HAL Id: jpa-00237865
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Submitted on 1 Jan 1881
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AYRTON ET PERRY. - Measuring the index of
refraction ot ebonite (Mesure de l’indice de réfraction de l’ebonite) ; Nature, 31 mars 1881; Philosophical
Magazine, 5e série, t. XII, p. 196; 1881
E. Bouty
To cite this version:
E. Bouty. AYRTON ET PERRY. - Measuring the index of refraction ot ebonite (Mesure de l’indice de réfraction de l’ebonite) ; Nature, 31 mars 1881; Philosophical Magazine, 5e série, t. XII, p. 196;
1881. J. Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.507-507. �10.1051/jphystap:0188100100050700�. �jpa-
00237865�
507
AYRTON ET PERRY. 2014 Measuring the index of refraction ot ebonite (Mesure de
l’indice de réfraction de l’ebonite) ; Nature, 31 mars 1881; Philosophical Maga- zine, 5e série, t. XII, p. 196; 1881.
On sait que,
d’après
M.Bell, l’interposition
d’une lame d’ébo- nite entre un faisceau de radiations intermittent et unrécepteur
ensélénium n’éteint pas
complètement
le sonperceptible
à l’aided’un
téléphone placé
dans le circuit.I. Dans un
premier travail,
MM.Ayrton
etPerry remplacent
la lame d’ébonite par un
prisme
de la mêmesubstance, placé
derrière 1 écran
interrupteur
et en avant d’uneplaque
P dezinc,
munie d’une
fente, qui protège
lerécepteur
en sélén ium. On n’en- tend rien autéléphone quand
la fente P est sur leprolongement
de la direction des rayons reçus par le
prisme; mais,
en abaissan tla fente vers la base du
prisme,
on trouve une situation pour la-quelle
le son devientperceptible.
Ainsi leprisme
d’ébonite dévie la radiation àlaquelle
il livre passage ;d’après
laposition assignée
à la
fente,
les auteurs croientpouvoir
fixer l’indice de l’ébonitevers 1, 7. Le carré
2,8g
de ce nombre estcompris
entre laplus grande
et laplus petite
valeurassignées
par driversexpérimenta-
teurs à la
capacité
inductivespécifique
de l’ébonite.II. Les résultats obtenus à l’aide du
téléphone
ont été contrôlésde
plusieurs
manières. Enpremier
lieu, sur laproposition
du pro- fesseurFitzgerald,
le D’ Jellett a mesurél’angle
depolarisation
maximum de la lumière réllécllie par l’ébonite : on en déduit l’indice de réfraction de cette substance en admettant que le rayon
réfracté, correspondant
àl’angle
depolarisation,
estperpendicu-
laire au rayon
réfléchi,
comme cela a lieu pour les corps transpa-rents : on trouve ai n si 1, 611.
Enfin MM.
Ayrton
etPerry
aN a i-1 tremarqué
que,quand
la sourcelumineuse est très
intense,
unprisme
d’éboiiite laisse passer(luel-
ques rayons rouges, ces
ph)
siciens sont parvenus Ù mesurer direc-tement l’indice de la
partie
la moinsréfrangible du spectre visible
très limité et excessivement
pâle
due l’on obtient dans ces circon- stances ; ils ont trouvé1,66.
Les résultats obtenus par les diverses méthodes sont donc à peuprès
concordants. E. BOUTY.Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100050700