareil

se compose d’un tube en verre

rempli

d’un

électrolyte

dans

lequel

plongent

deux électrodes effilées et

pointues (fig. 4).

L’évacuation

graduelle

de

l’électrolyte

par en bas

permet

d’obtenir une décroissance de courant assez continue.

Le second

dispositif

de désaimantation

(c’est

celui dont

je

me suis servi la

plupart

du

temps)

comporte

deux

bobines,

l’une fixe

primaire

parcourue par le courant alternatif du secteur

(A),

l’autre

(B),

secondaire reliée à la bobine

magnétisante

du

magnétomètre,

susceptible

de se

déplacer

verticalement,

guidée

par un tube en verre et mue par un

contrepoids (C).

Afin de renforcer l’induction mutuelle entre les deux bobines et d’atténuer en même

temps

la variation

brusque

de l’intensité du courant secondaire au moment (1) La description détaillée de cette installation paraîtra plus

tard.

du

décollage

des deux bobines,

j’ai

muni le

système

d’un noyau fixe

(F)

en fil de fer doux de forme

conique

Fig. 3.

Fig. 4. Fig. 5.

Mode

opératoire. -

La suite des

opérations

se

réduit

pratiquement

à ceci :

10 On

place

l’éprouvette

à étudier dans la bobine

magnétisante

et l’on

applique

le

champ

continu station-naire de valeur connue.

~° On désaimante avec

l’appareil

de désaimantation

(5)

466

décrit

plus haut,

ce

qui

donne à

l’équipage

du

magné-tomètre une déviation telle que le

spot quitte

l’échelle

transparente.

3° On ramène le

spot

au zéro de l’échelle en

com-pensant

l’action de l’aimantation idéale pour la bobine

compensatrice

de moment connu étalonnée en fonction d’une bobine étalon.

Résultats

numériques. - A)

Nickel étiré recuit

quelques

minutes à 1000

degrés centigrades,

ensuite

14 heures à 650

degrés centigrades

pour revenir

lente-ment à la

température

ordinaire

(atmosphère

d’hydro-gène) (’ ).

Je

reproduis

dans la

figure

6 l’allure de la courbe d’aimantation idéale relevze à fa

température

ordinaire

en fonction du

champ magnétique

extérieur.

La

figure

7

reproduit

l’allure des

lignes

pour la

tem-pérature

de 116°C resp. 320°. On se rend

compte

par là que l’allure

rectiligne

est tout à fait satisfai-sante.

6.

J’ai

consigné

dans le tableau

ci-après

les données

nu-mériques.

Le facteur du

champ démagnétisant

struc-tural

N,~

s’obtient en retranchant de la valeur du

fac-teur

démagnétisant

total déterminé par la méthode

décrite

plus haut,

la valeur du facteur

démagnétisant

géométrique (valeur

de H. Du

Bois) (i).

La

figure

8

(points D) représente

l’allure de la courbe de

Ns

en fonction de la

température.

On voit que le facteur

démagnétisant

structural,

loin d’ètre constant comme le facteur

démagnétisant

géométrique,

varie

(~) H. Du Bois : Jlagnptische Kreisc, 189 i, p. 4ï.

fortement avec la

température.

Dans l’intervalle de

température

s’étendant de 16° à

3 ~O°C,

sa décroissance est

linéaire ;

au delà de cette

température

et

près

du

point

de

Curie,

sa chute est

beaucoup plus rapide

et l’on est tenté de conclure

qu’au point

de Curie il

prend

la valeur nulle. L’allure

générale

de

(la

courbe semble

indiquer

qu’il

n’y

a pas de relation

simple

entre le facteur

démagnétisant

structural et l’aimanta-tion.

(1) Le choix des traitements thermiques et mécaniques a été

dictée par des considérations étrangères à la question du facteur

(6)

467

Fig. 7.

B)

Nickel étiré à 5 pour 100 recuit ensuite 24 heures

à fi00

degrés

centigrades

dans une

atmosphère

d’hy-drogèue

et refroidi lentement.

Les

lignes

d’aimantation idéale tracées en fonction du

champ

extérieur

présentent

une bonne allure li-néaire. Dans le tableau ci

après

se trouvent

consignées

les valeurs

numériques

et la

partie supérieure

de la

figure

n° 8

reproduit

l’allure

générale

de la courbe fac-teur

démagnétisant structural-température.

.

A l’instar du nickel étudié

plus

haut,

le facteur

dé-magnétisant

structural décroît sensiblement

quand

la

température

augmente.

Sa valeur est toutefois nota-blement

plus grande

que celle du nickel

précédent.

C)

Nickel étiré à 5 pour 100 recuit

pendant

24 heures à 850

degrés

et refroidi

brusquement

dans une

atmos-phère d’hydrogène,

recuit ensuite

pendant

16 heures à 400°C et refroidi lentement à

partir

de cette

tempé-rature.

La

figure

9

représente

les

tronçons

initiaux de deux courbes d’aimantation idéale en fonction du

champ

magnétique

extérieur pour les

températures

de

141% 5

et 33 ~ °C

respectivement.

Comme

précédemment,

l’al-lure

rectiligne apparaît

tout à fait nettement. Nous avons rassemblé les données

numériques

dans le tableau suivant :

L’allure de la courbe du facteur

démagnétisant

struc-tural en fonction de la

température

est

reproduite

sur la

figure

8

(points X).

Contrairement à ce

qui

se passe dans le cas des

éprouvettes

de nickel

précédemment

étudiées,

ce facteur

démagnétisant

est sensiblement

indépendant

de la

température,

du moins dans l’inter-valle de

température

s’étendant

jusqu’à

la

tempéra-ture de 33 i°C

(’).

En

rapprochant

les résultats obtenus pour le

nickel,

(1) Les échantillons de nickel étudiés nous ont été

(7)

468

on

peut

conclure que

Ns

varie considérablement avec le traitement

thermique

et

mécanique

des

éprouvettes.

Les dimensions

géométriques

de

celles-ci,

et par

con-séquent

.1’u,

étaient les mêmes.

Fig. 8.

D)

Cobalt fondu dans un four à haute

fréquence,

type

Ribaud,

aspiré

dans un tube de

quartz

et refroidi len-tement.

La

figure

10

reproduit

les

portions

initiales de deux courbes d’aimantation idéale pour les

températures

de 19° et

L’allure

rectiligne

est tout à fait satisfaisante. Nous avons déterminé le facteur

démagnétisant

total

pour 5 températures

et nous résumons les données

numériques

dans le tableau suivant :

L’allure

de la courbe

représentant

Ns

en fonction de la

température

est

rectiligne,

aussi

l’équation

de cette courbe

peut-elle

s’écrire

(fig. 11) :

La forte variation

thermique

de

Ns

est tout à fait

remarquable. Quoiqu’on

ne

puisse

avec certitude

extrapoler

la

droite,

une courbure de celle-ci pou-vant se

produire

vers

250°C,

il est curieux de remar-quer que la

température extrapolée

coïncide avec la

température

où la courbe

susceptibilité-température

atteint un maximum très

prononcé.

E)

Cobalt

électrolytique.

- Cette fois-ci

nous avons

poussé

notre étude

jusqu’à

la

température

de 800° C.

On sait en effet

qu’aux

environs de 450° C se pro-duit une transformation du cobalt au cours de

laquelle

celui- ci passe du réseau

hexagonal

au

ré-seau

cubique

à faces centrées tout en restant

(8)

dit est au

voisinage

de 1 130’C. Si l’on

rapproche

l’allure de la

première partie

de cette courbe de celle du cobalt

fondu,

on est

tenté d’extrapoler

ce tron-çon

rectiligne.

On constate alors que celui-ci coupe l’axe des abscisses verts la même

température;

c’est aussi la

températurc

où la courbe

susceptibilité-tempé-rature

présente

un fort maximum. Comme nous n’avons pas

exploré

l’intervalle de

température

de 250

degrés

à 450

degrés

(point

de transformation du réseau du

cobalt),

nous ne pouvons rien dire de certain sur l’al-lure de dans cette

région.

Il est néanmoins vraisem-blable que

A7s

reste relativement

petit,

mais fini.

Fig. 9.

Le tableau suivant donne les résultats

numériques :

La

figure

12

représente

l’allure de la courbe. La

(9)

470

de Curie.

Toutefois,

comme les valeurs

numériques

correspondant

à celle-ci sont entachées d’erreurs à cause d3 l’incertitude où l’on est

quant

au facteur

démagnétisant géométrique,

il faut se

garder

d’at-tribuer

beaucoup

de

signification

à cette

extrapola-tion.

Fig, 12.

Puisque

le facteur

démagnétisant

géométrique qui ne

dépend

que du

rapport

des dimensions

géométriques

est par sa nature même

indépendant

de la

tempéra-ture,

nous avons démontré directement l’existence du

facteur

démagnétisant

structural par sa variation avec

la

température.

Il est à remarquer que le facteur

démagnétisant

structural est du même ordre de

grandeur

que le fac-teur

démagnétisant géométrique

dans le

nickel,

par contre

beaucoup

plus grand

daus le cobalt. Dans nos

expériences,

le facteur structural est

positif ;

or, comme le montrent les

expériences

de Würschmidt

(1),

dans

(1)

Z.

Physik.,

1923, 12, p.

le fer il semble

pouvoir

devenir

négatif

si,

comme

l’an-nonce cet

auteur,

sans songer à l’existence de

champs

démagnétisants

structuraux et sans s’étendre

longue-ment sur la

question,

le facteur

démagnétisant

expéri-mental est inférieur d’environ 14 pour 100 au facteur

démagnétisant géométrique

(’).

L’hypothèse

du

champ démagnétisant

structural se

trouve donc confirmée par nos

expériences.

Les données actuelles ne

permettent

guère

de se prononcer

quant

à la nature et à

l’origine

de ce

champ.

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