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Prix du numéro IO centimes

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Cinquième année. — N0 80

Prix du numéro IO centimes

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal»

Samedi 3 Octobre 1891.

B u r e a u x : R u e Neuve, 19

ABONNEMENTS

Un au : Six mois :

Suisse . . . 6 fr. 3 ft·.

Union postale . 12 » 6 »

On s'abonne à tous les bureaux de poste

ANNONCES

Provenant de Ia Suisse . . 20 et. la ligne

» de l'étranger. . 25 » » _ . · , . , , I . % T . . Minimum d'une annonce 50 centimes

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Les annonces se paient d

.

avance

Organe «1* Ia Société i n t e r c a n t o n a l e dee i n d u s t r i e s d u J u r a , des C h a m b r é e de c o m m e r c e , des B u r e a u x de contrôle et dee Syndicale induetriele.

L'affaire du syndicat des ébauches Sous ce lilre, la Revue horlogère de Besançon publie ce qui suit :

« Nos lecteurs connaissent le conflit qui s'est élevé entre le syndicat des fabriques d'ébauches suisses et françaises, d'une part, les fabricants d'horlogerie de l'autre : le syn- dicat, qui s'était reconstitué en février der- nier, s'était dissous, il y a deux mois, après la démission de la fabrique de Fontaine- melon.

Laccord a été à nouveau conclu entre pro- duc'eui's d'ébauches et acheteurs et le syndi- cat reconstitué après deux réunions tenues, l'une le 8 septembre, à Bienne, au Bielerhof, l'autre le 9, à Sonceboz. s

L'information que publie la Revue hor- logère a besoin d'être reclifiée sur cer- tains points. Ainsi, le syndical des ébau- ches n'a pas eu à se reconstituer en février dernier, pour la bonne raison qu'il était en pleine activité à celte époque et que, loin de se dissoudre, il puisa une nouvelle force dans l'adhésion des fabri- cants d'horlogerie.

Quant au conflit ouvert par la dissolu- lion du syndical des ébauches, prononcée le 10 juillet dernier, il n'est pas encore terminé, l'accord que mentionne le jour- nal précité ne liant les membres du syn- dicat des ébauches pris collectivement, que dans le cas d'une reconstitution du syndicat. Or, la reconstitution du syn- dicat des fabriques d'ébauches n'est pas encore chose accomplie, puisqu'elle est discutée, au moment même où nous écri- vons ces lignes, dans une assemblée qui siège à Bienne, et à laquelle ont été con- viés tous les fabricants d'ébauches suisses et français.

A propos du tarif des péages.

On écrit au Journal de Genève :

Tous les électeurs suisses doivent avoir

reçu le nouveau projet de tarif des douanes du 10 avril 1891, dont on demande l'accepta- tion ou le refus par le peuple à la date très rapprochée du 18 octobre. Ce document, bourré de chiffres, est d'une lecture indi- geste : ausîi je crains que bien petit soit le nombre de ceux qui l'auront lu. Pour qu'un chiffre devienne éloquent, il lui faut un point de comparaison.

Ayant à ma portée le tarif général des péages fédéraux, jseconde édition, décembre 1861, j'ai eu la curiosité de me rendre compte du chemin parcouru depuis cette époque et d'examiner sur un très petit nombre d'arti- cles les tarifs d'alors et ceux que l'on nous propose. Espérant intéresser vos lecteurs, je vous en donne communication.

Payait à l'ancien tarif Paiera Pain 1.— pr % loi. 2.— pr °/o kil.

Farine 1.— » 2.50 s Pâtes 7 . - » 15.— »

Riz 0 30 » 2.50 J>

Œufs 1.20 » 4.— » Saindoux 1.50 » 5.— » Beurre frais 1.50 » 8.— » Beurre fondu 1.50 » 15.— Ï Charcuterie 7.— n 25.— » Sucre poudre 7.— » 12.— » Vin en fûts 3.— » 6.— » Vinaigre 7.— » 40.— » Chapeaux non

garnis 3).— » 100.— » Chapeaux gar-

nis . 30.— » 200.— » Chaussure or-

dinaire 16.— » 60.— » Chaussurofine 30.— » 130.— » Bœufs 0.50 la pièce 30.— la pièce Vaches 0.50 s 25.— » Veaux jusqu'à

60 kil. 0.10 » 6.— » Veaux au-des-

sus de 60 kil. 0.50 » 10.— » Porcs 0.50 » 8 . - »

Tous les articles ci-dessus, susceptibles d'être emballés, paient à la frontière les droits de douane sur le poids brut, ce qui, pour la plupart d'entre eux, majore les tarifs de 20 °/o.

Ainsi le vin en fût représente une tare de 20 °/o, ce qui porte les futurs droits dédouane de 6 fr. à 7 fr. par 100 kilos, auxquels il y aura encore lieu d'ajouter, pour les vins tirant plus de 12 degrés d'alcool, un franc

par hectolitre et par degré d'alcool ; ainsi, le vin titrant 15 degrés d'alcool paiera 10 fr. 20 par 100 kilos ou par hectolitre ; l'on arrivera ainsi à payer des droits égaux à la valeur de la marchandise, puisque, à un moment donné, l'on a vu payer les vins 10 à 12 fr. l'hectolitre dans les pays de production.

A l'origine des péages fédéraux, il a été parfaitement entendu entre le législateur et les contribuables que les articles de première nécessité et de première consommation se- raient exemps'de droits ou frappés de taxes très minimes.

Et quoique rien n'ait été changé dans la loi au sujet de cette entente, ce principe me paraît absolument oublié dans les futurs tarifs. Pour terminer, je dirai encore que soit au cantonal, soit au fédéral, toutes les aug- mentations d'impôts, de contributions ou péages, octroyées à titre provisoire, sont res- tées définitives.

Je conclus de ce qui précède que les classes travailleuses, qui veulent la vie à bon marché, doivent, d'ores et déjà, se préparer à repousser l'augmentation des tarifs que l'on nous propose.

Un secrétariat ouvrier en France

Depuis le dernier Congrès socialiste de Bruxelles, et sur l'initiative des Anglais, Is parti ouvrier français ou plus exactement les partis ouvriers s'occupent à constituer un

« secrétariat national du travail ». Ce secré- tariat n'a rien de commun avec le nôtre : outre qu'il ne sera pas subventionné par l'Etat, il n'aura ni à faire fonction d'office central de statistique, ni à surveiller l'appli- cation des lois industrielles. Il existe en France un bureau ministériel, créé cette année même, pour la première de ces beso- gnes, et un corps d'inspecteurs d'Etat pour la seconde.

Le secrétariat national français aura ceci de particulier qu'il aura surtout une mission internationale : son devoir principal sera d'informer les camarades de l'extérieur des grèves éclatant en France, pour empêcher que l'introduction de la main-d'œuvre étran- gère vienne les contrecarrer; il empêchera également, dans la mesure du possible, l'ex- portation d'ouvriers français en cas de grèves hors de France.

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3SO

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE L'institution fonctionne déjà en Angleterre,

en Allemagne et en Belgique. Son organisa- tion rencontre en France une difficulté spé- ciale provenant de l'émiettement des forces socialistes en groupes hostiles les uns aux autres et dont chacun craint par dessus tout d'être absorbé par ses rivaux. On a, paraît-il, tourné l'obstacle. Le secrétariat sera composé de délégués de tous les groupes, chacun opé- rant à tour de rôle pour les travaux faits en commun et les relations avec le dehors, mais conservant la correspondance avec les ressor- tissants de sa nuance particulière. Ce sera sans doute très compliqué, mais on voit là un effort sérieux pour ramener l'union entre les diverses fractions ouvrières, quoique leurs divergences résultent de compétitions de personnes plutôt que de différences sensibles de doctrines.

Le pape et la question sociale

Le pape ne veut pas du socialisme d'Etat.

C'est ce qu'il a déclaré aux pèlerins français que M. de Mun lui a présentés à Rome. La question ouvrière et sociale ne trouvera, selon lui, jamais sa solution pratique dans les lois purement civiles, « même les meilleu- res. » Cette solution est, de sa nature, liée aux préceptes de la parfaite justice qui ré- clame que le salaire réponde adéquatement au travail. Elle est, par conséquent, du res- sort de la conscience, et entraîne surtout une responsabilité devant Dieu. Or, la législation humaine, ne visant directement que les actes extérieurs de l'homme dans ses rapports so- ciaux, ne saurait s'étendre à la direction des consciences. Le pape a ajouté que, de plus, cette question réclame le concours de la cha- rité, qui va au-delà de la justice et rappelle la commune origine de la nature humaine.

Or, la charité ne s'impose pas, ou, quand on cherche à la régler législativement, elle perd son nom et sa valeur morale.

La solution de la question sociale dépend surtout, aux yeux de l'Eglise, de « l'état d'âme des intéressés ». Voilà pourquoi à l'action gouvernementale le pape substitue l'initiative privée. Les maîtres et les ouvriers mettront fin au fatal antagonisme qui, depuis trop longtemps, les arme les uns contre les autres par la création d'associations mixtes, où ils se rencontreront et apprendront à se connaître.

Somme toute, le pape réclame le rétablis- sement des corporations telles qu'elles exis- taient avant 1789, et veut qu'on ne parle ni aux patrons ni aux ouvriers de leurs droits, mais de leurs devoirs.

Léon XIII avait déjà traité ce sujet dans sa dernière encyclique s sur la condition des ouvriers » ; il a été, cette fois, un peu plus explicite et ne s'est plus renfermé dans une dialectique vague et sentimentale. Cepen- dant, croire que la solution du problème social est « dans l'action de l'Eglise, combi- née avec les ressources et l'effort des pou- voirs publics et de la sagesse humaine », c'est se payer dé mots. S'imaginer que les corporations ouvrières, « librement adminis- trées en dehors de l'ingérence de l'Etat », sont autre chose que les syndicats profes- sionnels actuels, c'est méconnaître la réalité.

Enfin, parler toujours de charité, parce que c'est une expression théologique, au lieu de fraternité, qui est un mot humain et ne veut pas dire autre chose, c'est rabaisser la dignité de l'homme.

NOUVELLES DIVERSES

E x p o s i t i o n d e C h i c a g o . — Notre mi- nistre à Washington, M. de Claparède, fait

une tournée dans la Suisse française pour connaître un peu les dispositions des indus- triels au sujet de l'exposition qui aura lieu à Chicago en 1893 ; ces démarches toutes offi- cieuses feront ensuite l'objet d'un rapport préliminaire au département fédéral du com- merce.

R é f o r m é e p o s t a l e s e n F r a n c e . — Le ministre du commerce doit déposer, à la rentrée, sur le bureau de la Chambre, un projet de loi tendant à réduire le droit perçu sur les valeurs déclarées expédiées par la poste.

Actuellement, ce droit est, en France, plus élevé que dans la plupart des pays étran- gers. Il est de 1 franc par 1,000 francs.

De plus, la· poste française n'accepte pas la responsabilité de cas de force maj -ure. Il ré- sulte de cette clause et de l'exagération de la taxe que l'on a vu se développer les compa- gnies d'assurance privées, qui, en se substi- tuant à la poste pour garantir les expéditeurs contre les risques de perte, lui font une con- currence acharnée.

Pour remédier, dans une certaine mesure, à cette situation, le ministre du commerce va déposer à la rentrée un projet de loi rédui- sant à 10 centimes par 300 francs, au lieu de 100 francs, le droit proportionnel perçu sur les valeurs déclarées. Mais il n'abroge pas encore la clause relative aux cas de force ma- jeure.

D'autre part, voici les réformes que la commission du · udget proposera à la Cham- bre, en ce qui concerne l'administration des postes. Comme on le verra, il n'y est ques- tion d'aucune des réformes demandées parti- culièrement par le commerce et l'industrie des métaux précieux :

Réduction à 10 centimes de !a taxe des let- tres; réduction de la taxe des imprimés;

abolition de la surtaxe des lettres non affran- chies ; création d'un timbre exprès donnant à l'expéditeur la garantie que sa correspon- dance sera portée au domicile du destinataire par un exprès sitôt son arrivée au bureau ; économie à réaliser en restreignant le béné- fice de la franchise postale ; transport des colis postaux par l'administration des postes elle-même et non par les compagnies de che- mins de fer ou de navigation; imposition d'un droit de 10 centimes sur les recouvre- ments confiés à la poste et non opérés; ré- duction du droit sur les valeurs déclarées ; enfin, paiement des mandats à domicile et extension de la même réforme au mandat télégraphique.

T r a i t é s d e c o m m e r c e . •— L'AIIoma- gne n'a pas encore dénoncé son traité de commerce avec la Serbie qui expire dans deux ans. La nouvelle venant de Belgrade annonçant cette dénonciation est donc er- ronée.

— L'Opinione et la Fcmfullct parlent des négociations commerciales de Munich. L'Opi- nione fait observer qu'il ne fallut jamais moins de sept à huit mois pour conclure un traité. La Fanfulla dit qu'avec l'Autriche- Hongrie le renouvellement du traité probable portera de sérieuses modifications en faveur de l'Italie, que le gouvernement maintient fermement. Avec l'Allemagne, la discussion porte toujours sur la question des vins, sur laquelle l'Italie fait des demandes modérées, qu'elle ne désespère pas de voir accepter. Le gouvernement italien serait blâmable s'il précipitait les conclusions au lieu de tout pondérer.

— Les négociations pour les traités de commerce avec les différents pays fixent tou- jours l'attention. On ne cesse pas d'espérer qu'elles seront reprises avec la Suisse, et avec des chances de succès, lorsque celles

qui ont lieu à Munich avec l'Italie seront ter- minées. Les journaux officieux de Vienne ont maintenu que les difficultés qui restent encore finiront par être surmontées.

Quant à la Serbie, qui a dénoncé son traité de commerce avec l'Autriche, elle préférerait que l'ouverture de négociations pour son re- nouvellement eût lieu à Vienne ou à Belgrade et non à Munich, ce qui épargnerait du temps et des dépenses. Le traite serbe avec PAlle- magne, qui expire en juin 1893, n'avait pas encore été dénoncé jusqu'à ces derniers temps, et l'offre d'engager les négociations suggérée par l'Allemagne a pris la Serbie à l'improviste. On croit qu'elles η J seront peut- être pas entreprises à l'instant, en tout cas, pas simultanément avec celles qui sont en- gagées avec l'Autriche. C'est encore une question de temps. D'ailleurs, le ministre des finances serbes se trouvait absent pour cause de voyage de noces, et le ministre de l'agri- culture était malade.

B a n q u e s d ' é m i s s i o n . — Pendant le troisième trimestre de 1891, la circulation effective des billets de toutes les banques suisses a été en moyenne de 183,039,000 fr.;

IVn aisse totale a été en moyenne de 83,fe30,000 fr., soit de 57,8 1V0 de la circula- tion, tandis que l'encaisse légale n'est q'ie de 40 °/,i La moyenne de l'escompte a été de 3,58 % avec maximum d e 4 % et minimum de 3V2.

T é l é p h o n e . — Sous peu, grâce aux dé- marches faites par la direction de la fabrique de Sonceboz, un fil téléphonique spécial Sonceboz-Bienne sera établi incessamment, facilitant les communications des réseaux de Tramelan-Tavunnes-Rocon vil lier avec Bien ne et Berne.

Procédés industriels

U n n o u v e l a l l i a g e . — M. T. HeId fa- brique un alliage qui a la môme couleur que l'or et qui se compuse de cent parties de cui- vre et de six parties d'antimoine.

On commence par fiire fondre le cuivre et on ajoute ensuite l'antimoine. Une fois les deux métaux en fusion et suffisamment mé- langés, on ajoute à la masse, dans le creuset, des cendres de bois, du magnésium et du carbonate de chaux, ce qui a pour effet d'aug- menter la densité du métal.

Cet alliage peut être laminé, forgé et soudé de la même manière que l'or, auquel il res- semble beaucoup après qu'il a été poli. Il conserve sa couleur même quand on l'expose à l'action de l'ammoniaque et des vapeurs nitreuses.

Cet alliage, en lingot, revient à 2 fr. 75 le kilogr.

JTIaiiière d e d i s t i n g u e r l ' a i ' g e n t d e s a l l i a g e s q u i l u i r e s s e m b l e n t . — Voici deux procédés basés sur des réactions très sensibles :

1" On fait une entaille un peu profonde à la lime sur l'objet et on humecte avec de l'acide nitrique. Si, après essuyage, il reste un fond d'un blanc sale, la pièce est en argent; si, au contraire, il ne reste aucune altération sen- sible, c'est un alliage.

Dans le premier cas, il y a formation de nitrate d'argent qui noircit à la lumière, et dans le second l'action se transforme en dé- capage du métal ;

2° On fait une solution qui se conseive en flacon et coûte très bon marché, ainsi com- posée :

Faire dissoudre dans :

Eau ordinaire 50 gr.

Bichromate de potasse, de 3 à A » Et ajouter: Acide suifurique 10 »

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Oa verse une goutte de celte solution sur le métal préalablement nettoyé, s'il devient rouge, on a affaire à de l'argent, qui sera d'autant plus pur que la coloration sera plus intense.

Syndicat des fabriques d'ébauches

L'assemblée générale des fabricants d'é- bauches suisses et français, convoquée par les soins de la « commission d'initiative pour constitution d'un Syndicat», a réuni 22 chefs de fabrique ayant fait partie du premier syn- dicat.

Convoquée pour 8 heures du matin, — heure un peu matinale, si l'on tient compte de la distance à parcourir par plusieurs des personnes conviées— la séance a été ouverte à 10 heures, sous la présidence de M. Ros- selet, de Sonceboz, le président de la com- mission, M. Ileutschi, ayant été empêché d'assister à l'assemblée.

Le projet de statuts d'un nouveau syndicat et d'établissement d'un système de quantum, ont été examinés et discutés d'une façon très approfondie. D'un commun accord, un certain nombre de modifications heureuses y ont été apportées.

Aucune votalion n'est intervenue, ni sur l'acceptation des projets modifiés, ni sur la question môme de la reconstitution du syn- dicat. Les projets, mis au point, seront expé- diés à tous les fabricants d'ébauches suisses et français, accompagnés d'une formule d'adhésion éventuelle à une nouvelle orga- nisation ayant à sa base les projets en ques- tion. Les adhérents seront ensuite convoqués et se prononceront définitivement sur Ia

question de savoir si le syndicat doit, oui ou non, être reconstitué.

L'impression générale est que les adhé- rents seront assez nombreux et représente- ront des intérêts assez considérables pour qu'une nouvelle alliance puisse être solide- ment fondée.

Ce n'est guère que dans un mois que l'on sera définitivement fixé sur le sort du syn- dicat. D'ici là, on aura eu le temps de se convaincre que l'anarchie qui règne en maîtresse depuis la dissolution du syndicat n'est pas le régime qui nous convient le mieux.

Espérons, pour le bien de tous, que nous pourrons saluer bien'ôt le nouveau syndicat des fabriques d'ébauches.

Syndicat des patrons monteurs de boites

Nous avons reçu de M. Châtelain, ex-con- trôleur du syndicat des patrons monteurs de boîtes d'argent, un projet de statuts pour un syndicat a former, et groupant tous les pa- trons des trois branches de l'industrie boî- tière, or, argent et métal. Sur la demande de quelques intéressés, nous l'analyserons dars l'un de nos plus prochains numéros.

I i i s t e iSes m a r c H a i i d e h o r l o g e r s ac- tuellement à la Chaux-de-Fonds à l'hôtel d<·

la Fleur -de- Lis : Liste dressée jeudi /c r

octobre 1891, à 5 heures du soir: MM Pouldjan, Constantinople. — Hammel, New- York. — Abeles, Vienne. — Ma'ier, Autri- che. — Schiffer, Buchar^st. — Braanstein, Vienne.

Le rédacteur responsable : F'.itz HIJGPFMN,

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missions peuvent être exécutées dans peu de temps.

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3 9 2 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

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