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Comptes rendus de l'Académie des Sciences;T. CXLVI; 1er trimestre 1908

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HAL Id: jpa-00241421

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241421

Submitted on 1 Jan 1908

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Comptes rendus de l’Académie des Sciences;T. CXLVI;

1er trimestre 1908

G. Boizard

To cite this version:

G. Boizard. Comptes rendus de l’Académie des Sciences;T. CXLVI; 1er trimestre 1908. J. Phys.

Theor. Appl., 1908, 7 (1), pp.890-907. �10.1051/jphystap:019080070089000�. �jpa-00241421�

(2)

COMPTES RENDUS DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES;

T. CXLVI; 1er trimestre 1908.

A. CÀTHIARI). - Emploi des Gammes

comme

soupape des courants alternatifs à haute tension.

-

P. 20 et 229.

Si on présente à une flamme ne contenant aucun corps conducteur solide en suspension deux électrodes quelconques, l’une de surface

très petite par rapport à l’autre, et toutes les deux reliées à une source alternative à haute tension, on constate que le courant, pour de faibles intensités, va toujours dans le même sens, de la grande

électrode vers la petite, à travers la flamme ; corrélativement, il se produit une véritable désagrégation de la cathode.

F. BORD-£S. - Contribution à l’étude de la formation de certaines

pierres précieuses de la famille des aluminides. - P. 21..

Si l’on chauffe plusieurs heures à 300, des corindons jaunis artifi-

ciellement par le radium, ou des corindons jaunes naturels (topaze orientale), la coloration jaune disparaît. Cette propriété peut être utilisée pour reproduire le corindon vert, ou émeraude d’Orient, qui

n’est qu’un corindon bleu ou saphir dont la couleur a été exactement nentralisée par du jaune produit par la radioactivité du sol. Il suffit pour cela de faire passer un saphir peu à peu au vert sous l’action du radium en dépassant le but et d’enlever, ce qui est plus facile,

l’excès de jaune par la chaleur.

L’auteur montre de plus que les rayons cathodiques, analogues

aux rayons ~, sont sans action sur les corindons.

G. SIZES et G. lBIASSOL. - Sur les harmoniques d’un corps vibrant.

-

P. 24.

Les auteurs sont amenés à considérer une loi plus générale et plus simple que celle de Chladni, une loi d’après laquelle les sons de

l’échelle harmonique naturelle sont entre eux comme la série des nombres entiers. Tous les sons produits par un corps sonore doivent être des multiples entiers d’un son fondamental, mais en réalité les

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019080070089000

(3)

891 séries de sons produits ne sont, en général, que des échelles incom-

plètes.

Sur la valeur des éléments magnétiques à l’Observatoire clu Val-Joyeux

au

ler janvier 1908.

-

P. 45.

-1. GHEVÀLLIER. - Étude d’une série d’échantillons d’eau de

mer

récoltés dans la Manche.

-

P. 46.

Mesure de la température, de la densité, de la teneur en halogènes

et en SU3.

H. LE CHATELIER et S. BYOLODGINE. - Sur la densité du graphite.

-

P. 51.

Tous les graphites naturels ou artificiels, après purification com- plète et compression pour les débarrasser des cendres et de l’air

interposés, ont une densité identique de 2,255 vers 1.50. Soumis au

même traitement, le graphite foisonnant présente, avant ou après foisonnement, la méme densité que le graphite ordinaire.

CH. LALLElBIAND. - Sur la

mesure

des mouvements généraux du sol

au

moyen de nivellements répartis à de longs intervalles.

-

P. 64.

L’auteur montre que le degré d’exactitude pratiquement suscep- tible d’être atteint par les nivellements ne peut pas permettre de déceler avec certitude l’existence de mouvements générauxd’exhaus-

sement ou d’affaissement du sol inférieurs à 1 décimètre. Il conclut que chaque pays devrait, plusieurs fois par siècle, réitérer le nivelle- ment d’un groupe de lignes choisies, reliant les mers et franchissant les montagnes principales de son territoire.

A. Sur la transformation des dissolutions de phosphore blanc

en

phosphore rouge. - P. 71 et 401.

On sait que, dans la transformation du phosphore blanc en phos-

(4)

phore rouge, la vitesse de transformation dépend de la température

et de la quantité de phosphore dont on part, c’est-à-dire de la pres- sion de la vapeur. Il suffit de substituer la notion de concentration à celle de tension de vapeur pour que la transformation des dissolutions

soit semblable à celle des vapeurs, avec cette différence que la pré-

sence d’un solvant ralentit la transformation. C’est ce qu’a constaté

l’auteur sur les solutions de phosphore blanc dans 1"essence de téré-

benthine, dans lesquelles la transformation en phosphore rouge a lieu

de 250 à 3000. De plus, cette modification irréversible est due, non pas à un phénomène de viscosité, mais à un cycle formé de phéno-

mènes chimiques la qualité du solvant domine l’effet, pourtant si actif, de la température.

L. GUILLET. - Sur la constitution des fontes

au

maiiîanèse. - P. 7 L Les fontes au manganèse ou au nickel renferment du fer ~- quand

le pourcentage en manganèse ou nickel est suffisamment élevé ~ -, mais, dans les fontes au manganèse, on observe un carbure d’au- tant plus important que la teneur en manganèse est plus élevée. Le manganèse déplace le point eutectique, qui se produit pour les teneurs en carbone plus basses que dans les alliages fer-carbone ;

son addition à une fonte grise produit du fer y avant de faire dispa-

raître le graphite.

J. THOULET. - Diminution de salure de l’eau de

mer

filtrée a travers du sable.

-

P. 94.

Contrairement à ce que l’on croit généralement, la diminution de salure de l’eau de mer filtrée à travers du sable est très faible en soi ; elle se borne aux toutes premières portions filtrées et est due à la fixation, par attraction moléculaire, des sels dissous au contact d’un, solide chimiquement inerte.

H. Essais méthodiques d’un aéroplane cellulaire.

-

P. 112.

Description. Parcours réalisés.

L,- BREGUET. - Sur le rendement des hélices de propulsion dans l’air.

-

P. 113.

Théorie mathématique qui, appliquée aux Iiélices d’aéroplane,

(5)

893 montre que ces hélices sont très loin de remplir la condition de ren-

dement maximum .

B. SZIL.ÀIID. - Étude

sur

le radioplomb. - P. ’1i6.

On sait que le radioplomb est une substance dont on a pu séparer

les radiums D, E, F. Si on soumet cette substance à divers traite- ments chimiques étudiés par l’auteur, on constate que le polonium (radium F) se sépare assez facilement, et le radium D beamcoup plus

difficilement.

A. DiFOUI%. - Sur

un cas

exceptionnel

du phénomène de Zeenian. - P. .18, 229 et 634.

li. BECQUEREL. - P. 1:)4.

J. BECQUEREL. - P. t~83.

Certains composés, chlorures et fluorures alcalino-terreux, pro-

duisent des spectres de bandes d’émission dont les arêtes sont

,

groupées régulièrement suivant des lois simples (Deslandres, Fabry)

et qui sont sensibles au champ magnétique.

Pour ces bandes comme pour le second spectre de l’hydrogène, le phénomène de Zeeman longitudinal présente trois types d’effet : pas d’action du champ sur la raie, phénomène ordinaire ou, enfin, phé-

nomène anormal. Ce dernier, jusqu’ici, n’avait été observé que par M. Jean Becquerel dans l’étude des spectres d’absorption de dif-

férents sels de métaux rares cristallisés ou dissous, dans le spectre d’étincelle de l’yttriurrl en particulier, ce qui l’a conduit à l’hypothèse

d’électrons positifs ; celle-ci a été émise aussi depuis par Wood (~), qui a signalé, dans le spectre cannelé d’absorption de la vapeur de

sodium, l’existence de raies au voisinage desquelles le pouvoir rota-

toire magnétique de la vapeur est négatifs

1B1. CHAiB’ OZ. - Action des rayons X

sur

la plaque photobt°aphique. - P. 112r De même que la lumière, les rayons X peuvent provoquer le ren- versement des images photographiques.

(1) 1908.

(6)

JULES ROLX. - Mobilité anormale des ions de quelques terres

rares. -

P.

Les mobilités des ions trivalents positifs de quelques terres rares (La, Yt, Ce), déduites des mesures de conductibilité, sont de l’ordre

de 110, beaucoup plus grandes par suite que celles des ions mono- valents (vers 65), divalents (vers 46), et des ions trivalents négatifs (vers 85) ; seuls, les ions Sm et Gd ont une mobilité plus faible (Gd = 91, Sm ‘ 6~).

A. BROCHET. - Sur la radioactivité des

eaux

de Plombières. - P. 175.

Résultats des mesures de radioactivité, établissant à nouveau qu’il n’y a aucune relation entre la radioactivité des eaux et leur tempé-

rature.

L. CLERC et A. Sur

un nouveau

four électrique à arc, applicable

aux

recherches de laboratoire.

-

P. 227.

Ce four marche sous environ 60 volts et permet de donner à l’arc

une longueur quelconque, à la conditions de faire varier la section trans- versale de la cavité proportionnellement à une puissance, plus grande

que 1, de la longueur de l’arc, et l’intensité à une puissance, plus petite que 1, de cette section. Quand l’arc est bien établi, on peut y

introduire, sans qu’il s’éteigne, un creuset en charbon ou en magnésie

est chauffer ce creuset depuis le rouge sombre jusqu’â la température

de l’arc, par déplacement du creuset et des électrodes.

A. FEHY et G. iBIILLOCHAU. - Contribution à l’étude du rayonnement calorifique du soleil.

-

P. 252, 372 et 661.

Les mesures faites à l’observatoire du mont Blanc en août 1907 à l’aide du télescope pyrhéliométrique, étalonné en le pointant sur un

four électrique, ont fourni pour la température effective du centre du disque solaire T # 5 555° absolus, au lieu de 5620~ (1906) et pour la

température du noyau 6 042°, au lieu de 6 132° (1906).

Les auteurs donnent en outre la description et le dessin d’un acti-

nomètre et les résultats obtenus avec lui; ils montrent enfin comment

il est possible d’intégrer les indications du télescope pyrhéliomé-

trique dans le but d’obtenir la constante solaire.

(7)

895

C. NORDNIANN. - Recherclies

sur

la dispersion de la lumière

.

dans l’espace céleste.

-

P. 266, 383 et 680.

G. A. TIKHOFF. - P. 570.

P. LEBEDEW. - P. 1254.

La méthode consiste à produire une série d’images monochroma-

tiques d’une étoile variable à courte période et à déterminer photo- métriquement les courbes de lumière respectives pour mettre en évidence tout décalage relatif de ces courbes. Pour ; Persée et ), l’aureau, tout se passe comme si les rayons lumineux venus de ces

étoiles subissaient dans l’espace céleste une dispersion dont le sens

est le même que celle des milieux réfringents ordinaires, sa valeur

étant le triple pour ~ Taureau.

M. Tikhoff est conduit aux mêmes conclusions en utilisant soit une

méthode photométrique qui consiste à photographier l’étoile observée

à travers les divers écrans et à étudier ensuite sur la plaque ses

variations, soit par une méthode spectroscopique qui consiste en la

mesure des spectrogrammes de l’étoile étudiée en utilisant deux raies situées en des régions différentes du spectre, de manière à mani- fester toute différence entre les deux courbes de vitesses radiales. Il

fait, de plus, l’historique de la question.

M. Lebedew ne croit pas à la dispersion dans l’espace interstellaire.

Les phénomènes observés s’expliquent simplement en supposant que

l’atmosphère du satellite qui produit les variations d’éclat est dis- tribuée un peu aSYlnétriquement par rapport au centre du satellite et qu’elle est déplacée dans la direction de son orbite.

V. CREyiIEU. - La diminution du roulis du navire.

-

P. 277.

On sait que deux moyens nouveaux ont été proposés récemment

pour diminuer le roulis : le gyroscope etles tubes auto-amortisseurs (~ ~.

L’auteur montre qu’il existe, pour chaque navire et sur chaque houle,

un minimum de l’angle de roulis au-dessous duquel on ne peut des- cendre sans transformer alors le roulis en un mouvement de danse du navire.

(1) Trans. 190i et 1907;

-

C. R., 1907.

(8)

E. FOUAIID. - Sur les propriétés colloïdales de l’ai»idon et

sur

l’existence d’une solution parfaite de cette substance.

-

P. 285.

L. NIAQUENNE. - P. 318.

La filtration de l’amidon réversible (~ ) à travers une membrane de

collodion donne une portion parfaitement soluble, présentant la trans-

parence et la fluidité de l’eau pure. Ces molécules solubles existent

sans doute dans le milieu colloïdal, accompagnées d’amidon à tous

les degrés de condensation, le tout formant un système hétérogène

en état d’équilibre variable avec les divers facteurs d’action. La division produite pai la membrane de collodion détruit cet équilibre,

de sorte qu’on voit la solution parfaite obtenue régresser, se troubler

en vieillissant par suite de l’extrême mobilité de la molécule et de

son aptitude à réagir sur elle-même..

M., Maquenne rappelle que cet amidon soluble avait déjà été

retiré par M. Roux et lui de l’einpois vieilli ~2 j et désigné sous le

nom d’amylose.

J. LAHGUIER

DEs

Recherches

sur

les modifications physiques

de la gélatine

en

présence des électrolytes et des non-électrolytes. - P. 290.

Étude de la solubilité de la gélatine dans l’eau en présence de sels

neutres, qui favorisent de façon différente la dissolution, et de la

solubilité dans les mélanges de certains non-électrolytes et d’eau en présence d’électrolytes qui favorisent aussi la dissolution.

CL. ROZET. - Sur la relation entre les ombres volantes et la scintillation.

-

P. 325.

Les ombres volantes observées au lever et au coucher du soleil, produites aussi par les étoiles et les planètes sur un écran, ne sont

que les manifestations d’un phénomène unique : la scintillation, due

à la réfraction inégale et à la dispersion régulière des couches

atmosphériques.

(1) C. R., t. CXLIV.

(2) Ann. due Phys. et ChÜn., 1906.

(9)

897

E. DOUMER. 2013 Sur l’électrolyse des dissolutions d’HCl pur. - P. 325.

T11. GUILLOZ. - P. 581.

Dans cette électrolyse, on recueille toujours H à la cathode, Cl et

0 à l’anode, de sorte qu’une partie du courant non négligeable sert

à l’électrolvse de l’eau de la dissolution.

Il y aura à tenir compte de ce phénomène dans la détermination des nombres de transport des ions H et Cl, et dans la mesure de la

conductibilité des dissolutions d’HCI.

I. Guilloz rappelle que Noyes et Sammet (’ ) ont trouvé pour la mobilité de H et Cl dans les solutions étendues de HCI des résultats

parfaitement concordants et qu’ils s’étaient rendu compte aussi du dégagement d’O.

:B11le GLEDITSCH. - Sur le lithium dans les minerais radioactifs.

-

P. 331.

SIl RAMSAY ctÂLEx P. 456.

Les analyses montrent qu’il n’y a aucun rapport simple entre le

cuivre et le lithium dans les minerais radio-actifs; il semble donc que la’transformation du cuivre en lithium ne soit pas fondée. Sir William Ramsay et Alex. Cameron persistent à croire que la désa-

grégation du cuivre donne des métaux de son groupe, savoir les métaux alcalins, et que, parmi eux, c’est le lithium dont laiforrnation

est la plus probable.

G. MALFFTTANO et L. àIIGIIEL. - Sur l’hydi°olyse du perchlorure de fer.

Etfet de la valence des ions négatifs. - ~P. 338.

Les anions précipitent le colloïde ferrique ou empêchent la forma-

tion de ce colloïde, à des doses d’autant plus faibles que leur valence est plus grande. Il est probable que les ions Fe+ ,

-1

à mesure que la valence des anions qui les accompagnent est plus grande, deviennent

de moins en moins aptes à former les ions complexes :

[Fe,

(1) Zeitscli Chemie, 1903.

(10)

Les micelles, ions complexes de dimensions très grandes (n très grand) abritent ainsi les molécules d’hydrate contre l’action de HCI qui tend à les ramener à l’état de FeCI3. Si elles ne peuvent

se former, le processus d’hydrolyse irréversible est entravé.

R. DUBOIS. - Influence de la lumière solaire

sur

le dégagement et

sur

l’oriem-

tation des molécules gazeuses

en

dissolution dans l’eau de

mer. -

P. 392.

Des tubes à essais contenant des solutions colorées plong ées dans

l’eau de mer ou l’eau douce, donnent un dépôt de bulles gazeuses

sur les parois externes après exposition au soleil d’environ une heure.

Le phénomène est surtout très intense pour les tubes colorés en vert et paraît dû à l’absorption sélective des rayons calorifiques.

J. DANNE , - Sur les courbes de radio-activité induite obtenues par Sarasin et Tommasina (1).

-

P. 394.

Dans le cas des corps recouverts d’un diélectrique, les courbes peuvent s’expliquer ainsi : pendant l’activation, l’émanation crée dans le gaz des ions des deux signes; si on porte le fil à un haut potentiel,

le champ résultant entraine les ions d’un signe sur le diélectrique ; pendant la désactivation, les charges accumulées peuvent se libérer

sous l’intluence d’un champ de sens inverse à celui établi pendant

l’activation, donnant ainsi un accroissement du courant, tandis qu’un champ de même sens tend à être annulé par les charges réparties

sur le diélectrique.

l)ans le cas des toiles métalliques, les phénomènes observés sont

dus à un entraînement des ions d’un signe à travers les mailles de la toile métallique, entraînement provoqué par une force électro- motrice de contact entre la substance active et la toile métallique.

fI. Fonctionnement du détecteur ëlectrolyticlue :

iiitlueiice de la température. 2013 P. 39î.

D’après le mode d’action des ôndes qu’indique l’auteur, un détec-

teur peut ètre à peu près caractérisée par sa capacité de polarisation

(1) Yojr

J.

(11)

899

au voisinage du voltage normal (fl à 3 volts) et sa résistance ohmique intérieure, en série avec la capacité.

Cette capacité, vis-à-vis de forces électromotrices alternatives de l’ordre du centième de volt, est de l’ordre de quelques centièmes de

microfarad en série avec une résistance de plusieurs milliers d’ohms.

l’ar chauffage à 1201, la capacité a augmenté jusque vers 1 !~ micro-

farad sans nuire à la sensibilité; la résistance est tombée à plusieurs

centaines d’ohms, ce qui permet d’établir un accord plus étroit de

là résonance.

C. MOUREU et ROBER BIQUARD. - Nouvelles recherches

sur

les gaz

rares

des

eaux

thermales. Débits gazeux de quelques

sources. -

P. 435.

Parmi les sources thermales, la source du Lymbe, à Bourbon- Lancy, débite annuellement 16 000 litres de gaz rares, contenant au

moins 10 000 litres d’hélium. On peut maintenant avoir ce gaz à

volonté, mais il contient toujours des traces de néon.

H. BECQUEREL. - Sur quelques spectres de phosphorescence. - P. 440.

Tableau des bandes des spectres d’émission par phosphorescence

de la chlorophane, la fluorine de Titlis, l’apatite jaune d’Espagne et

la scheelite de Traversalla examinés soit au phosphoroscope, soit exposés aux rayons cathodiques. Comparaison de ces bandes et

nature de divers spectres suivant le mode d’excitation. De la presque identité des spectres de l’apatite et la scheelite, il semble bien que il n’entre en jeu que les éléments communs à l’apatite, la scheelite,

la chaux et les terres rares.

J. Sur les engins gi-êlifuiges.

-

P. 451.

Les expériences directes montrent qu’une détonation isolée exerce un effet très faible sur un nuage orageux et que les effets des tirs en

masses, souvent insuffisants et lnal organisés, paraissent capri-

cieux.

_

C. STORAIER. - Cas de réduction des équations différentielles de la trajectoire

d’un corpuscule électrisé dans

un

champ n1agnétique. - P. 4(i2, ï26 et 623.

Théorie mathématique.

(12)

_1. GUILLET. - Mesure électrique des petites longueurs. - P.

Une bobine plate C, invariablement liée à la dimension dont on

veut évaluer la variation, est disposée entre deux bobines fixes A, B,

de même axe que C. Une force électromotrice variable est intercalée dans le circuit A + B produisant sur C, relié à un indicateur de courant, des effets d’induction opposés. On déplace (,’ pour avoir un potentiel

mutuel du système A + B et C nul ; puis on produit le phénomène

à étudier. La mesure du courant d’induction permet alors le calcul du déplacement obtenu, une fois l’appareil taré.

A. NIINET. - Sur l’arc voltaïque jaillissant dans

une

enceinte limitée

par

une

paroi épaisse.

-

P. 467.

L’arc jaillit dans une cavité cylindrique creusée dans un bloc de magnésie.

Pour des distances L variables des charbons on trouve :

E étant la différence de potentiel aux électrodes ; e, la force contre- électromotrice (de 14 à 18 volts) dont le siège est à l’électrode positive ;

.~, la différence de potentiel, sensiblement constante,~par longueur

d’arc de 1 centimètre.

De même on vérifie que la chaleur totale :

se dissipe : el à l’électrode positive et la paroi en contact direct ;

sIL sur les parois en contact avec la gaine gazeuse constituant .

l’arc, au moins dans le cas de faibles diamètres de la cavité.

L. BRANLY. -.Iccroissements de sensibilité des révélateurs électrolytiques

sous

diverses intluences.

-

P. 527.

La sensibilité des électrolytiques augmente avec la température, 1"agitation du bain par translation mécanique de l’électrolytique, et

le dégagement ou le barbotement d’un gaz dans l’électrolyte. De plus,

l’intensité du son au téléphone est très notablement accrue quand on

introduit dans le circuit récepteur deux électrolytiques en série au

(13)

901

lieu d’un seul, indépendamment de toute élévation de température

ou agitation.

»

P. Sur la théorie du mouvement brownien.

-

P. 530.

Démonstration simple de la formules de Einstein (’ ) :

A2 est le carré moyen du déplacement dans une direction donnée

.x d’une particule sphérique de rayon (t, an temps donné - ; p.. repré-

sente la viscosité du liquide ; T, la température absolue ; R, la cons-

tante des gaz parfaits relative à une molécule-gramme ; N

T

est le

nombre de molécules, voisin de 8 . 1011, contenu dans une molécule-

gramme.

THOVERT. - Sur

un

dispositif spectrophotométr;.que. - P. v3L Dans le spectropliotomètre de Gouy, la disposition des éclaire- ments à comparer sur deux plages étendues juxtaposées de colora-

tion uniforme est réalisée par l’emploi de deux collimateurs éclairant t

chacune la moitié du champ d’observation de la lunette. L’auteur limite le champ en plaçant une ouverture rectangulaire, éclairée par les deux faisceaux, sur la lunette collimatrice. Au plan focal de la

lunette d’observation, une fente de largeur variable couverte sur une

moitié par un prisme sépare les deux faisceaux. On observe par un

système oculaire formant viseur, à travers la fente, sur le diaphragme

même et on place I’oeil au cercle oculaire.

,

DA’CTRJCIIE. - Action des sels alcalins à base fixe

sur

la combustion des gaz et des poussières combnstibles. - P. 535.

Un nuage formé de poussières d’un sel quelconque de potasse ou

de soude s’oppose à la combustion des gaz et des poussières combus-

tibles ; les sels alcalino-terreux n’ont qu’une action secondaire.

(1) dei- Physik, t. XN-11, 1905, et t. XIX.

J. de Phys., 4e série, t. VII. (No;en>lJre 190S.) 0)

(14)

G. ATHANÀS[ADIS. - Flammes

sonores

renforçant plusieurs

sons. -

P. 533.

Quand on introduit dans un tube de verre une flamme mano-

métrique de hauteur réglée et un tube de verre de longueur réglée,

on peut entendre ensemble le son propre de la flamme (de la même

hauteur que celui du tuyau) et le son de l’harmonica chimique. Si

on donne à la tlamme simultanément les vibrations qui proviennent

des capsules manométriques de deux ou plusieurs tuyaux sonores, il est possible de faire coexister trois ou plusieurs sons.

L’harmonica s’éteint dès qu’on souffle un courant d’air par un second tube de verre d’orifice plus bas que l’orifice du tube de la

flamme, phénomène que l’on peut utiliser pour construire une sorte

d’orgue, comme le pyrophone de Kastner ( 1 ) .

JEAN àIEUNIER. - Sur la combustion

sans

flamme et l’inflaU11nation des gaz à rextrémite d’une tige métallique. - P. 539.

Si on porte au rouge le disque de cuivre bombé et perforé de trous

d’une lampe du commerce à manchon incandescent, alimentée par de

l’alcool, et dont on a enlevé le manchon, et si on approche de ce disque un tampon imbibé d’un liquide combustible, on n’obtient pas l’inflammation. L’oxygène a été retenu par le disque et le flux de gaz combustible s’élève autour de la tige de fer destinée à soutenir

le manchon, car si on approche une allumette de l’extrémité de cette

tige, il se produit une flamme continué.

ISIDOHE BAY. - Observation de foudre

en

boule. - P. 554.

Apparition, après la chute de la foudre, d’un globe incandescent d’un blanc légèrement rosé, d’environ 15 centimètres de diamètre, qui resta environ cinq minutes le long du mur d’une chambre, puis disparut en perçant dans le mur un trou de 1 centimètre de diamètre.

P. LOMIELL. - Sur la présence de la vapeur d’eau dans l’atmosphère

de la planète Mars. - P. ~74.

Historique de la question .

"’~’

(1) C. R., t. LXXYJ, 1873

(15)

903 Les spectres de Mars obtenus en janvier 1908 à l’observatoire de

Flagstaff (Arizona, Etats-Unis) permettent de conclure à la présence

certaine de la vapeur d’eau dans l’atmosphère de Mars.

A. KORN. - Solution générale du problème d’équilibre dans la théorie de l’élasticité, dans le

cas

les efforts sont donnés à la surface.

-

P. 5î8.

Théorie mathématique.

P. VAfLLANT. 2013 Sur la vitesse d’évaporation et

sur un

procédé

de détermination de l’état hygrométrique. - P. 582.

En atmosphère illimitée, et dans des conditions déterminées de

température et de pression, la vitesse d’évaporation de l’eau est de la

forme bien connue :

~’~B~F-f)~

où B est une constante qui dépend de la forme du vase à évaporation

et de la hauteur du liquide. L’auteur a vérifié sur des solutions d’acide sulfurique, F est artificiellement diminué, que la valeur de B est indépendante de la nature du corps dissous dans l’eau, de

sa concentration, et qu’elle reste la même lorsque (F

-

f) change de signe. Il en déduit un procédé rapide et assez précis de mesure de

l’état hygrométrique uniquement par pesées.

H. C.UIILENIINOT. - Quantité des rayons X absorbée et quantité transmise

par les couches successives de tissus.

-

P. 59 î.

Résultats obtenus en opérant sur des épaisseurs connues de tissus (foie, rate, poumon, etc.), par la méthode fluorométrique.

J. BOUSSINESQ. - Théorie de l’écoulement

sur un

déversoir vertical

en

mince

paroi et

sans

contraction latérale .

cas

de la nappe ondulée et

son

raccorde- ment

au cas

de la nappe plongeante.

-

P. 607 et 66 î.

Théorie mathématique.

GOUY. 2013 Sur la théorie de l’électr ocapillarité. - P. 612.

On sait que, quand un métal est immergé dans un électrolyte, il

(16)

faut tenir compte des forces non électriques qui peuvent s’exercer, à

très petite distance, entre le métal et les ions ou les molécules du

corps dissous. L’auteur examine le cas où les forces s’exercent sur

les molécules.

Celles-ci viennent s’accumuler à la surface du mercure, diminuant la tension superficielle ; leur accumulation varie du reste beaucoup

avec l’excès de potentiel 3 du mercure sur celui de la masse de la solution, et produit l’effet d’une couche électrique double. Suivant

qu’au maximum électro-capillaire les molécules tournent leur pôle +

ou - du côté du mercure, À est ou o. Pour certains corps (gly-

cérine, etc.), les molécules ne paraissent pas orientées et d ! o.

Enfin il faut remarquer que les actions exercées par le métal inté- ressent le dissolvant et le corps dissous. Si le premier est plus attiré,

il y aura appauvrissement de la solution au contact du mercure,et la tension superficielle maximum sera plus grande pour la solution (eux :

solutions concentrées de sulfates ou phosphates) que pour l’eau pure.

J. Détermination, à l’Observatoire de Paris, des

erreurs

systématiques des reproductions des réseaux de la carte du ciel.

-

P. 616.

L’image latente de la reproduction d’un réseau présente avec le

réseau des différences systématiques sensibles. De plus l’étude du réseau et de ses reproductions nécessite l’emploi d’une vis micromÉ-

trique très longue, et les variations de température, dilatant la vis, conduisent à des corrections du méme ordre que les erreurs cher- chées. 1B1. Baillaud photographie côte à côte, sur la même plaque,les lon g ueurs à comparer, en se plaçant dans les conditions ordinaires de l’impression des réseaux, de façon que les déformations qui peuvent se produire dans la projection de l’im,,,ioe sur la couche sen-

sible restent les mêmes. On s’arrange pour que les traits à comparer soient parallèles et décalés de quelques 110 de millimètre. On mesure

10

alors les petites longueurs qui débordent aux deux extrémités. La

précaution à prendre est que le réseau et le cliché restent à la même

température pendant la durée des deux impressions.

DE

BROGLIF. - Sur le.s gaz provenant des étincelles électriques.

-

P. 624.

On sait qu’on obtient (1 ’~ des spectres de flamme en admettant,

, 1) DE ’BT A TTEYILLE et HEMSALECH, .1. de 4’"’ série, t. p. ’~~1~ ; 190’~.

(17)

905 dans un brûleur à gaz, de l’air provenant d’étincelles condensées.

Avec tous les métaux examinés, le gaz renferme : 1° Des ions de faible mobilité :

2° Des centres neutres susceptibles de se transformer en ions de faible mobilité sous les rayons X ou le radiam et donnant aux g a z

qui les renferment une aptitude exceptionnelle à s’ioniser par barbo-

tage ;

3° Des poussières ténues, visibles dans le faisceau d’un arc, en par- tie électrisées, constituant vraisemblablement le principal véhicule

de la réaction spectrale.

~

.

J. BECQUEREL et H. KAMERUXGH ONNES. - Sur les spectres d’absorption

des cristaux des terres

rares

et leurs modifications dans

un

champ magnétique

aux

températures de liquéfaction et de solidification de Fhydrogène. 2013 P. 625.

9 ° La largeur des bandes, qui jusque

-

190° variait proportion-

nellement à la racine carrée de la température absolue, ne suit plus

une loi aussi simple jusqu’a 259°. Les bandes se rétrécissent de moins

en moins et peuvent passer par un minimum. De même, il existe

une température pour laquelle l’absorption passe par un maximum.

2° Pour les cristaux uniaxes, d’axe optique parallèle au champ magnétique et au faisceau lumineux, l’écart des bandes d’absorption

des vibrations droites et gauches, dans un même champ, reste inva-

riable jusqu’à

-

2590 ;

3° Pour presque toutes les bandes du xénotime et de l’apatite, on

observe aux très basses températures une dissymétrie d’intensité entre l es composantes correspondant aux deux vibrations circulaires ;

4° Dans certains cristaux biaxes (sulfates de néodyme et de pra-

séodyme’i, on rencontre des bandes qui vers

-

253@’ se résolvent en

groupes de raies extrêmement fixes.

Ces résultats conduisent les auteurs à diverses considérations théo-

riques sur la nature et la masse des électrons.

F. BOItDAS. - Recherche de faibles quantités d’hélium

dans les mmeraux. 2013 P. 628 et SOC.

Le corps a étudier est placé dans un tube de quartz qui peut être

mis en communication avec l’appareil à taire le v ide à l’aide de l’air

(18)

liquide (’), auquel on a ajouté un tube de Plücker et un tube à char-

bon. Les gaz qui se dégagent du corps chauffé tels que 0, Az, H, ne

sont pas absorbés avec la même rapidité ; l’hélium demeure le der- nier dans le tube de Plückei- et peut se caractériser ainsi en quantité

infinitésimale (par exemple, dans divers zircons et ctans la naégéite

du Japon).

MARAGE. - Photographie des vibrations de la voix.

-

P. 630.

L’appareil permet de photographier, développer et fixer immé- diatement les vibrations qu’une membrane mince en caoutchouc transmet à un petit miroir plan qui suit ses mouvements. Il se rap-

proche du système employé dans la télégraphie ultra-rapide (2), sys- tème Pollak et Virag.

BOUQLET DE Détermination de l’heure,

sur

terre et,

sur

mer, à l’aide de la télégraphie

sans

fil.

-

P. 671.

Examen du lieu d’où on pourrait envoyer un signal hertzien à

minait, temps moyen du lieu, et voeu dans ce sens.

G. BIGOURDAN. 2013 Le tremblement de terre du 26

mars

1908

(Chilapa, Mexique) enregistré à Paris.

-

P. 6’73.

Résultats de l’enregistrement par le sismographe Milne de l’Ob-

servatoire.

J. BOSLER. - Sur le nombre des corpuscules dans l’atome.

-

P. 686.

J .-J. Thomson 13) a été conduit à admettre que le nombredes cor-

puscules intérieurs à l’atome est très faible et de l’ordre de grandeur

des poids atomiques. Partant de l’énergie totale d’un gramme de radium (3 . 10H) ergs environ) de l’énergie potentielle contenue dans

1 gramme d’hydrogène, du volume de l’atome de radium comparé à

celui de l’hydrogène, M. Bosler trouve que le nombre des corpuscules

dans l’atome d’hydrogène est de l’ordre des unités.

(1) et BORDAS, .T. de Phys., 4e série, t. VI, p. 3~3.

(9) J. cle Phys., 4e série, t. VI, p. 298; 1907.

190’~.

(19)

907

DOUNIER. - Détermination du facteur d’ionisation de l’eau dans les dissolutions d’acide chlorhyclridue. - P. 687.

Le facteur d’ionisation de l’eau dans les dissolutions d’acide chlor-

hydrique est une constante indépendante de l’intensité du courant, du titre de la dissolution et peut être aussi de la nature de l’anode.

Ce facteur est égal à O,S6~, c’est-à-dire que 0,662 de l’hydrogène

recueilli proviennent de l’électrolyse de l’eau ; l’autre tiers (0,338) provient seul de l’électrolyse de l’acide chlorhydrique.

BOIZARD.

JOURNAL DE CHIMIE-PHYSIQUE;

T.V;1907.

KONOVALOFF. 2013 Sur l’action mutuelles des corps

en

dissolution d’après les

données de leur tension de vapeur. - P. 1, 237.

-

Les dissolutions sont considérées comme des systèmes soumis à

l’action des mêmes forces que celles qui déterminent la formation des cOlnbinaisons chimiques ; on a alors cherché à exprimer les ten-

sions partielles en fonction de la tension normale et du produit des

masses chimiques, par une formule de la forme :

1J étant la pression partielle du dissolvant, quand il y a

x

molécules de ce dissolvant pour un nombre total de molécules égal à 1; P, la

tension du dissolvant pur, et K une constante. La valeur des expo- sants m et n peut être connue directement par l’équation chimique,

si elle est simple, ou par la considération du maximum de h -

qui a lieu pour :

Les liquides étudiés ont donné le plus souvent 7n

~

2, î?

-

1, et on

peut écrire et vérifier la formule sous la forme :

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