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PA M. Jules Gfeller Berne
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Sixième année. — N0 52
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Samedi 25 Juin 1892.
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Rémunération du T r a v a i l
Opinion d'un ingénieur belge, directeur d'un grand charbonnage
La rémunération du travail est une question très importante au point de vue social. Elle a été étudiée par les écono- mistes les plus distingués. On a fait, à son sujet, des théories diverses, pour tâcher d'arriver à une solution conve- nable.
U faut bien reconnaître qu'il a toujours existé entre le capital et le travail, entre le patron et l'ouvrier, un certain antago- nisme fort difficile à faire disparaître complètement. Tous les efforts doivent tendre à l'atténuer le plus possible, et les innovations qui auront pour but d'arriver à ce résultat doivent être l'objet d'une sérieuse attention de la part de tous les intéressés.
Capital, travail intellectuel, travail ma- nuel, voilà les trois (acteurs de tout pro- duit industriel, auquel chacun a droit pour une certaine part, comme nous ve- nons de le démontrer.
La rétribution du capital s'appelle in- térêt et dividende; celle du travail intel- lectuel, traitement, celle du travail ma- nuel, salaire.
Le point essentiel et surtout délicat, c'est d'attribuer d'une manière équitable la quote-part qui revient à chacun des trois facteurs.
Pour certains, le travail de l'ouviicr esl tout, et il a seul le droit d'être lélribué.
C'est cependant le cas d'appliquer le prin- cipe de Proudhon : « Nul ne peut vouloir plus que la justice, moins que la justice, autrement que la justice. » Il est dû à chacun le libre exercice de ses facultés physiques, intellectuelles et morales, la possession absolue du produit de son tra-
vail, à quelque classe de la société qu'il appartienne; nul ne peut enlever ce droit, et ce serait contraire à la raison, à l'état naturel des choses établies, que de vou- loir penser autrement.
Toute peine, tout travail méritant salaire, la difficulté, c'est de déterminer le taux de celui-ci. Lorsqu'on travaille pour soi- même, l'on reçoit comme rémunération le produit de son labeur. Il doit également
en être ainsi lorsqu'on esl occupé pour autrui. La rémunération doit être propor- tionnelle à la quantité et à la qualité des produits obtenus, à l'importance du ser- vice rendu. Comment déterminer l'unité de la rétribution? Pour le travail manuel, l'on peut admettre que c'est l'application de l'unité de force pendant l'unité de temps. Mais du moment que la participa- tion de l'intelligence est nécessaire, la chose devient beaucoup plus difficile; il faut reconnaître en général que le pro- duit aura d'autant plus de valeur que celte participation aura été plus grande. On arrive immédiatement à démontrer que l'égalité des salaires n'est pas possible, et ceux qui en sont partisans ne tiennent compte, dans l'estimation du produit du travail, que de la force, du temps et de la matière employée; ils oublient le concours de l'intelligence, élément cependant indis- pensable. Au point de vue matériel, il est incontestable d'abord que l'on ne peut rétribuer de la même manière deux hom- mes travaillant pendant le même temps et dont l'un donne une somme de produits trois fois plus grande que l'autre, toutes conditions gardées.
Au point de vue intellectuel, il ne se- rait pas juste non plus de rétribuer de la même manière l'inventeur d'une machine d'un nouveau système et les ouvriers ajus- teurs mécaniciens qui ont construit l'ap- pareil. Lorsque la machine sera usée,
hors de service, le travail des ouvriers dis- paraîtra avec elle, tandis que l'idée, l'in- vention persistera, et si la machine est à même de rendre beaucoup plus de ser- vices que celles en usage, l'on pourra en construire encore des milliers, c'est-à-dire autant que l'on voudra. II n'y a donc pas de doute que les services rendus par l'in- venteur soient, beaucoup plus grands que ceux rendus par les ouvriers mécaniciens ajusteurs; Ia rémunération ne peut donc pas être la même.
L'égalité des salaires est d'ailleurs une idée complètement inadmissible, et si on l appliquait, ceux qui exécutent des tra- vaux difficiles, périlleux, malsains, se- raient payés de la même manière que ceux qui travaillent sans ces conditions désavantageuses. Ceux qui font des objets de toute beauté, présentant une grande valeur, recevraient la même rétribution que ceux qui fabriquent des objets ordi- naires. Le peintre distingué faisant des tableaux de premier mérite serait rétribué de la même manière que le barbouilleur de toiles qui a travaillé pendant le même temps que lui. On pourrait donner des exemples à l'infini, mais il est inutile d'in- sister davantage sur ce point, et ceux qui ont les idées égalitaires, ou plutôt qui prétendent les avoir, ne les répandent que dans un but intéressé, alors qu'ils savent dans leur sincérité qu'elles sont complètement injustes et inadmissibles.
Dans les établissements où se trouvent
ces égalitaires, il yen a, comme ouvriers,
qui gagnent 6 à 8 francs par jour et
même plus et qui ne seront jamais dispo-
sés à les partager avec leurs camarades
qui n'atteignent parfois que le taux de
3 francs. On peut dire d'une manière
absolue que l'on trouve des égalitaires
partisans de partager le fruit de leur tra-
vail avec ceux qui gagnent plus qu'eux,
mais qu'ils s'en tiennent à leur pure théo-
246 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE rie lorsqu'il s'agit de partager avec ceux
qui gagnent moins.
Il serait bien intéressant que l'on con- nût mieux le rôle que chacun de ces élé- ments, capital, science et travail, doit jouer, car il n'est pas douteux que les différends qui existent parfois entre pa- trons et ouvriers, ont pour principale cause la fausse idée que ceux-ci se, font des droits respectifs de chacun. Il est in- contestable que l'ouvrier ne se rend pas compte ou ne connaît pas les difficultés que l'industriel doit surmonter; pour lui, tout est profit, et il lui semble qu'on réa- lise à ses dépens, sur son labeur, de gros bénéfices. Il ignore que des capitaux con- sidérables ont été perdus par les grandes industries et que si celles qui ont résisté avaient dû céder aux exigences de la po- pulation ouvrière, qui réclamait une aug- mentation de salaire en même temps qu'une diminution d'heures de travail, ces industries auraient dû augmenter le prix de leurs produits, ce qui n'é'nit pas possible en présence de la concurrence;
ou bien se constituer en perte et finir aussi par disparaître.
Dans la situation précaire où se trouve depuis ,quelques années l'industrie, des augmentations de salaires sont parfois complètement impossibles, et c'est réelle- ment regrettable, dans de pareilles con- ditions, de voir éclater des grèves dont les résultats sont si désastreux, aussi bien pour l'ouvrier que pour le patron. Il est cependant à remarquer que les grèves n'ont pas toujours eu pour cause la ques- tion des salaires; elles ont paifois été occasionnées par des mouvements irrésis- tibles, par une véritable fièvre qui sévis- sait dans certains bassins de notre pays et que rien n'aurait pu empêcher. Lors- que ces chômages sont passés et que vous interrogez personnellement la plupart des ouvriers, ils ne savent quoi vous répon- dre, ils n'ont pas de motif à vous donner.
Ils ont cédé, mais bien à regret, aux ins- tances des meneurs, qui ont peu souci de troubler l'ordre social; qui ne s'inquiètent nullement de faire perdre aux ouvriers honnêtes le salaire d'une semaine, parfois d'un mois, conséquemment, Je pain né- cessaire à l'existence de la famille; sa- chant pourtant d'avance que c'est là le seul résultat qu'ils peuvent obtenir.
C a i s s e d e p r ê t s g r a t u i t s
Nous avons indiqué, dans l'un de nos der- niers numéros, que la Commission d'enquête sur la crise horlogère, nommée par le Con- seil d'Etat neuchâtelois, avait désigné trois de ses membres, pour s'occuper plus spécia- lement de la création d'une caisse de prêts gratuits, comme il en existe en Angleterre et en France. La sous-commission s'est réunie
à Neuchâtel et s'est prononcée en faveur de la création de cette caisse.
Lors de la discussion, au Grand Conseil neu- châtelois, de la motion développant le princi- pe de la fondation d'une caisse de prêts gra- tuits, on avait suggéré l'idée que les fonds nécessaires à son fonctionne nent pourraient être fournis par un impôt spécial sur le re- venu des immeubles. Cette idée est aban- donnée et la commission préconise tout simplement l'emploi des ressources commu- nales.
En ce qui concerne plus spécialement la Chaux-de-Fonds, où la question va prochai- nement être posée devant les autorités com- munales, la caisse de prêts viendrait s'ajouter à l'organe déjà créé en vue de venir en aide aux victimes de la crise, qui prendrait pour titre : Commission des secours, de prêts et de travail. Les prêts en argent ne pourraient être utilisés pour le remboursement de dettes déjà contractées, et seraient spécialement affectés à la garantie de crédits futurs de consommation, les paiements étant faits directement aux fournisseurs par la caisse elle-même.
Comme on le voit la question commence à pren ire une forme concrète et les appré- hensions qu'avait fait naître, au début, l'idée même de la fondation d'une Caisse de prêts gratuits,- seront certainement diminuées par la forme nouvelle donnée au but précis de ses promoteurs.
Jusqu'ici, on a procédé par des dons con- sentis en faveur des plus nécessiteux, de ceux du moins qu'un sentiment de délicatesse légitime mais parfois exagéré tenait éloignés de la commission des secours. Par la nouvelle création, on pourra venir en aide à une autre catégorie de personnes tout aussi intéressante que la première, qui a besoin d'aide et de secours, mais qui préfère contracter un em- prunt plutôt que de rscevoir un don.
Certes la tâche de l'administration de la caisse de prêts ne sera pas facile; il faudra s'entourer de minutieux renseignements pour ne pas risquer de prêter à faux ; il y a partout des gens qui spéculent surtout, même sur la mission des associations philanthropiques et de bienfaisance ; il faudra les laisser soigneu- sement derrière la porte.
Ajoutons que Ia-Commission est prête à présenter son rapport.
Négociations avec la F r a n c e
Les commissions du Conseil national et du Conseil des Etats qui s'occupent des rapports commerciaux avec la France ont siégé jeudi de quatre heures à six heures. MM. les con- seillers fédéraux Droz, Hauser etDeucher ont pris part aux travaux des commissions. La proposition du Conseil fédéral d'ajourner au milieu du mois de juillet la date à laquelle une solution devra être intervenue avec la France a été acceptée. Rapport sera fait et le Conseil national examinera la question ven- dredi.
Contrairement aux nouvelles venues de Paris, il a été dit dans les commissions que le gouvernement français s'était engagé vis- à-vis du Conseil fédéral à atténuer le tarif minimum français.
T r a i t é de commerce
Provisoirement et dès le premier juillet, j usqu'à ce qu'un accord imminent intervienne avec le gouvernement espagnol, la Confédé- ration offrira à l'Espagne la clause de la na- tion la plus favorisée.
La loi et les syndicats professionnels en France
La cour d'appel de Grenoble avait rejeté l'année dernière une demande de dommages- intérêts formée par un ouvrier contre un syn- dicat professionnel dont il avait refusé de faire partie et qui avait imposé Ie renvoi de cet ouvrier à son patron sous menace de mettre ses ateliers en interdit; cet arrêt de la cour de Grenoble vient d'être cassé par la cour de cassation.
Or, lors de la discussion de la K i Bovier- Lapierre au Sénat, il y a quelques mois, M.
Trarieux, examinant l'arrêt en question, Ie déclarait mal jugé. La cour suprême vient de lui donner raison.
L'arrêt de la chambre civile de la cour de cassation dispose dans sa partie doctrinale que, si depuis l'abrogation de l'article 416 du code pénal les menaces de grève adressées sans violence ni manoeuvres frauduleuses par un syndicat à un patron à la suite d'un con- cert entre ses membres sont licites quand elles ont pour objet la défense des intérêts professionnels, il n'en est pas de même quand elles ont pour but d'imposer au patron le renvoi d'un ouvrier lorsqu'il s'est retiré du syndicat et refuse d'y rentrer.
La cour de cassation annule l'arrêt de la cour de Grenoble comme rendu contraire- ment à l'article 1383 du code civil et à l'arti- cle 7 de la loi du 21 mars 1884.
Cet arrêt a une grande importance à la veille du retour devant Ie Sénat de Ia loi Bo- vier-Lapierre, au rejet de laquelle conclut Ie rapport de M. Trarieux.
Les socialistes et les petits papiers.
- On se divertit fort, dans la Suisse allemande et à Zurich particulièrement, de révélations faites par le compagnon journaliste Enderli, sur les ambitions du compagnon Seidel, l'al- lemand naturalisé et farouche rédacteur de ΓArbeiterslimme. Seidel fut Ie concurrent malheureux de M. Greulich, pour le poste de secrétaire ouvrier. Ce qu'on ne savait pas, et ce que vient de révéler son ex-ami Enderli, c'est que Seidel, malgré le manteau de vertu dont il se drape, a naguère recouru eux pro- cédés de la'plus éhontée réclame pour tenter de populariser sa candidature. Il adressait en 1890 de curieuses recommandations à son ami Enderli, lequel ayant, paraît-il, des mo- tifs d'être mécontent de son ex-copain, vient de les livrera Ia publicité.
Le système des petits papiers n'est nulle- ment recommandable; mais, dans le cas par- ticulier, il est amusant de constater à quoi peuvent avoir recours les purs, lorsqu'il s'a- git de passer sur le ventre de leurs compa- gnons et amis. On eût sans aucun doute bi<jn fait de laisser le compagnon Seidel à sa natio- nalité germanique.
LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 217
NOUVELLES DIVERSES
P r o p r i é t é l i t t é r a i r e e t a r t i s t i q u e .
— La plupart des Etats, au nombre de qua- torze, qui ont participé à la conférence de Madrid sur la propriété artistique et litté- raire, viennent de signer des protocoles pour résumer les décisions de ces conférences. Un premier protocole a trait aux faux certificats d'origine; un second, à la protection des marques de fabrique et de commerce ; un troisième règle la dotation du bureau inter- national ; un quatrième, enfin, les mesures prises en application de la convention primi- tive de Paris, du 20 mars 1883.
E l e c t i o n d i r e c t e d u C o n e e i l f é d é r a l p a r l e p e u p l e . — Le mouvement pour recueillir les signatures sera lancé le 3 juillet dans un meeting qui aura lieu à Zurich.
Il sera intéressant pour nos lecteurs d'ap- prendre qui fait partie de ce comité d'initia- tive. Celui-ci est composé de MM. Scherrer- Fullemann et Brandt (St-GaIl), Brunner et Marti (Berne), Curti, Locher et Vogelsanger (Zurich) et Risch (Grisons), soit de deux dé- putés bernois et de six représentants de l'ex- trême gauche.
M. Brenner, de Bâle, a fait minorité lors de l'adoption du projet et a donné sa démis- sion.
On dit que les deux représentants bernois ne sont pas d'accord avec le texte adopté et qu'ils considèrent la campagne comme man- quée. Allons tant mieux.
P o s t é e . — Une nouvelle édition du tarif de messagerie pour la Roumanie, la Serbie, la Bulgarie, le Monténégro, la Turquie, la Grèce et l'Egypte vient de paraître. Le nou- veau tarif renferme un tableau des distances
modifié pour la Roumanie. En outre, il a été tenu compte des modifications apportées au calcul des taxes pour les colis à destination de la Bulgarie.
— Les remboursements ne sont pas admis sur les articles de messagerie à destination de la Bosnie et de l'Herzégovine.
T r a n s p o r t d e m a r c h a n d i s e s . — L'approbation de la convention internationale relative au transport de marchendises par chemin de fer, de la part de tous les Etats intéressés, peut être actuellement considérée comme assurée.
On peut admettre que l'échange des ratifi- cations aura lieu assez tôt pour que les dis- positions de cette convention puissent être appliquées à partir du 1e r janvier 1893.
Les Etats que cette convention intéresse sont: l'Allemagne, l'Autriche - Hongrie, la Belgique, la France, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Russie et la Suisse.
S u è d e . — Nous portons à la connaissance des intéressés que la date de l'entrée en vi- gueur du nouveau tarif douanier suédois a été définitivement [fixée au 21 juin. En voici les droits :
Ancien Nouveau Droit Couronnes et oere p. kg
Montres de poche, en or . la.pièce 1.— 1 —
— autres » » — 50 —.50 Mouvements de montres . . . . 1.— —.50 Boîtes: paient le droit de la matiore
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7.- 15.- 100/0 exemptes
de la valeur
3.— 3 . -
K l a t s - l T n i s . — La Convention de Chi- cago a formulé un programme démocratique qui comtient l'importante clause suivante :
Le parti démocratique répudie et dénonce lebil MacKinley comme étant une manœuvre législative destinée à favoriser certaines clas- ses de la population au détriment du plus grand nombre. Il estime nécessaire de modi- fier ce bill et son échelle de droits dans ce qu'elle présente d'oppressif, en premier lieu sur les matières premières et sur les articles vendus bon marché et de consommation gé- nérale. L'abrogation de la loi MacKinley sera un des résultats les plus efficaces du vote du peuple conférant le pouvoir aux démocrates.
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