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Propagation d'impulsions ultrasonores dans les monocristaux métalliques

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00236729

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Submitted on 1 Jan 1962

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Propagation d’impulsions ultrasonores dans les monocristaux métalliques

P. Biquard, J.N. Aubrun, A. Bourret, D. Launois

To cite this version:

P. Biquard, J.N. Aubrun, A. Bourret, D. Launois. Propagation d’impulsions ultrasonores dans

les monocristaux métalliques. J. Phys. Radium, 1962, 23 (11), pp.954-957. �10.1051/jphys-

rad:019620023011095401�. �jpa-00236729�

(2)

variations des répartitions d’énergie, se rapportant, les premières à l’aluminium pour X

=

302 my, les secondes à l’argent pour À

=

265 mti.

:. @

La considération de l’ensemble des fonctions de

répartition que nous avons tracées conduit aux re-

marques suivantes :

1. La dépendance fonctionnelle entre les fonctions de répartition et l’épaisseur des couches confirme l’existence d’un effet de volume pour les métaux autres que les alcalins. Cet effet de volume a d’ailleurs été mis

en évidence par les variations du rendement photo- électrique avec l’épaisseur des lames [3].

2. L’énergie la plus probable (abscisse du maximum

des courbes de répartition) dépend de la longueur

d’onde comme prévu par la théorie de Du Bridge [4].

Mais on peut constater aussi, sur les figures 1 et 2,

que pour une longueur d’onde donnée, l’énergie la plus probable dépend de l’épaisseur des couches. Nous don-

nons (fig. 3) quelques exemples de ces variations rela-

FIG. 3.

-

Variations de l’énergie la plus probable (unités arbitraires) des photoélectrons de l’aluminium en fonc- tion de l’épaisseur d des couches en mp..

tives à l’aluminium. Les courbes correspondantes pré-

sentent un maximum très net au voisinage d’une épais-

seur de l’ordre de 50 my. Ces variations sont sans doute liées aux variations correspondantes du potentiel de

sortie dont la valeur est minimale pour une épaisseur

de l’ordre de 52 my [5]. Pour cette valeur, la perte d’énergie subie par l’ensemble des photoélectrons à la

traversée de la surface sera minimale.

3. L’allure des courbes de répartition énergétique

autour de l’énergie la plus probable est liée à la diffusion des photoélectrons dans le métal lui-même. Pour carac-

tériser cette .diffusion par un paramètre simple, nous

utiliserons la

«

largeur » AE des courbes de répartition.

Nous définirons cette

«

largeur

»

AE comme la diffé-

rence des abscisses des deux points situés sur chaque

courbe à mi-hauteur du maximum. Poui une longueur

d’onde donnée, la diffusion sera d’autant plus impor-

tante que la largeur AE sera plus grande.

Les variations de la largeur AE pour quelques lon-

gueurs, d’onde sont représentées (fig. 4) pour l’alumi- nium. Ori peut constater que la diffusion passe par un

maximum pour des épaisseurs dépendant de la lon-

gueur d’onde de la lumière incidente.

FIG. 4.

-

Variations de la largeur AE des courbes de

répartition des photoélectrons de l’aluminium en fonc- tion de l’épaisseur d des couches en mu.

,

4. L’énergie la plus probable et la largeur AjS sont

deux paramètres dépendant de la longueur d’onde.

Nous développerons prochainement cette dépendance.

Lettre reçue le 14 septembre 1962.

BIBLIOGRAPHIE

[1] LUKIRSKY et PRILEZAEEV, Z. Physik, 1928, 49, 236-258.

[2] KOLLATH (R.), Ann. Physique, 1941, 39, 59-80.

[3] GARRON (R.), C. R. Acad. Sc., 1962, 254, 243-245.

[4] Du BRIDGE (L. A.), Phys. Rev., 1933, 43, 727-741.

[5] GARRON (R.), C. R. Acad. Sc., 1962, 254, 4278-4280.

PROPAGATION D’IMPULSIONS ULTRASONORES DANS LES MONOCRISTAUX MÉTALLIQUES

Par P. BIQUARD , J. N. AUBRUN,

A. BOURRET et D. LAUNOIS,

1. L’étude de la propagation des ondes ultrasonores dans les monocristaux -métalliques a déjà fourni des

renseignements importants sur les réactions entre les électrons de conduction et les vibrations élastiques du

réseau. Un exposé théorique et exnérimental d’en- semble a été publié par R. W. Morse [1].

Nous avons déterminé la vitesse et le coefficient

d’absorption des ultrasons dans des monocristaux

d’argent, d’aluminium, de germanium, d’antimoniure

d’indium et de gallium pour des températures com- prises’entre la température ordinaire et 1 DK, en pré-

sence ou non de champ magnétique.

II. Dispositif expérimental.

-

L’échantillon à étu- dier reçoit d’un quartz piézoélectrique des impulsions

ultrasonores brèves (0,5 à 2 microsecondes) répétées

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:019620023011095401

(3)

mille fois par seconde. Le quartz émetteur d’ultrasons est également utilisé pour la réception des échos

successifs. Ceux-ci sont amplifiés, détectés et observés

sur l’écran d’un oscilloscope. Des signaux dérivés d’un maître oscillateur à quartz (1 mégacycle) permettent la

mesure du temps

Des bobines de Helmholtz et un solénoïde permet-

tent de placer l’échantillon dans un champ magné- tique de direction et d’intensités réglables.

III. Vitesse de propagation des ultrasons.

-

La vitesse est déterminée en mesurant, à‘l’aide de l’échelle

de temps de l’horloge à quartz, la durée qui sépare

deux échos successifs. Les résultats ci-des.sous sont relatifs à des ultrasons de fréquence 62 MHz et sont exprimés en mètres par seconde. Il convient de remar- quer que la précision des mesures est d’autant plus grande que le coefficient d’absorption est plus petit.

Aluminium. -Axe [100], longueur de l’échantillon à

20 oC : 89,745 mm. Vitesse du son à 77 oR : 6 340::f: 40 (B. W. Roberts [2] indique 6 750).

Argent.

-

Axe A4 longueur de l’échantillon à 20,DC 34,09 mm.

Le calcul des constantes élastiques CIl, C12 et C44

effectué à partir de ces résultats donne les valeurs ci- dessous à 20 oK (en dynesfcm2). Nous avons indiqué également les valeurs obtenues à 270 oR. par Rohi [3]

Germanium.

-

Axe 111 longueur de l’échantillon à 20 OC : 39,58 mm

Antimoniure d’indium.

-

Longeur de l’échantillon à 20 OC : 24,7 mm.

Gallium.

-

Pour un des échantillons une ambiguïté

susbsiste encore quant à l’orientation du monocristal.

1. Axe suivant b ou a.

-

Longueur de l’échantillon à 20 oC : 33,962 mm.

2. Axe suivant c.

-

Longueur de l’échantillon à 20 oC : 33,934 mm.

IV. 1 coefficient d’absorption des ultrasons

-

Il est possible de mesurer directement les amplitudes des

échos successifs ou, comme dans le cas de la figure 1,

de superposer sur l’écran de l’oscilloscope les traces de

ces échos et la courbe de décharge d’un circuit résis-

FIG. 1. - Échos successifs dans un monocristal de gallium (longueur 49,5 mm ; température 20 OK ; fréquence

60 MHz ; un centimètre sur l’axe horizontal correspond

à 20 vs).

tance-capacité. Mais ces méthodes ne sont justifiées

que si les amplificateurs conservent un gain constant, indépendant de l’amplitude du signal appliqué à

l’entrée. Comme c’est très rarement le cas il est préfé-

rable d’utiliser une méthode de faux zéro en ramenant les niveaux des échos successifs à une même valeur arbitraire grâce à 1?utilisation d’atténuateurs étalonnés.

D’autre part l’obtention d’échos dont les amplitudes

décroissent exponentiellement est conditionnée par un

parallélisme rigoureux des faces de l’échantillon et par l’uniformité de la pellicule d’huile siliconée qui permet

de faire adhérer le quartz à l’échantillon. On peut cal-

culer que pour le ne écho observé dans un échantillon

de longueur dont les faces font entre elles un angle 8

l’amplitude est

(4)

au lieu de

avec

D étant le diamètre du quartz émetteur, oc le coefficient

d’absorption, ôt X la longueur d’onde des ultrasons. Ce

phénomène est d’autant plus marqué que la longueur

d’onde est plus petite et a été observé -en particulier

par E. H. Jacobsen [4] avec des ultrasons de 103 MHz.

S’il est relativement aisé, au moins pour les fré- quences de l’ordre de 100 MHz, de réaliser des faces bien parallèles il est beaucoup plus difficile d’éliminer l’erreur introduite dans la mesure de l’absorption par les pertes à la réflexion. Cette dernière s’effectue sans

pertes à la surface de séparation entre l’échantillon et l’air (ou l’hélium liquide). Mais entre l’échantillon et le

quartz le coefficient de réflexion est inférieur à l’unité.

Ce problème a été examiné par de nombreux auteurs,

en particulier par McSkimmin [5], Redwood et

Lamb [6]. L’indétermination qui règne sur le coefficient due réflexion peut être levée à condition de disposer

d’échantillons de longueurs différentes, mais taillés dans le même monocristal. Nous avons pu ainsi effec- tuer les mesures d’absorption à 293 DK et à 77 OK

dans le germanium. Les résultats obtenus ont été,

pour la fréquence 62 MHz

Or, si p est l’absorption exprimé en db Jcm et K le

coefficient de réflexion, on a pour un échantillon de

longueur 1 : .

Dans nos expériences cela conduit à

V. Résonance géométrique dans le gallium. - L’étude de l’absorption des ultrasons aux très basses températures permet de mettre en évidence l’action du champ magnétique sur les électrons de conduction.

La théorie de ces phénomènes a été établie par

Kjeldaas [7] pour le cas du champ magnétique paral-

lèle au vecteur d’.onde et par Pippard [8], Cohen et

Harrison [9] dans le cas le champ magnétique est perpendiculaire au vecteur d’onde (résonance géomé- trique).

C’est cette résonance que nous ,avons pu observer

sur un cristal de gallium dont l’axe est dirigé suivant c, la longueur de l’échantillon étant, à 20 oCi de 33,934 mm. Les expériences ont été effectuées à 1 oK,

la fréquence ondes ultrasonores longitudinales étant 61,4 M Hz.

La figure 2 représente l’absorption (en unités arbi- , traires) en fonction de l’inverse du champ magnétique.

On retrouve bien les oscillations prévues dans la théorie

de la résonance géométrique. Les expériences devront

être poursuivies pour des valeurs plus élevées du champ magnétique.

FIG. 2.

Cependant, dès maintenant, la périodicité observée

étant environ de

la formule de Pippard

À longueur d’onde des ultrasons (81 microns) donne

pour l’extension totale Kv de l’orbite de l’électron sur

l a surface de Fermi la valeur

Le paramètre cristallin b étant ici 4,5 A la longueur

de la première zone de Brillouin dans la direction.y de propagation des ultrasons est 2r jb = 13,9 x 109m-1.

Les suriaces de Fermi et de Brillouin sont donc du même ordre de grandeur.

Ces recherches ont été effectuées au Laboratoire d’Électricité Générale de l’École Supérieure de Phy- sique et de Chimie au Directeur de laquelle, M. René Lucas, nous exprimons notre gratitude.

Nous remercions M. Pierre de la Bretèque qui nous a

fourni le gallium ainsi que MM. Epelboin et Defrain

qui ont préparé les monocrisaux de gallium et nous

ont aidés de leurs conseils.

Nous remercions également Mme Devaux-Morin et M. Oglobev pour leur aide précieuse et permanente.

Enfin, nous remercions Müe C. Charon, MM. J. Bed-

(5)

narik, C. Chapoton, Guermeur, C. Motsch et G. Seité

pour la part qu’ils ont prise à ces travaux.

Lettre reçue le 26 août 1962.

BIBLIOGRAPHIE

[1] Ultrasonic attenuation in metals at low temperatures

par R. W. MORSE, Progress in Cryogenic, vol. I, Heywood and Cy Ltd, Londres, 1959, pages 221-259.

[2] ROBERTS (W. B.), Phys. Rev., 1960, 119, 6, 1889-1896.

[3] RÖHL, Ann. der Physik, 1933, 16, 887.

[4] JACOBSEN (E. H.), General Electric Report 59-RL-

2295 M, novembre 1959, p. 6.

[5] MCSKIMMIN (H. J.), J. Acoust. Soc. Amer., 1955, 27, 302.

[6] REDWOOD (M.) et LAMB (J.), Proc. Inst. Elect. Eng., 1956, B 103, 773.

[7] KJELDAAS, Phys. Rev., 1960, 113, 1473.

[8] PIPPARD, Proc. Roy. Soc., 1960, 257, 189.

[9] COHEN et HARRISON, Phys. Rev., 1959, 117,

PRÉPARATION

DES COUCHES MINCES DE CADMIUM ET ÉTUDE DE LEUR ABSORPTION

DANS L’ULTRAVIOLET Par S. JERIC, J. ROBIN

et Mme S. ROBIN-KANDARE,

Laboratoire de Physique,

Faculté des Sciences de Dakar (Sénégal)

Introduction

-

Très peu de travaux ont été effec- tués sur les propriétés optiques du cadmium. Les seules

données existantes, à notre connaissance, sont celles

de Fukuroi [1] et Bueche [2] se rapportant à des couches préparées à la température de l’air liquide. Fukuroi,

à cette même température, mesure directement la trans- mission dans le domaine visible, tandis que Bueche

mesure la constante diélectrique et la conductivité et obtient par le calcul les constantes optiques pour le visible et l’infrarouge ; il indique un maximum d’ab- sorption vers 8200 A. Les mesures de conductivité

électrique de ces couches montrent [3] que la résisti- vité est de l’ordre de 104 fois plus grande que celle du métal massif ; ces couches doivent donc être mal cristallisées. Cette supposition est confirmée par les résultats de Suhrmann et Barth [4] concernant la

mesure de la résistance électrique et par les études directes de la structure des couches minces par diffrac- tion électronique [5], [6], [7], [8].

D’autre part, pour le cadmium, l’accord entre les

valeurs expérimentales des pertes caractéristiques des

électrons dans les solides et celles données par la théo- rie des oscillations du plasma est loin d’être parfait.

Les recherches les T1lus récentes concernant les pertes caractéristiques des électrons dans le cadmium sont celles de Powell [9] et Gout [10]. Gout trouve à 10,5 eV

une perte caractéristique en accord avec la théorie

des oscillations du plasma. L’étude de la transmission dans l’ultraviolet lointain et extrême faite par Walker et collaborateurs [111 était également entreprise en vue de déterminer l’énergie des oscillations du plasma ;

les auteurs ne précisent pas les conditions de prépara-

tion des couches et disent seulement que, pour des

couches de 600 à 900 A d’épaisseur, la transmission est inférieure à 0,3 % dans tout le domaine étudié.

Comme il existe également des pertes caractéristiques

des électrons dans le domaine des énergies inférieures à 10 eV nous avons pensé qu’il serait intéressant de chercher une relation entre la position des éventuelles discontinuités d’absorption et les valeurs des pertes caractéristiques trouvées par l’expérience.

Préparation des couches. -La condensation du cad- mium par évaporation, dans un vide de l’ordre

de 10-6 à 10-6 mm Hg, présente des difficultés, car

celle-ci se produit seulement lorsque la densité de va-

peur de cadmium dépasse une certaine valeur, fonc-

tion elle-même de la température du support [12]

à [20], Sous ces conditions, la couche est formée de

microcristaux hexagonaux, relativement importants,

donnant à la couche un aspect diffusant et pour cette raison non utilisable pour des mesures optiques [6] à [8].

Les couches évaporées sur,des supports refroidis sont, immédiatement après l’évaporation et sans recuit jusqu’à une température suffisamment élevée, homo- gènes mais peu conductrices ; la cristallisation semble donc très incomplète. D’autre part le refroidissement du support de l’échantillon s’accompagne d’une amélio- ration du vide, ce qui prouve qu’une adsorption de gaz résiduels à lieu sur les pièces refroidies. Cette consta- tation rejoint celle de Mme Gandais [21].

Par contre les couches évaporées à température ordi-

naire sur des supports préalablement sensibilisés sont

cristallisées, brillantes et de propriétés bien définies [6].

Nos couches ont été préparées dans un évaporateur, permettant d’atteindre un vide de 10-5 à 10-6 mm Hg

et muni d’un piège à air liquide. Nous avons contrôlé pendant et après l’évaporation la variation de la résis- tivité des couches. Immédiatement après l’évapora-

tion la résistivité décroît et atteint une valeur cons-

tante après environ 10 minutes. Le rapport Polp (Po

=

ré-

sistivité du cadmium massif) est alors de l’ordre de 1/7

pour des couches dont l’épaisseur est comprise entre

250 et 450 A. Un recuit postérieur de ces couches jus- qu’à environ 100 °C ne change pas sensiblement la résistivité finale.

Nous avons fait des essais de sensibilisation avec

différents métaux (argent, cuivre, nickel, chrome, pla- tine). Cette sensibilisation consiste à évaporer sur des supports particulièrement propres une couche de mé- tal sensibilisateur inférieure à une couche monoato-

mique, le recouvrement de la surface étant de l’ordre de 0,1. Les atomes du métal servent d’amorce de condensation pour le cadmium. Nous avons constaté que la sensibilisation n’est pas un phénomène spéci- fique du métal, à condition que l’évaporation soit

faite peu de temps après la sensibilisation. Par contre,

avec l’argent, on constate une annulation de la sensi- bilisation si le support sensibilisé demeure plusieurs

heures dans un vide meilleur que 10-5 mm Hg. Ceci peut être dû à l’agrégation des atomes du métal sen- sibilisateur ; l’adsorption des gaz résiduels peut jouer

aussi un rôle.

Dans le cas des couches de cadmium étudiées, le

métal utilisé pour la sensibilisation est -l’argent et le

recouvrement est de 0,04. Dans ces conditions, les

atomes d’argent ne peuvent pas modifier les mesures

d’absorption du cadmium.

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