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Sur les formules représentant l'ionisation produite à l'extérieur d'une couche de matière radioactive émettant des particules α

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Academic year: 2021

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(1)

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Sur les formules représentant l’ionisation produite à

l’extérieur d’une couche de matière radioactive émettant

des particules α

Marcus Francis

To cite this version:

(2)

SUR LES

FORMULES

REPRÉSENTANT

L’IONISATION PRODUITE A

L’EXTÉRIEUR

D’UNE

COUCHE

DE

MATIÈRE

RADIOACTIVE

ÉMETTANT

DES PARTICULES a Par MARCUS FRANCIS.

Institut du Radium.

Sommaire. 2014 L’ionisation fractionnaire en dessus d’une couche de matière radioactive émettant des

particules 03B1 a été calculée : I. à partir des valeurs expérimentales de la courbe de Bragg et II. à partir des différentes expressions analytiques pour cette courbe. Les faits expérimentaux peuvent être représentés

avec la plus grande fidélité par une équation composée de deux parties, dont chacune représente l’allure d’une partie différente de la courbe. L’application de l’équation de Bragg dans sa forme primitive au

calcul de l’ionisation fractionnaire donne une concordance presque aussi satisfaisante (erreur

maximum - 1,2 pour 100 contre + 1,0 pour 100 dans le cas de l’équation composée). L’équation de Geiger

se montre moins satisfaisante, même sous une forme modifiée, pour ce calcul.

1. Introduction. - Dans un

précédent

mémoire

~1)

nous avons examiné

quelques expressions

mathéma-tiques,

qui

ont été

proposées,

afin

de

représenter

l’ioni-sation

produite

dans l’air le

long

du

trajet

d’une

parti-cule a.

Nous avons

comparé

les résultats du calcul dans le cas d’une

particule

de court parcours

(uranium)

avec les valeurs

expérimentales

relatives aux rayons a du

polonium d’après

les mesures de I. Curie

(2).

Il résulte de cette

comparaison

que les formules

classiques

ne

peuvent

pas

représenter

les faits avec une

précision

satisfaisante,

si ce n’est dans une

région

assez restreinte du parcours. Pour avoir une bonne concordance entre

le calcul et

l’expérience,

il faut diviser la courbe de

Bragg en

deux

parties,

dont chacune

peut

être

exprimée

par une formule

simple.

Nous nous proposons d’examiner ici

l’application

des diverses

expressions

de la courbe d’ionisation au calcul de l’ionisation

produite

à l’extérieur par les rayons x sortant d’une couche de matière radioactive.

2. Nomenclature. - Les

symboles

que nous utili-serons ont les

significations

suivantes :

~~

= l’ionisation

produite

de

chaque

côté d’une couche uniforme de matière radioactive par unité de

temps

et de

surface,

7V = nombre de

particules

a

engendrées

dans la couche par unité de

temps

ct de

volume,

R = parcours de la

particule

a dans la

matière,

dont la couche est

cons-tituée,

~ =

parcours restant d’une

particule

sortant de la

couche,

(1) 1i. J. Phys, 1935, 6, 1 v8.

(2) Phys., 1925, 3, p. 299.

h ^

épaisseur

de la

couche,

ib

(r)

- nombre de

paires

d’ions produites

par une

particule a

le

long

de son parcours restant ~,

p

(1~)

- densités d’ionisation

produite

par une

particule

x à l’endroit oii

son parcours restant est de r cm,

a,

h,

c,

k,

1,

etc. _ constantes

numériques employées

dans les

expressions analytiques

de la courbe d’ionisation de la

particule,

I n =

log~,

Afin de

simplifier

les calculs et d’éviter la nécessité d’introduire le

pouvoir

d’arrêt dans les

formules,

nous supposerons que

R,

r et %Z sont

exprimés

en termes relatifs à une même substance.

3. Base des calculs. - Comme nous l’avons

expli-qué

dans la note

précédente,

nous corstruisons la courbe de

Bragg

relative à une

particule

de

3,0

cm de parcours

(valeur

moyenne de

U/==2,73

cm et de

U II = 3,~8

cm)

(Î j

dans l’air à 760 mm, de

Hg

et à 15,C en

supprimant

un nombre convenable de centimètres

(0,87)

à

l’origine

de la courbe relative au

polonium

(^2’.

L’utanium a été choisi à cause de son

importance

comme étalon

(sous

forme de

l’oxyde

U30,).

Par

inté-gration graphiclue

de la courbe ainsi construite nous calculons pour l’ionisation totale le nombre de 123 4H3

paires

d’ions dont 10i 613

paires

sont

produites

dans les

premiers 2,5

cm et 21 87 j dans les derniers

0,5

cm du parcours.

4. L ionisation

produite

â l’extérieur d’une couche uniforme de matière émettant des

parti-(’) Constantes radioactives admises en 1930. J. Phys., Sept.

~1931, p. 2 i 3.

(2) l. CrRtE. Loc. Cli.

(3)

216

cules a. - Pour une couche

plus

épaisse

que le par-cours de la

particule

dans la matière

elle-même,

nous avons selon v.

Schweicller 1 j.

et,

pour une couche

d’épaisseur

plus petite

que le

par-cours,

En

remplaçant 4)

(r)

en

(2)

par

J’f

(î-)

d/’ nous obte-nons :

Ceci

est l’expression générale

développée par Flamm

(1).

Si nous posons h - R en

(3)

nous obtenons :

ce que nous aurions pu obtenir par

intégration

directe

de (t).

La valeur de l’ionisation donnée par

l’équation (4)

représente

une limite

supérieure

qui

n’est pas

dépassée

quand

l’épaisseur

de la couche devient

plus

grande.

On

exprime

souvent l’ionisation

produite

par des couches moins

épaisses

en fraction de cette valeur limite et on

appelie

le

rapport

« ionisation

fractionnaire

». En ce cas nous avons pour l’ionisation fractionnaire d’une

couche non

saturée,

l’expression

Le

symbole

~V ne

figurant

plus

dans cette

expression

nous voyons

quel’ionisation

fractionnaire d’une couche de matière radioactive est

indépendante

de la densité radioactive de la

couche,

indépendante

du nombre de

particules

x

engendrées

par unité de

temps

et de volume.

Puisque

c’est 1 ionisation fractionnaire

qui

nous intéresse

particulièrement

ici,

nous

ignore-V

Tons le

facteur N

dans les calculs.

4

Dans

l’application pratique

des

expressions

(3),

(4)

et

(5)

nous pouvons utiliser les valeurs

de y

(r)

trouvées

expérimentalement,

comme il a été

proposé

par Flamm ou bien nous pouvons

remplacez

(~°)

par l’une des

expressions

analytiques

de la

courbe

d’ionisation. Nous nous proposons de comparer les résultats obtenus par les deux méthodes.

Pour

représenter

l’ionisation de la

particule a,

de l’uranium par les

équations

classiques,

nous calcu-lons -.

I.

L’équation

de

Bragg

II.

L’équation

de

Geiger

III.

L’équation

de

Geiger

modifiée

d’après

Glockler

et

Heisig

(1)

donne :

Les

équations

que nous avons établie

~3)

sont :

t1) E. v. SCIIWEIDLER. 191~, 14, p. ~0 i.

(2) G. GLOCKLER et G. B. Phys. Clzem., 1932, 36, p. 69; .P. Bull. Soc. Chem. Belg., 41, 1932, p. i64.

(3) B~(. IOC. CII.

a)

pour les derniers

0,5

cm du parcours.

b)

pour les

premiers

~,5

cm du parcours,

1

Nous allons considérer maintenant

l’application

de ces

équations

dans

l’expression

(11) .

_1 i I.

L’équation

de

Bragg, cp (r)

= 1

(r

+

a)

‘.

-L’intégration

faite,

nous obtenons pour les trois termes

de

l’équation

(3),

(4)

Abscisses. - hl R. Pour h = R la couche est saturée.

Ordonnée,t. - Termes individuels de l’équation de Flamm, en paires d’ions.

2013201320132013201320132013 Courbes en traits pleins. - Calculées à

partir des valeurs expérimentales (r).

... Courbes en

pointillé.

- Calculées à

partir de l’équation de Bragg pour y (r)

(6).

- - - - l,ol1rbes en traits. - Calculées à

partir de l’équation de Geiger pour y (r) (7).

. -. -. - Courbes en traits-points. - Calculées à

partir de l’équation de Glockler et Heisig pour ç (r)

(8).

(~)

Pointb calculés à partir de l’équation composée de (9) et de (10).

:w; Points calculés à partir de l’équation composée de (9) et de (11). En

remplaçant

les constantes par leurs valeurs

numériques

tirées de

l’équation (6),

nous obtenons les

nombres,

qui

nous servent comme base pour la cons-truction des

courbes

en

pointillé

dans les

figures

1, ~

et 3. Par

comparaison

avec les nombres calculés à

partir

des valeurs

expérimentales de e (r)

(courbes

en traits

pleins

dans les

fig.

1 et

2),

les

courbes

sont

dé-placées

vers la

droite,

c’est-à-dire,

dans la direction

des

plus grandes épaisseurs.

Le

changement

dans les:

valeurs des termes A et C ne compense pas le

chan-gement

dans B pour toutes les valeurs de

h ;

pair R

conséquent

les valeurs de l’ionisation fractionnaire

(5)

218

Fig. 2.

Q

prdonnés. - Ionisation fractionnaire, supérieure =t).

Q

h=R

,4beisses. -

h/R. (Quand h = R la couche est saturée.l ~201320132013201320132013 Courbe en traits

pleins.

- Valeurs

expérimentales de ç (r) utilisées.

... Courbe en pointillé. - Calculée à partir de

l’équa-tion de Bragg (6).

- - Courbe en traits - Calculée à partir de l’équation

de Geiger

(7),

ainsi que la modification de Glockler et Heisig (8)

0

Points calculés à partir de l’équation composée de (9) et (10).

; Points calculés à partir de inéquation composée

de (9) et (14).

i

II.

L’équation

de

Geiger, cp(r)

= kr

:3.

2013 Les termes

individuels de

l’équation (3)

deviennent : -.

En formant la somme A

+

C - B et en

multipliant

par -

nous obtenons

l’expression

bien connue de 4

v. SchvTeidler

(1)

La différence entre notre facteur

:0

et le sien

2013

est due au fait que nous écrivons

l’équation

due

Geiger

dans la

la

forme

Cr)

== kr 3 au lieu de b

(r)

==

ko1,,3.

k

3

:3

ko .

Si nous écrivons

(11)

C sous la forme :

nous voyons que le ~/3 hors des crochets

disparaît

lui aussi du

quotient

de

(15)

et

(16).

Donc l’ionisation fractionnaire est

indépendante

de la valeur

numérique

de la constante dans

l’équation

de

Geiger,

ainsi que du parcours de la

particule

a, et ne

dépend

que du

rapport £ .

La loi de

Geiger représente

un cas

*

limite vers

lequel

tendent les faits

quand

le parcours est suffisamment

long.

R. D. Evans

(’)

a calculé pour toutes les

particules

a

naturelles un facteur

qui

sert à ramener ce cas idéal à la réalité. La

divergence

entre les deux est d’autant

plus grande

que le parcours des rayons a est

plus

,court.

L’introduction des valeurs

numériques

des cons-tantes de

l’équation (7)

dans les

équations

(14)

A,

B et C nous

permet

de construire les courbes en traits discontinus des

figures

1, 2

et 3.

III.

L’équation

de Glockler et

Heisig,

Les

intégrations

dans ce cas doivent être faites

entre les limites a et

~, puisque

cette

équation

ne (1) E. V. SCHWEIDLER. Lue. cit.

(6)

Fig.3. ~

AbJ:cisses -

/tIR (Quand h = R la couche est saturée.)

Ordonnées. - Ecarts entre les valeurs de l’ionisation fractionnaire calculées à partir des expressions analytiques

pour la courbe de Bragg et celles calculées à partir des mesures expérimentales de l’ionisation en fonction de r.

Les écarts sont exprimés en pourcentages des valeurs de 17ionisation fractionnaire calculées à partir des mesures.

Courbe 1. --- L’équation composée de (9) et (10) a été utilisée pour (r).

-- Il. -

L’équation composée de (9) et (11) a été utilisée pour (r).

-

III,

- L’équation de Bragg (6), a été

employée pour (p (r).

- 2013 Ecarts dans le cas

l’équation de Geiger (1) ou de Glockler et Heisig (8), a été utilisée pour ~ (r) dans le calcul.

(N.-B. -

L’échelle de coordonnés pour la courbe IV est cinq fois plus

petite

que pour les autres courbes).

peut

pas nous

renseigner

sur les derniers a cm du parcours. Les termes individuels de

l’équation (3)

peuvent

être déduits directement des

équations

(14)

A,

B et C en substituant

partout k

par k’

et R par R - a. On voit que les courbes de la

figure

1 se

placent

bien au-dessous des courbes

correspondantes

calculées à

partir

de

l’équation

de

Geiger

dans sa forme

primitive.

Cependant

il

n’y

a pas de

changement

dans l’ioni-sation

fractionnaire,

la diminution des valeurs

numé-riques

de

(14)

B étant exactement

compensée

par les diminutions dans

(14)

A et C. Cela

découle, d’ailleurs,

directement de

l’indépendance

de l’ionisation frac-tionnaire par

rapport

aux valeurs de k et R.

IV. Les

équations composées. -

Comme nous avons vu dans la note

précédente

l’allure de la courbe d’ioni-sation dans les derniers

0,5

cm du parcours est

re-présentée

de

façon

satisfaisante par

l’équation

(9).

Pour l’autre

partie

nous pouvons trouver un

grand

nombre

d’équations

à trois constantes

qui

représen-tent bien l’ionisation trouvée

expérimentalement.

lous avons choisi les trois formes

V,

VI et VII en raison de leur similitude avec des formes

déjà

connues.

Quand

(r)

donné par

(9) apparaît

dans les expres-sions à

intégrer

dans

l’équation

de

Flamm,

il faut

prendre

pour limites

d’intégration

r= 0 et r -

(R - h)

4

0,5

pour les termes A et

B,

et r =

(R -

h)

4

0,5

et

0,5

pour

C;

ensuite

ajoutant

à C la valeur de

l’in-tégrale

f ( R - r~)~ (r)

dr calculée entre les limites

0,5

et R à l’aide de l’une des

expressions

V,

VI ou VII. Nous avons vu

(loc.

cit.) que

les différences entre les résultats du calcul de l’ionisation obtenus avec ces trois

équations

sont très

petites.

Il suffira

donc,

d’examiner ici les deux cas

extrêmes,

les

équations

(10)

et

(11),

en les

appliquant

au calcul de l’ionisation fractionnaire

d’une couche.

Les termes individuels de

l’équation

(3)

calculés avec

l’emploi

de

l’équation (9)

pour ?

(r)

sont :

(7)

220

Pour

eompléter

ces termes nous prenons les solu-tions

(13)

ou

(14)

avec les limites

0,5

et

(R - h)

G

3,0

pour les termes A et

B,

et avec les limites

(R -

h) ~0,5

et

3,0

pour le terme C. Il est évident

qu’il

faut

ajouter

les deux

parties

intégrées

de

chaque

terme avant de

multiplier

par la valeur convenable de h ou

h’,

dans le cas des termes A et B resp.

Les

points

calculés à

partir

des

équations

composées

sont

indiqués

dans les

figures

1 et 2 par des cercles et des

croix,

celles-ci dans le cas où l’on aurait

employé

l’équation (11)

dans le

calcul,

ceux-là dans le cas où

l’équation (10)

aurait été utilisée. On voit que la con-cordance est

excellente,

aussi bien pour les termes

individuels de

l’équation (3)

que pour l’ionisation

frac-tionnaire,

dans toute l’étendue des valeurs

de h

de 0 R

jusqu’à

1.

5. Conclusion. - L’étude des

figures

1, ~

et 3 montre que l’ionisation fractionnaire à l’extérieur d’une couche de matière radioactive émettant des

particules

a

peut

être calculée avec une exactitude tout à fait

suffit-sante,

si nous utilisons une

expression

composée

pour

représenter

l’allure de la courbe d’ionisation de la par-ticule. La différence entre les nombres ainsi calculés et ceux

calculés

à

partir

des valeurs

expérimentales

du

pouvoir

ionisant de

la particule

ne

dépasse

pas 1 pour 100 même pour les couches les

plus

miuces,

et elle diminue

progressivementavec

l’augmentation de l’épaisseur

de la couche. Vu la similitude des courbes 1 et Il de la

figure

3,

qui rpré«fent

deux cas

extrêmes,

il ne semble pas

que 1 intruduction de

l’expression (12)

pour ? (r)

dans

l’équation

de Flamm

apporterait

une amélioration dans la concordance. En ce cas nous

préférerons

dans les calculs

prendre

la forme la

plus simple, qui

est celle de

l’équation

(10).

L’équation

de

Geiger, appliquée

à toute l’étendue de la courbe

d’ionisation,

se montre la moins satisfaisante des formes examinées en ce

qui

concerne la

reproduc-tion des faits

expérimentaux.

Les écarts sont

plus

grands

que dans les autres cas et surtout pour les cou-ches très minces. Du fait que l’ionisation fractionnaire

est

indépendante

des valeurs de

N, K et

R,

il ne semble pas

qu’il

y ait

avantage

à

remplacer

ces valeurs par d’autres arbitrairement

choisies,

bien que cet

expédient

nous

permette

de

rapprocher

les résultats du calcul de ceux de

l’expérience

sur une

grande partie

de la courbe de

Bragg

et dans le cas de la valeur absolue de l’ioni-salion

produite

à l’extérieur d’une couche

d’épaisseur

égale

au parcours de la

particule

x.

(Voir

la courbe II en

traits-points

de la

figure 1).

D’après

ceci,

l’intérêt

de

l’équation

de

Geiger

semble être

plutôt

théorique

que

pratique.

Dans le cas où une erreur

légèrement supérieure

à 1 pour 100 ne

gêne

pas, nous pouvons

prendre

l’équation

de

Bragg

dans sa forme

primitive appliquée

à toute l’étendue du parcours pour

remplacera (1")

dans

l’équation

de Flamm. L’ionisation fractionnaire aussi bien que la valeur absolue de l’ionisation

produite

par une couche saturée sont

exprimées

avec fidélité. L’er-reur dans la

première

ne

dépasse

pas

-1,~

pour 100 et celle dans la dernière est du même ordre de gran-deur

(- 0,9

pour

100).

Ceci

correspond

à peu

près

à la

précision

des meilleures mesures

expérimentales.

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