• Aucun résultat trouvé

Cours5.R´esum´educoursjusqu’auaujourd’hui Cours5:R´esum´educoursjusqu’auaujourd’hui 1

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Cours5.R´esum´educoursjusqu’auaujourd’hui Cours5:R´esum´educoursjusqu’auaujourd’hui 1"

Copied!
38
0
0

Texte intégral

(1)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 1

Cours 5. R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui

(2)

R´esum´e du cours d’aujourd’hui

— Rappel de la convention de sommation d’Einstein, les

´equations bien form´es et l’accord des indices muets et libres.

— R´esum´e du dernier cours.

— Courbure de l’espace-temps dans la g´eom´etrie de Schwarzschild.

(3)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 3

La convention de sommation d’Einstein

— Tout indice apparaissant dans une mˆeme expression une fois en bas et une fois en haut implique qu’une sommation sur cet indice doit ˆetre faite, dans laquelle il prend des valeurs de 0 `a 3.

— Par exemple

Aα0 = ∂xα0

∂xβ Aβ (1)

Gµν Rµν 1

2gµνRαα (2)

— Tout indice situ´e en bas dans le d´enominateur d’une d´eriv´ee partielle est `a consid´erer comme un indice en haut dans le numerateur. Et tout indice situ´e en haut dans le

enominateur d’une d´eriv´ee partielle (comme β ici) est `a

(4)

consid´erer comme un indice en bas dans le numerateur.

Ansi, l’indice β ici doit ˆetre trait´e comme figurant une fois en bas et une fois en haut. Un tel indice, est dit muet.

— L’indice α0, qui apparaˆıt dans les dux membres, est dit libre et peut prendre toute valeurs comprise entre 0 et 3.

— Test imm´ediat de connaisance : ´Ecrire toutes les ´equations impliqu´e par (1).

(5)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 5

La convention de sommation d’Einstein

— Il y a un indice libre, α0, et un indice muet, β, dans Aα0 =

3

X

β=0

∂xα0

∂xβ Aβ. (3)

donc il s’agit de 4 ´equations : A00 =

3

X

β=0

∂x00

∂xβ Aβ, A10 =

3

X

β=0

∂x10

∂xβ Aβ,

A20 =

3

X

β=0

∂x20

∂xβ Aβ, A30 =

3

X

β=0

∂x30

∂xβ Aβ. (4)

(6)

Les ´equations bien form´es et l’accord des indices muets et libres

— Une ´equation avec indices libres est valable si et seulement si elle est valable pour toutes valeurs possibles des indice libres.

— On peut changer le symbole d’un indice libre, mais il faut le changer partout dans l’´equation !

Gµν = 8πTµν = Gαβ = 8πTαβ (5) mais

Gαβ = 8πTµν. (6)

n’a auccun sens.

— Exercice 2.2 de (Schutz, 2009).

(7)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 7

Les ´equations bien form´es et l’accord des indices muets et libres

Test imm´ediat de connaisance : quel ´equations sont bien form´es ? Sinon, pourquoi pas ? Si oui, il s’agit de combien d’´equations ?

1.

gαβ = gβα (7)

2.

Gµν = 8πTµν (8)

3.

˜

ωα0 = ∂xα0

∂xβ ω˜β. (9)

(8)

Dernier cours : Les Vecteurs

(9)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 9

Vecteurs de base naturelles

— Pour chaque syst`eme de coordonn´ees, on peut d´efinir une base.

— Nous utiliserons toujours les base naturelles, obtenu par les vecteurs tangents des lignes de coordonn´ees.

— Les d´etails ? Voir (Hobson et al., 2006, §3.3) si vous ˆetes curieux.

(10)

Vecteurs de base duaux

— Penser des vecteurs bra et ket de m´ecanique quantique.

— Pour un ensemble de vecteurs de base ~eµ, on a un second ensemble de vecteurs de base ˜ων efini´es par la relation

˜

ων ·~eµ δµν = 0 quand µ 6= ν

= 1 quand µ = ν (10)

— ˜ων sont nomm´es l’ensemble de vecteurs de base duaux ou duale.

— Voir Hobson et al. (2010, Section 3.4) et Schutz (2009, Section 3.3) sont simples et clairs.

— Nous pouvons ´ecrire le mˆeme vecteur avec les deux bases, A~ = Aµ ~eµ = Aµ ω˜µ (11)

(11)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 11

ou Aµ sont les composantes covariantes.

(12)

R´esum´e : composantes covariantes

— Si les vecteurs de base sont reli´es par la matrice de transformation

~eµ0 = Tαµ0 ~eα (12)

~eµ = Tµ α0 ~eα0 avec, (13) Tµ ν0 Tαν0 = δµα (14) puis les composantes contravariantes sont reli´es par

Aµ0 = AµTµ µ0 (15) et les vecteurs de base duaux sont reli´es par

˜

ωµ0 = Tα µ0 ω˜α

˜

ωµ = Tµα0 ω˜α0 (16)

(13)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 13

et les composantes contravariantes sont reli´es par

Aν0 = Aµ Tµν0 (17) Aµ = Aν0 Tµ ν0 (18)

— On voit aussi le terme « one-form » ou « une forme

monolin´eaire » pour vecteur covariant (Misner et al., 1973;

Schutz, 2009) ou

http://www-cosmosaf.iap.fr/MIT-RG2F.pdf.

(14)

Vecteurs importants en relativit´e

— Nous d´efinissons la quadrivitesse comme

~ u

d

xµ)

~eµ (19)

o`u xµ) est la ligne d’univers d’une particule dans

l’espace-temps en 4 dimensions, param´etr´ee par le temps propre τ.

— La grandeur carr´ee de la vitesse :

~

u · ~u = gµν uµuν = gµν

dxµ

dxν

= gµνdxµdxν dτ dτ

= ds2

2 = c2 2

2 = c2. (20)

c22 = ds2 parce que τ est, par d´efinition, le temps mesur´e

(15)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 15

par une horloge qui ce d´eplace avec une particule, et dont l’intervalle de laquelle est

ds2 = c2dt2 dx2 dy2 dz2 = c2dt2 = c22.

(16)

Quadri-impulsion d’une particule massive

— Le quadrivecteur d’impulsion d’une particule de masse m0 (c’est-a-dire la masse au repos, pas la masse relativiste), est efini simplement par

~

p = m0 ~u

(17)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 17

Interpr´etation physique de la m´etrique

(18)

La sph`ere est courbe

— M´etrique pour la sph`ere :

ds2 = rs22 + rs2 sin2θ dφ2

— Le rayon, rc, d’un cercle centr´e sur l’axe des z : rc =

Z θc 0

ds

φ = Rsθc. (21)

— Le p´erim`etre d’un cercle, pc : pc =

Z

0

ds

θ = 2πRs sinθc. (22)

— Rapport :

pc

rc = 2πsinθc

θc < 2π. (23)

(19)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 19

fin du r´esum´e

Nouveau cours

(20)

Autre manifestation de la courbure

— Le plus grande cercle sur la sph`ere, θc = π2, s’appelle « grand cercle ». Par exemple l’´equateur ou un m´eridien (une ligne de longitude sur le Globe).

— Les grands cercle sont les g´en´eralisations des droites pour eom´etrie riemannienne ; ils sont les g´eod´esiques.

— Deux m´eridiens sont parall`eles `a l’´equateur, mais se croisent au pˆole Nord `a l’exception du cinqui`eme postulat d’Euclide.

— Les g´eod´esiques jouent un rˆole tr`es important.

L’espace-temps dit `a la mati`ere comment elle doit bouger.

Une particule libre (en l’absence de toute force

´electromagn´etique ou nucl´eaire) suit une g´eodesique.

(21)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 21

Courbure de l’espace-temps autour d’un trou noir de Schwarzschild

— La m´etrique de Schwarzschild

ds2 = (1 + 2Φ)dt2 (1 + 2Φ)−1dr2 r2(dθ2 + sin2θ dφ2), (24) o`u Φ = −GM/c2r, G est la constante newtonienne, c la

vitesse de la lumi`ere, M la masse. Donc Φ est comme le potentiel gravitational sauf que le fait que r n’est pas la distance au centre, c’est juste la coordonn´ee radiale. Ces coordonn´ees de Schwarzschild sont comme les coordonn´ees sph`erique : 0 θ π et 0 φ sont les coordonn´ees angulaires ; r est la coordonn´ee radiale ; t est la coordonn´ee temporelle.

(22)

— Mais dt n’est pas un intervalle de temps, et dr n’est pas une petite distance. Il faut utiliser la m´etrique pour d´efinir les intervalles physiques. On va voir bientˆot !

— Consid´erons la sous-vari´et´e r = Rs, t = t0. On a dl2 ≡ −ds2

Rs,t0 = R2s(dθ2 + sin2θ dφ2). (25)

— Remarquez-vous que l’intervalle (au carr´e) peut ˆetre n´egatif ou positif. Quand il est n´egatif nous disons que il est « du genre espace »; l’intervalle positif est « du genre temps ».

(23)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 22-1

Table 1 – Interpretation physique de l’intervalle ds2 < 0, dl =

−ds2

dl = distance propre

dl = distance on mesure avec une r`egle ds2 > 0,

ds2 =

= temps propre

= temps on mesure avec une horloge

Les mesures en RR et RG sont effectu´ees avec des horloges et des r`egles au repos. En fait, on define un r´ef´erentiel comme un essemble d’observateurs chaqun portant une horloge et une r`egle avec lesquelles ils font leurs mesures.

(24)

G´eom´etrie de Schwarzschild est sph`erique symetrique

— C’est claire `a partir de Eq. (25) que les surfaces obtenues avec t = t0, r = Rs sont les sph`eres. Pourquoi ?

Rappelez-vous que toutes les informations g´eom´etriques sont continues dans la m´etrique et donc l’´el´ement lin´eaire. Et

d’ailleurs nous savons la m´etrique de la sph`ere a la forme de Eq. (25). Alors, elles sont des sph`eres.

— Nous dissons que l’espace-temps ou g´eom´etrie de

Schwarzschild est sym´etrique sph`erique. En effet, on peut presque trouver la m´etrique Eq. (24) cherchant les

espace-temps qui sont ind´ependents du temps et sym´etriques sph`eriques. C’est la piste normalement utilis´ee pour

introduire l’espace-temps de Schwarzschild (Hobson et al.,

(25)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 24

2010, §9.1) ou (Schutz, 2009, §10.1 et §10.2).

(26)

G´eom´etrie de Schwarzschild : sens de r

— On peut calculer la surface des sph`eres utilisant l’´el´ement lin´eaire Eq. (25),

A =

Z π

0

Z

0

dA =

Z π

0

Z

0

(Rsdθ)(Rs sinθ dφ)

= R2s4π. (26)

— Attention ! ! Malgr´e la familiarit´ee de cet expression, on ne peut pas dire que Rs est la distance au centre de la sph`ere ! Les distances sont d´efinis par un int´egral de la racine carr´ee de l’intervalle du genre espace ; voir Table 1 ci-dessus. En effet, pour le trou noir de Schwarzschild il y a un singularit´e

(27)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 26

de coordonn´ee `a r = rs 2M G/c2 o`u grr = (1 + 2Φ)−1 = 1

1 2M Gc2r

s

=

— La sph`ere r = rs est l’horizon de trou noir de Schwarzschild.

Si vous traversez cette sph`ere vous ne pouvez pas resortir.

eme la lumi`ere ne peut pas ´echapper l’interieur de l’horizon d’un trou noir.

— Restons `a l’ext´erieur de l’horizon ! (L’analyse `a l’int´erieur de l’horizon est bizarre car r devient une coordonn´ee du genre temps et t devient une coordonn´ee du genre espace !).

(28)

L’espace-temps de Schwarzschild est courbe

— On peut trouver les sph`eres dans l’espace plat (espace euclidien ou espace-temps de Minkowski `a un instant du temps). Nous l’avons d´ej`a fait en cours 4 ! Et donc jusqu’`a maintenant c’est n’est pas claire que l’espace est courbe autour d’un trou noire de Schwarzschild.

— Comparons la surface de deux sph`eres avec coordonn´ee

radiale r = R > rs et r = 2R. La surface de la deuxi`eme est 4 fois la premi`ere :

A2

A1 = 4(2R)2π

4R2π = 4.

— Dans l’espace plat, ¸ca implique que la distance entre les

(29)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 28

deux sph`eres est R. Mais dans l’espace-temps de Schwarzschild la distance est :

Z 2R

R

q−ds2|t,θ,φ =

Z 2R

R

−grrdr =

Z 2R

R

1

1 + 2Φdr 6= R.

— L’espace dans l’espace-temps de Schwarzschild est courbe.

— La courbure d’espace n’est pas comme une sph`ere – c’est plutˆot comme un chapeau.

(30)

Figure 1 – Plongement du plan ´equatoriel coupant la terre. Il y a juste deux dimensions d’espace montr´es. L’hauteur est une dimension imaginaire pour montrer la courbure.

(31)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 30

Explication qualitative

— Imaginez-vous que la Terre est homog`ene, sph´erique, et

qu’elle ne tourne pas. La g´eom´etrie autour d’elle serait celle de Schwarzschild. Et la g´eom´etrie ne change pas avec le

temps ; elle est permanente et fig´ee comme une statue. En fait, le trou noir de Schwarzschild a la mˆeme g´eom´etrie en dehors de l’horizon.

— On peut mettre en ´evidence la courbure d’un tranche d’espace ou d’espace-temps `a deux dimensions avec la cartographie.

— On a vu que la sph`ere est courbe. Si je coupe la sph`ere en deux morceaux et que je mets les deux morceaux sur une surface plate, ils ne restent pas plats sur la surface. Si je le coupe en 4 morceaux, c’est toujours la mˆeme situation.

(32)

morceaux tr`es minces. Je n’ai pas chang´e la courbure de chaque morceau mais et j’arriverais `a les aplatir avec

minimum distorsion ! Je vais utiliser cette id´ee tout `a l’heure !

— Ce n’est pas le cas avec le cylindre. Je peux le couper une seule fois, le d´ecouler, et il devient parfaitement plat.

— Pour la surface d’une sph`ere je peux continuer de la couper en plusieurs morceaux jusqu’`a ce qu’ils paraissent plats,

eme si la courbure reste la mˆeme que la sph`ere de d´epart.

Et ¸ca c’est vrai pour n’importe quelle surface en deux dimensions si la surface est lisse. Une surface lisse a une courbure finie ; il n’y a pas de singularit´e.

— La courbure des bords des morceaux met en ´evidence la courbure globale de la surface. Pour reconstruire la surface globale, il faut mentalement «recoudre» les bords, sans etendre la surface, c’est `a dire ne pas changer la distance

(33)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 32

entre les points.

(34)

Figure 2 – Qu’est-ce qu’il y a dans l’espace blanc sur la carte ? Par exemple, l’espace entre les deux cot´es de Grœnland ? Rien ! Il s’agit du n´eant ! La surface de la terre consiste uniquement en la r´egion color´ee de la carte !

(35)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 34

Courbure d’espace `a 3 dimensions

— Rappelez-vous que nous parlons de la surface, une chose en deux dimensions. Nous avons, juste pour l’instant, imagin´e que la troisi`eme dimension d’espace n’existe pas. Bien

entendu c’est normal d’imaginer la surface courbe dans la troisi`eme dimension, mais ce n’est pas n´ecessaire de

eintroduire la troisi`eme dimension quand on recoud les bords des morceaux.

— ¸Ca c’est le grand effort d’imagination qu’on doit faire pour comprendre la courbure d’espace.

— Quand vous ˆetes `a l’aise avec cette id´ee de la courbure pour l’espace en deux dimensions, vous devez simplement faire exactement pareil pour l’espace en trois dimensions. C’est `a dire, vous devez imaginer qu’il est possible d’avoir une

(36)

courbure dans l’espace `a trois dimensions. Je ne peux pas facilement le dessiner, mais ce n’est pas important.

— Prochain cours nous consid´erons la courbure dans l’espace-temps en 4 dimensions.

(37)

Cours 5: R´esum´e du cours jusqu’au aujourd’hui 36

R´ef´erences

Briatore, L., and S. Leschiutta (1977), Evidence for the earth gravitational shift by direct atomic-time-scale comparison, Il Nuovo Cimento B Series 11, 37(2), 219–231,

doi :10.1007/BF02726320.

Cook, R. J. (2004), Physical time and physical space in general relativity, Am. J. Phys., 72(2), 214–219,

doi :http://dx.doi.org/10.1119/1.1607338.

Hobson, M., G. Efstathiou, and A. Lasenby (2006), General Relativity : An introduction for physicists, Cambridge, Cambridge University Press, UK.

Hobson, M., G. Efstathiou, and A. Lasenby (2010), Relativit´e en´erale, de boeck, Bruxelles.

(38)

Misner, C. W., K. S. Thorne, and J. A. Wheeler (1973),

Gravitation, W. H. Freeman and company, San Francisco.

Schutz, B. (2009), A first course in General Relativity, Cambridge University Press, Cambridge UK.

Scott, R. B. (2015), Teaching the gravitational redshift : lessons from the history and philosophy of physics, Journal of Physics : Conference Series, 600(1), 012,055.

Références

Documents relatifs

[r]

mˆ eme si ici, seule la synth`

FORMALISATION 14 Une ´ equation d’´ etat est une ´ equation qui lie l’ensemble des variables d’´ etat, par exemple T(V,N,S) est une ´ equation d’´ etat qui caract´ erise

Licence de Math´ ematiques, troisi` eme ann´ ee Dur´ ee 3 heures, documents et calculatrice interdits.. Premier exercice

Toutes les puissances positives ω n de omega sont ´ egalement inversibles (d’inverses ω −n et elles sont distinctes cer elles forment une suite (g´ eom´ etrique)

[r]

fac¸on suivante : on prend une feuille rectangulaire de carton de c ˆot´es a et b puis on d´ecoupe de chaque coin un carre de c ˆot´e x puis on rabat les morc¸eau ainsi obtenus

Il est rappel´ e aux candidats que leurs copies sont destin´ ees ` a ˆ etre lues et que des points sont pr´ evus dans le bar` eme pour la pr´ esentation des copies.. Les correcteurs