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Sur quelques propriétés des corpuscules de spin 1/2 h/2π dans les champs électromagnétiques

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(1)

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Sur quelques propriétés des corpuscules de spin 1/2

h/2π dans les champs électromagnétiques

Gérard Petiau

To cite this version:

(2)

SUR

QUELQUES

PROPRIÉTÉS

DES CORPUSCULES DE

SPIN $$ 1/2 h/203C0

DANS LES CHAMPS

ÉLECTROMAGNÉTIQUES

Par GÉRARD PETIAU.

Institut Henri-Poincaré.

Sommaire. 2014 L’introduction dans

l’équation d’ondes de l’électron de Dirac, représentant, d’une façon générale, les corpuscules de

spin $$I/2.h/203C0

d’un terme d’interaction électromagnétique s’exerçant directement par les champs et non plus seulement par les potentiels, permet de représenter un corpuscule

possédant un moment magnétique propre non lié à l’existence de la charge.

Nous examinons ici quelques propriétés de ce corpuscule que l’on peut déduire de l’équation d’ondes.

Après avoir défini un opérateur vitesse généralisé, nous montrons comment l’introduction d’un tenseur

d’impulsion généralisé permet d’étudier les forces résultant de l’action du champ sur le corpuscule, celles-ci se décomposant en une force correspondant à la force de Lorentz classique et en une force due au moment électromagnétique propre ou force de spin dont nous discutons la possibilité de mise

en évidence.

Les résultats obtenus sont ensuite retrouvés dans l’étude de l’approximation non relativiste de

l’équation d’ondes considérée, d’abord dans le cas du champ électromagnétique quelconque puis, plus

en détail, dans le cas du champ électrique central.

1. La théorie de l’électron relativiste de Dirac

représente

l’état du

corpuscule

de en

2 .2’

l’absence de

champ

extérieur par les fonctions

d’ondes §g

(k

= 1, 2,

3,

4),

solutions du

système

d’équations

linéaires aux dérivées

partielles

du

premier

ordre :

- / A B

oc, oc4

représentant

un

système

de

quatre

matrices

du

quatrième

rang, telles que

Lorsque

ce

corpuscule

portant

une

charge

s se

trouve

placé

dans un

champ électromagnétique

caractérisé par les

champs

électrique

et

magné-tique

E,

H et par les

potentiels

scalaire et

vec-teur

Ao,

A,

l’équation

d’ondes déterminant les fonctions

Ulk

se déduit de

(1)

en

remplaçant

les

opérateurs

po, p par po

~- ~ Ao,

p +

§ A,

ce

qui

revient à

compléter l’équation

(1)

par

l’expression

invariante dans une transformation de Lorentz

11

et à écrire celle-ci

,

sous la forme

,

L’interprétation

de cette

équation

conduit à

attribuer au

corpuscule

un moment

cinétique

propre ou

spin

et un moment

électromagnétique

propre

auquel correspond l’énergie

potentielle

en

désignant

par x

et,

les matrices vecteurs de

composantes

Cependant,

W. Pauli a montré

(1)

que

l’expression

invariante

(4) pouvait également

être introduite directement dans

l’équation

d’ondes

(1)

qui

s’écrit

alors ,

-et dont les solutions

représentent

les états d’un

corpuscule

non

chargé

mais

possédant

un moment

magnétique

propre po.

Cette

équation

a été considérée

depuis

par de

nombreux auteurs pour

représenter

le

proton

ou le

neutron selon que l’on tient

compte,

simultanément

ou non, des deux termes d’interaction

(2)

et

(4).

En

particulier,

cette

équation

a été utilisée dans des travaux récents de Caldirola

(2),

G. Breit

(3),

R. G. Sachs

(4).

Signalons,

en

outre,

que H. Bethe

(5)

s’en est servi pour

représenter

le neutrino dans

l’hypothèse

où ce

corpuscule

non

chargé,

de masse

(1) W. PAULI, Handbuch der Physik, 24/1, p. 233.

(2) CALDIROLA, Relativistic correction in calculating the magnetic moment of deuteron. Phys. Rev., 1946, 69, p. 608.

(3) G. BREIT, Relativistic corrections to magnetic moments of nuclear particles. Phys. Rev., gl~~, 71, p. 00-402.

(4) R. G. SACHS, On the magnetic moment of deuteron. Phys. Rev., 1947, 72, p. 91-98.

(5) H. BETHE, Ionisation power of a neutrino with moment

magnetic. Proceed. Cambridge Phil. Soc., 1935, 31, p. 108- 115.

(3)

219 très

petite,

serait

susceptible

de provoquer une

ionisation des atomes par l’action directe d’un

moment

électromagnétique

propre sur les électrons

intraatomiques.

En

présence

de ces travaux, il nous a semblé

qu’il

serait utile de

préciser quelques-unes

des

pro-priétés

que l’on

peut

déduire directement de

l’équa-tion d’ondes du

corpuscule

considéré. Nous nous

proposons

d’exposer

ici les résultats que nous avons

obtenus.

2. Nous considérons le

corpuscule

dont les fonc-tions

(que

nous écrirons

simplement

’~

à

l’avenir)

sont solutions dans le

champ

électro-magnétique Ao,

A, E,

H de

l’équation

d’ondes

r ~ 1 - -. , ...r A . A -1 l

g

et i

étant deux constantes caractérisant les inter-actions.

A

l’équation (6);

nous associons

l’équation

conjuguée

Multipliant

ces

équations

par nous en déduisons

la relation

Tenant

compte

de la condition de nullité

des

aux limites du domaine

d’intégration

et de l’hermi-ticité des

opérateurs,

cette relation se réduit à

en

posant

De

même,

en

multipliant

.(6)

et

(7)

par

nous

obtenons,

par

combinaison,

la relation

intégrale

Or,

nous avons, en l’absence de

champ

extérieur,

D’autre

part,

quel

que soit le

type

d’interaction

considérée,

nous avons

Combinant cette relation avec

(10),

nous en

dédui-sons

Les relations

(8)

et

(13) généralisent (11),

le

vec-teur

no,

11

correspondant

au vecteur p, p v =

p ~

de la

Mécanique

ondulatoire sans

spin.

3. Nous avons

déjà

rencontré le

quadrivecteur

no,

II dans un travail

précédent (6)

où nous avons

étudié comme cas

particulier

les

équations

d’ondes du second ordre

correspondant

à

l’équation

(6).

Par itération de

celle-ci,

on obtient facilement

Cette

équation,

dans

laquelle

nous avons

posé

x,= I~

) n’est pas

hermitienne,

mais par

multiplication

par C(4’ elle devient hermitienne et s’écrit

Introduisant dans cette

équation

les

expressions (9)

et

(14)

de

110

et

11,

nous

obtenons,

après

division

(4)

par 2mo,

~ i

Cette

équation

met en

évidence,

d’une

part

l’interaction

électromagnétique

due à la

charge

électrique

et au

spin

et, d’autre

part,

deux termes

d’énergie

potentielle

correspondant

à l’interaction en

f ,

l’un

classique :

l’autre

purement

quantique

et

caractéristique

des

mélanges

d’états à

énergies positives

et

négatives.

4.

L’équation (6)

écrite sous la forme

nous

permet

de calculer la dérivée par

rapport

au

temps

des

grandeurs

caractéristiques

du

corpuscule

au moyen de la formule de dérivation

quantique

A étant

l’opérateur

correspondant

à la

grandeur

considérée.

En

particulier,

si nous considérons

l’opéra-teur

p + gA ayant

la variance de la

composante xt

d’un tenseur du second

ordre,

nous obtenons

faci-lement la relation

Le

premier

terme du second membre

peut

se transformer en utilisant les

équations (6)

et

(7)

multipliées

par

---

-et par

On obtient alors, par

combinaison,

la relation

intégrale

Si nous tenons

compte

de cette relation dans

(19),

celle-ci devient

Mais,

d’autre

part,

les définitions

(9)

et

(14)

de

IIo

et II et l’identité vectorielle

nous donnent

Par

suite,

la relation

(21)

s’écrit encore

Cette

relation

généralise

celle que l’on obtient

(1)

dans le cas de

l’équation

de Dirac usuelle où l’on a

et

qui

s’écrit

(5)

221 mettant en évidence au second membre la force

de Lorentz

classique

et la force

électromagnétique

due à l’existence du

spin

ou force de

spin

corres-pondant

à

l’énergie

électromagnétique

propre

Néanmoins,

l’équation (23) qui

met en évidence

au second membre la force de Lorentz

généralisée

représentée

par

l’opérateur

et la force de

spin

d’opérateur

grad(E.1t

+ H.~)

avec, pour coefficient d’une

façon

additive,

les

moments

2 Mo

et

- le,

n’est pas

complètement

, ,

2. mo .

satisfaisante. En

effet,

l’opérateur

p +

gA

peut

être

complété

par des

opérateurs

de même variance construits au moyen des

grandeurs

du

champ

et

des matrices

caractéristiques

du

corpuscule.

En

particulier,

nous pouvons

compléter

cet

opérateur

par

l’expression

-

f (E

A

lx)

en considérant pour

tenseur

d’impulsion

totale

l’expression

Afin d’examiner les modifications que le choix de cette

expression

entraîne dans la

représentation

des

forces

appliquées

au

corpuscule,

nous devons dériver

l’opérateur [E A ~,].

°

En utilisant les

équations (6)

et

(7)

on obtient facilement la relation

intégrale

Remarquant

que nous avons

L B~ / .J

(26)

devient

_1 )

Alors que, dans

(21),

nous avions introduit

nous sommes conduits ici à introduire le vecteur dual

De

même,

nous introduisons le dual de

Or,

par combinaison de

(6)

et

(7)

multipliées

par

nous obtenons la

relation

intégrale

et, .par

suite,

(28)

devient

Complétant (23)

avec cette

expression,

nous

obtenons finalement la dérivée de

l’impulsion

géné-ralisée

(25).

Nous voyons

apparaître

au second membre deux

« forces de Lorentz » duales l’une de

l’autre,

asso-ciées,

l’une à la

charges

(g

l’autre à une

charge

fictwe s que l’on

peut

déduire de la

cons-tante

f

par la relation 12’

= 2 n;¡C2

f .

Mais la seule force de

spin

est alors celle

qui correspond

à la

charge

vraie,

c’est-à-dire à la constante g, résultat

en accord avec celui que nous déduisons de

l’équa-tion d’ondes du second ordre

(16)

où le terme

d’énergie

potentielle

dû au moment

magnétique

propre ne

dépend

que de la constante g.

Remarquons

que si nous

posons g’

c

le

ten-seur

d’impulsion

généralisé

intervenant au

premier

membre de

(33),

s’écrit encore

Dans le cas où le

champ

extérieur est

uniquement

(6)

f ormules

(33)

ou

(24)

se réduisent à

a n r ...~- -1

Dans ce cas, à côté de la force de Lorentz

pro-prement

dite,

les forces

én g

et i correspondant

au moment

magnétique

propre interviennent d’une

façon

additive.

Si l’on

examine

les conditions dans

lesquelles

on

peut

évaluer la force de Lorentz

représentée

par

l’opérateur

-.

. -

-on voit que cette évaluation

exige

la mesure simul-tanée du

champ gH

et de la vitesse.

(p + gA)

m

0

Or,

d’après

la théorie

générale

de la mesure

(8),

on sait que si deux

grandeurs physiques

observables

sont

représentées

par les

opérateurs

linéaires et

hermitiens A et

B,

on a

[A,

B,

représentant

le commutateur de A et B et àB les écarts

quadratiques

définis par

Appliquant

ce

théorème,

nous voyons que l’éva-luation de la force de Lorentz introduit une erreur

I . 5

supérieure

à .

Nous retrouvons ici un résultat

qui

a fait

l’objet

de nombreuses discussions

(9) d’après lesquelles

on conclut

généralement

que la force de

spin

ne

peut.

être mise en évidence par une

expérience

directe,

l’incertitude dans la mesure de la force de Lorentz étant

toujours

supérieure

à la force de

spin (ou

de

moment

électromagnétique

propre).

Mais nous voyons ici que ce raisonnement ne

porte

que sur la force de

spin dépendant

du

facteur g

( c’est-à-dire

de la

charge

si g

= ).

Si le coefficient

, , ,

c

d’interaction

électromagnétique

directe

f c

est

nota-blement

supérieur

au moment

magnétique

propre

dû à la ~

2013~2013 ~

la force de

spin

pourra

2 mo 2 moc r r

être mise en évidence par une

expérience

directe.

(1) Voir, par exemple : L. DE BROGLIE, Théorie générale des

particules à spin, p. 30-32.

(1) Voir, par exemple, le Rapport de M. W. PAULI au

Congrès Solvay de 1980 sur le Magnétisme.

Nous retrouvons encore ici une des conclusions du

rapport

cité de M. W. Pauli

(1).

On

sait,

par

ailleurs,

que 1VI. J. Thibaud

(1°),

’ étudiant le

comportement

de certains

rayonnements

(3

dans des

champs magnétiques inhomogènes

a été

conduit à admettre l’existence de

particules

très

pénétrantes

caractérisées par un moment

électro-magnétique important

et

qu’il

a

désignées

sous le

nom d’électrinos: Si l’on admet que ces

particules

satisfont à

l’équation

d’ondes de

Dirac,

la considé-ration d’une interaction

magnétique

directe

en i

[analogue

à celle introduite par H. Bethe

(~)

dans

le cas du

neutrino]

donnant un moment

magnétique

prépondérant

devant celui en 9

permettrait

d’exa-miner

indépendamment

l’action de la force de

Lorentz et celle de la force de

spin

correspondant

au

moment

magnétique en i

et de

justifier,

par un

équilibre

entre ces

forces,

les

répartitions

corpuscu-laires observées.

5. Nous allons retrouver les résultats

précédents

en examinant

l’approximation

non relativiste

corres-pondant

à

l’équation (6).

Pour

cela, suivant

le

procédé

introduit par W. Pauli et

repris

par R. G.

Sachs,

nous allons

utiliser la

représentation

donnée par Dirac pour les matrices oc en écrivant

"

a-aPu aIt- == p ;

les f7 et les p étant deux

systèmes

de trois matrices

à deux

lignes

et deux

colonnes,

indépendantes,

tels que

~.~; ~;

r = 1> ‘’;

3)

et pour

lesquels

nous prenons la

représentation

de Pauli :

1

Nous avons alors

Si,

au lieu de

repérer

les

quatre

fonctions d’ondes

~/c

par l’indice k = 1, 2,

3,

4,

nous

introduisons

deux

indices = 1, 2, m =

1, 2

écrivant

tfl,nH

l’indice 1

correspondant

aux matrices OE, l’indice m aux

matrices p, les fonctions

tft,

tf2

s’écriront les fonctions

tf3’ tf~

s’écriront

tfl,2.

Nous

écrirons,

dans

ce

qui

suit,

91 pour

lui,,,

CP2 pour en omettant

l’indice

1.

En mettant en évidence ces

fonctions

Oi et u2,

(1°) 1VI. J. TIiIBAUD, C. R. Acad. Sc., Paris, 223,

(7)

223

l’équation

(6)

se

décompose

en donnant le

système

Si,

dans

l’opérateur

d’énergie

cpo, nous

séparons

l’énergie

massique

propre mo c2 en écrivant

cpo correspondra

à

l’énergie

non relativiste.

Si,

en outre, nous avons

la

première

des

équations (36)

nous donnera

approximativement

Il

tandis que la seconde des

équations (36)

s’écrit

Reportant (37)

dans

(38),

les fonctions Cf2 seront

déterminées par

l’équation

Or,

nous avons, tenant

compte

de div E = o,

et en utilisant l’identité

L’équation (39)

devient alors

Posant

Nous avons

et

l’équation

(40)

devient

L- J v 1

Le

système

(42)

correspond

aux

équations

d’ondes

à

l’approximation

non relativiste cherchées.

Ces

équations

introduisent

l’impulsion

généralisée

qui

correspond

à

l’approximation

non relativiste

du vecteur - II et

du tenseur

d’impulsion

En

effet,

ce dernier s’écrit encore

et si nous prenons seulement les termes d’indice 22

en p, tenant

compte

de

(P2)22

= o, == - 1,

1

ce tenseur se réduit à

l’expression

(43)

de P.

De

même,

avec

les termes d’indices 22 en p nous donnent

L’équation (42)

considérée comme

généralisant

l’équation

de

Schrôdinger

introduit les deux moments

magnétiques

propres en g et

f

d’une

façon

additive

dans le terme

d’énergie

potentielle

l’impulsion

généralisée (41) remplaçant

l’impul-sion p +

gA

usuelle.

6. Nous allons examiner

plus

en

détail

l’approxi-mation de

l’équation (6)

lorsque

le

champ

extérieur se réduit à un

champ

électrique

central E = E

(r)

en mettant en évidence le

couplage

spin-orbite.

L’équation (6)

se réduit alors à

La

décomposition (36)

nous donne encore en

posant

,«,. 1

(8)

nous en tirons

Calculant

l’expression

le

premier

terme du second membre s’écrit

En utilisant les relations vectorielles

le second terme devient

et le terme cherché se réduit à

Introduisant le moment orbital

l’équation approchée (47)

s’écrit maintenant

Or,

nous avons, en nous bornant aux

premiers

termes,

TI/

Introduisant ces

expressions

dans

l’équation

(51),

nous avons les

équations approchées

aux différents

ordres

Nous retrouvons ici

l’équation

(42).

2° A

l’approximation

suivante :

Cette

expression

ne fait intervenir l’interaction en

f

que dans

l’impulsion

généralisée

P,

mais non

pas dans le terme de

couplage

spin-orbite

r

qui

ne

dépend

que du coefficient g.

( r )

Si nous

introduisons,

au lieu du moment orbital

le moment orbital

généralisé

nous avons

Or,

tenant

compte

de

nous avons

d’où

Introduisant cette

expression

dans

(52),

cette

équation

devient

mettant en évidence à côté du terme de correction relativiste en

2 m ,

le terme de

couplage

spin-’

" " "

orbite en

e.,7

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