I
Correction du controle commun de seconde n
o1
I
1. Compléter :
Inégalités phrase appartenance à un ensemble
x>7 xest strictement supérieur à 7 x∈]7 ;+∞[
−2<xÉ8 xest strictement supérieur à -2 et inférieur ou égal à 8
x∈]−2 ; 8]
xÉ4 xest inférieur ou égal à 4 x∈]− ∞; 4]
2. Compléter le tableau suivant en donnant chaque réponse sous forme d’un seul intervalle.
Dans chacun des cas, vous justifierezsoigneusementen représentant les intervalles sur la droite des réels.
I J I∩J I∪J
[−4 ; 6] [−2 ; 8[ [-2 ; 6] [-4 ; 8[
¸
−∞; 11 4
· ¸
1 2;+∞
· ¸
1 2; 11
4
·
R
[1 ; 5[ [5 ; 9[ ; [1 ; 9[
II
Ci-dessous est représentée la courbe représentative d’uneCf d’une fonctionf.
O 1
1
b b
1. L’ensemble de définition def est D=[−4 ; 5] . 2. f(1)=2 ; f(−3)=2 ;f(0)=1 etf(−2)≈1, 7.
3. • Les antécédents de 3,5 sont approximativement -3,8 ; 1,2 et 3.
• Les antécédents de 1 sont approximativement 0 et 4,8.
• -2 n’a pas d’antécédent parf. 4. Tableau de variation def :
x −4 −2, 5 −1 0 2 5
f(x) 4❅
❅❅❘ 1, 5
✒ 3
❅❅
❅
❘1
✒5
❅❅
❅❘
−1 5. • Le maximum de f est 5, atteint pourx=2.
• Le minimum def est -1, atteint pourx=5.
Page 1/3
III
III
Voici le tableau de variation d’une fonctionf :
x −5 −1 2 4
f(x) 0
✒4
❅❅
❅
❘
−1
✒2
1. • L’image de -5 est 0.
• L’image de 2 est -1.
2. (a) 1 a trois antécédents parf, un entre -5 et -1, un entre -1 et 2 et le dernier entre 2 et 4.
(b) Le maximum de f sur [-5 ; 4] est 4, donc 5 n’a pas d’antécédent parf.
3. (a) -4 et -2 appartiennent tous deux à l’intervalle [−5 ;−1] sur lequel f est croissante.
Comme−4< −2, f(4)<f(−2).
(b) -2 et 1 appartiennent à deux intervalles diffé- rents sur lesquels les variations def ne sont pas les mêmes, donc on ne peut pas comparer leurs images.
IV
Soient les fonctionsf :x7→2x2+3x−5,g:x7→ −3x+4 eth:x7→1
2x2.
1. • f(3)=2×32+3×3−5= 22
• f(−1)=2×(−1)2+3×(−1)−5=2×1−3−5= −6
• f(p
2)=2×p
22+3×p
2−5=2×2+3p 2−5
= −1+3p 2.
• f µ1
3
¶
=2× µ1
3
¶2
+3×1
3−5=2×1
9+1−5=2 9−4
=2−36
6 = −34 9 2. g(x)= −3x+4.
• Un antécédent de 0 est un nombrextel que g(x)=0 donc−3x+4=0.
−3x+4=0 donne−3x= −4 d’oùx=−4
−3=4 3. 0 a pour antécédent pargle nombre 4
3 .
• Pour -5, on résout l’équation −3x+4 = −5 qui donne−3x= −5−4= −9 et doncx=−9
−3=3.
-5 a pour antécédent pargle nombre3 .
• De même, on résout l’équation −3x+4 =4 qui donne−3x=0 doncx=0.
L’antécédent de 4 pargest 0.
3. h(x)=1 2x2.
• -1 n’a pas d’antécédent par h car, pour tout x, h(x)= 1
2x2Ê0, donc il n’y a aucune valeur de x telle que 1
2x2= −1.
• Pour trouver les antécédents de 2, on résout l’équationh(x)=2 donc1
2x2=2 qui donnex2=4.
Les deux solutions sont -2 et 2, donc 2 a deux an- técédents parh, -2 et 2.
V
Dans un repère orthonormé, on considère les points A(2 ; 7), B(-1 ; 1) et C(3 ; -1).
La figure n’est pas demandée et n’est pas indispensable, mais permet de vérifier qu’on ne dit pas de bêtise...
2 4 6
−2
2 4 6
−2
−4
bA
bB
bC
bK
bD
1. • AB= q
(xB−xA)2+¡
yB−yA¢2
=p
(−1−2)2+(1−7)2
=p
(−3)2+(6)2=p
9+36= p
45=3p 5.
• BC= q
(xC−xB)2+¡
yC−yB¢2
=p
(3−(−1))2+(−1−1)2=p
42+(−2)2
= p
20=2p 5.
• AC= q
(xC−xA)2+¡
yC−yA¢2
=p
(3−2)2+(−1−7)2
=p
12+(−8)2= p 65 2. AC2=p
652=65 ;AB2+BC2=p 452+p
202
=20+45=65.
Par conséquent : AC2=AB2+BC2.
D’après laréciproque du théorème de Pythagore, le triangle ABC estrectangleen B (et non isocèle).
3. Puisque ABC est rectangle, le centre K du cercle cir- conscrit à ce triangle est le milieu de l’hypoténuse [AC].
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VI
xK =xA+xC
2 =5
2etyK =yA+yC
2 =3.K a pour coor- données
µ5 2; 3
¶ .
4. Soit D(-3 ; 6). pour savoir si D appartient à la média- trice de [AB], on calcule les distances DA et DB.
• D A= q
(xD−xA)2+¡ yD−yA
¢2
=p
(−3−2)2+(6−7)2=p
25+1= p 26
• DB= q
(xD−xB)2+¡
yD−yB¢2
=p
(−3−(−1))2+(6−1)2=p
4+25= p 29 D A6=DB donc D n’est pas équidistant de A et de B, doncD n’appartient pas à la médiatrice de [AB].
VI
Dans un repère orthonormé, on considère les points A(4 ; 2) , B(6 ; -4) , C(0 ; -2) et D(-2 ; 4).
1. Dans le repère ci-dessous, placer ces quatre points.
On complètera la figure au fur et à mesure.
bA
bB
bC
bD
bE
2 4
−2
−4
−6
−8
2 4 6 8
−2
−4
2. SoitMle milieu de [AC]. les coordonnées deMsont : xM = xA+xC
2 = 4+0
2 = 2 et yC = yA+yC
2 = 0 : M(2 ; 0).
3. Notons M′ le milieu de l’autre diagonale [BD] du quadrilatère ABCD.
xM′=xB+xD
2 =6+(−2) 2 =2 et yM′=yB+yD
2 =4+4
2 =0 ; M′(2 ; 0).
MetM′ont les mêmes coordonnées, doncM=M′. Les diagonales de ABCD ont donc le même milieu : c’est unparallélogramme.
4. • AB= q
(xB−xA)2+¡
yB−yA¢2
=p
(6−4)2+(−4−2)2
=p
22+(−6)2=p
4+36= p
40=2p 10.
• BC= q
(xC−xB)2+¡
yC−yB¢2
= p
(0−6)2+(−2−(−4))2 = p
36+4 = p40=2p
10. AB=BC=2p
10.ABC Dest un parallélogramme qui a deux côtés consécutifs de même longueur :c’est un losange.
5. AB ECest un parallélogramme si les diagonales [BC]
et [AE] ont le même milieu.
• SoitK le milieu de [BC].xK =xB+xC
2 =3 ; yK =yB+yC
2 =−6
2 = −3 donc K(3 ;−3) .
• Ce même pointK est le milieu de [AE] donc : xK =xA+xE
2 d’où 3=4+xE
qui donne 4+xE=3×2=26 d’oùxE=6−4=2.
yK =yA+yE
2 d’où−3=2+yE
2 qui donne 2+yE=2×(−3)= −6 d’oùyE= −6−2= −8.
Le point E tel que ABEC soit un parallélogramme a pour coordonnées E(2 ;−8).
VII
Soit ABCD un rectangle.
Soient E et F les milieux respectifs de [AB] et [AD], G le centre du rectangle et H le milieu de [GC].
A× ×
B
×C
×D
×E
×F ×G
H×
• Dans le repère (A ; B ; F) , on a :
A(0 ; 0), B(1 ; 0),C(1 ; 2), D(0 ; 2), E µ1
2; 0
¶
, F(0 ; 1), G
µ1 2; 1
¶ etH
µ3 4 ; 3
2
¶ .
• Dans le repère (A ; E ; D) , on a :
A(0 ; 0),B(2 ; 0), C(2 ; 1), D(0 ; 1), E(1 ; 0), F µ
0 ; 1 2
¶ , G
µ 1 ; 1
2
¶ etH
µ3 2 ; 3
4
¶ .
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