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Submitted on 1 Jan 1902
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O.-M. CORBINO. - Sulla costituzione della luce bianca (Sur la constitution de la lumière blanche). - Nuovo
Cimento, 5e série, vol. II; septembre 1901
E. Carvallo
To cite this version:
E. Carvallo. O.-M. CORBINO. - Sulla costituzione della luce bianca (Sur la constitution de la lumière blanche). - Nuovo Cimento, 5e série, vol. II; septembre 1901. J. Phys. Theor. Appl., 1902, 1 (1), pp.512-513. �10.1051/jphystap:019020010051201�. �jpa-00240639�
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du soleil permet
d’expliquer
la formation des taches solaires et lesparticularités
qu’elles présentent. Celles de cesexplications
qui con-cernent l’aspect des taches sont naturellement les mêmes que celles
qui se déduisent de la théorie de M. Faye, puisque, dans ces deux théories, les taches sont considérées comme des tourbillons; mais
celles qui se rapportent à leur formation en sont assez diffé- rentes, car, tandis que M. Faye suppose ces tourbillons locali- sés à la surface du soleil, M. Emden admet qu’ils se forment à
toutes les
profondeurs,
dans les surfaces de séparation des diversescouches. ,
J. BAILLAUD.
O.-M. CORBINO. 2014 Sulla costituzione della luce bianca (Sur la constitution de la lumière blanche). - Nuovo Cimento, 5e série, vol. II; septembre 1901.
La lumière blanche est
décomposée
par le spectroscope. Les radia- tions composantes sont-elles liées de façon à pouvoir interféreret donner des battements? Cela paraît résulter de la théorie de 112. Gouy. Sont-elles, au contraire,
indépendantes
et incapables d’in- terférer, cemme si elles étaient issues de sources différentes 2 C’estl’opinion de ses contradicteurs. La solution directe de ce problème expérimental semble inabordable. NI. Corbino propose l’artifice que voici :
Dans le champ d’interférence de deux faisceaux de lumière
. blanche, mettez la fente d’un spectroscope parallèlement à la direc- tion des franges. Vous aurez un spectre sillonné de franges de
Fizeau et Foucault. Altérez la
période
des vibrations d’un des fais-ceaux interférents - il suffira pour cela de recourir à l’un des moyens imaginés par le professeur Righi(’) ou par l’auteur (~) .
Dans le système de Ii~I. Gouy, le spectre du rayon modifié est seule- ment déplacé par rapport à l’autre. Chaque radiation prend la place
d’une autre et peut, comme cette autre, interférer avec la radiation
qui a même longueur d’onde dans le spectre du rayon inaltéré. Les
franges demeurent immobiles.
Dans le système contraire, chaque radiation du spectre modifié ne peut interférer qu’avec la radiation du ,rayon inaltéré qui avait méme
(1) J. cle Ph!ls., p. l13l I~~3.
(2) Rend. Lincei, vol. Vin, p. 111; ’18J9.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019020010051201
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longueur cl’oude avant la modification. Comme ces deux radiations n’ont plus exactement la même période, elles donneront lieu à des battements. Les franges seront donc mobiles.
A cette occasion, M. Corbino présente un excellent exposé histo- rique de la théorie de M. Gouy et des controverses de ce savant avec
M. Poincaré et M. Carvallo. Puis il expose la vanité d’autres solu- tions apparentes du problème expérimental. E. CARVALLO.
C.-II. WIND. 2014 Zur Anwendung dcr Fourierschen Reihenentwickelung in dcr Optik (Sur l’emploi de la série de Fourier en optique). 2014 Physik. Zeitschr.
2. Jahrg., p. 189-196; 1901.
Les rayons lumineux sont attribués aux ondulations, les rayons
cathodiques à l’émission. Auquel des deux systèmes doit-on ratta-
cher les rayons
Rôntgen?
L’auteuropine
pour les ondulations. Laperturbation
propagée serait due aux chocs de l’anticathode par les électrons partis de la cathode. Quelle que soit sa forme, elle peutêtre développée en série de Fourier. D’après la théorie de M. Gouy,
un réseau effectuerait cette
décomposition
et donnerait un spectre dévié. Les tentatives faites dans ce sens sur les rayons Rôntgen ont généralement échoué. Pourtant MM. Haga et ~’~Tind ont cru trouverune espèce de déviation d’où ils concluent à des longueurs d’onde de i/4 uu. à 1/iOO p.p. (Wied. A>1., 68, 884; 1889).
A cette occasion, l’auteur constate que la théorie de M. Gouy est trop peu
répandue,
et, pour la répandre, ill’expose.
Son expositionne me parait pas apporter de clarté nouvelle. E. CARVALLO.
THE PHYSICAL REVIEW;
T. XII, fasc. 6; - T. XIII, fasc. 1 à 6; - T. XIV, fasc. 1 à 2.
T. XII,.
J. ZEhE~VY. - The influence of température upon the photoelectric efl’ect (Influence de la température sur la déperdition électrique des corps illuminés).
- P. 321-339. ,
Hoor a observé que la déperdition de charge par exposition à la
lumière des corps électrisés négativement diminue quand la tem-